Le Grand Chelem
LE GRAND CHELEM
Cette aventure se déroule en Afrique de louest. Une de nos anciennes colonies. Au cours dune mission de quatre semaines.
Jarrive vers la fin de mon séjour, lorganisation pour laquelle je travaille ma donné quartier libre pour la dernière semaine car le boulot est terminé.
Je nétais pratiquement pas sorti depuis trois semaines. Le bureau, ma case, un restau de-ci de-là, rien de bien folichon. Du coup, comme jai un 4x4 de service, je sors un peu. En ville tout dabord, puis hors les murs, puis en brousse. Mais, pour cette partie-là, je suis accompagné par un Africain, Bob ; cest un auxiliaire de la mission. Je lui laisse le volant ; nous en sommes en tenue « short chemisette » car cest la saison des pluies et il fait très chaud
A peine supportable.
A un moment, laverse est si forte que nous sommes obligés de nous arrêter. Je sens la main de Bob sur ma cuisse. Toute en douceur.
- Tu es en nage.
- Oui, cest difficile à supporter.
- Je vais te mettre à laise, laisse-moi faire.
Ce faisant, il défait ma ceinture, prétendant que je me sentirais mieux. Ne voulant pas le vexer, je laisse faire. Il sattaque alors à ma braguette toujours en douceur. Et je me retrouve en slip. Pour le moment il en reste là. Mais pas longtemps. Il ne me dit pas un mot, mais il soccupe de ma bite comme jamais je ne lai fait avant lui
Il la sort, me tripote les couilles, me baisse le slip et me lenlève, je suis à sa merci.
- Tu aimes ?
- Oh oui, continue, mais je ne pourrai pas tenir bien longtemps.
- Pas grave. Laisse-toi faire, cest la première fois que je masturbe un blanc.
Il ouvre sa bouche et me gobe dun coup, je ne peux rien faire ; je suis à lui. Et ce qui devait arriver arrive dun coup. Bien trop vite à mon goût ! Mais il sy attendait, il nen laisse pas une goutte.
Comme la pluie continue de tomber, et que je suis toujours à poil, voilà que Bob se déshabille à son tour.
- Ny va pas trop vite avec la bouche ; cest trop long pour toi, trop gros aussi.
Je caresse ses couilles, aux poils crêpus, sa bite qui ressemble à un serpent ; je sens quil va jouir lui aussi. Oui
. Il envoie une giclée qui se répand sur mon visage, et il vient à son tour la lécher jusquau bout.
La pluie cesse, nous rentrons, il ne cesse de me toucher les genoux, la cuisse, lentre-jambes et
le bidule, bien entendu. Mais il ne va pas plus loin.
- Je passe te prendre demain matin ; on ira dans un village. Il y aura une surprise pour toi.
Le lendemain, vers 9h, le voilà qui se pointe à ma case. Bermuda blanc ; t-shirt blanc. Je me sens obligé de limiter.
Après 30 km de piste, nous arrivons à un village. Après avoir salué le chef, le griot, et quelques connaissances, Bob mentraine à lécart. « Voilà lécole, cest fermé aujourdhui dimanche. Il y a une petite salle de gymnastique ; viens voir, jai la clef ». Cest assez sommaire comme équipement. Des nattes, quelques agrès et quelques chaises.
Arrivent alors quatre Africaines avec des pagnes colorés. « Des amies à moi, dit Bob. Céline, Denise, Marcelline et Célestine ».
- Tu rentres en France dans deux jours. Nous avons décidé de toffrir un cadeau que tu noublieras jamais. Le grand chelem !
Assis sur les quelques sièges de la salle de gym, nous buvons un mélange de jus de fruits bien rafraîchissant. Nos quatre amies rient de me voir apprécier ainsi leur boisson.
- Céline, que portes-tu sous ton pagne ? demande Bob. (en fait, il na pas bespoin de poser la question, il connaît davance la réponse).
Elle doit avoir tout juste 20 ans ; une vraie poupée. Elle ouvre, elle montre. En haut, rien ; deux nichons pointus comme des obus. En bas, une mini ficelle qui sert de slip. Et cest tout.
- On va commencer par toi.
