Monsieur Paul

Monsieur Paul

« Et il y a un nouveau patient, Monsieur Guibaud. Mais il veut qu’on l’appelle par son prénom : Paul. Il a 67 ans, en parait 10 de moins, il est très séduisant et c’est un pansement post-opératoire de la cheville. On l’a pour une petite quinzaine de jours ».
C’est ainsi que Monsieur Paul me fut présenté.
J’arrivai chez lui vers 18 heures. « Bonjour, c’est Clotilde, la collègue de Véronique que vous avez vu jusqu’à présent. C’est sa semaine de congé et c’est donc à mon tour de travailler. Voyons cette cheville……. »
La cicatrice est propre, le pied ne semble pas enflé. Monsieur Paul est un homme élégant. Il est vêtu d’une courte robe de chambre et je ne peux m’empêcher de jeter un coup d’œil vers ses cuisses avant de remonter vers son visage. Quand nos regards se croisent, un discret sourire anime son visage. Pendant que je refais son pansement, il me raconte sa vie, ancien responsable commercial, il a bien gagné sa vie et pu acheter cette maison. Sa femme l’a quitté juste avant la retraite pour refaire sa vie avec un australien et vit désormais aux antipodes. Ses s habitent la région parisienne. Il est donc seul et occupe son temps à bricoler, faire du vélo et de la photographie. Et c’est une chute de vélo qui est responsable de son immobilisation actuelle. La réfection du pansement ne pose pas de problème, et c’est avec regret que je le quitte en lui disant à demain.
Le lendemain, Monsieur Paul est assis dans un fauteuil, vêtu de la même robe de chambre courte, son pied bandé reposant sur un coussin. Je tire une chaise, m’assied en face de lui, pose sa jambe sur ma cuisse et entreprends les soins. A un moment, je relève la tête. Je surprends son regard posé sur moi. Un regard doux mais pénétrant. Je sens un frisson me parcourir l’échine. Le soin se termine, le temps semble avoir passé vite.
Le soir, je repense au regard de Monsieur Paul posé sur moi et ce souvenir m’est très agréable.


