Un Bon Moment...
- Il serait possible que tu me déposes devant la grande surface.
- Ce nest pas lheure de faire des courses mon petit bonhomme. Fis-je à mon stagiaire.
- Ce nest pas pour des courses, jai seulement des clichés à faire développer. Et cest urgent.
- Bon daccord ! Mais pas deux heures
- Je te promets de faire vite.
Et il a sauté sur fourgon. Le petit bonhomme se nommait Ludovic et il était depuis six mois chez nous. Malgré mon fort caractère il se plaisait de maccompagner à chacune de mes interventions. Jai dû patienter un bon moment avant de le voir réapparaître.
- Mais quest-ce que tu as foutu ? Jétais près à te laisser là. Il y a du boulot, merde !
- Excuse-moi, javais du mal à faire fonctionner la machine.
- Ouais ! Répondis-je en démarrant.
Alors quen charrier le matériel du fourgon jusquau préau, il narrêtait pas de me vanter le physique de sa copine. Je lui ai bien fait comprendre que je men foutais. Mais il assista fortement. Au point de me faire défiler les clichés de sa belle sous les yeux. Avec des commentaires mi-amoureux, mi-vulgaire. Jaurais été mal placé pour lui jeter la pierre daimer ainsi exhiber les charmes de sa douce. Pour lavoir à plusieurs reprises, exhiber la mienne à qui voulait la voir.
Mais si visiblement elle avait été volontaire pour poser devant lobjectif de son copain elle devait ignorer quil létalait à la vue de son collègue. Jai glissé simplement au passage quelques réflexions sur le fait que je préférerais les femmes plus poilues.
- Oui mais Maude préfère sépiler.
- Les goûts sont dans la nature ! Comme il se dit.
Cela le fit sourire. Le soir je nai pas manqué de faire le récit de ce petit épisode à ma femme.
- Mais hormis que sa copine est chauve de la chatte, lui est montée comme un âne.
- Parce que tu las vu ?
- Oui ! Sur certains clichés, oui. Mentais-je.
- Ah oui ! Cela est intéressant.
- Tu bosses comment demain ?
- Je suis du matin. Pourquoi ?
- Je vais peut-être passer prendre un café en sa compagnie.
- Je te vois venir, toi !
- Ah oui ! Tu crois ?
Comme promis la veille, jattirai le cher Ludovic dans les filets de ma femme. Aussitôt ma complice lui décrocha un de ses sourires enjôleurs dont elle en a le secret. Et qui augmenta le trouble déjà visible du jeune homme. Je nai pas attendu longtemps pour lancer les hostilités. Attendant pour ça dêtre seul avec mon invité.
- Alors, murmurais-je à mon stagiaire. Tu ne trouve pas ma femme appétissante.
- Bien sûr, elle est superbe.
- Cathy ! Appelai-je.
- Oui ? Sécria-t-elle.
- Il prétend que sa copine a une plus belle poitrine que toi
Surpris, il ma regardé effaré, alors que ma femme fit son apparition parmi nous.
- Je peux voir, fit-elle.
- Cest
que
- Tu as bien gardé une photo ? Lui lançais-je.
- Oui
mais. Bafouillait-il.
- Nest pas honte. Jai mis ma femme au courant.
Non sans mal, il extirpa son porte feuille de sa poche arrière de son pantalon, et il sortit de lintérieur deux clichées quil tendait dune main tremblante à ma femme. Qui ! En parfaite comédienne, fit semblant de sy intéresser.
- Je te laccorde. Elle possède une belle poitrine.
- Mais je trouve chérie, que la tienne est plus gonflée. Mais bon cela ne tiens quà moi. Quen dis-tu Ludovic ?
- Je ne
sais pas.
- Il faudrait pouvoir comparer, ajoutais-je.
- Bien sûr, tout de suite. Renchérit ma femme.
En deux gestes trois mouvements, elle fait passer son tee-shirt par-dessus la tête et baissa les bretelles de son soutien-gorge, exhibant ses beaux seins ronds de leurs bonnets. Séduit, Ludovic resta muet, incapable de détacher les yeux de la poitrine. Aux tétons roses déjà dressés par lexcitation. Il men fallait pas plus pour que je sente mon sexe saffermir instantanément.
- Alors quest-ce que tu en dis, garçon ? Lui susurra-t-elle.
- Ils sont
splendides ! Réussit-il à articuler le stagiaire.
Après cette distraction, elle remettait ses charmes dans ses nids en dentelle. Omettant de remettre son tee-shirt.
- Je vous sers une part de tarte aux pommes avec vos
Cafés ?
- Avec plaisir ma chérie.
Jattendais quelle disparaisse, pour interroger mon stagiaire.
- Eh dis-moi ! Son cul tu le trouves comment ?
- Heu ! Je ne sais pas
- Ne te fiche pas de ma gueule, je tai surpris en train de le reluquer.
- Cnest pas vrai
- Quest-ce quest pas vrai ? Fit ma femme en pénétrant le salon. Un plateau en mains, quelle posa sur la table basse son postérieur tourné vers nous. Alors quelle sapprêtait à se redresser, je lui ordonnais :
- Reste comme ça, que Ludovic puisse aussi admirer ton cul !
