Collection Zone Rouge. Poupette. Saison Iii (23/30)

Gai-luron, Abby me fait l’honneur de sortir de son armoire son gode offert par Cassidy son amie et qui reposait dans le noir depuis que la jeune femme était morte.
La jouissance que m’apporte ce gode se termine en apothéose quand je sens l’objet propulser ses spermatos en moi.
Mon corps s’affaisse tellement je vole et Abby vient me rejoindre dans mes bras.
Elle respecte mon plaisir qui a du mal à retomber.
Quand mon souffle est revenu à son état normal elle m’embrasse tendrement comme seule depuis que je la connais, elle sait le faire.
Ce qui est marrant, bien que les seules comparaisons que je peux faire sont presque inexistantes.
De toute ma vie, j’ai souvent sucé des verges que des langues et surtout pas celles des hommes hormis Bill.
Peut-être Tex, bien que ma mémoire me fasse défaut et bien sûr le sénateur mais là c’est par amour et en vue de mon mariage.
Amour ou intérêt l’avenir me le dira, même si l’héritage de mère et mon fumier devrait le suffire.
Donner un os à ronger à un chien, plutôt une chienne pour moi et c’est l’os tout entier qu’elle vous bouffera.

- Abby comment un gode en silicone a-t-il pu m’envoyer du sperme chaud.
- Belle ingénue, tu as peut-être vécu beaucoup de choses dans ta jeune vie comparée à moi dont les expériences sexuelles se limitent à ceux que j’ai vécus avec Cassidy et toi depuis hier.
Quand je me suis absenté, emportant Gai-luron je suis allé faire chauffer du lait, dès qu’il a été à bonne température, j’ai ajouté de la crème fleurette elle-même placé dans un bain d’eau chaude pour l’onctuosité et j’ai mis une grosse cuillère de miel pour la saveur.
- Tu m’as sucré la chatte avec ta mixture.
- Exact, quand tu as joui j’ai appuyé sur ses testicules qui sont comme de petites poires et il a éjaculé en toi.
Le miel c’est maintenant qu’il va m’être utile, rouvre tes jambes en grand comme tu sais si bien le faire.


Je vais te brouter et le goût du miel va augmenter mon plaisir car j’aime ce parfum.
Ce qui est bien c’est que Gai-luron peut nous apporter la saveur que nous aimons le plus, Cassidy c’était le parfum de la rose qu’elle imprégnait en moi.
Attention, Gai-luron a un inconvénient qu’ils nous auraient été facile de gommer.
Il faut cuisiner au goût de l’autre alors nous avions pris l’habitude de préparer des doses que nous réchauffions en peu de temps au micro-ondes.

C’est comme cela qu’une nouvelle fois mon corps jouit de nouveau quand mon amie me suce sa langue entrée au plus profond de mon vagin.
Je découvre les amours entre femmes et je constate qu’avec de l’imagination comme sait l’avoir Abby se gouiner amène à des jeux multiples alors qu’avec les hommes, une branlette avec la bouche ou la main, la position de leur choix suivi d’une décharge avec ou sans plaisir.
Une nouvelle fois je perds la notion de l’heure jusqu’à ce que je retrouve ma position préférée lover dans les bras de ma jolie maîtresse.

- Abby, je peux te demander ce que tu as voulu dire quand tu as dit que ton gode t’avais dépucelé.
- Tu reviens près de moi mon cœur, je t’ai laissé te reposer Gai-luron et ma langue t’a presque fait perdre connaissance.
- C’est simple quand je suis entrée à l’hôpital après mes études d’infirmière j’étais encore vierge malgré mon âge.
Rapidement j’ai fait l’erreur de le dire à une jeune collègue qui s’est empressée de le colporter dans le service.
J’étais très fleur bleue dans ces années-là et amoureuse d’un jeune médecin du service.
Un soir où nous étions de service au moment où tout était calme il m’a fait venir dans son bureau et je suis tombée de haut.
- Tu es tombé du bureau au moment où il te pénétrait.
- Nunuche, quand je dis que je suis tombée de haut c’est dans ma tête quand il m’a demandé de me déshabiller pour m’enlever mon infirmité.

- Ton infirmité, c’est ce qu’il t’a dit !
- Oui, tu te rends compte, avoir encore son hymen était une infirmité pour lui, je suis sortie et mes amours masculins se sont arrêtés là depuis.
- C’est dommage, malgré ce qu’il m’est arrivé, les hommes ça a ses charmes.
Et Cassidy ?
- C’était une paumée qui était entrée dans notre service à cause d’une pneumonie attrapée dans la rue où elle vivait.
Les examens ont montré qu’elle était positive et qu’elle avait peu de chances de survivre.
Tu connais notre système de santé impitoyable, un jour le médecin qui m’avait humilié à considérer que Cassidy avait de nouveau assez de force pour retourner dans la rue.
Je m’en suis offusqué devant lui.
Sa seule réponse a été que si j’avais du pognon à foutre en l’air pour une junkie qui allait s’empresser de retourner se piquer dès qu’elle aurait retrouvé sa dose est qu’il me la donnait volontiers.
Ça a tué définitivement tué l’envie que j’avais de lui.
Je l’ai pris au mot pour mon plus grand plaisir.
Nous sommes venues ici ou à force de persuasion pendant un an nous avons vécu en nous caressant seulement avec nos doigts.
Au bout d’un an ou à certains moments de crise, je l’enfermais dans cette chambre où elle est devenue clean.
Bien sûr pour avoir sa drogue avant que je ne la récupère, tous étaient bons pour trouver du fric, elle était passée de bras en bras, de bite en bite et avait perdu ses illusions depuis des années.
Alors pour fêter notre première année de vie commune elle m’a demandé un peu d’argent et le droit de sortir.
Il fallait que je fasse un geste pour voir si elle avait vraiment décroché et la laisser sortir avec de l’argent m’a semblé être la meilleure des choses.
Elle est revenue toute guillerette et après un repas qu’elle a tenu à préparer, elle m’a offert Gai-luron et le soir même il me dépucelait.
Je t’ai dit que nous refusions d’en acheter un autre car dans mon esprit c’était notre amant alors par sécurité à cause du virus qu’elle avait en elle, Gai-luron venait en moi un soir et le lendemain après avoir passé dans un bain aseptisant il l’honorait.

