Le Leasing
Les négociations finales pour l'extension de notre société avançaient correctement. L'ensemble de nouveaux actionnaires trouvaient leur place et l'apport de capitaux nous permettait d'augmenter la capacité de notre centre de services en Pologne mais également l'ouverture d'un nouveau centre en Inde d'une cinquantaine de personnes pour la R&D ainsi que le développement de notre d'automatisation et de robotique de nos grands clients. Le Marquis avait fortement contribué, lui-même ayant investi 500 000 euros dans notre projet, le rendant un de nos principal investisseur juste après Richard. Seule question non encore résolue était celle de la gouvernance de notre nouvelle SA, dans laquelle il demandait la place de président du conseil d'administration laissant la place de Directeur général à Richard, ce que bien évidemment mon mari refusait estimant être de fait le président du conseil et directeur général naturel. Afin de finaliser la discussion et éviter les discussions pendant le premier conseil d'administration, ils avaient convenu de solder cette question lors d'un déjeuner dans lequel le Marquis avait demandé ma présence.
- Votre charmante épouse, sera notre juge de paix, Richard
Habillée dune Robe Wolford Merino Rib Dress marron en laine, un véritable Must-have intemporel dans une maille côtelée avec son haut col roulé, la robe était très moulante. J'étais assise entre les deux et attirait tous les regards alors que la négociation allait bon train et durait depuis plus d'une heure...
- Marquis les fondements de ce projet tiennent principalement à mon portefeuille de client ma réputation et mon savoir-faire, je ne peux et ne veux laisser la gouvernance à quelqu'un d'autre
- Je comprends, mais sans mon argent ce projet ne verra jamais le jour, je dois avoir la garantie que mon investissement est correctement utilisé ... Ou alors des compensations
- Vous avez toutes les garanties, Marquis, relisez le business plan, toutes les assurances sont là.
- Oui, je l'ai lu avec beaucoup d'attention... En effet, il y a des garanties, mais où est la compensation...
- À quoi pensez-vous en particulier, ou qu'est-ce qui vous plairais ?
- Et bien 500 000 euros, c'est beaucoup d'argent même pour moi... À mon âge, je dois avouer que le pouvoir m'attire beaucoup moins. Je suis en quelques sortes devenus un vrai épicurien... Et dans ce domaine Richard vous avez beaucoup à proposer...
Le marquis posant un regard très insistant sur moi, dévoilant d'un coup ses véritables intentions.... Je réagissais vivement totalement outrée.
- - Marquis !!!! J'espère que vous ne pensez pas ce que je soupçonne !!!
- - Patricia, ma chérie laisse le marquis nous expliquer sa pensée...
- - Richard !!!! Je ne suis pas une ....
Richard me prit la main fermement m'intimant le silence afin de laisser le marquis s'expliquer....
- Merci Richard, en fait, je pense à un système de Location longue durée à hauteur de mon investissement, dont le produit sera votre magnifique épouse...
- Richard !!!!!!
- Ma chérie, la proposition est intéressante, et nous savons tous que ce ne sera pas la première fois.... Pouvez-vous développer cher marquis...
- C'est très simple, un système de leasing sans option d'achat ou chaque utilisation du produit fera l'objet d'un nombre de points à convertir en Euro.
- Parfait, mais cela risque de faire cher la séance, avec bien évidemment des conditions d'utilisation...
- Par exemple ?
- Très simple, j'adore regarder ma femme se faire baiser, donc si je suis présent vous avez droit à une ristourne, ou bien des marques ou traces sur ses vêtements ou sur elle également donne droit à une réduction... Établissons un catalogue.
- Excellente idée, bien que je connaisse déjà le produit et sa grande qualité, c'est avec plaisir...
Richard, me pris la main pour me là passer en dessous de la table et me glissa à l'oreille....
- Branle le marquis ma belle salope... Montre lui la qualité du produit...
J'obtempérais complètement excité par la situation en me rapprochant du marquis memparant de son membre quil avait déjà libéré sous la table...
Les négociations sur le catalogue, la valeur du point, le nombre de séance, la valeur du discount... Leur discussion était juste hallucinante... J'étais devenue un produit de négoce vendue par mon mari à son investisseur et ça me plaisait... Je branlais mon futur maitre alors quils continuaient à négocier, tout en faisant des commentaires sur ma prestation. Tous les détails y passaient. Le serveur qui nous proposait les desserts nen perdait pas une miette
- Quelle main très chère, vous êtes fantastique, je ne me souviens d'une aussi bonne branlette depuis si longtemps, richard votre femme est une perle...
- Oui et encore c'est avec la bouche qu'elle est la meilleure...
- Oui c'est vrai je crois me souvenir, d'ailleurs il serait de bon ton que je puisse avoir une séance gratuite... Qu'en pensez vous Jeune homme sadressant au serveur
- Je dois avouer que Madame semble être une vraie experte
.
