Collection Zone Rouge. Poupette. Saison Iii (26/30)

Mes aventures se précisent, je viens d’aller au restaurant avec Abby, Cristopher nous attendant dans ma limousine.
Je rencontre Tex qu’une nouvelle fois j’arrive à le manœuvrer.
Une fois de retour chez mon Abby, elle prépare Gai-luron notre gode-ceinture.
Gai-luron possède des simulacres de couilles qu’elle remplit avec quatre ingrédients.
Quand il me décharge dans la chatte, la chaleur amplifie ma jouissance.
Mieux qu’un homme et comme ancienne pute je sais de quoi je parle.
Abby s’est servi de quatre ingrédients trouvés dans sa cuisine.

- Je suis sûr des trois premiers mais le quatrième me pose problème.
- Dis-moi déjà les trois premiers, s’il y en a un de faux inutile de chercher le quatrième je te le donnerais.
- Pour que ce soit liquide du lait.
- Facile toutes nos mixtures ont du lait, un.
- Pour l’onctuosité de la crème fleurette, là encore c’est facile, c’est votre base avant d’y ajouter vos goûts.
Pour le troisième facile, de la cannelle.
- Très fort, trois sur quatre, je suis sûr de gagner pour le quatrième.
- J’hésite, mais j’ai une forte intuition ce qu’est ce quatrième.
Dis-moi que je me trompe, il est impossible de le supporter.
- J’ai peur d’avoir perdu, tu es perspicace c’est.
- Du poivre.
- Un trait de poivre pour renforcer le goût.
- Et me réchauffer le fond de ma chatte, cela commence à me brûler.
- Tu as gagné donne-moi mon gage, pour la brûlure dans ton vagin, tu vas jouir au début et tu verras ton plaisir en sera décuplé.
- Pour le gage tu l’auras en temps et en heure, je saurai te le donner.

Je place Gai-luron autour de ma taille et avec les sublimes petite brûlure fournie par le poivre je lui donne des coups de queue qui la font monter au plafond.
Je lui envoie deux giclées vidant les réservoirs et pendant le restant de la nuit nous nous faisons jouir pour diminuer l’effet du poivre.

Vers 10 heures, mon téléphone me rappelle que j’ai rendez-vous à l’étage.
Je remonte me rappelant le rendez-vous que le sénateur avait donné à Paulo à 11 heures pour lui donner une promotion.
Quand j’arrive le sénateur dort encore ce qui m’évite de lui donner des explications sur ma nuit agitée avec Abby et Gai-luron.
Je me douche me servant de la poire pour évacuer les quelques traits de poivre qui pourrait me chauffer toute la journée.
Je m’habile quand je viens à son côté lui souffler sur son nez pour le réveiller.

- Chéri, il est l’heure de te lever, tu dois recevoir Paulo pour lui donner si tu le veux toujours la place de Bob auprès des filles à Vegas.
- Laisse-moi dormir, tu es assez grande pour traiter cette affaire seule.
C’est toi qui as commencé ?
Je me connais si tu me brusques tu vas récolter l’effet inverse et je vais le renvoyer à ses études de l’anatomie féminines.
Je te rejoindrai quand j’aurai émergé.

Je m’habille, j’ai dans mes affaires une paire de bottes que je mets avec un de mes shorts préférés.
À l’heure prévue Paulo arrive, son premier geste est de venir vers moi pour m’embrasser.
Tient, la mémoire me revient, en évoquant les baisers reçus par des hommes depuis que Bill le puceau de ma jeunesse m’a ouverte à la sexualité j’ai oublié Paulo pourtant ces lèvres sur les miens se sont déjà produites.
Cela prouve bien que ce garçon a été mon centre d’intérêt que par sa bite dont j’ai eu envie prouvant ainsi ma nouvelle indépendance depuis que j’ai eu le courage de balancer mon Mac par-dessus le balcon.

- Paulo, savez-vous à qui vous avez affaire aujourd’hui dans votre quête d’un avenir plus lucratif.
- Au patron pour lequel je travaille.
Pourquoi me dis-tu, vous ?
- Car la patronne pour laquelle vous travaillez et qui va vous offrir votre nouveau poste, c’est moi, à partir de maintenant il vous faudra tenir vos distances.
Si je le désire, vous me lècherez les bottes.
- Tu rigoles ma belle, le jour où je lécherais les bottes à une gonzesse, tu me préviendras, tu me prends pour une tantouze Poupette.
- Aucun problème Paulo, vous voyez la porte par laquelle vous êtes entré, ouvrez là.

Paulo s’exécute se retourne et me regarde.

- Deux solutions Paulo, vous rentrez et vous me lécher les bottes avec votre langue pour qu’elles reluisent où vous la refermez on est quitte et vous êtes viré.
Je sais que le sénateur vous doit du pognon, vous vous le carré dans le cul.
Vous pourrez aller vous plaindre à la police, je vous donnerais le numéro d’un inspecteur, vous lui expliquerez comment vous l’avez gagné.
Je pense qu’il aura une belle cellule à vous fournir avec en prime, de magnifiques braquemards pour vous casser le cul.

Paulo hésite et revient vers moi.

- D’accord Poupette, tu es la patronne j’ai compris, je t’écoute mais sans te lécher les bottes.
- Paulo ressortez.

Le garçon me regarde et retourne vers la porte.

