Weekend À La Montagne - Épisode 1 - Le Jeu
Weekend à la montagne - Épisode 1 - Le jeu
Suite de "Domination de couple"
Je me réveille avec la boule au ventre : ce weekend, cest mon tour. La semaine dernière cétait celui de Pauline et je dois avouer que Léa et moi avons été particulièrement sadique. Elle risque de vouloir se venger
La dernière fois quon avait été lun après lautre, elle ne mavait pas laissé jouir avant la toute dernière minute du chrono !
Depuis notre premier weekend complet de folie, notre relation avait un peu évolué. Nous avions à peu près une séance de jeu par weekend. A la fin de la session, la ou les soumis(e)(s) de loccasion tirait au hasard plusieurs règles pour la fois suivante : quelle combinaison dominant(e)(s) / dominé(e)(s), quelle durée, quel lieu, et toute autres restrictions qui visaient à pimenter le jeu
Et ce weekend, cétait une première, et il avait fallu que ça tombe sur moi.
Dabord, parce que cétait un weekend justement. Jusque-là, les séances de jeu avaient duré entre 30min pour la plus courte et une demi-journée pour la plus longue... Aujourdhui, jétais lesclave de leurs caprices de 19h30 le vendredi à 7h le lundi. Doù le trac et la peur qui me collaient depuis le début de la semaine.
Ensuite, pour le où : cette semaine on allait passer le weekend dans un chalet à la montagne à quelques heures de Lyon. Entre le trajet, la nature, le froid
je savais quelles avaient de quoi se surpasser côté sadisme !
Pour corser le tout, javais lobligation de porter une cage de chasteté suite au tirage au sort des conditions spéciales. Elles me lavaient enfilé le samedi juste après la fin de notre jeu et je la portais depuis. Pauline sétait fait un malin plaisir toute la semaine den jouer et cherchant à mexciter. Mardi en rentrant du travail, jétais tombé sur elle dans le canapé en train de se servir de son rabbit. Elle mavait fixé droit dans les yeux avec un sourire sadique sur le visage jusquà lorgasme.
Et aujourdhui, vendredi matin, je me réveillais en sachant que ça allait être mon tour. Je me réveillais aussi avec une belle douleur à la bite qui tentait tant bien que mal de séchapper de sa prison, en vain.
Je parti au travail rapidement, le plus tôt jy serais le plus tôt je pourrais partir.
Je ne vais pas vous mentir, les aléas du quotidien me sont un peu « passés au-dessus » ce jour-là. Je gardais le regard vissé sur la pendule, en transe, concentré sur son tic-tac annonciateur de souffrance et de plaisir à venir.
A 17h, je me barrais sans demander mon reste. Je rentrais à lappartement, encore vide. Pauline ne rentrerait pas avant une bonne heure. Léa devait arriver aux alentours de 19h30, pour un départ à 20h30. Précis tout ça. Je navais pas manqué de noter quil leur faudrait 1h entre le début du jeu et le départ. Sans savoir que ça voulait dire, je savais que ce nétais pas le temps dun café.
Je décidais de prendre un bain pour faire redescendre un peu la pression. Il fallait juste que je le limite à 1/2h pour avoir le temps de me préparer avant larrivée de Pauline. Je me fis couler de leau bouillante, minstallais au fond de la baignoire et allait même jusquà mettre quelques sels de bain pour pousser le vice. Leau chaude simmisçait dans ma cage métallique et me caressait le sexe meurtri, ce qui me fit un bien fou et me mis dans un état de relaxation intense.
Tellement intense, dailleurs, que je mendormis.
Pour ma défense, ça faisait une semaine que je dormais mal avec cette cage et ce nétait surement pas avec le weekend que les filles mont prévues que jallais me reposer !
Je fus sorti de ma transe par un jeu deau glacé orienté vers mon visage. Je grognais (enfin cest ce que jaime à penser, concrètement cétait probablement un couinement pas excessivement viril), toussais et mapprêtais à me plaindre
avant douvrir de grands yeux abasourdis.
A côté de la baignoire se tenaient Pauline et Léa. Toutes les deux avaient revétu leurs tenues de domina. Je me tournais vers lhorloge murale : 19h31. Merde. Comment est-ce que je me débrouillais pour les énerver à chaque fois dans les premières minutes du jeu ?
- « Ça va on te dérange pas trop ?
- On voudrait pas tembêter plus que ça hein
- Pardon maitresses
» pas la peine den rajouter plus, je savais que ça ne servait à rien.
- « Tant pis pour toi, on avait lintention de commencer en douceur, va falloir attaquer cash » me dit Léa, rassurante comme tout.