- Mais n'est-ce pas ce que ma bourgeoise est en train de faire en vous branlant sous la table
- C'est un peu 'cheap' comme cadeau vous en conviendrez ?
- Daccord alors mettons une pipe en plus comme cadeau de bienvenue dans la société...
Le marquis me repoussa la main afin de ne pas jouir me gardant pour la fin du repas.
- Finissez votre mari chère Patricia il l'a bien mérité...
Je me mis à branler Richard qui était surexcité alors que les négociations se finissaient. Il gicla juste après l'accord final, prenant bien garde à se vider dans ma main pour ne pas se tacher.
- Pour résumer une soirée représente 100 points, un week-end 2000 points, et sil y a sodomie ou plusieurs pénétrations c'est en option avec un bonus de 50 points. La valeur du point étant de 50 et tout cela avec une pipe gratuite. Quand vous arrivez à 10000 points c'est terminé, notre accord est scellé marquis ?
- Oui on a un deal
- Mettons que je peux vous proposez une option supplémentaire, si j'ai droit à une vidéo complète pour chaque session je vous fais un rabais de 10 points ?
- Très bonne idée vendue, surtout que votre épouse est très photogénique. Maintenant si vous n'y voyez pas d'inconvénients je vous propose que votre magnifique épouse me ramène à mon bureau afin que je puisse bénéficier de mon cadeau de bienvenue...
- Parfait marquis, l'addition est pour moi bien évidemment, quant à toi ma chérie, sois gentille avec le marquis, notre nouvel associé...
Nous quittions le restaurant, avec ma fiat 500, le marquis à mes côtés qui me fixait avec gourmandise tout en m'indiquant la direction. Arrivée sur place, je prenais un ticket pour rentrer dans le parking souterrain, et passais la barrière, le marquis me demanda de m'arrêter auprès du gardien de parking. Je baissais la vitre...
- Bonjour Jean-Claude, nous allons garer au 3e sous-sol, j'espère qu'il n'y a pas trop de monde ?
- Bonjour marquis mettez-vous plutôt au -4 vois serez plus tranquille... Votre dame est magnifique... Madame, vous êtes charmante... Avec un grand sourire et un clin d'il au marquis...
Sans répondre, je suivais les indications et me rendais au 4e sous-sol.
- Prends-moi dans ta bouche salope, suce-moi, on va voir si tu es à la hauteur du prix que j'ai payé pour toi... Allez pipe moi comme une pute au bois de Boulogne... Après tout, cest bien ce que tu es ... Une pute... Tu veux jouer les Bourges, mais pour moi, tu n'es qu'une roturière... Une salope de parvenue qui veut jouer les grandes dames... Je vais te montrer comment on traite les parvenues dans mon monde....
Il me parlait, m'humiliait, me soumettait, alors que son sexe était entré dans ma bouche et que je le suçais dans ce parking désert à l'abri des regards indiscrets. L'espace exigu de ma Fiat 500 rendait notre promiscuité encore plus intense. Il me maintenait fermement par les cheveux et se laisser avaler par ma bouche affamée...
- Tu es une vraie gourmande toi, une butineuse... Ohhh oui pompe salope... Bouffe moi la queue, tu failli me faire gicler en me branlant au resto tout à l'heure... Le serveur était tout excité... Et ton mari, je ne ten parle même pas... D'ailleurs, en parlant de lui, tu vas déjà me rapporter 10 points, car à la vitesse à laquelle je vais t'utiliser, je risque d'être vite a cours de crédit....
Il sortit son téléphone et me filma pendant que je le suçais, il en profitait pour soulever ma robe en laine et faire apparaître mon gros cul protégé par des collants Gerbe. Il me palpait le cul pendant que je le suçais tout en continuant à me filmer....
- Baisse la vitre de ta porte ma pute, et étends ta jambe dehors pendant que tu me suces....
J'obéissais, docilement actionnant le bouton à porter de main pour faire baisser la vitre et étendant ma jambe gauche au travers de la portière... Je sentis une main se saisir de ma jambe et me masser le mollet... Je ne pouvais me retourner, contrainte par la main du marquis qui me forçait de continuer à le sucer...
- Voilà jean Claude, elle te plaît celle-là ? Qu'en penses-tu, du premier choix....
- Ohhh marquis elle est magnifique, elle ressemble à la bourgeoise qu'Alban m'a décrite et qui va à votre club !!!
- Oui, c'est elle, c'est bien la même jument, une vraie chaudasse, une jument en rut... Vas-y, mon brave fait toi plaisir pendant qu'elle me suce...
