La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1288)
Camélia au Château - (suite de l'épisode précédent N°1287) -
Puis en quelques secondes, je passais les grilles du Château pour rentrer chez moi
Cest ainsi que sur le trajet du retour je roulais prudemment et doucement sur la route départementale. Mon esprit perdu dans mes pensées ne pouvant mempêcher de repenser à ce merveilleux moment passé en la présence du Maître dans son illustre et ancêtre Demeure et à toutes les émotions positives, incroyables et le délicieux bien-être intérieur qui sétait emparée de moi alors que jétais en Sa présence. Bien-être intérieur que je navais jamais ressenti auparavant de manière aussi intense et excitante. En Sa présence, j'étais ainsi donc à ma place et Lui à la Sienne. Oui Sa place qui exprime pleinement toute Sa forte Dominance avec une parfaite Maîtrise dun Art frôlant la perfection. Je me rappelais donc comment nous nous étions abordés sur Internet et comment de fil en aiguille, nous avions commencé à converser, à échanger puis à nous rapprocher et découvrir de nombreux points communs. Et je dois bien lavouer une certaine complicité sest naturellement créée entre deux être qui se comprennent, ce qui nétait pas pour me déplaire, je le reconnais très aisément. Sa grande capacité oratoire, Son charme naturel empli de prégnance et Son charisme fort m'impressionnaient aussi bien quils me me charmaient totalement. Et tout cela était très loin de me laisser indifférente. Lui, qui avait su si bien me révéler à ma véritable Nature et qui avait su me montrer et réveiller la chienne soumise qui sommeillait en moi. Mais aussi cette chienne qui nétait jusqu'alors quendormie et qui ne demandait quà se réveiller pour sexprimer pleinement et ainsi trouver la plénitude dêtre dans cet état de soumission
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A mesure que la route et les kilomètres défilaient avec des paysages merveilleux bordés de vignes et de forêts, je remarquais que plus je pensais à Sa noble personne et au moment passé en Sa compagnie, plus mon bas-ventre mouillait, alors que jétais censée restée concentrée sur la conduite au volant, signe alors que je ne pouvais donc pas me cacher une assez forte excitation.
Je me réveillais le matin le sourire aux lèvres, de très bonne humeur en sifflotant heureuse de ma condition et de ma dévotion envers Le Maître. Rien n'aurait pu venir troubler ce bon moment et mon humeur joviale. Après avoir pris un bon petit déjeuner copieux, je commençais donc à me préparer pour la journée qui allait venir. Je regardais donc mes mails et ne vit aucun mail ou aucun message de Monsieur le Marquis concernant Ses directives. Je ne m'inquiétais donc pas sachant bien que si javais pu déplaire au Maître qu'Il est, il me laurait fait savoir dune manière ou dune autre car il nest pas dans Sa nature de laisser passer quelque chose quand cela Lui déplait et encore moins à une de Ses chiennes. Il est dun naturel Dominant et donc intransigeant, rigoureux et encore plus je dirais, dans léducation des chiennes qui ont la chance dêtre sous, Son joug dans Son cheptel. Ce nest pas parce que je n'avais pas de nouvelles de Sa noble personne que cela mempêcherait de suivre Ses précieuses directives et exigences qu'Il exigea de moi.
