Soumise À Mon Maitre 3

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je sors de la douche et je me sèche les cheveux, je serre la serviette autour de ma taille et je file en direction de ma chambre.
En arrivant dans la chambre, sur mon lit je trouve une boite de chaussure,
Il y a aussi une robe de soubrette, un ras de cou noir, des bas en nylons et des portes jarretelles,
Je suis surprise de voir ca sur mon lit, c’est à ce moment la que le Maître entre dans ma chambre :
- Je vois que tu as vu ta nouvelle tenue pour la maison.
- Oui maître.
- Essaie la tout de suite, je veux savoir si elle te va.
Je suis stupéfaite de sa demande, là maintenant devant lui ?
Mais je n’ai pas d’autre choix que de lui obéir, je défais le noeud qui tenait ma serviette qui était autour de ma taille, très honteuse.
C’est la première fois que je suis totalement nue devant mon maître, j’essaye de cacher mes seins avec mes mains, je suis mal à l’aise, je suis gênée et j’ai peur de ce que va me demander ce pervers.
- Pourquoi tu caches tes seins? montre les ils sont beaux. Commence par les bas et le porte jarretelle.
Je m’assois et je prends mon porte jarretelle à 6 attaches, je l’ajuste à mes hanches,
Ensuite je prends mes bas et je les enfile un par un en les faisant remonter le long de la jambe tout en faisant attention de ne pas les effiler, c’est la 1ére fois que j’en porte et je me sens désirable et sexy. Je me relève, j’ouvre les attaches et je les fixe sur les jaretelles à l’avant et à l'arrière,
- Mets les talons.
J’ouvre la boîte de chaussures et je tombe sur une paire des sandales plateforme à talons de 15 cm avec plateforme de 4 cm en 38, à ma taille avec une bride au niveau de la cheville. Je n’ai jamais porté des talons aussi hauts de ma vie, je sens que je vais souffrir à marcher dans ces chaussures qui semblent inconfortables. Je mets la 1ére chaussure et je resserre la bride autour de la cheville, elle sont incroyablement belle, j’enfile la deuxième, Mr Marchand me demande marcher.

J’obéis à Mr Marchand, les chaussures me font mal et j’ai beaucoup de mal à marcher, j’ai du mal à trouver mon équilibre avec ces talons vertigineux.
- C’est la bonne taille on dirait, elles iront bien avec le reste de la tenue, par contre va falloir que tu marches mieux que ca.
- Oui maître la taille est bonne, d’accord maître.
- Maintenant mets la robe.
Je prends la robe et je descends la fermeture éclair qui est dans le dos afin de pouvoir la mettre par le bas, je lève d’abord une jambe pour faire passer la robe puis la seconde jambe afin que je puisse remonter la robe, tout en remontant. Ce n’est pas facile, elle est étriquée. Je regarde Mr Marchand, il apprécie toujours le spectacle, je mets le tablier blanc autour de ma taille,
- Mets le ras de cou et ensuite ajuste toi devant la glace.
Je me retourne et je me mets devant la glace, j’ajuste le ras de cou, et je ferme la fermeture éclair de la robe avec beaucoup de difficulté. C’est incroyablement sexy voire vulgaire.
Mes seins sont compressés et le décolleté est frappant, j’ai l’impression qu’on ne voit que mes seins. Ma robe m’arrive à 10 cm sous les fesses. Si je me penche de trop, on voit mon sexe et mes fesses, comment porter une robe pareil au quotidien. J’ai l’impression d'être habillée comme une pute :
- Va te maquiller.
Encore sonnée de mon image, je ne bronche pas une seconde. Je m'assois sur la chaise et je commence à me maquiller, avec le peu de produit qu’il y a ; je commence par me mettre du fond de teint, c’est la bonne nuance qui correspond à mon teint.
Puis le gloss, il est rouge pétant, pas vraiment discret. Je poursuis avec tout le panel de produits me disant que s’il me les donné, c’est pour m’en servir : je me mets du crayon noir sous le rebord des cils, puis fard clair sur les paupières que je charge enfin de mascara.
Ce n’est pas dans mes habitudes d’être ainsi maquillée, j’ai du mal à me reconnaître. C’est très sophistiqué et aguicheur.

