Week-End Dans Un Spa... Et Rencontre Inattendu - Début
Jai rencontré Lise et Arthur lors dun séjour daffaire dans un hôtel spa, au bord du Lac Léman. Ce fut un week-end intense en tout point... Mais commençons par le début.
Lise doit avoir 32 ans, Arthur 33 ans. Moi jen ai 38. Lorsque je les vois pour la première fois, cest au bar de lhôtel. Lise porte un jean bleu, des bottines plates et un haut léger écru, au travers duquel on peut distinguer non sans mal un soutien-gorge noir. Ses cheveux bruns lâchés tombent sur ses épaules, et mon regard est tout de suite attiré par sa poitrine généreuse. Ils sont au bar, en buvant une bière et en discutant des possibles promenades à faire dans le coin le lendemain.
Connaissant moi-même la région, je me permets dintervenir dans leur argument...
« Bonjour, si je puis me permettre, ce chemin est juste magnifique ! »
Elle lève la tête pour voir qui vient de lui adresser la parole, et elle me fait le plus beau des sourires.
- Bonjour, vous êtes déjà allé là-bas ?
- Oui, plusieurs fois, il y a un point de vu extra après ce phare...
- Où ? La ? Me demanda Arthur
Je me rapprochais deux, pour pointer lendroit en question sur leur carte, et je fus tout de suite sous le charme du parfum envoutant de Lise.
- Ici précisément !
- Ah merci !
Embarqués dans cette conversation, nous fîmes vite connaissance. Une deuxième tournée de bière accompagna nos histoires. Ils semblaient très excités par ce week-end en amoureux, leurs yeux brillaient à chaque regard quils échangeaient. Leurs mots, lun pour lautre, étaient toujours rempli damour. Parfois même un simple regard leur suffisait pour prendre une décision, ou pour échanger un point de vue. Jétais saisi par tant de complicité. Cest à peine si jexistais à leurs yeux.
De mon côté, je ne pouvais mempêcher de regarder Lise, les courbes de son corps me laissant imaginer déjà tout un tas de possibilités, les fantasmes dun homme seul dans cet hôtel damoureux.
Au fur et à mesure que le temps passait, leurs gestes devinrent de plus en plus sensuels lun envers lautre. A tel point que je finis par me sentir de trop. Lheure du repas arriva, et ils prirent congé de moi. Je passa encore quelques minutes à les contempler. Ils échangeaient des caresses, des sourires. Elle finit par capter mon regard, au loin depuis leur table, et de nouveau me fit son sourire envoutant.
Gêné par la situation, je finis rapidement mon verre et quitta le bar restaurant.
Ce soir-là, de retour dans ma chambre, je pris une douche puis mallongea encore nu sur mon lit.
Dans ma tête, jimaginais Lise... Ma main sur mon sexe qui commençait déjà à durcir, je fermais les yeux pour me branler, et laisser mes fantasmes faire le reste...
Elle entre dans ma chambre, presque essoufflée :
- Jai trop envie de toi ! Prends-moi !
Je me lève, nu, et la prend dans mes bras. Nos lèvres se rencontrent immédiatement pour un baiser long et fougueux. Nos langues se caressent, ses mains passent dans mes cheveux, les miennes se posent directement sur ses fesses pour la tirer contre moi.
Entre deux baisers, elle prononce de courtes phrases :
- Depuis que lon ta quitté, je ne pense quà toi... Jai envie que tu me fasses jouir...
Je soulève rapidement son haut pour dévoiler sa lingerie en dentelle noire. Je me baisse à genoux à ses pieds, je déboutonne son jean et le descends doucement. Un string noir apparaît devant mes yeux. Elle soulève un pied, puis lautre, pour quitter totalement son pantalon. Elle fait un pas en arrière et me dit dun ton sec :
- Lèche mon pied !
Je la regarde, lair incrédule.
- Fais ce que je te demande ! Lèche mon pied ! Tu es à moi oui ou non ?
- Oh oui, tout à vous !
- Tout à vous Lise.
- Oui, tout à vous Lise.
- Alors lèche mon pied !
Je mexécute, à genoux à ses pieds, je me prosterne devant elle pour que ma langue touche son orteil.
- Lautre !
De même, je change de pied.
Après quelques instants, elle mordonne darrêter.
- Déshabille-toi ! Je veux voir ta bite bander pour moi.
Je me relève, ôte mes vêtements, et baisse mon boxer. Mon sexe tendu se dresse face à elle... Elle avance une main pour le toucher...