Du coup les trois autres me conduisent à une sorte despalier de gymnaste, menlèvent mon t-shirt et mon bermuda, mobligent à monter comme pour faire des exercices, et finissent par me pendre par les mains à des poignées accrochées tout en haut, très haut. De fait, je me trouve pendu par les poignets , en slip, et les filles mattachent les pieds. Je suis à leur merci. A la merci de Céline surtout qui, avec douceur, vient de faire glisser mon sous-vêtement. Ma bite est juste à bonne hauteur.
Comme elle a tombé le pagne, elle a juste son string blanc qui ne sert à rien et ses belles dents blanches qui sapprochent de mon sexe dangereusement.
Il y a deux minutes je nen menais pas large, ma bite pendait lamentablement. Mais les mains de Céline sur mes couilles, la langue de Céline sur le manche et le gland, les dents de Céline qui mordillent sans faire mal
voilà que je bande comme un zèbre maintenant, comme on dit par ici.
- Vas-y Céline, régale-toi, prends tout, disent ses comparses.
Elle prend son temps, la cochonne, et les autres applaudissent. Mais, hélas, trois fois hélas, tout a une fin. Céline me suce, me trait littéralement, quand une de ses copines lui dit : « une pipe royale, finis-le par une pipe royale » Alors elle mouille son doigt et me lenfile droit au but dans le trou du cul. Pour être royal, cest royal. En dix secondes je lâche tout. Et Céline se prend une giclée que je ne peux maîtriser. Alors, elle montre sa bouche bien pleine à Bob, à ses trois copines, à moi, puis elle déglutit lentement et fait constater quelle a tout avalé. La salope !
On me descend de lespalier, et on en profite pour me mettre complètement à poil. Mystère, jai joui tout mon soûl dans la bouche de Céline, et je ne débande pas. Un coup dil à Bob, qui sest laissé masturber par Célestine pendant la séance et qui me montre quil a lui aussi une belle érection.
- Cest le jus de fruits que tu as pris tout à lheure.
Comme je ne débande toujours pas, une des filles Célestine, je crois sempare de ma queue et memmène vers une sorte de douche. On dirait quelle me tient en laisse. Elle ne me laisse pas le temps de morganiser, me passe un peu deau froide sur le torse, une crème bizarre sur la bite bien dure et me conduit au bout de la salle de gym. Deux barres parallèles.
- Naie pas peur, ce nest pas pour toi. Cest le tour dune fille. On prendra Célestine, cest la plus menue.
Malgré ses trente ans, elle ne sait pas comment sy prendre. On va soccuper delle. A poil, comme il se doit. On la présente entre les barres parallèles, on passe ses mains dans deux poignées de cuir bien serrées, on fait de même avec ses deux pieds.
La voilà pendue par les mains et par les pieds, cuisses écartées, la chatte béante et le clito bien dressé qui dépasse dune masse drue de poils crêpus, offerte à mes coups de bélier ; oui, cest de ça quil sagit, je vais devoir la forcer, et y prendre plaisir.
- A toi, maintenant. Tu peux y aller, elle est à toi et elle nattend que ça.
Je naime pas me donner en spectacle, surtout en spectacle vivant. Mais là, je ne me reconnais plus. Ma bite est dure comme du bois, jy vais dun coup. Je lui fais mal. Elle se tord un peu puis se relâche. Je suis au fond ; cest super bon.
Les autres ne restent pas en reste. Marcelline me serre les couilles pour me faire mal et que je tienne plus longtemps ; Denise tripote et suce les tétines de ma partenaire qui nen finit pas de gémir ; et de son côté Céline se laisse tripoter par Bob, qui profite lui aussi de mon cadeau.
La séance dure une petite demi-heure. Célestine est cassée, son vagin plein de foutre, les tétins bleuis davoir été triturés et mordillés par Denise, les poignets et les chevilles tuméfiés car je lai drôlement secouée, la cochonne.
Fin de lacte 2. Et
je bande toujours, et il paraît que ça fait effet sur les filles aussi.
Céline et Célestine, mes deux premières partenaires du jour, se font des mamours dans un coin à lombre. Le troisième épisode sera sans doute pour Marcelline. Je devine un peu quel va être le chemin pour ma bite, et justement cette fille se distingue des trois autres par un derrière très proéminent, comme cest souvent le cas pour les noires.
