Soumis À Ma Femme Infidèle - Partie 5
Chapitre 7 : dans la chambre
Je ne savais pas ce qui était le pire. Savoir qu'en ce moment-même, un connard baisait ma femme sans retenue, dans notre lit conjugal. Ou bien le fait d'avoir invité ce même connard chez moi, d'avoir fait, comme on dit, rentrer le loup dans la bergerie. Ou bien le fait d'aimer ça, ce pur plaisir masochiste et humiliant, de bander à l'idée que ma femme écartait les cuisses pour un autre homme, un homme dont j'avais goûté et savouré la semence...
Bref, en tout cas, je n'avais pas attendu longtemps avant que les cris de Jessica ne résonnent dans toute la maison. Après le repas et la pipe au dessert, les deux amants s'étaient précipités dans notre chambre, me laissant à genoux dans la salle à manger, la main autour de ma queue tendue par l'excitation d'être trompé. Manuel y allait à fond, et devait pousser sa bite au plus profond du ventre de ma femme.
-Oh oui, vas-y, baise-moi ! Baise-moi ! Baise-moi comme il m'a jamais baisé !
Jess y allait très fort. En plus de me faire subir l'humiliation d'être cocufié en direct et en ma présence, elle ne manquait pas une occasion de me rabaisser dans ma fierté et dans mon estime de mari aimant. Et j'aimais ça...
N'en pouvant plus, je me levai et m'approchai doucement de la chambre. Ils avaient laissé la porte ouverte, sûrement à mon attention, sachant que je ne pourrais pas ne pas les entendre, mais surtout pour me permettre de les espionner, ou de les rejoindre, si le vice me prenait.
Les cris avaient cessé quand j'atteignis la chambre. Je pris mon courage à une main (l'autre étant en train de branler ardemment ma bite) et me décidai à regarder ce qui se passait dans la chambre conjugale par la porte entrouverte.
Jessica et Manuel faisaient un soixante neuf. Sauf que c'était Jess qui était en dessous. Manu l'écrasait de tout son poids, se régalant de sa chatte. Jess était immobilisée par la masse de Manu, et ses joues étaient gonflées : normal, le gros chibre de Manuel lui remplissait toute la bouche et devait aller jusqu'au fond de son gosier.
Ils baisèrent un petit moment comme ça, avant que Manuel ne se redresse, se retourne et la pénètre d'un coup, sauvagement. Mon souffle saccéléra. Les pulsations de mon cur augmentèrent en même temps que mon excitation grandissait : « ça y est, me dis-je. Je vois enfin l'amant de ma femme pénétrer sa chatte avec sa queue. »
Et le spectacle me coupait le souffle. Je voyais une autre queue, grosse, épaisse, fourrer sans vergogne la petite chatte humide de mon épouse. Une bite qui aurait dû être la mienne... Mais non. Un autre homme baisait ma femme. Même si je le savais déjà, la preuve physique, ce flagrant délit, les voir tous deux consommer cet acte, était plus puissant que les premiers doutes ou les premières révélations.
Ils baisaient si sauvagement, comme des animaux. Manuel, avec son imposante carrure, sautait ma femme en missionnaire. Son torse musclé, son dos et ses larges épaules luisaient de sueur. Jess, elle, s'était complètement abandonnée à lui. Entièrement nue, baisée et écrasée par le poids et la grosse bite de son amant, elle avait les yeux fermées et la bouche grande ouverte, laissant parfois échapper des hurlements de plaisir immense.
C'était totalement surnaturel. Je n'avais jamais vu Jessica prendre autant de plaisir quand je la sautais. Elle ouvrit finalement les yeux et me surpris dans cette position. Malgré les violents coups de butoir de Manuel, elle arriva à articuler, tout en haletant :
-Chéri, regarde-moi... Je te trompe...
Manuel releva la tête et me vit également. Un grand sourire se dessina sur ses lèvres tandis qu'il saisissait les cuisses de Jess pour les écarter davantage et plonger sa queue au plus profond des entrailles de mon épouse. Il était moins essoufflé que Jess. Sans doute était-il mieux entraîné... Sans doute baisait-il mieux que moi... Putain...