Mes jambes se tendent, le mouvement de ma main saccélère sur mon sexe, je sens le plaisir monter... Jatt un mouchoir et jouis à lintérieur. Mon excitation était trop forte. Je suis encore étonné de leffet que me fait Lise.
Je mendors rapidement en me disant quil faut absolument que je la revois le lendemain.
Je me réveille de bonne heure. Jai des rendez-vous dans la matinée, je ne vais pas avoir le temps de trainer. Après un brin de toilette je me rends au restaurent pour prendre le petit déjeuner. En entrant dans la salle je scrute minutieusement chaque table... ils ne sont pas là... Déjà passés ou pas encore arrivés. Je minstalle à une table et bois mon café en prenant mon temps, sait-on jamais.
A lextérieur le ciel est couvert, mais pas menaçant, ils devraient pouvoir faire la promenade comme prévu. Jai encore en tête les courbes de Lise, quest-ce que je donnerais pour voir sa poitrine... La toucher... Embrasser ses tétons... Je sens mon sexe se durcir dans mon boxer donc je chasse vite ses pensées en parcourant les actualités sur mon smartphone...
Un peu déçu, je regagne ma chambre pour me préparer pour mon rendez-vous. Sans men rendre compte je passe un peu plus de temps que dhabitude à me préparer, soignant délicatement chaque détail de mon costume habituel.
Je quitte lhôtel vers 9h30. En passant dans le hall dentrée, je jette un il dans la salle du restaurent adjacente. Elle est là ! Assise en face de son mari, elle le regarde avec un air amoureux que je lui envie.
Déjà la fin daprès-midi...
La journée fut longue est plutôt ennuyeuse. Je rentre à lhôtel et décide daller me détendre au spa. Une fois en maillot, je me dirige directement dans le jacuzzi. Je me fais de la place entre deux couples de retraités et je ferme les yeux. La journée a été jusque-là plutôt décevante, et toujours aucun signe de Lise... Je ne sais même pas sils vont revenir à lhôtel ce soir... Je commence à massoupir, avec en tête le regard charmant de cette inconnue dun soir.
« - Ah tient ! Bonsoir ! »
Cette douce voix ne vient pas de mon imagination. Jouvre rapidement les yeux pour me rendre compte quun des couples de retraités à disparu et Lise et Arthur sont en train de prendre leur place.
Tous deux me souris, et je suis immédiatement émerveillé de voir Lise en maillot de bain. Ses formes généreuses sont parfaitement mises en valeur. Mon regard sattarde un peu trop longtemps sur sa poitrine avant que je détourne le regard, gêné.
- Vous aviez raison, la vue était magnifique. Lance Arthur.
- Oui, une superbe promenade. Continue Lise.
- Moi : Jen suis ravi.
- Elle : Et vous ? Vous avez passé une bonne journée ?
- Moi : Oula rien de très passionnant.
- Elle : Et donc vous restez encore plusieurs jours à lhôtel ?
- Moi : Encore deux jours.
- Lui : Nous aussi.
Lise est assise à ma gauche, un siège est vide entre elle et moi, et Arthur est assis à côté delle, assez serré, malgré le bouillonnement je devine que sa main caresse sa cuisse. Mais après tout, rien de plus normal pour des amoureux.
Nos pieds sont par contre un peu serré au milieu du bassin, et de temps à autre je suis persuadé sentir un contact, et je mimagine que cest Lise.
Le couple de retraité na pas lair dêtre dérangé par la conversation, au contraire ils se joignent aux échanges de temps en temps.
Mon regard se porte régulièrement sur Lise, et sur sa poitrine, à demi plongé dans leau. Arthur a dû sen rendre compte et semble amusé de la situation. Lise me lance régulièrement des sourires.
Nos pieds se sont touchés, jen suis sur maintenant, et ce nétait pas simplement dû au hasard. Elle ma caressé le mollet... Quelques instants plus tard elle sexcuse pour aller aux toilettes, je la contemple sortir du jacuzzi, son cul est magnifique. Les maillots de nos jours ont de moins en moins de tissu... Cest à peine si la moitié de ses fesses sont couvertes. Je la regarde séloigner, et lorsquelle disparaît je croise le regard dArthur. Un peu gêné, jinterroge les retraités sur leurs plans pour la suite du séjour.
Quelques minutes plus tard Lise revient prendre place aux côtés dArthur. Sous son maillot mouillé on devine un sexe pas totalement épilé mais presque.