- Maintenant coiffe toi, je veux que tu aies les cheveux lisses,
J’obtempère sous son contrôle.
- C’est simple, à la maison je te veux dans cette tenue sinon tu seras punie.
- Oui Maître.
- Va travailler maintenant, tu as du boulot, commence par ta chambre et après tu feras d’autres tâches.
- Oui Maître.
Docile, je fais les tâches que m’ordonne le Maître ; je nettoie et je fais les poussières de ma chambre, ensuite je fais de même pour le salon, les toilettes, je prépare les repas et nettoyage de la cuisine, comme une parfaite bonniche, quelle galère de vivre ici et de répondre aux exigences de ce malade. Mais, quel autre choix pour moi? J’ai pas eu de bol avec ma famille, je ne peux compter que sur moi. A part prendre mon mal en patience, je n’ai aucune alternative.
Il est 22h10 je suis exténuée de ma journée, et j’ai mal aux pieds. Crevée, je rentre dans ma chambre et je retire mes talons de service et je vois une nuisette et une boîte de chaussures sur mon lit avec un mot écrit dessus, il est écrit en majuscule et en gras “ voici ta tenue pour cette nuit”. J’ouvre la boîte à chaussures et je vois une paire de talons aiguilles rouge à dégradé noir avec des talons fins vertigineux de 11 cm de haut et des bouts pointus, je me dis que ça va être encore inconfortable, et pourquoi des talons pour me coucher ?
À la droite de la boîte, il y a une nuisette transparente noire au niveau des seins et en dentelle rouge à partir de la taille, je retire ma tenue de service fourbue. Je n’ai jamais aimé dormir nue donc je mets la nuisette, et me regarde dans le miroir, je vois que la nuisette m’arrive à 10 cm en dessous des fesses, elle épouse parfaitement mes formes et me donne un air sexy. Je ne sais pas si je commence à m’habi à ce genre de tenue mais je me sens femme. Je me retourne et à ce moment là je vois Mr Marchand dans l’encadrement de la porte qui m’observe, il porte seulement un pantalon de pyjama, son torse est musclé et on voit ses abdos parfaitement dessinés, quel athlète.

- Je vois que tu as mis ta tenue pour dormir.
- Oui maître.
- Elle est jolie cette nuisette mais je vais vérifier si tu as bien enregistrée les consignes, assis toi au rebord du lit et écarte les jambes.
Toujours aussi docile et incapable de rébellion, je m'exécute et je m'assois sur le lit et j’obéis à Mr Marchand, je suis gênée de ce qu’il me demande, mais je commence à me faire à la situation même si elle est humiliante, et si je n’obéis pas, que va t’il me faire? J’ai déjà déposé définitivement les armes, et j’obéis, un point c’est tout.
- Et les talons tu ne les as pas mis?
- Désolé, maître mais j’ai mal aux pieds, et j’allais me coucher.
- Je vais devoir te punir, tu dois porter les talons dans la chambre.
- Je peux plus marcher, j’ai trop mal, s’il vous plaît.
- Alors je vais te punir, et vu que tu protestes je vais augmenter la punition.
- D’accord maître.
Vaincue, et craintive, je n’ai pas d’autre choix que de me résigner. Je vois que son sexe est en érection dans son pyjama, et je me doute de ce qu’il va me demander, Mr Marchand se rapproche de moi, l’horreur me gagne déjà.
- Suce moi, ce sera ta punition et en plus tu m’as excité, petite salope.
Je n’avais pourtant rien fait pour l’exciter, j’ai peur de la suite.
- Baisse mon pantalon et suce ma bite soumise!
Je baisse son pantalon et je vois son sexe se dresser d’un seul coup, son sexe est joli, rasé, courbé et je dirais qu’il fait déjà dans les 15 cm.
Il est pile à la hauteur pour ma bouche.
- Applique toi soumise.
Il met son sexe dans ma bouche à hauteur du gland, je ne peux rien faire d’autre que de lui obéir, je commence à sucer son gland, son sexe glabre se durcit à vue d’oeil, ce qui me donne le sentiment d’avoir le pouvoir alors que c’est lui qui me soumet. C’est assez flatteur comme sensation. Son sexe à le goût de gel douche avec un pointe de chocolat, heureusement pour moi qu’au moins l’hygiène soit là.