- Une dernière fois Paulo si vous sortez, vous êtes viré, sinon léchez-moi les bottes.

Une nouvelle fois Paulo hésite et la tête basse entre.

- À genoux.
Bien Paulo je vois que vous avez compris, oui, là sur le côté il y a encore une petite trace.
Regardez dessous, j’ai glissé sur une merde de chien en venant tout à l’heure, mais j’aime que mes semelles soient propres.

Je lui empoigne la tête par l’arrière de ces cheveux et je tire pour qu’il me regarde dans les yeux.

- Voilà, je vois que vous avez compris, vous venez de gagner le droit de vous occuper de Marina, vous savez la grande black que vous avez supervisée et pour laquelle vous avez craqué.
À vous de lui trouver le maximum de clients pour qu’elle nous rapporte le maximum de fric.
Vous entrez en contact avec Martha la patronne de l’hôtel de Vegas que vous connaissez pour qu’elle vous donne toutes les marches à suivrent.
Elle vous expliquera le bisness pour qu’il se déroule sans la moindre anicroche.
Sinon vous vous apercevrez très vite qui commande et là mes bottes à lécher auront été une partie de plaisir.

C’est à ce moment que le sénateur se montre.

- Très bien ma chérie, malgré mon mal de tête persistant, j’étais là derrière la porte depuis le début de ton entrevu avec Paulo,
Bonjour Paulo.
- Bonjour monsieur le sénateur.
- Tu sais te faire respecter avec les hommes et je suis fière que tu deviennes mon bras droit.
J’ai compris que tu avais couché avec Pedro mais tu as su lui faire voir que cette période était terminée et qu’il devait t’obéir au doigt et à l’œil.
- Merci mon chéri regarde, mes bottes sont propres.

Il se fend d’un sourire, je viens une nouvelle fois de marquer un point.

- Paulo, d’accord avec madame Claudia, que tu drives la black Marina le travail ayant été fait aux trois quarts par toi mon cœur.
Chacun de mes Mac contrôle trois filles.
Paulo, comme te l’a dit Claudia tu vas avoir Marina et aussi Brenda, fait attention cette jolie pouliche est encore rebelle et ce sera ton examen de passage définitif.
Soit elle marche droit et je te confirais ta troisième fille, soit elle m’emmerde encore et comme l’a bien senti ma compagne je confirais à Fil de fer de régler son problème et le nouveau problème que tu nous auras créé.
Paulo es-tu d’accord avec ce contrat, si tous se passent bien avec Brenda nous te donnerons ton nouveau salaire.
Tu verras que nous saurons te récompenser comme nous savons récompenser nos hommes quand ils nous servent bien, voire très bien.
Tu verras ta nouvelle raison sociale te satisfera.

Je suis satisfaite des nous, employé par pépère, car il reste mon pépère quand il me met en valeur devant ceux que j’aspire à commander.

- Dernière chose, je suis fatigué et comme elle te l’a fait comprendre ma future femme sera celle avec qui tu auras à faire à partir de maintenant.
C’est elle qui te donnera ton nom de Mac, réfléchi y ma douce mais tu as le temps il faut que Paulo fasse ses preuves avant.
Je veux être en forme demain pour la cérémonie où tu es invité à 15 heures à la mairie comme tous tes autres collègues, je retourne me coucher

Super cela roule, en refusant de se lever Miguel voulait me tester et coup de chance j’ai répondu à son attente.
De plus j’ai appris une nouvelle chose qui va m’être utiles, Fil de fer semble être l’homme à tous faire du sénateur.
L’homme des basses besognes et si c’était lui qui m’enlevait l’épine du pied que constia mon mariage avec le sénateur ?
Mon plan s’élabore et je pourrais vivre heureuse avec Abby ainsi que le pognon qui est dans le coffre et tous les biens matériels que je vais pouvoir revendre dont je viens d’hériter.
Je jubile en pensant au bon tour que je vais jouer à mon mari quand il verra que comme je lui ai dit, dans son coffre seul l’acte de session de la maison est dans la mallette et encore c’est une copie.
S’il savait que je fais plus confiance à mon amour pour Abby chez qui nous avons bien caché le Marocain où se trouve la liste de tous les biens matériels que je possède.
Bien joué Claudia…

- Salut Paulo, à demain, vous voyez qu’il est facile d’accepter de servir une dame et d’en gagner trois en échange.
Marina est tout à vous, vous appelez Martha et demain vous la baiser autant que vous voulez ainsi que Brenda, vous avez entendu, faite gaffe à elle.

Brenda, ce nom m’est familier, par un fait du hasard, cette fille doit être celle que la maman de Marina a parlé à sa fille au téléphone quand je l’ai obligée à l’appeler pour la rassurer.
C’est d’elle qu’elle a évoqué de la prostitution où elle serait tombée et qu’elle fasse attention.
La porte se referme et j’ai un moment où je pense au nom que je vais donner à Paulo.

« Paulo la belle gueule, »

C’est trop près de Johnny belle gueule.

« Paulo lèche-bottes. »

Trop insultant bien que ce nom lui correspond bien depuis que je l’ai humilié.
Je suis contente de ce début de journée surtout que j’ai donné rendez-vous a Abby pour qu’elle m’accompagne chez le policier ripou.
Je dois récupérer les clefs de ma voiture Mustang achetée avec mon argent volé.
Elle a son permis moi non…