Elle appuyait ses mains sur la table et se cambra. Je nhésitais pas un seul instant de lui remonter sa jupe sur ses reins. Dessous elle portait une petite culotte de dentelle noire. Délicatement, je la glissais le long de ses jambes gainées de bas, noirs eux aussi. Et cela jusquà lui dévoiler son cul rebondi. Chaude comme de la braise, ma femme ne darda pas de lui commander :
- Si cela te dit, tu peux toucher !
Jexultais devant létat du jeune stagiaire. Au lieu de se jeter sur le cul comme il lui était demandé, il me regarda comme pour me demander la permission.
- Vas-y, mon vieux, dis-je. Si elle lexige.
Sans quitter sa place, tout en tendant les bras, il se contenta dabord deffleurer la croupe tendue. Senhardissant, il en palpait les formes en couvrant toute la surface. Ma femme lâcha un soupir.
- Nai pas peur de glisser ta main entre les cuisses, conseillais-je.
Il ne se lai pas laissé dire deux fois. Il aventura sa main dans les replis les plus intimes de ma femme, murmurant comme pour lui-même.
- Cest vrai, elle mouille bien !
- Oui ! Jai la chatte en feu ! Sexclama-t-elle.
Les doigts senfonçaient sans difficulté dans la vulve accueillante provoquant des clapotis en la fouillant. Elle sétait elle-même retirée des phalanges intrusives pour poster ses jambes écartées au-dessus de la tête du stagiaire, qui devait apprécier le spectacle. Elle plaqua les mains contre le dossier du divan pour se maintenir. Puis elle se baissa comme elle laurait fait pour pisser. Et ça à bout touchant sur la figure de Ludovic. Elle écartait les pieds afin que sa fente exposée souvre au maximum. Elle bougeait les fesses pour ne pas le jeune stagiaire. Mais pour aussi diriger la manuvre comme elle le faisait quelques fois avec moi. De temps à autre elle donna des coups de reins lubriques pour que Ludovic la lèche partout, même entre les fesses. Elle faisait sa toilette intime avec la langue du stagiaire. Jentendais le jeune homme respirait bruyamment alors quil suçait comme si sa vie en dépendait. La face barbouillée de mouille. Ivre aussi des parfums intimes de ma femme. Que je connaissais parfaitement.
- Plus haut ta langue
plus haut ta langue ! Lui aboyait-elle.
La connaissant très bien, elle voulait jouir, et vite. Elle simmobilisait, soulevant sa jupe pour regarder entre ses cuisses. Sous la toison Ludovic lui bouffer la chatte avec vigueur. Elle leva la tête pour me fixer, tout en poussant des gémissements saccadés, comme si elle forçait. Je posais la main sur le cul frémissant. De lautre main je malaxais les seins à travers le soutien-gorge. Au bout dun moment sa bouche lâcha un drôle de couinement. Saffaissant sur la bouche du stagiaire. Pas le temps de reprendre son souffle que le pauvre stagiaire fut agrippé par les cheveux et forcer à prendre place sur le divan.
Sans perdre de temps, ma femme sinstalla à califourchon au-dessus de la verge raide. Elle frotta le gland contre son clitoris. Doucement dabord, avant daccélérée le rythme au fil des secondes, accompagnant le mouvement de petits cris. Je sortais la mienne de sa
Niche. Entre temps la chatte de ma femme avait engloutit la verge du stagiaire. Devant mes yeux, le cul de ma moitié narrêtait pas de monter et descendre le long de la queue luisante de sécrétion. Le jeune homme ne donna pas sa part au chien. Remuant son bassin. Se calquant à celui de sa partenaire du jour. Je me suis approché deux à les toucher. Je forçais ma femme à se pencher contre le torse du stagiaire. Je promenais ma verge le long de la raie en sueur. Jusquà lentrée de son anus. Elle creusa les reins pendant que je pliais les genoux pour mettre ma queue à la bonne hauteur. Dun mouvement lent mais continu, jenfonçais mon sexe dans lanus dont les contractions laspiraient. Elle cria
- Ooooh ! Que cest bon !
Nous commencions à nous mouvoir avec précaution en coordonnant nos mouvements. Jécartais avec les deux mains les grosses joues de la croupe, alors que jétais presque absorbait jusquau fond. Je sentais à travers la mince barrière de chair la verge qui pilonner son vagin. Branlant par la même occasion ma verge. Très vite avec le stagiaire nous avons pu la perforer ensemble. Molle écartelée, ma femme accompagnait chacun de nos coups par un mouvement soumis des fesses. Ludovic a joui le premier et je lai suivi presque aussitôt. Ma femme devenait folle sous les doubles saccades qui la remplissaient.
Bien plus tard, dans le lit, ma femme me montra une photo. Sur le cliché une blonde. Elle me demanda si je la trouvais pas mal. Je me doutais bien que cétait une question piège. Je lançais alors :
- Oui pas mal !
- Cest le genre de fille que tu sauterais sans problème ?
- Oui ! Bien sûr.
Je répondais cela en espérant attiser sa jalousie.
- Cela te dirait que je la ramène à la maison ?
- Pourquoi pas
- Elle nest pas conne.
- Encore mieux.
- Tu vois où je veux en venir ?
- Pas spécialement.
- Je veux que tu la sautes devant moi. Je lui ai parlé, elle est OK.
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