- « Sors du bain ! »
Lordre de Pauline claque comme un coup de fouet dans lair. Je remarque dailleurs que Pauline porte justement à sa ceinture un jouet en cuir assez terrifiant. Je préfère espérer quil ne sagisse là que dun accessoire esthétique pour sa tenue, mais le doute reste. Elle est habillée dun pantalon en cuir et de bottine en fourrure. Son corset, lui-même composé de fourrure pour contenir ses seins et de cuir pour le reste, est à moitié recouvert par un long manteau. Léa porte une tenue similaire, la fourrure en moins sur le corset mais en plus sur le manteau.
Je sors de la baignoire et tend le bras pour attr la serviette, mais Léa latt au vol et me le bloque dans le dos.
- « On va pas attendre 15min encore que tu te prépares. Tu as eu le temps, tu las pas pris, maintenant tu assumes ! »
Elle me prend lautre bras et me lamène dans le dos.
Je naime pas les menottes métalliques. Cest froid, ça serre toujours trop et cest quand même bien moins agréable que du cuir ou de la corde.
Elles le savent très bien tous les deux.
Pauline me penche en avant et commence à menfoncer de force la tête dans une cagoule en cuir. Pendant quelle sattèle à menserrer le crâne dans cette gaine, je sens un doigt de Léa senfoncer dans mon cul sans aucune forme de délicatesse. Je gémis.
- « Ah tu vas pas commencer direct hein ?! » me lance Pauline. Elle me lance aussi deux-trois claques bien appuyées sur le cul pour me débarrasser de lenvie de continuer.
Une fois mon visage complètement immobiliser, je sens un bâillon senfoncer jusquau fond de ma bouche. Cest une sensation extrêmement difficile à tenir que davoir ce type de bâillon jusque dans la gorge. Cest un effort constant de chaque seconde de se concentrer pour limiter au maximum son reflexe de déglutition, pour empêcher sa gorge dessayer de se contracter. Lorsque lon oublie, cette présence hostile déclenche une forme de panique aussi difficile à décrire quà surmonter.
Malheureusement, difficile de me concentrer avec Léa qui me malmenait le cul.
Elle était passé dun doigt à deux, puis elle cherchait maintenant à me faire passer plug de taille respectable. Heureusement, je commençais à avoir un peu lhabitude avec ces deux sadiques. Mes yeux furent ensuite bandés, des pinces vinrent orner mes tétons, et des menottes reliées par une chaine furent installés sur mes chevilles. Pour finir, notre collier de soumis et la laisse associée vinrent compléter le tableau.
- « Allé cest parti ! »
Attendez quoi ? Elle ne voulait quand même pas que je fasse le trajet comme ça ? Et surtout : elles ne voulaient quand même pas que je descende de lappartement à la voiture comme ça quand même ??!
Les filles me tirèrent par ma laisse en papotant.
Jentendis la porte souvrir, et nous fûmes dehors.
Jétais terrifié, toujours trempé de mon bain, nu, plein de honte
mais terriblement à létroit dans ma cage.
Elles mexpliquèrent plus tard que la désinvolture avec laquelle elles mavaient mené à la voiture nétait quune façade. Elles avaient en réalité parfaitement timé le trajet, lune faisait le guet en permanence, je navais en réalité quasiment aucune chance de croiser qui que ce soit.
Mais moi, cette information bin je lavais pas.
Après un temps qui me paraissait être des jours jentendis une porte souvrir. Mais à ma grande surprise, le bruit nétait pas celui de ma voiture mais dune porte latérale de camionnette.
Je fus projeté à lintérieur du véhicule, jentendis la porte avant souvrir et claquer mais pas la porte passagère. Le moteur démarra dans un vrombissement et je sentis le véhicule entrer en mouvement. Après quelques secondes, nous avions quitté le garage et rejoins la route.
Jétais recroquevillé, je nosais pas bouger de peur de trop faire bouger mon plug, javais une flaque de bave qui me coulait sur le menton.
Après 5 min de ça, je sentis tout dun coup une main me serrer les bourses et entendis la voix de Pauline me chuchoter à loreille.
- « Ces deux heures de route vont être les plus longues de ta vie mon amour
»
Puis le son fut remplacé par un enregistrement que je reconnus immédiatement : elle mavait fait une « mixtape » des vidéos de leurs jouissances et de leurs gémissements de douleur des sessions précédentes.
Et lorsque je sentis mon plug menvoyer de courtes décharges électriques à intervalle régulier pendant quune main gantées de latex me malaxait les boules, je poussais un interminable cri silencieux
A suivre...
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