- Elle : Et au fait, vous ne nous avez pas dit si vous étiez marié...
- Moi : ahah non, je suis divorcé.
- Elle : Ah, des s ?
- Moi : oui un, il est chez sa mère en ce moment.
- Elle : Vous êtes séparé depuis longtemps ?
- Moi : 3 ans.
Le couple de retraité sexcuse et nous laisse.
- Lui : Cest vrai quil commence à se faire tard, on devrait y aller aussi.
- Elle : Ah oui je navais pas vu lheure.
Ah ce moment je sens clairement son pied glisser le long de mon mollet. Elle me sourit...
- Elle : Vous serez au bar ce soir ?
- Moi : Oui surement.
- Lui : On pourra boire un coup ensemble alors ?
- Elle : Oui comme hier soir.
- Moi : Avec plaisir, vous y serez à quelle heure ?
- Lui : 20h je pense.
- Moi : Ca marche.
Ils quittent le bassin, mes yeux ne quittent pas le cul de Lise, il est magnifique. Jai une légère érection depuis quelle ma caressé la jambe et la voir partir est un vrai plaisir. Comme par hasard Arthur place sa main dans le bas de son dos en marchant, et descend doucement jusquà ses fesses. Ils disparaissent tous les deux.
19h50... Je vais y aller...
Je prends lascenseur, descends les deux étages et passe la porte du restaurant. Mes yeux se posent directement sur Lise. Elle est debout au bar, en train de demander quelque chose au barman. Elle porte une robe noire qui lui arrive à mi-cuisse, le dos mi-nu, ses jambes sont voilées de noir et elle porte des escarpins noirs à talons assez hauts. Ses jambes sont magnifiques, son cul aussi. Elle me voit entrer et me sourit, se retourne un peu vers moi. Devant, sa robe noire est assez décolletée, ses seins sont tenus par le tissu noué autour de son cou, elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle est maquillée avec gout. Elle est sublime.
Je cherche Arthur du regard dans la salle, je ne le vois pas.
- Elle : Arthur ne devrait pas tarder. Vous allez bien depuis tout à lheure.
Jai du mal à rassembler mes esprits...
- Moi : Oui pardon, ça va très bien merci.
- Elle : Jétais en train de commander à boire, je vous prends une bière ?
- Moi : La même chose que vous oui, merci.
- Elle : Tant que jy pense, ça vous embête de me laisser votre numéro de téléphone, vu votre secteur dactivité on pourrait avoir des conseils à vous demander.
- Moi : Bien sûr, cest le 06...
- Elle : Et voilà cest enregistré !
- Moi : Cette robe vous va à merveille.
- Elle : Merci, cétait loccasion de la sortir.
- Moi : Cest réussi.
- Elle : On va sasseoir à une table ?
- Moi : Je vous suis... Attendez laissez-moi vous aider à porter ça.
Je prends deux des trois bières et emboite son pas, je mattes évidemment son cul remarquablement mis en valeur par ses talons. Je me rends compte rapidement que dautres hommes autour de nous lont remarqué. Notamment un homme plus âgé assis en face de sa femme qui na pas lair satisfaite à lidée que son mari matte une jeune femme. Cela me fait sourire et je rejoins Lise à la table quelle a choisi, à côté de la fenêtre.
Elle me fixe avec ses yeux brillants, jai du mal à trouver quelque chose dintelligent à dire face à une femme aussi belle et sexy.
- Elle : Vous êtes bien silencieux.
- Pardon je ne mattendais pas à me retrouver seul avec vous, et vous êtes très belle ce soir.
- Merci, cela fait toujours plaisir à entendre.
- Je vous en prie, cest la vérité.
- Vous navez personne dans votre vie en ce moment ?
- Pas en ce moment, depuis mon divorce jai du mal à me fixer, mais je peux en profiter quand même.
- Profiter de ?
- Ma liberté.
- Votre mariage était une prison ?
- Plutôt oui. On ne sen rend pas compte pendant quon est marié mais une fois séparé on redécouvre certains plaisirs.
- Cest sûr, je nai pas limpression dêtre prisonnière.
- Il ny a rien que vous vous interdisez pour votre mari ?
- Non pas grand-chose...
- Je suis sûr quil y a un truc !
- Le tabac, jai arrêté de fumer pour lui.
- Ah ben pour le coup cest plutôt une bonne chose alors...
- Je ne serais pas contre une cigarette occasionnelle cela dit.
