Mon Petit Boudin
Mon petit boudin
Cette histoire remonte au temps ou la pilule nétait pas encore « en vente dans les monoprix » et il nétait pas simple à lépoque de tirer sa crampe. Les mères conditionnaient les filles et celles-ci étaient rarement libres de leurs mouvements. Pour un garçon, passer la main dans la culotte dune fille était une victoire dont il se gargarisait auprès des copains. Tous, nous rêvions de suédoises, là-bas, disait-on, les filles emmenaient leur amoureux dans leur chambre sous le regard bienveillant des parents.
Jai perdu mon pucelage à Ostende en Belgique. Cela cest passé lors dun voyage organisé par le CE de lentreprise qui memployait. Ce jour-là, un dimanche, il faisait très chaud et gris, le temps était à lorage. Lemploi du temps dans ce genre dexcursion était toujours le même, shopping le matin, sandwich accompagné dune bière à la terrasse dun café le midi et plage pour tout le monde laprès-midi.
Cette histoire devint moins banale lorsque nous arrivâmes sur la petite plage. En forme de baie, celle-ci était noire de monde, coupée en son milieu par un vieil embarcadère en bois, vestige de lancien port dOstende. La mer dune couleur verte très claire, contrastait avec un horizon noir et menaçant.
Avec 4 ou 5 copains nous formions un petit groupe au milieu de la foule. Je ne sais plus à quel moment, ils se mirent à me taquiner sous prétexte que le petit boudin à quelques serviettes derrière nous narrêtait pas de me regarder. Je jetais un il dans la direction indiquée et, effectivement, une fille, qui à part la poitrine, navait pas grand chose à voir avec Marilyne Monroe, regardait dans notre direction, je crois même quà cet instant nos regards se sont croisés. Elle regardait vers nous mais rien nindiquait que cétait moi quelle avait repéré.
Agacé, pas très à laise, je proposais aux copains une partie de ballon dans leau. Proposition acceptée tout de suite.
Il y avait beaucoup de monde et, pour avoir un peu de place, nous nous avançâmes jusqu'à avoir de leau au niveau de la poitrine. Classiquement, nous formâmes un cercle et nous nous passâmes le ballon de mains en mains. Nous y étions depuis moins de cinq minutes lorsque le petit boudin vint se joindre à nous, plus petite, elle avait de leau jusquau cou, elle essayait dattr tous les ballons et systématiquement me les renvoyaient en me lançant des regards appuyés.
Manifestement cétait bien moi qui lintéressais. Poli, jessayais dengager la conversation, mais peine perdue, elle me répondait dans une langue qui devait être du flamant, elle ne semblait ne pas comprendre un mot de Français et comme moi, je ne parlais pas le flamant, il ne nous restait que le langage des mains. Je laissais donc tomber les copains et mintéressais de plus prés à mon admiratrice, je lui tendis la main, et doucement, je la pris par la taille et la fis tourner autour de moi, elle se laissait flotter dans leau.
Jeus le temps de la détailler. La forme carrée de son visage avait quelque chose de masculin, des traits plutôt dures, des lèvres minces, un tout petit nez et des yeux noisette qui heureusement lui rendaient toute sa féminité. Ce visage interrogateur et son regard ardent fixé sur moi donnaient limpression de me lancer un défi.
Menhardissant, je posais une main sur sa poitrine quelle avait bien développée et ferme, une main ne suffisant pas pour envelopper un sein. Le plus curieux de lhistoire cest que nous nous parlions chacun dans notre langue sans nous comprendre, lintonation de la voix suffisait pour renseigner lautre de son état desprit, ainsi, je lui dis et fis comprendre que jétais impressionné par sa poitrine. Voulut-elle mimpressionner encore davantage ou avait-elle mal compris, toujours est-il quelle descendit alors une bretelle de son maillot, me permettant ainsi de sortir un sein et dapprécier encore plus.
Je profitais dêtre collé à elle pour descendre ma main dans son entrejambe, tirant lélastique de son maillot de bain pour faire un état des lieus manuel, introduisant un puis deux doigts au bord de son con. Elle écartait gentiment ses cuisses pour me faciliter lintromission tout en me disant des choses que je ne comprenais pas. Daprès sa tête ça ne lui déplaisait pas. Bien entendu, je bandais et le lui fit savoir en me frottant à elle. Ces jeux de mains et de connaissance de nos corps durèrent facilement ½ heure, nous pouvions difficilement aller plus loin au milieu des autres baigneurs et cest à regret que nous regagnâmes la plage. Elle partit rejoindre le couple et les deux petits s quelle accompagnait. Je nai dailleurs jamais su si cétait la petite sur, la baby siters ou la bonne, mais cela na aucune importance.
Je fus accueilli par les regards inquisiteurs des copains, ils brûlaient de savoir comment cela sétait passé, me posant des questions pleines de sous-entendus graveleux. Moi, grand seigneur, sachant que la petite pouvait nous voir, je les ignorais superbement, Je mallongeais sur le dos et fermais les yeux. Je ne pouvais bien sur pas dormir, repensant aux événements que je venais de vivre, je recommençais à bander tout doucement. Jessayais de penser à autre chose, ce nétait pas possible. A plusieurs reprises je me tournais sur le ventre et retournais sur le dos gêné par ce début dérection. Ces demi-tours sur moi-même durèrent au moins un bon quart dheure et jétais toujours autant excité.
