Collection Zone Rouge. La Débâcle (1/1)

COLLECTION ZONE ROUGE. La débâcle (1/1)


- Bonjour général Helmut Von Bite, heureux de vous revoir, enfin un de mes anciens clients du temps de la splendeur de mon bordel d'avant-guerre.
- Grete, ton établissement est encore magnifique dans le chaos que nous connaissons.
Tu te portes bien, tu es toujours plantureuse comparé à beaucoup d’autres femmes de notre pays.
- Tu l’aimais bien mon cul avant-guerre, quand tu venais avec ton frère qui sert dans les Forces spéciales.
- Mon frère est mort, ma belle-sœur et mes deux nièces ont disparu.
Je suis passé chez lui espérant y retrouver Lotte, mais il avait un tas de ruines.
J’ai peur qu’elles ne soient dessous.
- Lotte, tu l’as baisée, Lotte, la femme d’Otto, te connaissant, queutard comme tu l’étais, la sautais-tu ?
- Tu sais, il partait souvent dans ses camps d’entraînement de la jeunesse de notre pays.
Lotte restait seule et elle s’ennuyait, pourquoi ma queue serait passée à côté de sa jolie chatte blonde ?
Jamais il ne la dit, ce sera son secret à jamais, mais lorsqu’il revenait des camps, il était très fatigué.
- Otto était homosexuel !
- Comme tu y vas, à ses heures, petit déjà il s’habillait en fille et se maquillait comme tes putes savent très bien le faire.
- Je vois le tableau, Helmut.
Si j’avais su, quand vous veniez, je lui aurais trouvé de gentils mâles tous majeurs.
J’avais quelques jeunes hommes qui travaillaient occasionnellement pour moi.
- Je me souviens, ils sont tous partis au front, le dernier que j’ai revu, il était la lopette de toute sa compagnie.
Ses copains le sodomisaient avant de partir en patrouille, c’était le seul trou qui était à leur disposition.
- Dieter, blond, 20 à 21 ans ?
- C’est ça, c’était le fils d’un garagiste près du centre de notre ville.
- Lui aussi est mort, il était dans ma division, c’est dommage car il avait un joli petit cul.


- Toi aussi tu ?
- Oui, bisexuel, entre ton trou du cul et le sien, aucune différence à part ta cellulite que j’adorais.
- C’est fini, j’ai de gentilles poulettes qui me rapportent plus surtout en nourriture ce qui nous permet de survivre.
Mon bordel a la chance d’être assez hors du champ des bombardements.
J’ai même pensé que les Anglais, quand ils bombardaient, nous évitaient pour venir voir mes filles quand ils nous auront envahis.
- Tais-toi Grete, je veux éviter de finir devant un peloton d'exécution pour apologie de la défaite.
Nous allons gagner.
- À l’Est, les Russes vous bloquent et à l’Ouest, on parle d’un débarquement.
- L’Est, ce sont des mensonges de nos ennemis qui font croire qu’ils nous ont arrêtés.
Quant à l’Ouest, je dirige la ligne de défense de toute la côte de Normandie.
Ils peuvent toujours venir, j’ai tellement de bunker tout le long de la côte et des plages, que nous saurons les recevoir.
Assez parlé, si j’ai bien compris, tu me refuses ton cul, qu’as-tu à me proposer pour cette nuit, mon chauffeur m’attend dans ton jardin, nous repartons pour Paris dans la nuit.
- Tu vas à Paris et tu viens me voir avant, je suis flattée.
- Comme je te l’ai dit, j’espérais retrouver Lotte, j’ai besoin de teutonnes sachant bouger leur cul, à Paris, elles se couchent et écartent leurs cuisses !
- Je sais ce qu’il te faut, j’ai des jumelles blondes.
Il y a quelques mois qu’elles sont chez moi, elles sont exceptionnelles au travail, seulement elles refusent que je les sépare.
- Tu me gâte, des jumelles blondes de surcroît, ta chambre bleue est libre !
- Oui, la moitié de mes chambres sont vides.
Va t’installer, je te les envoie, elles finissent avec un client, le temps qu’elles se re-pouponnent, elles seront à toi pour le restant de la nuit.
- Hélas, comme je te l’ai dit, je prends la route dans la nuit, juste le temps de me vider les couilles.

- Que tu es vulgaire pour un général de la plus grande et forte armée du monde.

