Collection Zone Rouge. Poupette. Saison Iii (25/30)

Je viens d’aller chercher Abby et je la conduis dans la maison de mon enfance jusqu’à ce que la réalité me ratt et que mon beau-père fasse basculer ma vie.
Quand nous entrons, le bordel est toujours le même.

- Mon dieu tous tes souvenirs d’enfance son parterre, je vais tout te ranger.
- Mes souvenirs d’enfance, ces nœuds avec marqué dessus la date et l’endroit où le concours des minis miss avait lieu.
Quand dans un premier temps je vois où cela m’a conduit même si maintenant je vais tout gagner aide-moi à les mettre aux ordures.

J’aime cette fille, elle est fraîche et sait me donner du plaisir, nous nous déshabillons et Abby me donne un nouveau cours d’éducation lesbien en me montrant comment faire un 69, bien qu’avec mes clients je pratiquais souvent cette position.
La seule nuance c’est bien sûr que j’ai sa chatte qui surplombe ma bouche à la place d’une verge.
Ça me permet d’attr son clitoris et au moment très rapide de son plaisir de pouvoir me désaltérer de sa cyprine que j’apprécie de plus en plus.
De son côté sa langue entre aussi dans mon vagin et titille mon clito qui doit bander, le sien toujours aussi gros vient entre mes dents et pour la première fois je le mords.
Je le mords, je le mordille plutôt.
Elle me mord, je jouis, elle jouit.
Elle me remplit la bouche mais hélas vue la position et surtout la nature à oublier de me faire fontaine je suis dans l’impossibilité de lui offrir le même plaisir
Si la chambre est en bordel, le lit après la demi-heure que nous passons à nous gouiner dessus l’est plus encore.

- Chérie j’ai faim allons manger.
- Mais tu sors du restaurant avec le sénateur.
- Allons manger sinon c’est ta cuisse que je mords.

Nous nous rhabillons et nous sortons.

- Cristopher, je croyais que vous étiez entièrement à mon service, veillez à vous réveiller.
- Pardon madame, je m’étais assoupi.


- Vous voulez que j’en parle à mon futur mari comme il a dû vous demander de lui faire un rapport sur toutes mes activités et chaque fois que vous me baiserez.
Dites-moi, en prime vous a-t-il chargé de le renseigner pour savoir si je prends un amant.
- Ho ! Madame, sûrement pas.
- Votre nez bouge Cristopher, combien vous paye-t-il pour lui faire ces rapports.

Il me donne le chiffre me prouvant que Miguel sait exploiter l’homme par l’homme, confirmant ainsi mes soupçons.

- Je double cette somme chaque mois.
Tu lui diras que madame est une perle, que je lui suis fidèle même avec toi et surtout tu oublies de lui parler de mon amie Abby.
Chaque fois que tu nous verras ensemble, même si de temps en temps tu vois que nous sommes très proches.
- Madame, j’accepte votre offre et dans mon prochain rapport, j’oublierais la soirée que vous êtes venue passer dans votre maison.
- Connais-tu le restaurant sur l’autoroute, ouvert toute la nuit ?
- Bien sûr madame, je connais même le passage par l’arrière évitant de faire des kilomètres inutiles.
Quand j’étais jeune nous finissions la nuit là-bas avec nos copines.
Il y avait une serveuse bien plus vieille que nous mais qui savait s’occuper de ses clients.
- Alors allons-y, j’ai une faim de loup, je vais dévorer un petit goret.
Cristopher, viens manger un morceau avec nous.
- Non madame en vous attendant tout à l’heure j’ai mangé les sandwiches que Fred m’a préparés comme chaque fois que je pars en mission.
- Il prend soin de vous, j’espère que ses mains restent dans ses poches.
- Madame, c’est mon grand-père, il sert le sénateur depuis la fin de la guerre et quand le patron lui a demandé s’il connaissait quelqu’un pour lui rendre les mêmes services pour sa future épouse moi qui étais nul à l’école il m’a fait embaucher.
- L’esprit de famille s’est important je suis très heureuse de te savoir auprès de moi, nous faire conduire par un beau et jeune garçon est très plaisant.

Attends-nous là, nous en avons pour un petit moment, je veux bien que tu dormes.

Nous entrons et je commande un steak avec beaucoup de frites, il faut dire que les escargots j’ai fait celle qui les mangeait à part le premier, les coquilles sont toutes retournées avec leurs bestioles à l’intérieur.

