Weekend À La Montagne - Épisode 3 - Arrivée Au Chalet
Weekend à la montagne - Épisode 3 - Arrivée au chalet
Je fus jeté sans ménagement dans la poudreuse. Jétais complètement nu, on mavait enlevé ma cagoule et mon bâillon. Mes bras étaient attachés dans le dos, mes chevilles étaient à nouveau reliées par une chaine en métal. Lorsque Léa mavait poussé par la porte latérale de la camionnette, il mavait été impossible de me réceptionner correctement et je métais étalé de tout mon long.
Par chance, une épaisse couche de poudreuse douce comme un nuage me permis datterrir délicatement et sans douleur. Par malchance
putain la neige cest froid. Si vous aviez encore un doute sur le sujet, permettez-moi de vous éduquer de ma modeste expérience en la matière : putain la neige cest vraiment froid !
Jouvris la bouche mais aucun son nen sorti. Javais le souffle coupé, mes muscles sétaient tétanisés instantanément, mon plug qui vibrait encore semblait être la seule partie de mon corps encore en vie.
Je me débattis pour tenter de me relever, mais tout ce que je réussis à faire sest faire entrer de la neige dans des interstices que je ne préfère pas vous décrire. Pauline passa à côté et sembla me prendre en pitié puisquelle maida à me relever. Elle me guida ensuite en me tenant sous un bras jusquau chalet que Léa était en train douvrir.
Mais au dernier moment, elle sembla hésiter.
- « Pauline sil te plais on peut rentrer, je commence à avoir super froid et je
»
Son regard marrêta au milieu de ma phrase. Si elle était en train dhésiter à prolonger la , je venais de la convaincre de continuer. Elle sorti de sa poche un bâillon-boule et, malgré mon regard suppliant, elle me lenfonça dans la bouche avant de morienter vers un coin de la terrasse.
Une chaise couverte dune couche de 30 bons centimètres de poudreuse se tenait là. Après moins dune seconde dhésitation, elle me déséquilibra vers larrière et je tombais le cul sur la chaise.
Elle prit une luge qui tenait en équilibre contre le mur du chalet. Après lavoir déposé devant mes pieds gelés, elle sagenouilla dessus et commença à me prit entièrement en bouche. Le contraste de mon corps en hypothermie et de son traitement buccal générait des sensations contraires en moi. Une seconde, jétais congelé et le soldat semblait mort au combat. La seconde, la sensation de froid passait temporairement et je ne ressentais que sa langue sur mon sexe. Après plusieurs minutes de ce traitement, javais retrouvé de la vigueur.
Elle semblait satisfaite et se releva.
- « Je comptais faire en sorte que notre première jouissance soit commune et uniquement axée sur le plaisir et pas la douleur
mais tu en as décidé autrement lorsque tu as salopé le sol du camion donc je madapte ! » me dit-elle de manière énigmatique. Son visage prit un air glacial et autoritaire : « Je préfère te prévenir, si tu jouis je te sodomise avec un stalactite. »
Et sur cette menace pas du tout terrifiante, elle se retourna, baissa son pantalon jusquà mi-cuisse et sempala sur mon membre.
Son vagin était bouillant. Un volcan en éruption, jai cru pendant les premières secondes que jétais en train de me brûler. La sensation de plaisir habituelle de la première entrée était ici remplacée par une souffrance sourde, contraste de mon cul gelé et contracté de manière douloureuse sur mon plug et de ma bite bien au chaud dans son antre.
Elle se mit rapidement à gémir, excitée de la situation dans laquelle elle me mettait. Le fait de me prendre, nu et dans la neige, alors quelle était elle-même quasiment complètement habillé et me tournait le dos avait un coté déshumanisant, comme si je nétais vraiment quun objet dont les sensations nétaient pas à prendre en considération.
Le tableau que nous devions offrir devait être extrêmement déroutant.
Pauline et elle semblait dailleurs se regarder droit dans les yeux, dans un moment de complicité sexuelle extrêmement érotique.
Le problème avec tout ça, cest que je commençais à faire abstraction du froid et à prendre sérieusement mon pied. Ça dut sentendre dans mes grognements étouffés puisque Pauline, entre deux gémissements, me rappela à lordre :
- « Je te jure que je le ferais tu sais
je tattacherais contre un arbre gelé dans la forêt, je te lècherais le cul pour le réchauffer un peu, jimbiberais une grosse stalactite de lubrifiant et je te la fouterais dans le cul. Je tenfermerais la bite dans un cage de chasteté faite de neige et de glace et je ne reviendrais pas te libérer avant que Léa mai fait jouir. Et elle prendrait son temps crois-moi »
Elle gémissait de plus en plus fort et sempalait sur moi de plus en plus vite. Clairement ça lexcitait de décrire cette situation, le problème cest que ça mexcitait au moins autant. Elle continua à décrire lensemble des s quelle allait me faire subir, me fouetter avec des branches de sapin, jouer avec des épines sur mon sexe et mon anus
etc
et dans ce brouillon de douleur et de plaisir, elle cria son orgasme sous le regard excité de Léa qui semblait finir aussi de son côté.
Elle se leva, se retourna et me regarda continuer à donner de ridicules coups de butoirs dans le vide pour essayer den finir.
- « Jai limpression que tu nes pas calmé
Si tu veux je peux être généreuse, par contre je devrais te punir plus tard pour rééquilibrer les choses
quen penses-tu ? »
Javais besoin de jouir, je nen pouvais plus cétait trop excitant, je ne pourrais de toute façon pas tenir longtemps. Je grognais mon approbation en acquiesçant, attendant son aide pour pouvoir enfin me laisser aller.
- « Très bien, ne va pas dire que ta maitresse nest pas magnanime ! »
Elle me reprit en bouche quelques secondes en me regardant droit dans les yeux. Lorsque jarrivais au point de bascule, elle lâcha subitement mon sexe et me versa la neige des accoudoirs sur les genoux.
Ma bite était complètement recouverte de neige, seul mon gland dépassait légèrement.
Je hurlais dans mon bâillon. Le contraste de température était énorme. Mon plaisir redescendit dun coup. Impossible de jouir maintenant. Pauline, dont le sourire sadique semblait figé à jamais sur le visage, se mit à donner de petit coup de langue tout doux sur le dessus du gland.
- « Jaime beaucoup, jai limpression de lécher une glace
»
Ces coups de langue navaient cependant absolument pas pour objectif de me rapprocher de la jouissance et, après une minute de ce traitement, javais perdu toute ma vigueur.
- « Eh bin voilà tu es calmé maintenant
Noublie pas que je dois te punir maintenant que je tai aidé comme ça ! »
Et cest complètement abattu que je suis rentré pour la première fois à petits pas gelés dans le chalet de la .
A suivre
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