C’est ainsi que Helmut Von Bite monte dans la chambre qu’il avait l’habitude d’utiliser quand il venait dans mon bordel se payer mes pensionnaires avant la guerre.
Il m’a donné des billets pour la nuit avec mes filles, hélas la force de notre monnaie est inverse à l’avancer de nos troupes.
J’attends Virginie et Éva qui finissent par me rejoindre.

- Les filles montées dans la chambre bleue, mon vieil ami et client le général Helmut vous attend, soyez aux petits soins pour lui.
Traitement maximum, il a payé plein tarif, c’est rare, surtout qu’il désire que je vous monte l’une de mes dernières bouteilles de vin pétillant.

Je suis Virginie l’une des filles du capitaine Otto Von Bite, nous sommes jumelles avec Éva ma sœur.
Grete la patronne du bordel vient de nous demander de rejoindre la chambre bleue où un officier en permission nous attend.
C’est moi qui entre la première dans la chambre.
L’homme assis sur le lit est entièrement nu.
Sur la chaise, une casquette de général.

- Tonton Helmut !
- Virginie, ma filleule, je vous croyais disparue.
Attendez, je récupère mon caleçon.
- Laisse tonton, ta bite il y a longtemps qu’on l’a vue !
- Comment ça !
- Tu baisais maman dans le dos de papa, nous t’avons souvent vue te taper notre salope de mère dès qu’il partait à un rassemblement avec ses compagnons.
- Vous nous avez vus !

Nous nous asseyons sur le lit chacune de chaque côté.

- Éva masturbe Tonton et suce-le.
Laisse-la faire, grâce à vous elle a vu comment il fallait sucer un homme.
Maman était très bonne, elle a su dès que nous nous sommes retrouvées ici comment faire.

Ma sœur prend la queue de tonton dans sa main et le masturbe avant de le sucer !
Tonton tente de se libérer.

- Laisse-nous faire, sinon si Grete est mécontente de notre travail, nous serons envoyées, l’une dans un bordel près du front de l’Est et l’autre à l’Ouest, nous préférons mourir que d’être séparées.


Il se laisse faire, il commence à bander.

- Je dois reconnaître que je baisais votre mère.
Il vous faut savoir que votre père était homosexuel et qu’après votre naissance, il lui refusait sa bite.
Elle allait divorcer pour vivre avec moi quand la guerre a éclaté.
Savez-vous où elle est ?
- Non, un jour elle est sortie faire des courses, il y a eu une alerte à la bombe, un immeuble s'est effondré non loin de chez nous.
Nous y sommes allées, nous enlevions les pierres pour chercher si nous retrouvions maman, une deuxième vague de bombes est passée et c’est notre immeuble qu’ils ont détruit.
Nous errions dans la rue quand Günther nous a repérées, il nous a amenées ici, sans que nous sachions que Grete dirigeait un bordel.
Elle nous a restaurés et nous a fait travailler pour elle.
Voilà comment tu nous retrouves ici.
Tu bandes à fond parrain, je vais m’empaler sur toi !

C’est sans aucun remords que je suis montée sur sa verge, la mettant au fond de ma chatte, sa bite était plaisante, maman l’aimait tellement.
Avant qu’il ait déchargé, un jour dans notre salon sur le canapé, je l’ai vu enculer maman, nous le faisons régulièrement avec Éva, ce coup-ci, c’est elle qui s'y colle.

- Vous êtes aussi bandante que Lotte, les filles, je suis content de venir me vider les couilles avant de repartir au front.
J’aimais votre mère, mais vos petites chattes et trous du cul, c’est mieux que bien.

Helmut nous prend chacune une fois après que ma sœur lui eut de nouveau taillé une pipe.
C’est bien elle la reine des fellations sur la place Berlinoise !
Dans la nuit, il remet son costume et surtout sa casquette.

- Salut les filles, à la fin de la guerre, je viendrai vous rechercher, nous vivrons ensemble.

Une alerte se déclenche quand il franchit la porte.
On l’entend démarrer sa voiture quand les vitres sont soufflées et qu’un bruit effroyable nous parvient.

C’est sûr que le bruit de ferraille qui arrive jusqu’à nous est pour lui, sa voiture et son chauffeur ont dû être pulvérisés.
Ils sont cons ces Anglais, ils doivent refuser les putes allemandes.
Nous sortons de la chambre et nous précipitons vers la cave.
Un sifflement.
Adieu.


Texte corrigé par ma muse.

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