- Bonsoir mesdames, encore toi Claudia, on est fait pour nous rencontrer aujourd’hui.
- Non il est une heure, nous nous sommes vues hier.
- Tu as raison, j’espère que tout à l’heure tout s’est bien passé avec le sénateur, après coup je me suis demandé si mon ego a pris le pas sur ta sécurité, où en es-tu des livres de comptes.
- J’ai récupéré les chiffres du coffre et dès que j’aurais mon alliance au doigt, je l’ouvre et je le vide.
- J’aurai donc les livres de comptes de son organisation le lendemain de la cérémonie.
- Et tu passeras commissaire.
- J’en rêve déjà.
On finit la nuit ensemble, ta copine peut venir, faire cela à trois peut être intéressant.
- Abby tu veux que ce mec te saute, c’est vrai qu’il sait se servir de sa queue.
- Non, je rentre, Gai-luron m’attend et préférerait que nous soyons toutes les deux.
- Tu as raison, dans deux jours je me marie avec un homme que j’aime et je dois lui être fidèle, rentrons.
- Qui est Gai-luron Claudia un nouveau Mac celui qui va remplacer Bob.
Je sais que le sénateur donne des noms d’emprunt à ses souteneurs, dit moi que je le mette dans mon rapport mes supérieurs verront que je me suis bien investi dans mon dossier.
- Tex, comme je viens de le faire comprendre à Abby tu as été un bon coup mais j’ai pour principe de changer d’amant chaque fois pour éviter la routine, alors basta, heureuse de t’avoir connu.
Je t’appelle dès que j’ai pu récupérer tes bouquins, inutile de m’appeler ou de venir me parler, je ne veux prendre aucun risque avec le sénateur.

Nous nous levons et retrouvons la voiture.


- Tu es directe mon cœur, s’il croit encore te baiser c’est qu’il est con, c’est normal c’est un homme.
Il est vrai que Gai-luron nous attend, à quel parfum veux-tu que nous le dégustions.
- Goût, jus d’homme.
- Attends, je rappelle ton inspecteur.
- Oui mais c’est toi qui le trais.
- Sûrement pas, je vais te faire un goût dont tu devras retrouver les ingrédients sinon tu auras un gage de mon choix.
- Pour que ce soit drôle si c’est moi qui trouve ce sera toi qui auras le gage.
- Sans problème, le seul renseignement que je te donnerais c’est le nombre d’ingrédients qui le compose.
- Banco, je vais réfléchir au gage que je te donnerais.
- Moi aussi.

C’est ainsi que nous retrouvons Cristopher briquant ma limousine malgré le petit lampadaire qui est près de nous.

- J’ai bien vu, malgré la pénombre, c’est l’inspecteur qui est venu menacer le sénateur que je viens de voir sortir juste avant vous ?
- Tu as bien vu, tu viens de gagner une prime de 500 $ que je te donnerais en même temps que ton surplus de salaire pour te taire auprès du sénateur.
Nous étions ici sans savoir qu’il y serait et mon futur mari pourrait trouver louche que l’on se voie.
Inutile qu’il fasse une mauvaise interprétation alors qu’il nous a certainement suivis sans que nous le sachions.
- Tu veux que je te les donne Claudia, je suis passée à la banque et j’ai la somme en liquide.
- Non, je vous fais confiance, je suis resté éveillé à vous attendre et vous êtes restées seules toutes la soirée.

Il nous reconduit.

- Demain viens nous prendre ici à 13 heures j’ai un rendez-vous je vais récupérer mes biens.
Abby tu viendras avec moi, j’ai besoin de quelqu’un pouvant conduire, j’espère que tu as ton permis.
- Oui mais sans avoir de voiture, mes moyens sont trop modestes.
- Étaient trop modestes, à partir de maintenant nous partagerons tout.


Une fois de retour, je vais dans la chambre et j’attends qu’Abby revienne avec Gai-luron qu’elle est en train de préparer.

- Notre ami est près, je le mets autour de ma taille, il va te faire hurler avant qu’il t’arrose et que tu le suces pour me dire si tu aimes et que tu me donnes les ingrédients.

Gai-luron est égale à lui-même et me fait jouir une nouvelle fois, jusqu’à ce qu’il m’envoie une bonne giclée bien chaude de son jus.

- Met le dans ta bouche qu’il t’envoie une giclée de ce que nous préférions avec Cassidy.

J’embouche le sex-toy et Abby appuie sur la poire, malgré sa grosseur au plus profond de ma gorge.
Je le fais sortir en regardant celle qui est derrière les lanières qui le maintiennent autour d’elle, jusqu’au moment où elle appuie sur les poires.
J’ingurgite et ayant recraché le godemichet je me passe la langue sur les lèvres.

- Quatre ingrédients, lesquelles…

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