Premier Entretien D'Embauche.
Premier entretien d'embauche
Carole
Referme la porte et viens ici, petite salope ! Regarde ! Regarde comme je l'encule ce petit pédé ! Aahh ! Oui ! Regarde ! Tu aimes ça, mater hein ?... Regarde ça !
Oui ! Oui ! Ooh ! Chéri ! Baise-le... encule-le ! Plus fort ! Vas-y !
Varlin me tenait fermement par la taille, m'attirant doucement et pesamment sur son mandrin dressé. Puis se rétractait... pour recommencer... Le long chibre épais distendait mes sphincters pour s'enfoncer au fond de mon ventre, je sentais alors les poils de son pubis crisser sur mes fesses, alors que ses lourdes couilles venaient s'écraser sur les miennes. Je me crispais, grimaçant sous le joug de la jouissance que m'imposait mon tortionnaire. Le regard voyeur de la petite vicieuse, ses exhortations à me faire jouir encore, ajoutaient à ma fièvre salace.
Varlin éructait des borborygmes de plaisir lubriques.
Déshabille-toi, salope ! Dépêche-toi ! grinça-t-il à l'adresse de Carole, tout en continuant à me besogner avec application. Devant lui... ! Allez ! Va !
Obéissante, elle vint se placer devant moi, à me toucher et se dévêtit, souriante, en un tourne main, mais non sans grâce... Je n'eus pas le loisir de détailler la beauté de son corps, tant la jouissance que me procurait la pénétration du gros chibre de mon bourreau m'accaparait, mais la regarder se dénuder, alors qu'il me forçait les reins de son gros pal, me fut une volupté esthétique de la plus haute intensité.
Embrasse-le, petite pute ! Embrasse-le, je te dis !
Carole s'approcha, prit ma tête dans ses bras et me serra contre ses jolis petits seins. Puis se penchant sur moi, prit ma bouche et m'offrit la sienne dans un baiser qui me renversa.
Je ne pouvais pourtant m'empêcher de pousser de profonds ahanements, sous les coups du terrible bélier de mon tortionnaire.
Elle se décolla de ma bouche, lèvres entrouvertes, un filet argenté de salive claire nous unissait encore.
Se penchant sur moi, avec un sourire vicieux, elle murmura :
Tu jouis... ?
Salope !... Cambré sur le lourd gourdin qui me fouaillait, les paupières crispées sur mes yeux qui chaviraient, je mordais ma lèvre inférieure et gémissais. Je hochai pourtant la tête, en signe d'acquiescement.
Viens ici, petite pute !
Carole s'empressa.
Oui, chéri...
Varlin eut un ricanement.
A genoux ! Allez ! Dépêche-toi, traînée !
Elle s'agenouilla.
Regarde ! Regarde comment je l'encule... Aaah ! Regarde ça !
Lentement, il se retira. Et brandissant devant sa bouche sa mentule humide :
Suce, salope !
Elle se jeta sur le gros mandrin avec un gémissement de plaisir lubrique, goba le gland tuméfié et suintant de sa jolie bouche et se mit à le sucer avec gourmandise, en proférant des gémissements et geignements de contentement salace. Varlin s'était emparé de son joli visage et la forçant sur sa queue, la toisait, d'un regard goguenard et obscène.
M'étant retourné, j'assistai à toute la scène, alors que j'esquissai un geste pour me relever, Varlin me caressa les fesses.
Reste ici, mon mignon, je n'en ai pas fini avec toi ! Écarte tes fesses ! Montre-moi ta rondelle de pute !
Je m'exécutai et le sentis placer plusieurs doigts mouillés sur mon anus où il les enfonça doucement. Malgré moi, je me cambrai sur l'impure et délicieuse caresse.
Aaah ! Aussi bon que si je doigtais une chatte ! Aaaah ! Que tu es bonne ! Tu aimes ça, hein... ? Tu aimes ça, salope !... Tu vas être servi !
Alors que j'entendais les gémissements obscènes de Carole, il faisait aller et venir ses doigts en moi, de plus en plus fort... je me tendais vers la troublante caresse pour en jouir plus encore.