Le lendemain, mue par je ne sais quelle idée, je m’habille avec un pantalon beige et une chemise ample sous laquelle je ne mets pas de soutien-gorge. J’ai juste envie de lui faire plaisir. La journée défile lentement. Arrivée chez lui, je décide de prendre mon temps. J’enlève son pansement, nettoie la plaie encore plus consciencieusement que d’habitude . Je tourne la tête dans sa direction. Son regard est fixé sur ma chemise sous laquelle mes seins dessinent le relief avec précision. Je me sens rougir. Il détourne les yeux à regret. « Avant de refaire votre pansement, je vais me laver les mains ». Je profite du passage à la salle de bain pour défaire les 2 boutons du haut de la chemise. Je reviens terminer le pansement avec une lenteur calculée, me penchant avec application pour faire un beau pansement. Je devine ses yeux braqués sur le spectacle de deux seins libres que je lui dévoile avec complaisance.
Je relève les yeux, ses jambes sont écartées et dévoilent dans un slip blanc, le relief d’une belle queue qui semble en érection. Mon sexe s’est brutalement humidifié. Nos regards se croisent. « Allez, à demain Monsieur Paul ». Dans la voiture, je passe une main sur mes seins hypersensibles dont les bouts pointent avec insolence. Je résiste à l’envie de me caresser. D’autres patients m’attendent. Je reboutonne ma chemise et démarre.
Le soir venu, je repense à Monsieur Paul, à sa solitude, à son sexe que je devine de bonne taille et qui, je m’en rends compte, me fait terriblement envie. En ce moment, je suis seule, mon mari travaillant dans une autre région et ne rentrant qu’épisodiquement. Je sais que notre envie est réciproque. Demain, je le pressens, je ferai une entorse à la déontologie…..
Le lendemain, je lui passe un coup de fil, prétendant que la tournée étant différente, je la terminerai par lui et que je passerai vers 20 heures. L’après-midi passe lentement. La tournée se termine à 19 heures 30. Je rentre chez moi, prends rapidement une douche, puis m’habille « pour Monsieur Paul » : bas auto-fixant de couleur noir, jupe courte blanche, chemise blanche.
J’hésite, mais n’enfile pas de culotte. J’ai envie. Une envie folle de me laisser aller et de prendre du plaisir. J’arrive chez lui vers 20 heures 10. Il me sourit en me voyant. Il s’installe sur son fauteuil et pose sa jambe sur ma cuisse, s’arrangeant pour que son pied appuie sur mon ventre. Le pansement fut rondement refait. Nous nous retrouvons je ne sais comment debout, l’un en face de l’autre. Il me prend les mains et m’attire contre lui. Sa bouche se pose près de mon oreille « j’ai envie de toi ma belle infirmière, et je sais que toi aussi tu en crèves d’envie « . Sa bouche glisse sur la mienne, nos langues se mêlent. Il me tient serrée contre lui, je sens sa verge tendue contre mon ventre. Il défait les trois boutons restant de ma chemise et empaume mes seins, les malaxant de ses mains douces mais fermes. Je me sens défaillir. Il pince doucement mes mamelons, m’arrachant un premier gémissement. Quelques minutes plus tard, il retrousse ma jupe et posa sa main sur mon sexe inondé « je me doutais que tu n’avais pas de culotte petite salope, tu es venue pour te faire sauter et je vais bien m’occuper de toi ». Je me retrouve nue, juste vêtue de mes bas, ses doigts me fouillent, s’enfonçant dans ma chatte détrempée ; je mouille comme une folle. Je lui ôte sa robe de chambre et lui retire son boxer. Sa verge pulsante est devant mes yeux, j’en bave d’envie, je m’agenouille et après l’avoir branlée un peu la prends en bouche, entreprenant une fellation animale. Elle est grosse, chaude, douce, son gland décalotté a un goût de menthe poivrée. Monsieur Paul m’allonge sur le tapis, sur le dos, relève mes jambes puis me pénètre sans ménagement, entamant de grands mouvements de va et vient. Cela fait moins d’une demi-heure que je suis arrivée et je suis déjà embrochée sur ce pieu gigantesque, emportée dans un premier orgasme. J’ai à peine le temps de récupérer qu’il me fait mettre à quatre pattes et me prend en levrette. Je sens son sexe buter contre le fond de mon vagin.
Il continue de me besogner. « Oh, comme tu es bonne. Tu aimes le sexe, c’est fou. On ne le dirait pas à te voir. On te donnerait le bon dieu sans confession tellement tu fais sérieuse et respectable. Dis moi que tu aimes ma petite pute, dis moi que je te défonce bien, que tu prends ton pied ». Je m’entends répondre « oui j’aime ça, tu me défonces, tu me prends comme une pute, j’aime ton sexe, j’en veux encore, je veux jouir ». Je m’étonne à dire cela moi qui suis habituellement assez prude. Mais je suis terriblement excitée. Je jouis bruyamment par deux fois sans qu’il ne ralentisse le rythme. Puis il s’allonge sur moi, en 69 me léchant, faisant pénétrer alternativement sa langue dans mon vagin et mon anus tandis que ses doigts excitent mon clitoris jusqu’à ce que je jouisse une nouvelle fois en hurlant mon plaisir pendant qu’il m’inonde la bouche en déchargeant à longues giclées. Je reprends doucement ma respiration. Je enfin rassasiée. Je regarde ma montre : elle indique 23 heures. Nous avions baisé, il n’y a pas d’autres mots pendant deux heures et demi et j’ai joui quatre fois. Nous buvons un verre de jus de fruit frais. Sa verge se redresse. Il me fait s’assoir à califourchon sur lui et m’empaler sur sa verge. « Vas-y fais nous jouir encore » me dit-il. Le plaisir monte lentement, je le sens venir du fond de mon ventre, irradiant tout mon corps. Au moment où la jouissance déferle, il me plante un doigt dans l’anus. Je le sens se crisper et il jouit à son tour. Nos langues s’unissent dans un long baiser.
Je me relève, pantelante, me rhabille et prend congé. Il est 1 heure du matin quand je rentre à la maison. Je prends une douche, me couche, envoie un long message à mon mari pour lui raconter la soirée. Je sais qu’il va adorer.
Le lendemain, je suis percluse de courbatures. Certains patients me font remarquer que j’ai les yeux cernés et l’air fatigué. Le soir, je repasse chez Paul. Il m’attend, nu sous sa robe de chambre, dont les pans desserrés laissent voir son sexe bandé.
Tandis que je refais son pansement, il me débarrasse de mon polo et de mon soutien-gorge. A la fin du soin, j’enlève fébrilement mon pantalon et ma culotte. Mon sexe est à nouveau trempé. Nous refaisons l’amour, avec beaucoup de tendresse. Son sexe est gros, plus gros que la moyenne, et il est très endurant. Ses coups de rein, amples et profonds ont bientôt raison de moi. Il ne me quitte pas des yeux au moment où l’orgasme me fait hurler. Il accélère ensuite le rythme, se retire et éjacule sur mon ventre.
Monsieur Paul est d’une constitution robuste et les soins prirent bientôt fin.
Un jour, je reçus un bouquet de roses rouges, accompagné d’un petit bristol signé de sa main où était écrit « viens quand tu veux ».
Alors, lorsque je ressens des envies, je passe un coup de téléphone à Monsieur Paul et s’il est là, s’il est disponible, je mets une jupe, des bas, une chemise et je vais le retrouver. Les patients que je croise ne se doutent pas un instant que leur gentille et dévouée infirmière, bien que quinquagénaire, file comme une ado à un rendez-vous galant.

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