Pris À Son Propre Jeu Suite Épisode 3

Je lui plaquai la gueule dans la flaque, elle me fixait du regard, je sentis un mélange de honte, de colère et d'excitation dans ses yeux. Elle était déboussolée. Ce n'était pas le jeu auquel elle avait prévu de jouer ce soir. Elle pensait ce taper un p'tit jeune qu'elle allait croquer et au lieu de ça, elle se retrouvait malmener comme la dernière des putes par un petit pervers qui l'avait soumise et faite abdiquer en l'espace de dix minutes seulement. Voilà maintenant elle était là, le cul en l'air, la gueule dans sa propre jouissance, la porte d'entrée grande ouverte.
Je baissai mon pantalon et saisis mon sexe. Le spectacle que m'offrait Nath totalement perdue et soumise rendait mon sexe dur comme une matraque.

Allez maintenant, Mets tes doigts dans ton cul et prépares le moi bien. Je t'avertis, je compte pas te faire de cadeau!

Nath semblait dans un état second. Sans réfléchir elle tendit son bras vers ses fesses et vint se caresser la chatte pour récupérer un peu de lubrifiant avant de s'enfiler le majeur dans l'anus en faisant de léger va et viens. Puis elle inséra avec son majeur l'annulaire pour s'élargir un peu plus. Je bandais comme un âne devant cette cinquantenaire dépravée qui gisait cul en l'air dans mon couloir. Je la saisis par les hanches, positionna ma verge devant son petit trou obstruée par ses doigts.

Allez fais place à ma queue. T'as besoin sentir ce que c'est de se faire prendre par un vrai mâle !

Une fois, l'anus libre, je commençai par frotter ma verge contre sa raie. Je savais qu'elle ne s'était pas assez lubrifié le cul pour pouvoir accepter la largeur de ma queue mais je m'en foutais. J'avais envie de la faire gueuler comme une truie. Je biflai durement l'entrée avant de venir la forcer avec mon gland. Elle s'immobilisa et gémit en réprimant son ressenti autant qu'elle pouvais pendant que je faisais passer le gland qui rentra , à ma grande surprise assez facilement.

Pourtant les sons de sa bouche semblait plutôt dire qu'elle était en train de douiller qu'autre chose . Quoi qu'il en soit, cette aisance pour rentrer m'encouragea à prolonger lentement mon forage plus en profondeur encore. Elle gigota un peu en essayant de pousser pour essayer de mieux faire rentrer ma queue. Je remarquai son manège et la félicitai en l'encourageant :

Allez, c'est bien ! Pousses bien et ramènes ton cul vers moi! Oui ! Voilà ! Comme ça ! Tu vas réussir à te la rentrer jusqu'à mes couilles!

Une fois ma queue complètement englouti dans son anus, elle s'immobilisa et lâcha un râle mêlé de douleur, de plaisir et de soulagement. Elle avait le sourire des salopes satisfaites d'elles.Toujours enlisé au plus profond de son fondement, je lui collai une claque sur la fesse droite puis la gauche puis j'alternai en augmentant l'intensité de la fessée jusqu'à lui en mettre une bonne qui résonna dans toute la cage d'escalier. Elle poussa un bon cri de douleur et de surprise.

Eh doucement !

Maintenant que tu as le cul tout rouge, je vais voir comment t'encaisses!

Je ressortis d'un coup sec ce qui lui arracha un petit cri étouffé puis je crachai toute la salive que je pus sur son anus. Au bout de quelques crachats, son petit trou avait l'air d'avoir été utilisée et ensemencé toute la nuit. Dans l'ivresse de l'instant qui m'excitait au plus haut point, j'enfonçai mes doigts pour l'élargir un plus et je lui balançai : 

Ce cul, c'est au jus qu'il faut le lubrifier ! C'est comme ça que tu préfères être enculée ?

Fermes là et encules moi ! Bordel ! finit elle par me lâcher agacée d'impatience.

Je ne me faisais pas prier et rentrais tout mon engin jusqu'au fond, Elle ne moufta même pas ! Je commençai le va et vient et me positionna debout au dessus de son trou pour la forer. Là soudain j'entendis le bruit du frottement de l'oeilleton du voisin. Elle l'avait entendu elle aussi et elle essaya de se relever en s'appuyant sur ses bras :