Il me fit jouir ainsi un long moment, alors que l'exquise petite vicieuse continuait à sucer son gourdin. Ce type était d'une endurance phénoménale !
Il interrompit sa lubrique caresse et se retirant de la bouche de sa soumise, ordonna :
Viens ici ! Dépêche-toi, petite pute ! Mets-toi à quatre pattes ! Allez... ! Vite !
Docile, elle s'exécuta. Lui écartant les jambes et la caressant, le vieux pervers s'écria :
Tu mouilles comme une chienne, salope !
Et d'un coup, il enfonça sa trique au fond du petit con ruisselant. Elle eut un miaulement aigu, puis se mit à geindre sous les assauts brutaux du gros mandrin.
Viens ici, mon giton ! Me lança-t-il. Mets-toi, devant elle... ! Elle va te sucer, cette salope !
Je participais à un sabbat de vice et de lubricité des plus fous...
Lorsque je m'approchai du visage de Carole, je fus frappé par sa beauté angélique... Transcendé par la jouissance, ses traits étaient détendus, apaisés. Lumineuse, elle gardait ses paupières aux longs cils paisiblement closes, un chaste sourire entrouvrant ses lèvres. J'étais subjugué.
J'embrassai tendrement sa bouche et ne pus m'empêcher de lui murmurer :
Que tu es belle... !
Elle ouvrit les yeux, l'air égaré, et dans un battement de paupières :
Viens... !
Je me tendis vers elle.
Elle suçait merveilleusement bien, se laissant simplement aller au plaisir animal de satisfaire une envie instinctive et essentielle. Aucune technicité ni de savoir-faire de geisha. Elle se faisait seulement plaisir.
Caressant sa jolie petite gueule, je la contemplais à loisir, alors que l'autre la besognait toujours, la faisant s'écarteler sur son membre impérieux.
Elle avait un corps d'adolescente, aux proportions harmonieuses, d'une insolente grâce vive. La complexion claire de sa peau de rousse donnait à son petit corps nerveux une touche de douceur diaphane.
Avec des bruits de gorge et des roucoulements, elle me suçait, en même temps que l'autre la baisait.
A ce spectacle, une bouffée de fièvre érotique m'envahit et sous les sollicitations de la langue de la belle, dans un râle libérateur, je déchargeai tout mon sperme dans sa bouche à longs traits spasmodiques. Avec des gémissements gourmands, elle avala toute ma semence.
Varlin me regarda alors avec un sourire féroce. Puis il reporta son regard sur le petit con de Carole où je le voyais enfoncer son mandrin avec une force accrue.
Il eut soudain deux hoquets, et dans un long râle, s'enfonçant plus profondément dans son intimité, il jouit en elle, la faisant gémir de volupté.
Il se retira et s'allongea sur le sol... Il bandait toujours !
Il me regarda.
Viens ici, toi ! Viens !
Je savais ce qu'il allait me demander.
Suce-moi !
Je me jetai sur son gourdin, empoignai la lourde hampe poisseuse, et engloutis avec gourmandise le volumineux gland, trempé de cyprine et de sperme.
Carole dégoulinante, les cuisses striées d'épaisses traînées du liquide blanchâtre, nous regardait, une expression de convoitise lubrique dans les yeux.
Viens, toi aussi... ! Sucez-moi tous les deux !
Ce type était odieux, mais force était de reconnaître qu'il s'y entendait pour vous emmener sur les chemins les plus abrupts du vice et vous faire rouler dans la débauche la plus obscène.
Ce qui n'était fait pour nous déplaire, ni à la belle, ni à moi.
Carole s'approcha, je l'embrassai, et elle empoigna le gros chibre, suçant avidement le gros cabochon turgide, pendant que je la caressais, puis elle me le tendit, ruisselant de toute la salive qu'elle y avait laissée, je l'engloutis avec concupiscence.
Notre tourmenteur nous ordonna:
Mettez-vous à quatre pattes toutes les deux, mes salopes ! Côte à côte.