De temps en temps, je jetais discrètement un petit coup dil derrière moi pour voir ce quelle faisait.
Après sêtre intéressée pendant quelques temps aux s, elle sétait assise et regardait de nouveau dans ma direction.
Elle se leva la première ce qui me permis de la voir sur pieds. Des cheveux courts De grosses jambes, des hanches confortables dans un maillot de bains une pièce, elle nétait pas grosse, plutôt une adolescente pas encore dégrossit, une solide flamande comme les chantait J.Brel. Il est probable quelle devint plus tard une mère de famille tout à fait convenable. Je la suivais à quelques mètres, nous dirigeant vers le ponton désaffecté. Quand elle eut de leau jusquau cou, elle mattendit et sagrippa à mes épaules, dans leau, elle était légère, je la portais ainsi jusquau-dessous du ponton, sous mes pieds il y avait par-ci par-là des blocs de béton qui émergeaient du sable, la hauteur deau était idéale, lui arrivant aux épaules. Il ny avait presque personne à lendroit choisi et à part quelques nageurs qui passaient à une dizaine de mètres de là, nous étions tranquilles. Je ladossais à un pilier du ponton denviron 30 centimètres de large, face à la mer. De la plage on ne pouvait pas nous voir et les autres baigneurs ne pouvaient quapercevoir les têtes de deux amoureux qui se bécotaient.
Ayant déjà constaté combien jétais balourd, elle descendit dautorité les bretelles de son maillot de bain. Tout en lembrassant à pleine bouche, je triturais ses seins comme un affamé. Elle avait ses bras autour de mon cou et ses jambes autour de ma taille, son cul frottait sur ma queue. Celle-ci manifesta très vite son indépendance triomphante.
Laissant retomber ses jambes, elle attrapa mon sexe tout raide et le sorti de mon maillot. Cette fois, ça y est, jétais au pied du mur, jallais perdre mon pucelage.
Un peu paniqué, très excité, je sentais le sang qui me battait les tempes. Jécartais lélastique de son maillot et essayais dintroduire ma queue dans son fondement, cela nétait pas facile, le gland au bord de sa grotte, mes doigts me gênaient. Ma flamande me donna alors un coup de main en tirant très fort sur lélastique. Je ne réussi quà introduire une petite partie de ma queue mais la gêne était trop forte, après plusieurs tentatives aussi nulles, je commençais à débander. (Bien plus tard, je me suis demandé si cétait lélastique de son maillot ou son pucelage qui mavait bloqué.)
Très mal à laise, je sentais venir léchec. Heureusement, mon égérie avait de la ressource, Elle descendit complètement son maillot jusquau genoux, replia ses jambes entre nos deux poitrines présentant ainsi sa chatte à portée de ma queue. Cette fois, je la pénétrais sans difficulté. Le contraste entre leau froide et le vagin doux, tiède, était saisissant, javais de nouveau une érection digne du don quelle me faisait.
Rassuré, je me sentais aussi bien à cet instant que jétais mal quelques minutes auparavant. Je flottais au sens propre comme au sens figuré, imprimant des va et viens lents et voluptueux à nos corps, je pouvais voir le clapotis de leau sur son menton, le temps semblait sêtre arrêté. Son regard était grave, scrutant mon visage pour y lire mes pensées, de temps en temps elle fermait yeux comme pour simprégner et mémoriser linstant présent. La communion entre nous était parfaite. Le bonheur et lémotion me montaient à la gorge, jétais si bien que lorsque je me sentis au bord de léjaculation, égoïstement, je ne fis rien pour me retenir, mon foutre gicla en elle de longues et nombreuses fois.
Un feu dartifice somptueux.
Nous restâmes de longues minutes lun dans lautre jusquà ce que ma bite, revenue à sa taille normale, sortie naturellement de son écrin. Ma maîtresse se laissa alors doucement retomber tout en réajustement son maillot. Quelle était belle à ce moment ! Je la soutenais puis la serrais très fort contre moi, nous nous embrassâmes à pleine bouche. Restant là sans rien dire pendant une dizaine de minutes, dansant très lentement dans leau
Et puis, il fallut bien rejoindre les nôtres.
Je la portais jusquà ce que leau marrive à la taille. Main dans la main nous fîmes les derniers mètres sans un mot, toute parole aurait été doublement inutile. Arrivé sur la plage, nous partîmes chacun de notre côté sans un baiser, sans un mot, mais avec des regards qui en disaient long sur notre émotion.
Les copains mattendaient, prêts à partir, mincitant à me dépêcher de crainte de rater le bus. Redescendant sur terre, je mhabillais sommairement, pris le reste de mes affaires et les suivi sans me retourner. Au moment de quitter la plage, jeus un pincement au cur et, me retournant, je cherchais mon initiatrice du regard, elle regardait dans notre direction mais détourna la tête dés quelle sen aperçut.
Je ne me rappelle plus de ton nom, mon petit boudin, mais dans mon cur, tu tiens une place à part.
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