Je gémissais, bien qu'étouffais par mon bâillon de chair et afin de manifester mon mécontentement, mais peu importe, j'étais l'objet du marquis, négociée par mon mari et j'allais être utilisée de toutes les façons possibles, les plus humiliantes aussi. Le gardien du parking enleva mon escarpin et déchira mon collant sous la plante des pieds. Je sentis ensuite son membre de glisser sous mon collant, et l'homme se branler contre ma jambe sous la pression du nylon. Je continuais à sucer le marquis qui grognait sous les coups de ma langue et la pression voluptueuse de mes lèvres.... Il allait sûrement décharger son foutre au fond de ma bouche, se répandre sur moi, sa proie, son objet, son esclave sexuel. La scène était irréelle, alors que le marquis m'étouffait de son dard énorme, Jean-Claude continuait à se branler contre ma jambe, laissant ses mains glisser sur tout mon corps et particulièrement vers mes fesses...
- Ohhh Marquis, elle a vraiment un gros cul très appétissant, je peux le toucher ????
- Oui vas-y, mais n'abîme pas son collant ça pourrait me coûter cher... Tu sais cette roturière est une vraie pro du cul, elle va me coûter une vraie fortune...
Le marquis commentait ma performance buccale à son acolyte pour enfin sarrêter net... Il me releva... Et me roula une pelle plongeant sa langue au fond de ma bouche tel un animal... Il sortit de la voiture fit le tour pour rejoindre son ami et ouvrit la portière afin de me faire sortir du véhicule. Jétais debout entre les deux hommes, coincée dans ce parking. Lun membrassa plongea sa langue au fond de ma gorge, avec une haleine fétide, alors que le marquis semparait de mon corps avec ses mains me pelotant mes gros seins au travers de ma robe en laine moulante.
- Tas vraiment de belle mamelle pour ton âge
Jadore les matures comme toi, rien de veau une bonne bourgeoise avec de lexpérience
Quen penses JC ?
- Hummmm, ohhhhh oui elle est vraiment bonne Monsieur le Marquis, sa bouche est un vrai délice
.
- Jean-Claude installe toi au volant, tu vas pouvoir tester sa belle bouche... Et toi ma belle applique toi, je veux que ta prestation soit à la hauteur des 150 points que tu vas me coûter... Ou plutôt 140 car on va tout filmer.
L'homme s'installa au volant, le marquis referma la porte et me bascula dans l'ouverture de la vitre latérale positionnant la moitié de mon corps à l'intérieur le reste à l'extérieur. Mes jambes ne touchaient plus le sol, et je reposais en bascule sur la portière, maintenue sur le devant par JC et sur le derrière par le marquis. Jean-Claude ne s'embarrassa pas de préliminaires et me fourra son membre puant dans la bouche. Il était repoussant avec une odeur nauséabonde d'urine...
- Vas-y ma Bourges, nettoie-moi tout cela.
Il me tenait fermement par les cheveux et me baiser la bouche comme un animal. De son côté, le marquis s'occupait de ma croupe. Il releva ma robe en laine laissant apparaître mes grosses fesses qu'il palpa pour la forme, comme une sorte de reconnaissance de territoire, avant de déchirer mon collant en deux, laissant mon cul juste protégeait par la ficelle de mon string. Son sexe se plaqua contre ma croupe et me pénétra d'un coup sec. Il s'accrocha à ma robe et commença à me pilonner les fesses de son sexe affamé. Sa bitte rentrait et sortait dans mon vagin me pilonnant comme un marteau-piqueur avec mon corps entièrement secoué sur la carrosserie de ma voiture. Prise des 2 côtes j'étais à nouveau défaite dans une situation des plus humiliantes. Ils me baisèrent pendant plusieurs minutes, m'amenant à jouir d'un orgasme bestial quand Jean-Claude déversa son foutre dans ma bouche me tenant fermement par la nuque afin que je ne puisse me soustraire à son sexe dans ma bouche qui se vidait de son sperme me forçant à avaler tout son liquide blanchâtre.
- Ahhhhhhh grogna t'il, tu m'as bien sucé la bourgeoise, je vais te faire le parking gratuit, et mon gamin avait bien raison, tu es la reine des pipeuses...
Le marquis ne fut pas en reste, il me claquait le cul, comme il cravachait ses juments et tel un cavalier autoritaire avant de se vider en moi. Je sentais son liquide chaud se répandre au fond de ma chatte. Une fois vidé, il sortit son sexe et l'essuya sur ma robe et mon collant déchiré avant de me laisser répartir totalement défaite et salie par les traces de leurs spermes qui dégoulinaient de ma bouche sur ma robe et mes seins ou le long de mes cuisses.
- Bravo chère amie vous avez été parfaite, bien évidemment j'enverrai la vidéo à votre mari pour récupérer mes 10 crédits... Je vous téléphone dans la semaine, car le week-end prochain, je vous emmène en week-end en Roumanie pour une partie de chasse...
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