Aurélie Prend Son Envol
Après notre première expérience avec Jules, nous avons eu besoin de quelques semaines pour reprendre nos esprits. Nous lavons revu trois fois dans les mois suivants, toujours chez nous. Lors dune de ces soirées, jai même été invité à participer, et Aurelie ma sucé alors quelle se faisait prendre en levrette. Inutile de dire que je nai pas tenu longtemps
Désormais confiants, nous avons décidé de passer à ce qui était pour nous létape suivante : laisser Aurélie se rendre seule à un rendez-vous loin de la maison. Lors de nos premières discussions sur le candaulisme, elle mavait dailleurs expliqué quelle se sentirait sûrement plus à laise sans moi. Mais pour nos premières, nous avions finalement été plus rassurés par le confort de la maison.
Cette fois, nous sommes prêts. Ce sera chez Jules, un vendredi soir. Difficile de se concentrer pendant la journée. Encore plus au moment de la voir se préparer. Je me faufile dans la chambre et tente de lui conseiller des tenues, mais elle ne veut rien entendre.
« Laisse moi choisir, tu me donnera ton avis. »
Je sors. Quelques minutes plus tard, la voilà dans une jolie robe. Mais cest lorsquelle la soulève que jai la boule au ventre. Des bas, mais aussi des porte-jarretelles et un soutien gorge en dentelle légère. Lensemble sublime ses petits seins et son ventre plat. Jai immédiatement une érection et envie de la déshabiller.
« Tu pense que ça va lexciter ? » me demande-t-elle.
Je répond en lembrassant à pleine bouche et en mettant ma main sur sa cuisse. Elle lenlève.
« Hop, hop. Désolé mais ce nest pas pour toi ce soir. »
Un peu de maquillage et de parfum, et la voilà prête à partir. Je sens encore la jalousie monter. Elle est superbe. Jaimerais la prendre là, dans la salle de bain, contre le miroir.
1m68, 55 kilos, les cheveux qui tombent sur les épaules. Un peu de rouge à lèvres.
Sauf quelle met son manteau et se prépare à partir. Elle a pris son sac, puis un autre si elle doit passer la nuit. Mieux vaut être prévoyants. Il est 18h30 quand elle senvole. Jules nhabite pas très loin. Quelques minutes plus tard, un SMS minforme quelle est bien arrivée.
Cest le début du calvaire. Ou du bonheur. Je ne sais pas trop. Même aujourdhui, plus de 2 ans et demi plus tard, je me le demande encore.
Je tourne en rond, je me masturbe une première fois. Puis je tente de regarder un film. Vers 20h30, un message avec une photo. Rien dexplicite. Juste tous ses vêtements au sol.
« Je taime. Bisous. » dit le message.
Je me branle encore sur la photo du soutien gorge et de la culotte de ma femme sur le sol dun appartement inconnu. Vers 22h30, nouveau message.
« Jai peur de rentrer toute seule dans le noir. Je peux rester ? »
Ai-je vraiment le choix ? Je répond par laffirmative et tente daller me coucher. Le sommeil ne vient pas vraiment. Je tourne dans tous les sens. Je mimagine 1000 choses. Je dors par épisodes.
Vers 9h du matin, cest la délivrance. Jentends les clés dAurélie dans la serrure. La voilà.
Elle porte la même tenue. Elle avait pourtant prévu un change.
« - Ca va toi ? », se préoccupe-t-elle.
- Oui, oui. Raconte moi tout, je nen peux plus.
- Viens, on va se mettre à laise. »
Elle memmène dans la chambre, pose son manteau et sallonge. Je me place à côté delle.
« Tu sais pourquoi je nai pas changé de tenue ? Parce quil ma sauté dessus dès que jai passé la porte. Ensuite nous sommes restés au lit toute la nuit. Ce matin jai juste repris mes affaires par terre et je suis repartie. Je nai même pas pris de douche. »
Elle membrasse à pleine bouche. Je sens sa langue.
« - Tu veux tout savoir ? Tu es sûr ?
- Tout »
Je continue à lembrasser dans le cou, à toucher ses jambes, ses fesses, ses seins. Elle me calme.
« Alors je vais tout te dire. Dabord, quand il ma ouvert, je lai embrassé. Nous nous sommes préssés à lintérieur, puis contre un mur. Jai senti ses mains partout sur moi. Il ma fait une remarque sur les bas et le porte-jarretelles. Il ma dit que je métais fait belle pour lui et quil allait bien me faire jouir. Jai mis la main dans son pantalon, et sa bite était raide. Jai commencé à le branler en lembrassant, mais je voulais le sentir en moi. Je lui ai dit de mettre une capote, et je me suis retournée, face au mur. Là il sest enfoncée en moi avec sa grosse bite.
Alors quelle me raconte ça, jai enlevé mon caleçon. Elle touche mon sexe dressé avec juste le bout dun doigt, car elle sait que je suis sur le point dexploser.