Nous nous exécutâmes tout en nous regardant... il allait nous... ! La friponne resta bouche bée un instant puis eut un sourire en se mordant la lèvre. Mon cur battait à tout rompre.
Il se plaça derrière nous, nous caressant les fesses.
Aaah ! Regarde si c'est joli, ces deux petits culs de putes... ! Mes salopes... !
Il se plaça derrière Carole et commença par enfouir son chibre dans son con juteux. Puis il nous ordonna.
Mouillez-vous, chiennes... !
Je déposai plusieurs fois ma salive sur mon anneau pendant que la mignonne faisait de même. Il replongea sa grosse queue dans son con, la retira lentement puis l'enfonça dans son anus. La petite eut un gémissement de douleur qui se mua vite en ronronnements de plaisir quand la grosse mentule se mit à pesamment la limer. Puis, j'entendis Varlin bouger.
Il vint se placer derrière moi, m'écarta les fesses, et, abouchant sa massue à ma rosette, il l'y enfonça toute, me faisant gémir de jouissance. Il me lima profondément, me faisant monter, monter encore.
Alors que jahanais sous les profonds coups de l'épaisse bielle, je sentis la langue de Carole sur mes lèvres, je les écartai, et nous nous embrassâmes, échangeant nos baisers lubriques et délicieux.
Varlin qui paraissait de plus en plus échauffé, se retira et se replaça derrière Carole qu'il empala à nouveau, et la lima encore, à quelques reprises, puis, il eut à nouveau ses hoquets bizarres, et, s'enfonçant en elle au plus profond, il éjacula dans son fourreau, secoué de spasmes violents. Carole jouissait, gémissant doucement, pendant que je l'embrassais.
Varlin se retira, maintenant flaccide... Pourtant, il n'en avait pas fini avec nous...
il me jeta :
Mets-toi à quatre pattes, salope !
Je fis ce qu'il ordonnait.
Et toi, viens derrière lui !
Carole lui obéit.
Maintenant, mouille-lui le cul ! Plus... ! Plus que ça... ! Voilà ! Maintenant, enfonce-lui un doigt ! Allez...! Voilà ! Mets en deux !... Trois...! Enfonce-les... fort, tu entends... ? Fort ! je l'ai fait jouir avec ça, tout à l'heure !
Je prenais plaisir à ce que la jolie gosse me faisait et elle semblait, elle aussi très excitée par ce nouveau jeu. Je le sentais à son souffle haché, à ses soupirs.
Maintenant, mets-lui-en quatre !
Oooh ! Mais je vais...
Tais-toi ! Fais-le !
Elle plaça quatre de ses doigts rassemblés sur mon anneau, et se mit à pousser...
Les quatre doigts pénétrèrent jusqu'à sa paume. Elle poussait des exclamations de surprise... mais aussi de plaisir !
Je jouissais...
Mets-lui ta main à cette salope...! Vas-y... !
A nouveau, elle se retourna vers lui.
C'est à ce moment-là que, malgré la jouissance que je ressentais, je décidai d'arrêter ce jeu. Je pris peur... je savais !
Non ! Arrête Carole ! Arrête ! Ça suffit... !
Et je m'allongeai sur le tapis.
Et voilà... ! On se dégonfle ! jeta Varlin. Dommage, ça aurait pu être amusant !
Carole m'avait rejoint sur le tapis, me caressait et m'embrassait... je devais lui avoir fait plaisir...
Nous restâmes un long moment ainsi à nous cajoler... je ne me rendis pas bien compte de la durée de ce temps suspendu. Quand nous émergeâmes, Varlin était presque complètement rhabillé, nous étions allongés sur le tapis, nus...
Seriez-vous amoureux... ? Il ricana.
Il ajustait son nud de cravate. Après avoir jeté un coup d'il à sa montre :
Carole, je m'en vais ! Vous fermerez, je compte sur vous, n'est-ce pas ? Bonsoir !
Monsieur le Chef du Personnel venait de réintégrer ses fonctions en même temps que son costume.
