Le Peintre Et Sa Muse Chapitre 12 1

Le peintre et sa muse
Chapitre 12/1
Déplacement pour une exposition


J’ai une exposition temporaire dans une galerie à 470 km de chez moi.
La galerie est un peu spéciale.
D’abord on n’y expose que des nus, bien sûr artistiques, je dirais plutôt académiques ; et une salle spéciale privée dans laquelle sont exposés les nus érotiques pour ne pas dire plus.
Comme c’est entre autres le genre de tableau que je peins, le galeriste m’invite au vernissage et me demande si c’est possible que je puisse venir avec un ou une de mes modèles et que si j’ai quelques tableaux supplémentaires pour la salle privée, je peux les apporter il reste encore deux ou trois cimaises.

La galerie se situe dans le vieux Nice.

Comme dernièrement j’ai peint quelques nus d’Annie d’après les photos que j’ai prises (voir chapitre 7), je fais un paquet de trois tableaux sans cadre et j’enveloppe le tout dans du papier kraft et une bonne ficelle.
Je téléphone à mes modèles, Ousmane n’est pas libre il participe aussi à un vernissage et Lydia ne répond pas.

Je mets les tableaux dans le coffre de ma Jaguar, je me mets au volant il fait beau et chaud.
Je file vers la maison de Bernard et Annie avec en tête ma petite idée,emmener Annie si Bernard est d’accord.

Je me gare et je sonne.

C’est Bernard qui vient m’ouvrir, il a juste passé un pantalon il est pieds et torse nus. Je redécouvre ses longs poils gris sur sa poitrine et son ventre rebondi.
- Bonjour François.
- Bonjour Bernard tu vas bien ?
- Un peu fatigué mais c’est l’âge et puis ce temps est trop chaud pour moi heureusement je vais partir en cure.
- Annie est là ?
- Oui elle est au soleil dans le jardin vas-y !
Je suis venu voir si vous vouliez m’accompagner pour un vernissage c’est à 470 km d’ici je vais y mettre 3 tableaux d’Annie si tu veux bien Bernard.
Je suis fatigué en ce moment mais vous pouvez y aller tous les deux et tu peux mettre les tableaux d’Annie elle me racontera l’effet qu’ils auront eu.



Demande à Annie, ça m’étonnerait qu’elle te dise non.
Je laisse Bernard et je me rends au jardin.
Au milieu de la pelouse je distingue le dos d’une chaise longue.
Je m’approche lentement, la pelouse étouffe le bruit de mes pas, en arrivant à la hauteur du dossier je m’arrête afin de contempler Annie qui se repose au soleil, entièrement nue.

Mon Dieu cette opulente poitrine ! Je la connais mais c'est toujours encore une surprise pour moi. Ces deux seins aux larges aréoles brunes et ces deux tétons qui pointent et semblent quémander baisers et sucions !
Et puis juste en bas d’un petit ventre rond de femme mature, le tout début de cette fente glabre qui se dore au soleil du printemps.
Annie a écarté ses jambes afin de bien exposer sa vulve aux chauds rayons de Phébus, je me fais la réflexion que cette belle chatte doit être brûlante.

Je pose mes mains sur son visage pour lui cacher les yeux mais Annie s’écrit : « François je t’ai reconnu à ton parfum !!».
Et Annie se lève pour venir m’embrasser et plaquer contre moi son beau corps chauffé au soleil.
- Tu es venu pourquoi ? Tu aurais pu téléphoner,
mais j’aime ce genre de surprise !
- Tu es toute chaude toute brûlante
- Partout rien que pour toi !tu sais bien
- Non pas maintenant ; je suis venu voir si vous vouliez venir à un vernissage avec moi mais Bernard a décliné mon offre, mais toi tu veux bien ma chérie ?
- Nous serons partis pour la journée ou plus ?
- Quatre heures de route et le temps de manger ce midi et puis d’être au vernissage vers 19h00
-Je pense que nous rentrerons dans la nuit, à moins que tu ne veuilles la passer avec moi dans un petit hôtel tranquille ?
- On part quand ?
- Dés que tu es prête,
Prends quelques affaires de toilette et passe quand même une robe et si tu veux un soutien gorge mais rien d’autre.
- Tu m’énerves de m’empêcher de mettre une culotte ou même un string, tu sais que je suis toujours excitée quand tu me la retires.

Et tu sais aussi que je mouille vite et beaucoup, je n'ai pas envie de tacher mes habits.

Je passe un doigt entre ses grandes lèvres et bien sûr Annie est déjà humide.
Je sens mon doigt.
- Ton parfum est toujours aussi bon
- Arrête tu vas me rendre folle, je fais quoi
alors ?
- Alors mets un string, tu le retireras dans la voiture,
je te veux le sexe à l’air au vernissage, j’aurai une surprise pour toi.
- Dis-moi ?
- Non sinon ce n’est plus une surprise.