En effet, chaque jour, je me pliais à Ses exigences dans la plus grande des discrétions envers mes proches. Directives que je tenais à suivre à la lettre dans le seul but de Lui plaire et de tout faire pour Le satisfaire, Lui le Maître de renom qu'il est. Le moindre mail ou message Skype de Sa part me faisait autant frémir que mexciter en voyant son nom safficher. Cela me provoquait à chaque fois un heureux étonnement avec une bouche béante accompagnée toujours par la suite dun sourire toujours très rayonnant. Et mon cur saccélérant toujours le temps dun instant sous l'effet de la surprise et du bonheur en me surprenant toujours de ressentir tant démotions à Ses messages. C'est ainsi que la journée se passait normalement sans vraiment dévénements marquant que j'avais pu noter ce jour-là. Ainsi le temps passant sans que jai de nouvelles de Monsieur le Marquis, jattendis donc patiemment car l'attente faisait partie de ma vie et de ma condition de soumise, sachant très bien que Lui souligner que je n'avais pas de nouvelles ne changerait rien. En effet, Lui seul en tant que Maître avait le pouvoir de briser ce silence et de décider me solliciter quand il jugerait que le temps et le moment soit venu. Et je me contentais ainsi de rester à ma place de chienne soumise qui est la mienne sachant très bien quelle est ma place et quelle est la Sienne
Deux semaines après notre rencontre en son illustre et grand Château, je reçus enfin un message Skype de sa part et qu'elle ne fut pas ma joie, ma surprise, mon bonheur et mon excitation en le découvrant sur mon portable. Ce message de Monsieur le Marquis me disait :
« Soumise, je veux te voir mardi prochain à 14h chez toi. Débrouille-toi pour Me recevoir et Me satisfaire comme un Maître digne de Mon rang. Ceci dit, à partir d'aujourd'hui et jusqu'à notre rencontre, je ne veux plus que tu portes de soutien-gorge, ni de culotte.
Je ne peux pas cacher que jétais vraiment ravie et très enjouée par la lecture de ce message et par la perspective de notre nouvelle rencontre en mon domicile. Mon excitation était bien évidemment présente et je sentis déjà mon entrejambes s'humidifier et une pointe de cyprine coulait encore le long de mes cuisses. Javoue que sur le coup, jai eu un moment darrêt tellement surprise et joyeuse de cette nouvelle que je n'attendais pas ou plus. Je réfléchis un bon instant à Son message et à la meilleure réponse que je pourrais lui formuler et qui pourrait Le satisfaire pleinement. Je pris donc la décision de Lui répondre un peu plus tard prenant ainsi le temps à élaborer la réponse la plus appropriée. Cest après une bonne demi-journée que je me décidais enfin à Lui écrire. Jattrapais donc mon téléphone et me mit donc à ouvrir l'application Skype :
« Bonjour, Seigneur et Maître Vénéré.
Je relus mon message avant de Lui lenvoyer, puis ne voyant rien à changer ni à modifier, je me décidais enfin à envoyer ce message au Maître Vénéré. Ensuite, jallais vaquer à mes occupations tout en ayant toujours une pensée dans ma tête pour Monsieur le Marquis. C'est ainsi que la semaine se passa sans grand événement et me préparant ainsi à cette prochaine séance D/s qui ne devrait plus tarder à arriver, le mardi arrivant à grand pas. Plus le jour se rapprochait, plus jétais excitée et à la fois anxieuse pour que tout se passe bien
Le fameux jour arriva, je me levais le matin, remontée comme une pendule, ne tenant plus en place et essayant d'occuper mon temps du mieux que je le pouvais pour ne pas angoisser, faisant le ménage à fond pour Laccueillir dans un (mon) appartement propre, sans poussière et bien rangé. Le moment tant attendu arriva enfin et je vis sur ma montre qu'il était 13h55. Jen profitais pour vérifier les derniers détails et que tout était en ordre et en règle pour l'accueillir comme il se doit. Après quelques minutes de patience (et dimpatience surtout, excitée comme une puce) et d'attente, j'entendis sonner à l'interphone. Je me dirigeais prestement vers la porte d'entrée pour aller Lui ouvrir en ayant bien sûr vérifié que cétait Lui au préalable et ensuite en appuyant sur le bouton laissant la porte entrouverte par un petit bâillement. Je me dénudais très rapidement comme Il l'avait exigé et je me mis dans la position qu'Il m'avait ordonné et attendis ainsi sans bouger. Mon attente ne fut pas longue, c'est seulement après quelques secondes que je l'entendis ouvrir la porte et aperçus Ses chaussures cirées. Je vis quil resta immobile et silencieux. Ce moment dura quelques instants, jusquà que Monsieur le Marquis décida de briser ce silence en me disant :
(A suivre
)
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