-Putain mec, ta femme, qu'est-ce qu'elle est bonne ! J'adore la fourrer, et je crois bien qu'elle aime ça aussi.
-Oui... Oui ! Vas-y !
-Tu aimes ma grosse queue, hein ? Dis-lui ! Dis-lui que tu préfères ma bite à celle de ton mari !
-Oh...Oui ! Désolée, mon chéri...Mais je préfère sa bite ! Elle... Elle est beaucoup plus grosse !
M'humilier dut exciter sans doute Manu davantage, car il mit plus d'ardeur à faire crier Jess... Et à s'approprier davantage l'exclusivité de son corps. Sachant que je les épiais tel un vieux pervers, Manuel saisit brusquement ma femme par le cou pour lui relever la tête. Leurs visages se rapprochèrent. Manuel l'embrassa passionnément, et lorsqu'il enleva sa bouche, je vis que Jess sortait toujours sa langue et l'agitait pour jouer à nouveau avec celle de son amant. Manuel n'hésita pas à lui rouler une nouvelle et belle pelle. Leurs bouches se séparèrent ensuite, mais Manuel maintenait sa prise autour du cou de Jess. Il l'étranglait presque. Leurs têtes étaient presque collées, ils baisent front contre front, se fixant intensément du regard. Ma femme avait l'air complètement subjugué par ce mâle qui la pénétrait. Les yeux de Jessica brillaient littéralement, tandis que le regard de Manuel se faisait plus profond, plus charnel. La baise devenait passionnelle.
Manuel chuchotait des choses que je n'arrivais pas à entendre, et qui devaient exciter sacrément Jess car elle ne cessait de hocher la tête tout en poussant des petits gémissements de plaisir. Ils continuaient à se dévisager tout en baisant. Manuel dut sans doute murmurer un ordre à ma femme, car elle cria un petit « Oui » de plaisir un peu plus fort que les autres, et ouvrit grand la bouche et sortit sa langue... Pour faire quoi ? Pour que Manuel crache dans sa bouche...
J'étais dégoûté et excité comme un fauve. Jess reçut le crachat de son amant avec grand plaisir. Manuel referma les lèvres de ma belle avec ses doigts, et je vis Jess déglutir. Elle avait avalé la salive de Manuel sans hésiter. Quelle garce. Et quel salopard. Je n'avais jamais osé faire ça à ma petite femme.
Ils continuèrent à baiser un moment. Je sentais aux halètements de ma femme et à ceux de Manuel que l'orgasme se rapprochait inexorablement...
Juste avant de jouir dans le ventre de ma femme, Manu me fit un clin dil complice, et se vida dans le sexe de Jess au moment où celle-ci hurla son plaisir. Putain... Cet enfoiré giclait bien dans le vagin de Jessica, se permettait de me rabaisser, et ma femme aimait ça.
Jessica reçut la jouissance de Manuel en criant elle aussi son plaisir. Son corps tremblait, tandis que que le bassin de Manuel était secoué de spasmes. Il devait lâcher de violents jets de sperme dans le vagin de ma femme. Je n'osais imaginer l'état du sexe de Jess à la fin de la soirée... Car je sentais bien que cette première baise n'allait pas être la dernière.
Tout honteux d'avoir assisté à ce spectacle surréaliste, je filai dans le salon pour m'étaler sur le canapé. Je baissai vite mon pantalon et sortit mon manche tout tendu pour me branler violemment. Cela ne dura pas longtemps : j'éjaculai au bout de quelques secondes sur toute ma chemise... Je restai là, hébété, du sperme partout... J'essayai de me remettre du choc... Ma femme prenait visiblement plus de plaisir avec ce type qu'avec moi. C'était évident, Manuel la comblait, et dans tous les sens du terme.
Je n'eus pas à attendre longtemps avant de les entendre à nouveau baiser... Je restai cette fois là dans le salon, ainsi que la fois suivante aussi, à entendre les orgasmes de ma femme et les râles de plaisir de Manuel.