Oui, Monsieur Varlin. Bonsoir Monsieur Varlin.
Je m'abstins de répondre
J'ai dit : « Bonsoir ! »
Je ne suis pas sourd! Eh bien, vas-y ! Qu'est-ce que t'attends ?
J' eus l' intuition, qu'à partir de ce moment-là, je pouvais dire adieu à mon job d'été.
Varlin sortit en claquant la porte.
Sa charmante collaboratrice me fixa, les yeux ronds, la bouche grande ouverte sur un sourire ravi.
Eh, ben ! Toi alors... !
Elle se rhabillait posément, absorbée par le boutonnage du haut de son chemisier.
Je lui lançai, en souriant :
Tu savais, quand tu es entrée... C'était un coup monté, n'est-ce pas ? Tu étais de mèche avec lui.
Elle prit son air de petite fille boudeuse, prise la main dans le pot de confitures, resta un moment silencieuse. Puis, très vite :
Si je disais non, il me foutait à la porte, alors...!
Il te l'a dit ?
Non !... Non ! Il me l'a pas dit... Sa voix montait dans les aigus... Mais... il me l'a bien fait comprendre, va ! Ah ! C'est un vrai salaud, tu sais...
Oui. Et tu baises avec lui !
Oh... ! Bah ! Bien obligée, hein ! Qu'est-ce que tu crois ?
Je crois rien ! En tout cas, ça a eu le mérite de faire que je t'ai rencontrée... T'es mignonne et je trouve que tu baises bien !
Elle eut un rire en cascade... Je fis un pas vers elle, lui claquai un baiser sur la bouche et m'apprêtai à sortir.
Allez, bonsoir, petit écureuil !
Eh ! Eh ! Attends... heu... ? Je sais même pas comment tu t'appelles !
Mick.
D'accord ! Eh ben, tu sais, Mick... Faut que je te dise... J'ai vachement aimé le truc qu'il m'a obligée à te faire, à la fin... Avec les doigts... Mmmh ! C'était bon !!
La tête enfoncée dans les épaules, fermant ses jolis yeux :
C'était bon... !Ah ! Qu'est-ce que c'était bon !
Carole était sûrement une dominatrice qui s'ignorait.
Ca s'appelle un « fist fucking » c'est un truc qui vient des US... Ça se pratique pas encore chez nous, ou très peu. Il a l'air vachement au courant, ton vieux salingue !
Bien entendu, c'était un ami d'Öskan qui m'avait éclairé sur le sujet. Il m'avait approché et me l'avait proposé. Devant mon ignorance, il m'avait montré quelques photos de femmes et d'hommes qui m'avaient vraiment impressionné.
En tout cas... qu'est-ce que j'aimerais le refaire !... Mais je trouverai jamais un mec pour faire un truc pareil... dit-elle, reprenant son air boudeur...
Tu parles si je la voyais venir, la coquine ! Et je la regardai venir... Elle ne fut pas longue.
Dis... ! Tu voudrais pas qu'on le refasse, tous les deux... Oh ! Ça me botterait... tu peux pas savoir ! Et puis t'es beau gosse, tu me plais vachement !
Ah, vraiment ?... Écoute, je sais pas... faut voir !
Ma première intention avait été de refuser, c'était presque de la peur que je ressentais à l'égard de cette pratique, mais une vraie curiosité me poussait à essayer de tenter à nouveau cette étrange expérience... pendant laquelle ia drôlesse m'avait donné beaucoup de plaisir.
J'avais aussi très envie de la revoir.
Alors ? Oui... ? Oui ? T'es d'accord ?... Oh ! Mick, c'est génial ! Elle souriait, aux anges.
Elle se colla à moi, jetant ses bras autour de mon cou, elle m'embrassa à plusieurs reprises puis ajouta, me regardant de ses yeux rieurs.
C'est extra ! On ira chez moi, hein, tu veux ?... Quand ? Dis-moi... quand !
Ben ! Je sais pas... Allez, disons samedi... Tu peux, samedi ?
Oh, oui, d'accord, Mick ! D'accord... Samedi ! Extra !
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