Le Peintre Et Sa Muse Chapitre 10
Le peintre et sa muse
Chapitre 10
L'accrochage dans l'atelier de Bernard
J'avais terminé le tableau que m'avait commandé Bernard, un de sa femme Annie. Et nous nous étions convenu d'un rendez-vous pour quAnnie et moi-même l'accrocherions dans le petit chalet situé au fond de leur propriété et qui sert d'atelier pour son homme.
Je me présente donc à leur domicile et c'est Bernard qui vient m'ouvrir. Il est en tenue décontractée, chemisette ouverte et short. Il a toujours encore son ventre rebondi d'un certain âge.
- Bonjour François.
- Bonjour Bernard,
Annie n'est pas là ?
- Si mais elle était trop impatiente et elle t'attend déjà à l'arrière de la maison dans le pré, elle tourne
en rond, je te laisse la rejoindre, moi je vais préparer le café et aussi ton chèque.
Mais avant de la retrouver montre moi combien Annie t'est maintenant soumise.
Je regarderai par la fenêtre de la cuisine, si cela ne te gêne pas.
Je laisse Bernard, je comprends qu'il ait envie de voir comment sa femme est devenue ma soumise.
Le tableau à la main je gagne le jardin, je passe à côté de la piscine; je dirige vers les arbres et le chalet.
Annie est là bas plus loin sous les arbres, je m'avance jusqu'au milieu de la pelouse afin de rester bien en vue de Bernard.
Annie maperçoit et elle se presse de me rejoindre.
Elle porte une légère robe d'été fleurie, à bretelles et avec un décolleté arrondi.
Sa poitrine est bien moulée et la forme de ses seins en poire est bien apparente.
Et toujours ces deux melons denses et un peu tombants.
J'ai des frissons dans mon bas ventre.
Arrivée près de moi je la tiens par la taille bien serrée contre moi. Et nous échangeons un tendre baiser sous le regard de Bernard.
Je la sens tendue, elle me dit "Viens on va dans le petit chalet qui sert d'atelier à Bernard".
Tu es comment sous cette jolie petite robe ?
Comment ça ?
Sous vêtements ou pas ?
Seulement ma culotte
Retire la
Pas ici
Si ici et soulève bien ta robe je veux voir ce que tu fais.
Annie remonte sa robe jusqu'au niveau de ses reins je retiens le vêtement pour que Bernard voit bien ce qu'elle fait.
Et d'une main elle baisse sa culotte blanche en coton.
Comme je la tiens elle doit se tortiller pour la faire descendre à ses pieds
Penche toi pour ramasser ta culotte et tu me la donne.
Ceci fait
Retire ta robe je te veux sans rien
Docile elle s'exécute et enlève la robe en la passant par dessus sa tête. "Quelles mamelles" me dis-je les voyant apparaître, avec les aréoles larges et les gros tétons dressés.
Une fois nue à l'exception de ses escarpins je pose les vêtements sur la pelouse je reprends mon tableau je la reprends par la taille non sans flatter sa belle petite paire de fesses.
Je jette un coup d'il vers la maison et je vois Bernard lever le pouce comme pour me
signifier sa satisfaction. Il a tout vu, le voyeur !
.
J'entraîne Annie vers l'atelier au fond du jardin.
Je bande comme une bête en rut et je sens Annie excitée comme une chatte en chaleur.
Irons-nous jusqu'à l'atelier qui est à 20 mètres ? Pour elle je ne sais pas mais pour moi c'est impossible.
Alors en moins de temps qu'il ne faut pour le dire je suis nu moi aussi.
Je jette mes habits au long sur l'herbe.
Ma flamberge est au mieux de sa forme et je couche Annie sur le gazon, sur le dos, pour de suite la pénétrer.
Je n'en peux plus il me faut sa chatte juteuse.
Accouplement torride sur le gazon, pour un seul résultat : jouir, jouir et jouir encore, je crois bien que pour Annie cest la même chose, elle noue ses jambes dans mon dos afin de moffrir un
meilleur angle de pénétration.
Elle semble déchaînée.
Peut-être est-ce la situation, dehors, sur son gazon, qui décuple ses envies ?
- Baise moi, oh oui ! Baise moi ! Oui, je sens ta grosse queue en moi, continue, laboure-moi.
Et je baratte Annie comme un fou, tandis quelle prend mes fesses à pleines mains afin de mattirer encore plus loin au plus profond de son vagin.
Ses doigts et ses ongles s'agrippent à mon "cul". Mon gland à chaque fois vient en butée sur sa matrice tandis que son nectar méclabousse les couilles et se répand sur le gazon, ce nest plus de
lamour mais simplement de la fornication ; chacun cherchant son propre plaisir avec le corps de lautre.
Et elle explose en gémissant, non, plutôt en criant. Je ne l'ai pas encore entendue comme cela
. Elle est vraiment très expressive quand elle jouit et je me rends compte qu'elle fait tout pour rester agrippée à moi.
Ses jambes m'enserrent.
Ses 10 doigts sont plantés dans mes fesses. Un second et même un troisième orgasme lenvahissent. Elle secoue la tête de gauche à droite. Elle bave.
C'est terrible, c'est merveilleux.
Ouiiiii...donne moi tout! Donne-moi tout ton sperme ! Oh Dieu oui, je le sens qui me remplis mais..... Je.....Aaaahhhh.... je jouis encooooore ! Oh... oh... oh...DIEU,
François ! Je Jooooooiiiiiisssssssss!
Je mécroule sur le dos le gland encore décalotté les dernières gouttes de semence coulent sur mon ventre mon sexe palpite encore.
Annie se penche et membrasse à pleine bouche tandis que sa main reprend une lente masturbation.
Puis elle me dit
« Tu mas faites jouir comme jamais, et tu bandes encore jai toute ta crème dans le ventre.
Viens dans latelier je vais te nettoyer la queue, tu nes pas contre une bonne pipe, et puis Bernard en a assez vu comme ça.
Je ramasse le tableau et nous entrons dans latelier, et nous navons pas fait que planter un clou et accrocher un tableau.
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