Encore un tendre baiser et Annie file préparer un petit bagage.
Je la suis de loin je vois qu’en entrant dans la maison elle parle à Bernard et puis elle l’embrasse et file dans la chambre.
J’arrive à la porte-fenêtre, Bernard me dit : - Prends soin d’elle et prenez votre temps il vaut mieux dormir en route que de risquer un accident, surtout si vous buvez un peu au vernissage.
Oui tu as raison nous rentrerons demain dans la journée.

Annie redescend vêtue d’un beau chemisier immaculé qui met bien en valeur sa belle poitrine et une petite jupe noire courte afin de bien mettre en valeur ses longues jambes et dans une main son petit sac et dans l’autre un sac de voyage que je lui prends.
Elle embrasse Bernard et me dit : "On y va ?"
- Allez on est parti, à demain Bernard.
- Amusez-vous bien.

Je mets le bagage dans le coffre tandis qu’Annie s’installe dans la voiture.
Et en route pour le vernissage.
Nous quittons le sud de Lyon et comme nous avons du temps devant nous je ne prends pas l’autoroute, mais le chemin des écoliers, j’ai envie de profiter des paysages et aussi pourquoi pas de la jolie femme à mes côtés.

Il fait chaud dans la voiture et Annie me dit :
- Tu pourrais
ouvrir la capote de la voiture ?
- Et toi tu m’ouvres ton
petit capot moteur ?

- Tu ne penses qu’à
ça ! Vraiment !
- Et toi tu aimes bien ça
non ? Dis-moi non, ma belle Annie pour voir.

Tu adores faire ce que je te demande.
Allez retire ton petit string, tu sais que j’aime te savoir sans rien sous ta jupe

- Tu finiras par me faire faire n’importe quoi !

Annie descend de la voiture et appuyée contre la voiture elle retire son string.
- Voilà tu es content ?
- Donne le moi.
Annie me donne son string et je le mets dans ma poche
mais soudain avant de remonter dans la voiture elle me dit :
- Avec ça maintenant j’ai envie de faire pipi !
- Et bien fais ici.
- Non mais ça va pas !
- Alors monte dans la voiture on s’arrêtera dans quelques kilomètres, dans un endroit plus discret.
- T’es vraiment un beau salaud tu sais que je n’irai pas plus loin et j’ai trop envie

Annie serre les cuisses, croise les jambes pour tenter de se retenir.
Je reste appuyé sur le côté de la voiture et je la regarde, je sais qu’elle va finir par céder.
Et en effet Annie relève sa jupe jusqu’à la ceinture, mon dieu qu’elle est belle, les fesses à l’air, son mont de Vénus bien rebondi, à me donner le tournis et je commence à bander.

Annie se retourne et, dos à moi, elle s’accroupit, mais je la stoppe net.
- Tourne toi que je vois ce que tu fais !
- Non François pas ça.
- Alors remonte en voiture allez hop, on s’en va, ou je te laisse là !
Annie se décide, elle se dit il veut me voir m’exhiber il va voir ce qu’il va voir.

Elle se relève, se tourne face à moi, tout en tenant sa jupe bien haut, puis elle s’accroupit de nouveau, pose ses mains derrière elle et elle écarte les genoux.
Je regarde avec envie le fruit rouge s’épanouir devant moi, Annie est arquée le plus possible afin de bien me montrer sa vulve.
Et puis le jet doré jaillit entre les petites lèvres avec cette musique si caractéristique que produit le jet d’urine entre les petites nymphes qui vibrent au passage du liquide.
Annie y met toutes ses forces, je vois qu’elle tente de m’arroser les chaussures !
A chaque fois je finis par lui faire faire ce que je veux, elle est devenue une maîtresse bien docile.

Puis son jet se tarit, les dernières gouttes, du fait de sa position, s’écoulent jusqu’à son petit anneau.
Avant qu’elle ne se relève je viens près d’elle, je prend un mouchoir dans ma poche et j’essuie tendrement toute son entrecuisse humide et pas que d’urine.
- Merci ma chérie tu es superbe je t’aime
- Moi aussi je t’aime, tu m’aides à me relever ?

La jupe, toujours en guise de ceinture après que je l’ai aidée à se relever, Annie
se plaque contre moi et nous échangeons un long baiser. Je sais maintenant
qu’elle a pris beaucoup de plaisir à cette première exhibition privée.

Je la mène à la voiture je l’empêche de rabaisser sa jupe et je l’assois sur le siége en cuir, les fesses à l’air.
- Non François, je vais mouiller le siège !
Je vais jusqu’au coffre j’avais tout prévu, je prends une serviette de bain dans mon sac de voyage et je reviens à l’avant pour la mettre sous les fesses d’Annie, qui entre temps a remis sa jupe en place.
- Lève tes fesses, j’ai ce qu’il faut, et remonte ta jupe.
-
Docile, Annie s’exécute. En remontant bien sa jupe, elle lève son joli popotin et je mets en place la serviette sous ses fesses, on peut y aller.
Et nous reprenons la route.


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