La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1289)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) (suite de l'épisode N°1286) -
La vie au Château reprenait son court normal. Clémence était rentrée chez elle avec du bonheur de retrouver sa mère, sa sur et son frère mais aussi avec des sentiments partagés car elle aimait sa vie au Château avec Ronan, bien entendu, mais aussi Enguerrand et Antonin (ses cousins). Elle sentendait très bien aussi avec Chloris qui était devenue au fil du temps sa meilleure amie et sa confidente, en labsence de sa sur jumelle, et aussi avec le Seigneur dEvans, son oncle, quelle avait encore du mal à considérer comme tel, mais commençait à se permettre un peu plus de liberté en Sa présence
Quelques jours plus tard, au Château, le Seigneur dEvans fit appeler Antonin dans Son cabinet de travail. Il frappa à la porte et entra avec Chloris.
- Chloris, jai à mentretenir Seul avec Antonin en privé.
- Tu vois, je tavais dit quIl voulait te voir seul, répliqua Chloris parlant à Antonin (Puis sadressant au Seigneur) - Il ny a aucun problème, je dois une revanche à Enguerrand au jeu du Chatrang (l'ancêtre du jeu d'échecs), je serais dans la bibliothèque.
Et elle sortit en se disant que le temps était idéal pour une partie de Chatrang car il pleuvait cet après-midi.
- Charles, quest-ce que cela signifie ? Tu sais que je nai pas de secret pour ma femme.
- Loin de Moi, lintention de lui cacher quoi que ce soit, mais je devais ten parler avant. Nous sommes convoqués, Moi, Mes s et toi à la cour du Roi au Château de Vincennes.
- Pardon mais pourquoi ?
- Je lignore mais il y a aussi ta grand-mère.
- Malgré tout le respect que jai pour notre bon roi, je ne vois pas ce quil nous veut et encore moins à ma grand-mère ?
- Nous sommes convoqués dans huit jours, ce nest pas de trop pour nous préparer sans compter le temps du trajet.
- Et Ma Chloris et ton Château, qui va sen occuper ?
- Chloris ira au manoir de Maisondieu et ce sera Messire Léon qui soccupera du Château, nous savons nous défendre et en plus nous serons escortés par mes meilleurs gardes en cas dattaques de brigands de grands chemins.
- Bien, je vais prévenir Chloris, jirai dès demain la conduire et passerai chercher ma grand-mère en revenant.
- Parfait. Envoie-Moi Ronan et Enguerrand ?
- Oui, bien sûr (et il sortit).
Antonin mit Chloris au courant. Elle était très dépitée et même un peu en colère due à linquiétude de ne pas savoir de quoi il sagissait.
- Quest- ce quil vous veut le roi ? Et ta pauvre grand-mère ? La convoquer ainsi à son âge !
- Calme toi Ma belle, je ne sais pas ce quil nous veut mais tout ira bien, tu as confiance en moi.
- Evidemment, tu penses que cest en rapport avec lenlèvement de Clémence et Sophie ??
- Peut être ! Tu sais que notre expédition de sauvetage à fait le tour du royaume, un Grand et Noble Seigneur qui va Lui-même au secours de Sa nièce ça passe, mais au secours de Sa soumise il y en a peu, malheureusement, qui sen serait soucier genre une de plus ou une de moins quelle différence ?
- Je sais tu as raison pour Lui, Ses soumises ont autant de valeurs que les membres de Sa famille.
- Hé oui, et cest à cela quon reconnait les bons de mauvais Maîtres.
Antonin conduisit donc Chloris au manoir de Maisondieu où la Comtesse lui annonça quelle aussi était convoquée et serait du voyage.
- Cest de plus en plus étrange. Bien ma tante, nous y allons ?
- Louis-Etienne, tu es responsable de cette maison et je te confie tes surs et notre invitée. Veille à ce que son séjour soit le plus agréable possible.
- Ne tinquiète pas, ça ira.
Après quAntonin soit passé chercher sa grand-mère, ceux-ci et sa tante rentrent au Château en soirée. Après le repas Antonin et le Seigneur dEvans se retrouvèrent seuls à discuter du voyage, quand ils décidèrent daller se coucher Antonin demanda :
- Pourrais-tu Me prêter Marion, pour la nuit ?