- Vous savez que même une seule cigarette rarement cest mauvais pour la santé.
- De toute façon je ne me pose plus la question, mon mari est contre, et je ferais tout pour lui. Donc 0 tabac, avec ou sans lui.
- Jadmire votre amour.
- Nous sommes interdépendants, je ne peux pas me sentir bien lorsquil se sent mal.
- A ce point ?
- Même quand on est loin, je pense à lui, sil me dit quil passe une mauvaise journée, je me sentirai mal.
- Vous êtes ensemble depuis longtemps ?
- Depuis 15ans.
- Et cest comme ça depuis le début ?
- Oula non ! Nous avons traversé toute sorte dépreuves. Nous sommes ressortis plus fort à chaque fois.
- Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort
- Cest ça.
- Jamais dinfidélité ?
- Vous êtes bien curieux !
- Ah ! Ça veut dire oui !
- Ce fut difficile à surmonter, pour tous les deux, mais au final ça nous a rapproché.
- Cest beau lamour...
- Le secret, cest de tout se dire, ne rien garder pour soi. En permanence, il sait ce que je ressens, et je sais ce quil ressent.
- Donc il sait que vous êtes seule, belle et sexy, en train de boire une bière avec moi ?
- Oui bien sûr.
- Et cela ne le gêne pas ?
- Pourquoi devrait-il être gêné ?
- Un peu de jalousie ?
- Il sait où je suis et ce que je fais, et jai son accord, nous navons aucun secret. Et puis, nous sommes simplement en train de discuter.
- Si vous le dites... En tous cas vous avez lair heureuse et épanouie, donc votre méthode doit fonctionner.
- Mon mari et moi sommes unis pour la vie, rien ne pourra nous séparer. Il fait partie de moi et moi de lui, mais je sens bien que ce nest pas votre vision du couple.
- En tous cas je suis admiratif, et jaloux.
A ce moment Arthur arrive, sassoie à la table, et boit une gorgé.
- Lui : Désolé, jai été un peu long, un appel pour le boulot.
- Moi : Pas de soucis, on discutait.
- Lui : De quoi ?
- Elle : Damour, je lui expliquais que je taime plus que tout.
- Moi : Et je disais à Lise que je suis jaloux.
- Lui : Ahah oui !
Sur ces mots il lembrasse rapidement. Je sens bien leur désir lun pour lautre et japprécie quils nen rajoutent pas.
Le reste de lapéro se passe, des échanges passionnés sur lamour, sur les couples... Plusieurs bières aidants, nous parlons librement.
Ils me proposent de diner avec eux. Je ne peux pas refuser. Nous prenons une table, je massoie en face de Lise, Arthur est à côté delle. Je constate que sa main reste beaucoup sous la table, et je le soupçonne de caresser sa femme en discutant. Je lenvie beaucoup, Lise me plait terriblement et je voudrais moi aussi pouvoir la toucher.
Après un ou deux verres de vin, il devient difficile de garder une trace de ce que lon boit, nous sommes sur le point dentamer le fromage. Cest alors que je sens un pied glisser le long de ma jambe.
Arthur blague toujours et ne semble pas conscient que sa femme est en train de mexciter terriblement. Le pied de Lise redescend, elle me fixe, puis il remonte doucement. Je glisse une main sous la table pour vérifier que je ne rêve pas... Je touche du doigt le bout dun orteil, recouvert de nylon, puis lescarpin. Sa jambe est presque tendue, son pied entre mes genoux. Il glisse doucement sur ma cuisse et ma main remonte sur sa cheville puis son mollet. La douceur de sa jambe, latmosphère de la soirée et lalcool aidant, mon sexe se durci rapidement, et je le sens compressé dans mon boxer.
Je lance un regard dincompréhension à Lise. Elle qui dit aimer son mari plus que tout, la voilà qui me fait du pied explicitement. Et Arthur qui ne voit rien...
Les desserts arrivent, jai du mal à faire un choix. Mes pensées saffolent, lexcitation est terrible. Je nai quune envie, prendre Lise sur la table, la renverser et la baiser puissamment devant son mari. La faire jouir sous mes coups de reins, la faire crier de plaisir dans ce restaurant rempli de vieux bourgeois et de couples coincés.
Comme si elle lisait dans mes pensées, Lise propose :
- Et si on faisait limpasse sur le dessert, vous voulez venir prendre un verre avec nous sur le balcon de notre chambre ?
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