« Jétais trempée, alors il a vite accéléré. Il a jouit plutôt vite et je nai pas eu le temps de prendre mon pied. »
Moi oui, mon sperme gicle sur mon ventre.
« Et bien. En attendant que tu reprennes des forces, je continue ? »
Je me fiche davoir le ventre qui colle. Je limplore de continuer.
« Nous avons fait une petite pause pour boire un coup. Il était très attentionné, il avait même pris quelques mezze chez un traiteur. Mais au bout de quelques minutes et de mains baladeuses, la température est vite remontée.
Il ma alors emmenée dans sa chambre et il sest déshabillé totalement. Jai retiré ma robe, ma culotte et mon soutien gorge, pour ne garder que les bas et le porte-jarettelles. Je me suis retrouvée à genou devant lui, en train dessayer de faire rentrer son énorme queue dans ma bouche. Jai bien sorti ma langue comme tu me la appris, de la base des couilles jusquen haut du gland.
Elle me caresse du bout dun ongle. Mon sexe reprend doucement de la vigueur.
« Cétait incroyable. Je navais jamais été aussi remplie. Javais limpression que sa bite mécartelait la chatte. Je lui ai demandé daller doucement, mais jétais tellement serrée que jai joui hyper vite. Jai hurlé et serré les draps.
Une fois que jai joui, il a continué ses aller-retour en moi, de nouveau en missionnaire, et en membrassant. Le temps que je retrouve mes esprits, il ma fait basculer sur le ventre, pour me prendre en levrette. Doucement, puis de plus en plus vite. Je sentais ses mains écraser mon bassin. Jai fini la tête dans loreiller. Et encore une fois, sa bite ma fait jouir. Cette fois, il a joui avec moi, en remplissant une nouvelle capote.
Nous sommes restés nus dans le lit. Un peu étourdis. Cest là que je tai envoyé la photo de mes vêtements. Et puis il a proposé de me faire un massage. Nous sommes restés un moment comme ça. Jétais nue, et il baladait ses mains sur moi. À à un moment, il a glissé sa main sur mon clito. Il y est revenu. De plus en plus. Il a fini par me caresser et me faire jouir. Cest après ce moment là que je tai demandé de passer la nuit là bas.
Après quil mait fait jouir, je lui ai dit que cétait à mon tour. Donc je lai massé aussi. »
Je suis de nouveau en érection. Mais jai tellement joui ces dernières heures que je suis moins sensible. Aurélie me caresse plus fermement alors quelle continue.
« Lorsque je lai fait se retourner sur le dos, jai longtemps caressé son torse. Et puis je suis descendue vers son sexe, qui était à nouveau dressé.
Je nen reviens pas. Elle lui a parlé. Elle devait vraiment être excitée car jai parfois du mal à la faire parler au lit. Et après ?
« Je me suis posée à côté de lui, et nous nous sommes endormis, nus. Nous étions crevés. Jai ouvert un oeil vers 7h. Je me suis approchée de lui et jai caressé sa bite. Lorsquil a émergé, je lui ai rappelé quil mavait promis quelque chose.
Alors que je le branlais, il a commencé à membrasser, et à faire descendre sa main le long de mes cuisses, puis à me mettre un doigt. Puis deux. Jai vu son bras aller chercher une capote dans la table de nuit. Dès quil a fini de lenfiler, je suis montée sur lui. Je me suis empalée doucement sur sa queue et je me suis relevée pour me toucher le clito en même temps. Jai attrapé sa main pour sucer ses doigts.En quelques minutes, jai eu un super orgasme sur sa bite.
Je me suis écoulée à côté de lui. Il ma bien fallu deux minutes pour reprendre mon souffle. Et je lui ai lancé un défi : « Tu as dit que tu voulais me défoncer ? Va-y, utilise moi pour te faire jouir. » »
Je suis scotché. Elle était clairement plus à laise sans moi. Je suis jaloux et incroyablement excité.
« - Quest-ce quil a fait ?
- Apparemment, il aime bien la levrette, parce quil sest mis à genou et ma prise par la taille pour me mettre à quatre pattes. Là jai senti son gland à lentrée de ma chatte, et il a poussé jusquau bout. Jai senti son ventre contre mes fesses. Il ma dit : « Tu veux que je te baise ? Tu vas voir comment je vais te baiser. »
Là, il a commencé à me limer comme un fou. Mes fesses claquaient. Je hurlais de plaisir. Au bout dune minute, Il a joui et crié. Il ma mis plusieurs grands coups de boutoir, puis sest écroulé sur moi. »
En terminant son histoire, elle accélère aussi son mouvement sur mon sexe, comme pour me faire participer. Je jouis quasiment en même temps que son amant dans son récit.
« Après ça, nous sommes restés allongés un peu, et jai filé », conclut-elle.
Je suis jaloux, mais surtout heureux. Je lembrasse encore et encore. A-t-elle édulcoré le récit ? Ajouté des choses pour mexciter ? Je crois que cest ce qui mexcite le plus.
« Allons prendre une douche, nous en avons tous les deux besoin. »
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!