- C’est bien soumise continue, suce-la plus en entier.
Mécaniquement et sans enthousiasme, je le prend plus profondément tout en variant les rythmes de va et vients,
- C’est bien continue comme ça soumise, c’est parfait. Tu suces déjà pas mal. T’es faite pour ça.
Je continue de sucer de plus en plus loin et de plus en plus vite, je sens que Mr Marchand prend du plaisir, j’ai honte de moi mais je me laisse soumettre, le contenter est la meilleure façon d’abréger l’humiliation. Je l’entend pousser quelques soupirs par moment; soudain je sens une main arriver derrière ma tête et qui commence à me pousser vers lui :
- Tu vas la prendre en gorge profonde ça va t’apprendre à obéir.
Je suis surprise, son sexe me pénètre complètement la bouche et va jusqu'au fond de ma gorge, je commence à paniquer, il est malade ce type! J’ ai du mal à respirer.
- Vas y prends la bien à fond, soumise.
Mr Marchand enlève sa main et je me dégage quelques secondes juste le temps de respirer avant que recommencer à me la fourrer profondément. J’ai la bouche pleine, son sexe me remplit, j’ai l’impression d'être une poupée gonflable :
- Allonge toi sur le dos et écarte les jambes, je veux te la mettre dans ta chatte.
Putain, je vais devoir me laisser baiser, j’accuse le coup, me rebeller ne sert à rien? Déjà vaincue, je m’allonge sur le lit, il en profite pour me prendre les jambes et les mets sur ses épaules, je suis bloquée à sa merci.
- Mets ma bite dans ta chatte soumise,
De mes doigts, je cherche sa queue à taton et je le guide dans ma chatte, les larmes au bord des yeux. Pourquoi je ne dis rien, pourquoi je le laisse faire?
À peine entré dans ma chatte Mr Marchand commence le mouvement de va et vients sèchement, brutalement.
- C’est bien soumise, regarde moi dans les yeux.
J’obéis à Mr Marchand, Je le regarde dans les yeux pendant qu’il me pénètre, son regard perçant m’hypnotise, Soumise et subissant ses assauts, je commence à me laisser aller,
ses coups de reins me font mal, Mr Marchand accélère la cadence de la pénétration et je sens le plaisir physique qui commence à venir. Ce n’est pas possible, je lutte contre cette sensation, j’ai honte de moi, ma tête ne veut pas prendre de plaisir mais mon corps commence à en prendre, je ne peux pas accepter ça. Il se rend compte des réactions de mon corps:
- Tu vois, tu commences à aimer ça soumise, je vais te la mettre encore plus profondément, tu vas encore plus la sentir.
Mr Marchand me relève les jambes, j’ai les genoux qui touche le matelas de chaque côté du visage, bloquée et pliée en deux, il me pénètre de plus en plus fort et de plus en plus vite. Je sens son sexe entrer encore plus profondément, il gémit, apprécie de me baiser.
Je me mordille les lèvres et je serre les poings pour ne pas montrer à Mr Marchand que mon corps commence à prendre du plaisir, je suis complètement soumise à ses va et vients de plus en plus profond et intenses. Sous ses coups de reins intenses, je commence à mouiller:
- Ta chatte est trop bonne soumise, tu vas prendre mon sperme dans la bouche, suce moi.
Mr Marchand me tire sur le bord du lit et me fait sucer son sexe,
- Vas y suce la bien et tu auras une surprise, soumise.
Je prends le sexe de Mr Marchand et je le dirige vers ma bouche. Je lui suce la verge gluante de ma cyprine, c’est écoeurant mais je fais avec. Les mouvements de va et vients excite encore plus Mr Marchand :
- Oh oui c’est bon continue, ma petite soumise.
J'accélère le mouvement et au bout de quelques secondes, mon Maître éjacule dans ma bouche et pousse un râle de plaisir, son sperme chaud et gluant me donne envie de vomir mais je me retiens car je veux pas pas encore être punie.
- Le prochain coup tu obéiras mieux comme ca.
Il enfile son pantalon de pyjama et s’en va, je me demande encore pourquoi mon corps à pris du plaisir dans cette situation, j’ai honte de moi et je me dégoute.
Je pars en sanglot et me demande ce qu’il va me réserver pour la suite.



Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!