Weekend À La Montagne - Épisode 2 - Le Trajet
Weekend à la montagne - Épisode 2 - Le trajet
- Petite aparté : s'il existe des lectrices dominatrices parmi vous qui souhaiteraient co-construire l'histoire avec moi, n'hésitez pas à m'orienter par messages ou commentaires -
Impossible de dire combien de temps sétait écoulé depuis le début du trajet. Pauline sétait rapidement lassée de me caresser les bourses, à mon plus grand regret (terriblement agréable) et à ma grande satisfaction (douleur dans ma cage de chasteté). Elles avaient finalement décidé de mettre à profit ce trajet pour développer ses talents dans le domaine du bondage.
Les menottes avaient rapidement été remplacées par des cordes qui me maintenaient dans un hogtied assez sévère. Après un épisode de panique prolongé, Pauline mavait libéré du gode qui senfonçait dans ma gorge et lavait remplacé par un simple ring-gag.
Elle avait par ailleurs eu la brillante idée de me débarrasser de ma cage de chasteté. Après une semaine demprisonnement, cétait une libération. Malheureusement, cette véritable libération est rapidement devenue une véritable . Elle mavait en effet plaqué le sexe et les bourses le plus vers larrière possible, entre mes fesses entrouvertes. Une fois le hogtied terminé, elle mavait sanglé à la carcasse métallique de la camionnette immobilisé sur le ventre. Javais donc les bras croisés et sévèrement attaché dans le dos, le menton levé par une corde qui reliait mon collier et mon plug, et mon sexe plaqué vers larrière par mon propre poids.
Lorsquelle me caressa le gland du bout de ses doigts gantés de latex, mon sexe qui essayait de se tendre se retrouva plaqué à lenvers dans un combat aussi douloureux que perdu davance contre le métal froid de la camionnette.
Elle mit mon plug en mode « vibreur » et bascula côté passager pour discuter avec la conductrice. Étant donné que mon bijou anal menvoyait des décharges électriques par intermittence depuis le début du voyage, cétait une nette amélioration de ma situation.
Cest à ce moment-là que jai perdu la notion du temps. La température dans lhabitacle était douce, jétais dans une sorte de transe bercé par le son de la route (mon casque qui diffusait des enregistrements de nos sessions précédentes était tombé pendant mon installation en hogtied).
Nous fîmes un arrêt sur une aire dautoroute, mais pas de pause pipi pour moi semblerait-il. Lorsque nous sommes repartis, jai senti une présence devant et autour de moi. Mon masque me fut enlevé et je compris, une fois laveuglement passé, que Pauline avait pris le volant.
Léa était là.
Enfin non, pas exactement en fait. Dans mon champ de vision, javais la chatte de Léa pour être plus précis. Elle avait conservé son manteau de fourrure et son corset, mais avait enlevé son pantalon de cuir et son string. Les lourds vêtements dhiver quelle portait sur le haut de son corps contrastait dune manière extrêmement sexy avec la proximité de ses cuisses nues. Celles-ci étaient réparties de part et dautre de mon visage et les pointes de ses talons aiguilles senfonçaient dans la chair de mes deux fesses.
Sans un mot, elle détacha la corde qui reliait mon collier et mon plug ce qui eut pour effet de me faire tomber la tête en avant. Avec le ring-gag, javais ses grandes lèvres dans ma bouche pour mon plus grand plaisir. Elle passa la corde autour de sa taille comme une ceinture, puis dans une boucle à larrière de ma cagoule en cuir et serra le tout. Mon visage entier vint senfoncer entre ses cuisses.
- « Tu sais ce quil te reste à faire
»
Je me mis à la tâche en essayant de mappliquer, mais le ring-gag et le fait dêtre autant enfoncé entre ses cuisses mempêchait de maitriser quoique ce soit. Cétait un concert de coups de langue aléatoires, de grognements et de gémissements, mais aussi daspiration et dessoufflements, de brefs moments d, de reprise dair
etc
Je respirais son vagin en manquant de boire la tasse, signe distinctif quelle adorait ça.