Il était minuit passé lorsque j'entendis Manuel sortit de la chambre. Cet enfoiré avait passé presque trois heures à sauter Jessica. Quand à moi, j'avais passé toute la soirée à me branler et à me gicler partout. Je n'avais plus de sperme dans les couilles... Je remis mon futal en toute hâte et me levai. Manuel s'était rhabillé, mais luisait de sueur. Il poussa un grand soupir de satisfaction.
-Pffff.
Je ne savais quoi répondre. Ce salopard me narguait sans vergogne et prenait son pied à m'humilier en faisant passer ma femme pour la plus grosse des salopes...
-Bref, je dois filer. Merci pour le repas, et pour ta femme. Je t'ai laissé un dessert : j'ai cru comprendre que tu aimais la crème fouettée, je t'ai donc laissé une bonne crème pâtissière faite maison en cadeau... Bonne dégustation ! Allez, j'y vais ! A très vite...
Il m'asséna une petite tape sur l'épaule et s'éclipsa. Sitôt que la porte d'entrée se referma je filai dans la chambre. Jess m'attendait. Elle était allongée sur le dos, nue et luisante de sueur, les jambes écartées. Je compris instantanément. Je me précipitai, tel un en manque, vers sa chatte béante et trempée de mouille et du foutre frais de Manu. J'y plongeai la tête et la langue, pris d'une folie jusque là inconnue. Je léchai et lapai comme un chien le sexe souillé de ma femme, récupérant avec la langue la semence de son amant, avalant par petites gorgées ce nouveau nectar. Le salaud avait lâché beaucoup de sauce... Normal, après tout, il avait joui trois fois dans la chatte de Jessica.
Jess gémissait de plaisir et me caressait la tête.
-Chéri, je vais finir par croire que tu aimes son foutre plus que moi...
J'y allai alors de plus belle, respirant à fond les senteurs de sexe, me régalant de tous ces fluides : mouille de Jessica et sperme de Manuel. Ce n'était pas en soi bon, surtout le sperme de Manu, qui était très épais et avait un parfum vraiment fort et âcre, mais l'acte et lhumiliation de boire la semence d'un autre homme dans la chatte de ma femme me procuraient une excitation comme je n'avais jamais ressenti auparavant.
Malgré sa fatigue, Jess m'intima cependant l'ordre de la sauter.
-Je baise avec lui, pour mieux faire l'amour avec toi...me chuchota-t-elle.
Je relevai ma tête, la bouche toute trempée, et je devins comme fou. Je plongeai à nouveau ma queue dans le petit sexe de ma femme avec un plaisir nouveau. Celui de retrouver son corps, de pouvoir y réinsérer mon sexe, de découvrir une nouvelle partie de ma femme qui était jusque là cachée. Une femme dominatrice, plus cochonne aussi, évidemment, et bien vicieuse. Je comprenais alors ce que Manuel voulait dire... Les femmes mariées avec qui il avait pu coucher dans le passé avaient donné un nouvel envol à leur couple. Les maris aussi l'avaient remercié, à leur façon... Le caractère bien pervers de ma femme et mon côté mari soumis s'étaient finalement réveillés, exposés au grand jour, grâce à cet amant...
Malgré toutes les humiliations, les jeux pervers, et les visions démentes que j'avais pu avoir cette nuit, je n'avais jamais été aussi amoureux de ma femme. Elle dût sentir mon trouble, mon excitation et mon amour... Mon orgasme explosa en même temps qu'elle. Je laissai tomber ma tête sur sa belle poitrine, complètement vidé.
-Je t'aime, Sam...me murmura-t-elle tendrement.
-Moi aussi, mon cur...
Manuel avait eu raison. Notre mariage allait prendre une nouvelle direction. Jess et moi découvrions des aspects cachés de nos personnalités, qui nous ravissaient et nous excitaient...et ne faisaient que renforcer notre amour. D'autres leçons sexuelles et petits jeux pervers nous attendaient. Et, pour ne rien vous cacher, j'avais hâte de les découvrir...
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