Nous avons essayé de mettre des capotes à notre ami mais la taille et ce que nous trouvions sur le marché nous a dissuadé de nous en servir car elles craquaient systématiquement dès que nous avions donné un ou deux coups de cul pour le rentrer en nous.
Quand elle m’a quitté j’ai fait prendre son bain à Gai-luron et je l’ai rangé dans sa boîte persuadée que c’était pour l’éternité qu’il y resterait.
Je suis contente qu’il ait accepté d’en ressortir pour mon petit amour tout neuf.
J’espère que jusqu’à ma disparition il restera à notre service.
- Tu as raison, quand nous serons de vieilles femmes, contrairement au homme il restera notre amant magnifique même si nous serons des grands-mères indignent de continuer à prendre du plaisir avec lui.
- Souviens-toi de ce que je t’ai dit, tu peux continuer d’avoir des amants sans que je m’en offusque.
- Je suis sûr qu’un jour tu me feras le plaisir de t’empaler sur une vraie bite surtout sachant que toi aussi malgré cela tu me seras fidèle.
Gai-luron et les hommes seront des faire-valoir à notre amour, bien sûr jusqu’à ce que le sénateur quitte notre vie.
Je te promets d’être la seule à lui donner du plaisir, hors de question pour moi de t’infliger un tel débris.
- On verra si tu arrives à me faire franchir le pas et par amour pour toi ce jour-là je te promets de l’enterrer définitivement.
- De qui parles-tu du sénateur ou Gai-luron, veux-tu m’aider à le ?
- Surtout pas, ton argent va nous aider à mener la belle vie comme tu me l’as proposée et à son âge un homme voyant sa femme avoir des rapports avec et devant lui avec une femme va le rapidement.
À leurs âges les hommes ont besoin de tranquillité pas de deux vampires sexuelles.
- Et c’est toi qui disais que je suis diabolique.
- C’est vrai, je me croyais plus douce, mais je crois que nous deux allons trouver la force de renverser des montagnes,
- Viens que nous préparions Gai-luron à ton goût.

- Inutile, Gai-luron a encore assez de spermatozoïdes, pour me satisfaire à mon tour, prends-moi à moins que le goût du miel te sois insupportable.
- Non, j’adore cela,
- Alors plante-le-moi ma chatte dégouline de l’attendre depuis si longtemps.

Voilà comment un simple gode, du lait, de la crème fleurette et surtout du miel a permis à la fin de la première nuit passée ensemble d’être une nuit d’amour paradisiaque.

Vers 11 heures ce dimanche, je remonte à mon appartement.
Miguel est levé et est dans la chambre s’habillant.

- Claudia il faut te préparer, Fred vient nous chercher dans une demi-heure pour nous conduire au restaurant.
- Je me dépêche.

Je vais dans la salle de bain où j’enlève mes affaires que je viens à peine de remettre.
Malgré le temps qui semble cour je me prélasse dans mon bain.
Je me maquille et je retourne dans la chambre toute nue.

- Claudia, qu’as-tu fait chez ton amie, vous vous êtes battu ?

Comment dire au sénateur pourquoi je me suis plantée un couteau pour lui prouver mon amour ?

- Un accident dans la cuisine en préparant un plat, Abby est infirmière, n’aie aucune crainte elle m’a réparé.
- Abby, ta copine s’appelle Abby, c’est mignon comme prénom, j’aime bien.

Je finis de me préparer et nous descendons à la voiture.

- Fred conduisez-nous à Hollywood au restaurant que je vous ai indiqué et où j’ai réservé.

Nous montons en voiture et nous arrivons devant un restaurant « Les Trois Magots ».

- J’espère que tu vas apprécier, c’est un restaurant de ton pays d’origine la France.
- J’apprécie le geste mais j’avais 12 ans quand je suis partie et la gastronomie pour moi se cantonne à manger des sandwichs du canard.

Installé il me fait manger des escargots à la bourguignonne, ils sont fous ces Français.
Du confit de canard, c’est gras, je dirais même un morceau de gras.
La seule chose qui comble mon estomac, c’est le gratin dauphinois même si j’ignore où est le Dauphinois.
Ce que j’apprécie le plus, la crème brûlée, le tout arrosé par une bouteille de champagne ouverte de main de maître par le sommelier lui aussi français sans le sabre comme avec Abby.
Il tourne le bouchon qui saute, petit joueur…

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