A posteriori, je me dis que celle pour qui ça devait être une , cest probablement Pauline qui devait se concentrer sur la route.
Mais à ce moment-là, mes seuls soucis consistaient à satisfaire Léa et à ne pas tomber dans les pommes d (ou de noyade). Et après une dizaine de minute de se traitement, elle était prête à jouir. Je le savais et malgré ma situation, je mefforçais de rester aussi alerte que possible. Je savais dexpérience que Léa prenait son pied à appuyer sa domination au moment de lorgasme. Et ça na pas manqué.
Je sentis Léa basculer son corps vers larrière, ce qui eut pour effet de me libérer temporairement le nez de son intimité. Je prenais alors une grande inspiration en continuant à lécher autant que possible son clitoris. Lorsquelle jugea que javais assez respiré, elle me prit la tête à pleine main et la bascula vers lavant. Javais maintenant le nez collé contre son clitoris et ma bouche ouverte écrasée contre son vagin
jessayais de prendre des inspirations mais là cétait impossible. Je me maintenais donc en apnée et je sentis soudain mon plug venir sécraser contre ma prostate.
Je poussais un cri sourd dans son vagin et la sentit basculer. Je tentais dinspirer de grandes gorgées, jétouffais, je me débattais
et elle continuait inexorablement à taper sur mon plug avec sa chaussure pour lenfoncer violemment dans mon cul, pendant que son corps tout entier était secoué de spasmes.
Après un temps indéterminable, elle sépara son intimité de ma bouche. Je pris de grandes goulées dair, je métouffais avec ma bave, je recommençais
Elle prit son string qui était dans sa main, sen servit pour messuyer les lèvres et se nettoyer le sexe, puis me lenfonça dans la bouche. Elle entreprit de me caresser délicatement la tête.
- « Cest bien petit chien, tu as fait du bon travail
Il va être gentil avec nous hein ? »
Jacquiesçais doucement, je commençais à me calmer.
- « Moi du coup je suis hyper frustrée ! » Lança Pauline depuis la cabine, « je risque de vouloir me défouler encore plus en arrivant
»
Merde, il ny avait décidément aucun moyen de les satisfaire ces deux-là
Léa sétait relevée au-dessus de moi pour remettre son pantalon.
- « Mais non mais non, on va commencer en douceur on a tout le weekend » répondit-elle alors que lorgasme lavait rendue relativement gentille, « on ira progressivement et tout le monde prendra d
mais quest-ce quil a fait ce con ?! »
Quoi, quest-ce que jai fait ???
- « Quoi, quest-ce quil a fait ? » lance Pauline en regardant dans le rétroviseur.
Et avant que Léa ne réponde je compris. Je navais même pas réalisé dans ma situation de panique cunilinguiale, mais je le sentais bien maintenant. Une sensation dapaisement comme je nen avait pas connu depuis une bonne semaine. Un relâchement des muscles dans tout le corps clairement symptomatique dune dose de cheval dendorphine en train de se promener partout dans mon cerveau
Javais joui.
Le plug vibrant avait dû venir taper de manière répétée contre ma prostate et avoir raison dune semaine dabstinence. Mais dans la confusion de la tentative de par vagin interposé dont jétais victime à ce moment, je ne lavais pas peine réalisé.
Or, un homme qui jouit, ça sécrète du
enfin vous voyez quoi, ça en fout partout !
- « Il a éjaculé sans aucune autorisation et en plus, il en a foutu partout !
- IL A QUOI ??! Une semaine que janticipe le moment ou je vais le libérer de son abstinence, et ce salaud le fait au bout de 5min sans rien dire à personne
Eh bin il va me le payer ! »
Pauline avait lair furieusement remontée. Mais quest-ce que jy pouvais moi aussi ?!
- « Tu as de la chance quon arrive, sinon je serais sorti à la première aire pour te faire passer lenvie de recommencer
»
En effet, je sentis la voiture sengager sur un chemin cahoteux, puis après quelques minutes sarrêter.
A suivre
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