- Oui, mais tâche dêtre en forme car nous partons de bonne heure demain matin répondit le Seigneur dEvans
Marion se présenta à la porte de la chambre dAntonin et entra après avoir frappé et elle se mit au centre de la pièce à genoux, tête baissée, mains dans le dos et attendit.
- Cette nuit sera relativement calme, car je dois me reposer mais avant jai besoin de me détendre et si tu me satisfais, ce dont je ne doute pas, tu seras récompensée.
Marion leva la tête, signe quelle demandait la parole.
- Tu peux parler.
- Monsieur le Duc, je ferai de mon mieux pour vous satisfaire et vous remercie de me récompenser mais je ne fais là que mon devoir de soumise.
- Tu sais Marion, si je navais pas rencontré Ma Chloris que jaime, javoue que tu maurais attiré par ta franchise naïve, ton imagination et ton sourire qui, malgré ce que tu as vécu dans cet affreux couvent, ne tas jamais quitté et aussi et surtout ta fidélité et ta confiance sans faille au Maître à qui tu appartiens et à tous ceux à qui Il daigne te prêter, dont moi.
- Merci Messire, je ne sais que répondre.
- Alors ne répond rien petite chienne
Et savoure le moment dêtre avec moi
Debout, immédiatement.
Antonin la saisit par la taille et lattira à lui. Marion sentit lexcitation érectile de lhomme contre son ventre. Il était nu en effet car il sétait dévêtu le temps quil lui avait parlé. Il lembrassa dun baiser fougueux et dominant. Puis Antonin lentraina à sa suite, jusquà un siège sans accoudoirs. Il sassit et ordonna à Marion de venir à califourchon sur lui, une jambe de chaque côté de ses cuisses et ainsi il la fit sempaler sur sa verge fièrement dressée. Bien que peu habituée à cette pratique, Marion adorait se sentir ainsi autant remplie. Antonin commença ses mouvements de bassin et Marion se tenait au dossier et elle dégoulinait littéralement, son orgasme montait à la vitesse grand V et elle craignait de craquer mais ce fut Antonin qui jouit le premier dans des longs râles orgasmiques alors quil se vidait au fond de la chatte de la belle. Mais il jouit sans lui accorder le droit à la jouissance. Il laida à se dégager la fit mettre à genoux afin quelle nettoie sa verge encore en semi érection.
- Tu peux me répondre, est-ce que le martinet et la fessée texcitent, salope ?
- Heu
oui Monsieur le Duc, les deux mexcitent, répondit-elle légèrement honteuse.
- Alors sur ma couche et sur le ventre, salope. (Antonin attrapa avec un martinet)
- Gémis, cries si tu veux, mais tu ne jouis pas, chienne, suis- je clair ?
- Oui Messire, très clair.
Les coups tombaient régulier, précis et mesurés car Antonin ne voulait pas réellement lui faire mal mais juste accen son excitation. Marion gémissait de plaisirs mais aussi de ce doux supplice de retenir son orgasme, prêt à éclater car chaque coup lui chauffait la peau et lui provoquait des spasmes de plaisirs faisant monter son excitation à la limite de la jouissance, et lui faisait également dégouliner sa cyprine sur ses cuisses.
- Sur le dos, maintenant.
Antonin se mit au-dessus delle et lui caressa son visage et doucement ses lèvres. Puis descendant doucement vers ses seins aux tétons dressés et si réceptifs, il les malaxa, étira, vrilla, massa tendrement pour ensuite les embrasser, les sucer et les mordre légèrement. Ensuite, il continua à descendre jusquà la chatte trempée et la fouilla de sa langue chaque coins et recoins de ce sexe féminin si chaud et humide, comme il aimait. Marion, elle, nen pouvait plus et allait craquer dans un violent orgasme, quand elle entendit.
- Jouit, salope, je le veux.
Alors, la belle Marion lâcha une quantité impressionnante de cyprine de cet orgasme si longtemps contenu, ses spasmes sétaient transformés en de si agréables décharges électriques de plaisirs, elle coulait littéralement dun orgasme atomique inondant le visage et la bouche dAntonin qui se régalait de ce plaisir féminin lâché abondamment. Puis relevant la tête.
