Chez Les Bonobos

Voyage chez les bonobos.
Je suis fana des expéditions animalières et je me rends régulièrement dans les pays où j’ai des chances de découvrir ou de revoir certains animaux, ceux qui m’attirent le plus, les fauves, les lémuriens, et en général tous ceux de la savane. Cette fois, j’ai l’occasion, en autre, d’avoir la possibilité de voir des bonobos ; les singes ne font pas spécialement partie de mes attirances, mais cette race a une réputation et cela change de l’ordinaire.
C’est avec une équipe de cinq rangers que je suis parti à la rencontre de ce peuple de singes, en voie de disparition ; identique physiquement à un chimpanzé, il en est très différent surle plan comportemental ; pacifique, solidaire, très attentionné avec les autres, il palie l’agressivité, par une activité sexuelle débordante et atypique : pas de différence avec les sexes ; il a des relations aussi bien avec les femelles que les mâles. Point commun avec moi, puisque je suis bisexuel.
Au Congo, à cette époque de l’année, il fait très chaud, et en dehors de grosses chaussures de marche, je suis court vêtu, à savoir un tee short et un short sans rien dessous. Mes attributs sont libres et j’adore cela. Pour les guides, il en est de meme, short et chemisette. Le trajet est long et pénible à travers la forêt, quand soudain, l’un des guides fait signe de s’arrêter : un peu plus loin, un groupe de bonobos petits et grands s’ébattent dans les arbres. Ils ont la réputation d’être curieux et de ne pas avoir peur des hommes (ils ont tort car ceux-ci les tuent souvent) et en effet, après avoir pris conscience de notre présence, deux d’entre eux s’approchent assez près de nous ; alors que le reste totalement indifférent à notre présence. Et c’est alors que nous pouvons vérifier que leur réputation : plusieurs singes copulent et il est facile de voir que parfois, il s’agit de deux males.
J’avoue que si je ne suis pas attiré par les relations avec les animaux, le fait de voir ces deux males ensembles fait resurgir des envies, d’ autant que celui qui prend l’autre y va hardiment.

Dans mon short, ma queue prend de l’ampleur et je prends conscience que cela doit se voir et j’essaie de le cacher ; mais sans sous vêtement, mon gland a tendance à pointer sous le bord du short. Gêné, je regarde les autres et à ma surprise je constate que certains eux aussi bandent sous leurs uniformes, ce qui me rassure partiellement.
Devant nous, plusieurs maintenant copulent, changeant parfois de partenaire. C’est alors qu’un des guides s’approche de moi et me dit « très excitant n’est-ce pas » devant ma surprise, il me montre mon sexe qui déborde et me dit « rassure toi, tu n’es pas le seul et si tu n’étais pas un étranger, les autres seraient plus démonstratifs. » « C’est-à-dire ? » Après un petit silence, il m’explique que dans leur tribu, il y a peu de femmes disponibles et qu’ils sont aussi excités que toi, car ils n’ont pas souvent l’occasion d’avoir des relations, et que cette visite leur donne comme à toi des envies »
« Ils sont homos ? non mais comme les bonobos, ils ont aussi des relations entre eux »
« Tu veux dire que si je n’étais pas là, certains pourraient se prendre ? » « « c’est exact, et toi, tu en aurais envie ? » « Tu as déjà eu des relations avec un homme » tout en disant cela, il a posé sa main sur mon corps et je ne peux retenir un petit geste de surprise ; il retire sa main et me dit « désolé de t’avoir choqué » la tension est perceptible, car les autres ont entendu notre dialogue, et me rapprochant de lui « non je ne suis pas choqué, j’aime avoir des relations avec un autre homme et j’avoue que de les voir n’a donné des idées et le frisson, c’est celui de plaisir d’avoir ta main sur moi »
Manifestement ce que je viens de dire a détendu l’atmosphère car deux des guides ont baissé leurs vêtements et ils se branlent. L’envie est trop grande et j’en fait autant, avant que le chef s’approche de moi, lui aussi le sexe à l’air ; bien bandé. il se met derrière moi et il frotte son gland sur mon sillon ; le geste est clair, il a envie de me prendre, comme le singes devant nous, sans préliminaires, une vraie saillie et même si j’appréhende la grosseur du sexe, mon envie est réelle et je me frotte contre lui me penchant en avant pour lui faciliter la pénétration ; l’anneau résiste et le gland a du mal à le dilater ; il me prend alors les boules à pleine main et il les tire violement ; sous la surprise, je me laisse aller et d’une seule poussée, il me pourfend, me sodomisant totalement ; sa queue compressée entre mes parois, me distant le conduit , le dilate, son gland venant me percuter la prostate ; il me posséde et sans attendre , comme les singes devant lui, il commence un ballet de coups de butoirs, sans un mot ; il me défonce et avant que j’ai pu jouir, il se répand en moi, avant de se retirer.
Pour moi la jouissance n’est pas complète et j’ai encore envie
À côté de nous eux des rangers se prennent sous le regard des autres, qui se branlent ; sans réfléchir, je me tourne vers eux, leur présentant mon postérieur ; je réalise que je viens de faire le même geste que le singes, offrir mes entrailles. Ils ont vite compris et à tour de rôle, ils vont me saillir puissamment, toujours de façon raide, mais pour eux sans jouir, ce qui leur permet de me prendre plusieurs fois ; finalement, ce sont les cinq qui prendront possession de mon corps, pas comme mes autres rencontres. J’ai eu l’impression de me comporter comme les bonobos, m’offrant sans autre forme ; pour les autres, il en était de meme manifestement ; simplement une saillie, mais qui pour moi était très différente, et qui, après mettre fait enculer et féconder plusieurs fois, m’a apporté un plaisir énorme.
Le retour s’est fait en silence, aucun mot de solidarité ; ce qui s’était passé devait rester secret, pour moi, la situation est très différente ; je me suis fait prendre come les singes, sans distinction, sans émotions de leurs part ; simplement le fait de me sodomiser ;j’ai dans mes entrailles , le sperme de ces cinq homme et mes cuisses sont pleines de sécrétions ; alors que nous arrivons en silence au abord du village, les homme se séparent, seul le chef me retient « moi j’aime les hommes et si tu veux nous pouvons faire l’amour cette nuit ; je suis célibataire et j’ai envie de toi et j’aimerais jouir et te faire jouir pour de vrai. » alors que nous somme à l’abri des regards, pour le provoquer, je me penche vers lui et je l’embrasse ; il ne se refuse pas ; je comprends que cela sera une vraie nuit d’amour entre nous.

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