Pas derreur, cest bien elle ma prochaine partenaire ; je vois quelle serre les dents en se rendant vers un cheval darçon en cuir de buffle, avec deux poignées, et dont les pieds sont réglés bas.
- Prête, Marcelline ?
- Oui, Bob, prête à tout.
- En levrette, petite chérie, ce sera meilleur pour toi. Et
. pour lui.
En trente secondes, la voici en piste. Elle se met en position ; ça vaut le coup que je la décrive.
Debout à larrière du cheval darçon, jambes écartées, penchée en avant un peu comme les femmes que lon voit dans les champs en Afrique. Une culotte blanche un peu lâche, transparente, qui ne demande quà être écartée et qui laisse entrevoir un cul magnifique, et, juste en-dessous, une chatte bien juteuse, aux lèvres boursouflées et proéminentes, un bel orteil de chameau ; elle a dû en prendre, celle-là. Penchée ainsi, les mains sur les poignées, très bas, cest une vraie sculpture vivante. Bob règle les pieds de lagrès, encore plus bas. Le buste est bien penché à présent, les nénés pendent à 30 cm du sol, et le fessier par contre est tendu au maximum, on devine lanus prêt à me recevoir .
Encore un détail, Bob me demande si je préfère lentendre couiner ou si je veux quon lui mette un bâillon, il en a un justement. Pas de bâillon. Par contre on lui attache les mains pour bien limmobiliser ; cest Denise qui sen charge.
Denise justement vient vérifier si je bande toujours. Experte, elle passe la main sur mes couilles puis sur la bite, et fait signe aux autres : tout est ok.
Serai - je à la hauteur ? Je nai jamais fait cela. Elle sen doute un peu, mapproche de sa copine, me met en position, et écarte la culotte .Fabuleux spectacle ; encore mieux que ce que jai vu tout à lheure, et ma queue déjà bien dure se met au garde-à-vous ; cest incontrôlable. Alors elle me glisse dans la chatte, histoire de lubrifier un peu la bite et dexciter Marcelline. Puis sans prévenir, elle me décalotte, met le tout en position, le gland juste dans les tout premiers plis de lanus. Jusque là tout va bien. Vas-y, dun coup, jusquau fond ». Elle guide la bite, qui disparaît dun coup dans le conduit. Un cri terrifiant. Et lautre qui moblige à pousser comme un âne
Jy suis, je sens mes couilles battre ses fesses, cest super bon. Et les couinements qui narrêtent pas, bien au contraire
Mais cest si bon. Je finis par inonder de sperme le cul de ma victime, et là cest moi qui me mets à couiner.
Nous voilà dénoués, il nous reste juste à nous rincer un peu.
Jai joui dans la bouche de Céline, jai baisé Célestine, jai enculé Marcelline. Je pense avoir gagné le Chelem quon ma promis.
Mais non, il reste Denise. Que va-t-il marriver ? Bob donne le signal.
- Denise, as-tu ce qui était prévu ?
- Oui, bien sûr.
- Equipe-toi, je vais préparer notre ami.
Je suis toujours à poil. Mais personne ny prête vraiment attention. Voilà Denise qui revient, avec une sorte de body, troué au niveau du sexe ; et il en sort un long gode en bois. Elle sajuste un peu pour bien montrer que lautre moitié du gode est fichée dans son vagin.
- En levrette, me dit-elle, tu vas aimer.
Pas le choix ; je dois passer à la casserole. Je suis à genoux, et Denise sapproche tout doucement par derrière. Avant tout elle prend soin de me caresser la bite comme si elle me branlait. Jai déjà juté à trois reprises et, comme je ne débande pas, ça commence à faire mal.
Denise sajuste à moi et glisse la bite débène dans mon anus. Avec précaution tout dabord. Puis un peu plus fort, puis enfin elle menfile jusquau fond. Pour le coup ça fait mal, puis ça devient bon, et elle me branle de sa main droite, et voilà que jéjacule une quatrième fois.
Applaudissements .
- Et voilà, le Grand Chelem, tu pourras rentrer en France à présent.
Une bonne nuit là-dessus, une douche bien froide (pour débander) et me voilà dans lavion du retour.
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