- Regarde ce que tu as fait, chienne, tu men as mis partout. Couche-toi en travers de mes genoux, tu mérites dêtre fessée pour ça.
Antonin ne lui en voulait pas réellement mais il voulait lexciter à nouveau voulant encore la faire jouir.
- Tu vas commencer par nettoyer mon visage de ta langue de chienne et après tu viendras de nouveau tempaler sur ma verge.
Marion approcha sa langue douce et soyeuse du beau visage dAntonin et le nettoya impeccablement. Ensuite elle alla sempaler sur sa verge comme exigé et elle trouva un sublime plaisir à se sentir ainsi remplie jusquà la garde.
- Donne-moi du plaisir, tout en texcitant, vas-y, tu as le champ libre.
Marion commença à sexciter frottant sa fente sur cette belle queue bien dure et bien dressée à la verticale, qui lexcitait et titillait son clitoris si réceptif. Puis Marion entreprit de monter et descendre jouant sur les articulations des genoux pour trouver une cadence régulière et lente, Antonin saisit ses seins et de ses mains malaxa ses tétons toujours aussi excités et dressés. Tous les deux étaient sur le point de jouir, quand il sexclama entre deux râles :
- Maintenant, salope, jouit, je lexige
Et ce fut de concert, quils jouirent à nen plus finir de cris et de longs râles de plaisirs orgasmiques voire séismiques. Puis Marion sécroula, couchée sur le corps dAntonin. Quand ils eurent repris un peu leur esprit, elle se dégagea et se mit à genoux à côté de la couche.
- Marion, sache que tu mas plus que satisfait. Tu as donc droit à la récompense que je tai promise : Tout dabord tu vas rester ici et reprendre ton souffle, le temps que jaille me laver dans le grand baquet. Ensuite, tu iras à ton tour et tu auras de leau tiède et tu me rejoindras.
Antonin avait, avant larrivée de Marion, fait monter des seaux deau chaude et à présent sans doute tiède. Quand Marion eut terminé, elle alla le rejoindre, il était déjà couché :
- Vient près de moi, je tautorise à partager ma couche cette nuit, lui lança Antonin.
Antonin lenlaça tendrement et cest ainsi enlacé quils sendormirent Marion, la tête sur le torse dAntonin.
Au matin, il fut le premier à se réveiller de très bonne heure, il se lava sans réveiller Marion et prépara ses affaires en silence pour partir, mais avant il décida de la réveiller un peu.
- Marion
Marion
Marion ouvrit les yeux et voulut se lever et lui présenter ses excuses de ne pas sêtre réveillée la première, mais il larrêta la forçant à rester couchée.
- Reste couchée ma belle petite chienne, dors encore et profite-en. Je dois partir
Et après un bref baiser, il quitta la pièce
. Il rejoignit les autres pour le grand départ jusquà la cour du roi. Le trajet jusquau palais du roi se passa sur plusieurs jours et sans le moindre incident notable et lors du dernier jour de carrosse, cest relativement tard quils arrivèrent. Ce fut le premier valet de chambre du roi qui les reçut, une fois quils se firent annoncer auprès des gardes royaux.
- Sa Majesté vous recevra demain soir après le banquet donné à votre intention.
Le Seigneur dEvans demanda.
- Cher Monsieur Bontemps, pourriez-vous nous dire de quoi le roi veut nous entretenir ? Sa convocation ne contenait aucune information à ce sujet ?
- Je nai pas pouvoir de communiquer le contenu des convocations de Sa Majesté
(mais voyant leur visages interrogatifs et inquiet il ajouta,)
mais rassurez-vous, Sa Majesté ne vous reproche rien
- Bien. Nous verrons bien, alors. Et savourons lhonneur dêtre appelé à Ses côtés.
- Souhaitez-vous souper dans vos chambres ou dans le petit salon ?
- Le voyage fut éprouvant surtout pour ces dames, nous mangerons dans nos chambres.
Exceptés Ronan et Enguerrand qui partageaient la même chambre, tous avait leur propre chambre dans laile réservée aux invités de marques
(A suivre
)
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