Le Peintre Et Sa Muse Chapitre 12 3

Le peintre et sa muse
Chapitre 12/3
Déplacement pour une exposition

Je règle la note et nous quittons l’auberge sous les remarques des routiers qui souhaitent une bonne route à Annie.
Nous filons vers Nice en cours de route je fais un petit arrêt pour demander au galeriste s’il peut me donner une adresse d’hôtel pour ce soir ; et il me donne l’adresse d’un hôtel dans le vieux Nice et il nous réserve même une chambre qui devrait nous plaire.

Nous finissons le reste de notre parcours dans le calme surtout après ce qui s’est passé avant le repas.

En arrivant à Nice je me dirige vers le vieux Nice je cherche une place de parking et nous entrons dans l’hôtel il est 18h00.
En entrant je comprends que l’hôtel est un peu particulier, c’est un ancien bordel transformé en hôtel.
Annie regarde ça avec des yeux ronds, et puis je pense non seulement avec circonspection mais aussi avec envie.
L’hôtelière nous donne une clé et le numéro de chambre, je me renseigne auprès d’elle au sujet de la position de la galerie, elle me donne le renseignement et elle me fait part qu’elle y achète régulièrement quelques tableaux pour décorer les chambres.

En nous rendant à l'étage nous nous apercevons effectivement du charme particulier de l'établissement.
Quelques nus au mur dans les escaliers.
Et quand nous entrons dans la chambre c'est pour découvrir une chambre tendue de rouge, grand lit à baldaquin, des accessoires accrochés au mur et sûrement pas qu’à titre décoratif.
Au milieu de la chambre un grand siège en velours et en forme de U, je saisis de suite l'utilité de l'objet, nous verrons cela ce soir.
J'invite Annie à passer à la salle de bain Je lui fais couler un bain tandis que je prends une douche.
Quand je sors de la douche Annie s'est assoupie dans son bain, qu'elle est belle ma jolie femelle.
Je suis à deux doigts de la rejoindre mais je la laisse récupérer et je vais passer mon smoking pour me rendre à la galerie.



Voilà un moment que j'attends mais voilà qu'Annie sort de la salle de bain dans une magnifique robe de soirée bleu électrique, échancrée devant jusqu'à mi cuisses et derrière jusqu'aux chevilles tout en volutes de tissu et sa merveilleuse poitrine qui retient toute cette cascade de froufrou sans aucune bretelle ce qui en dit long sur la fermeté de sa poitrine.

Mon amour est superbe et je m'approche d'elle
- Tu es éblouissante ma chérie.
- Je te plais ?
- Tu es magnifique mon cœur.
Ce faisant Annie prend ma main et la passe sous la cascade de tissu qui la couvre, pour la mettre au contact de sa vulve nue
- Rien que pour toi mon amour.
Je me retiens de justesse, évitant de la sauter comme un rustre en rut.
Annie passe sa main sur mon entre jambe en me disant :
Je savais que ça te ferait de l'effet de me savoir sans culotte.
Mais dommage mon amour pas le temps il faut y aller on nous attend à la galerie.
Je me retrouve comme un imbécile les bras ballants et la queue entre les jambes.

Annie me prend le bras
- Allez on y va et n'oublie pas tes tableaux dans le coffre.
Elle est d'un aplomb inimaginable je ne l'ai jamais vue comme ça.
La galerie est à 200 m Annie et moi-même nous nous retrouvons dans la rue.
- Tes tableaux me dit Annie
Encore troublé, j'allais les oublier.
Je les prends dans le coffre de la voiture et au bras de ma belle, direction la galerie.

Arrivés à la galerie nous sommes accueillis par le galeriste qui me remercie d’être venu avec mon épouse, je m’empresse de le démentir et de lui présenter Annie comme mon modèle.
Voyant que j’ai mes tableaux à la main il m’invite à entrer les accrocher dans la partie privée de la galerie.
Au même moment arrive Edouard mon agent artistique qui me dit :
« Laissez François je m’en charge, ah ! Bonsoir madame Annie vous êtes particulièrement en beauté ce soir ».

- Merci Edouard mais c’est pour François.
- Je me doute Annie mais vous êtes rayonnante.

Edouard part avec mes trois tableaux et le galeriste nous invite à le suivre afin de me présenter quelques amateurs et futurs clients peut être.
Et avec Annie nous déambulons dans la galerie un mot aimable à l’un, une explication à un autre.
Coupe de champagne à la main, c’est vrai qu’Annie rayonne et elle est très à l’aise ;
Beaucoup de personnes la prennent pour mon épouse et ni elle ni moi ne démentons la chose, puisque cela semble flatter Annie.
Le galeriste nous rejoint en nous disant qu'il a besoin de nous dans la partie privée.

Nous le suivons et nous entrons dans la salle privée.
Il y a une dizaine de personnes des hommes seuls et quelques couples.

Au moment où le galeriste ferme la porte le groupe de personnes qui stationne devant les tableaux s’écarte.
Et là Annie reste estomaquée car juste face de l’entrée de la salle, elle découvre les trois tableaux que j’ai apportés et quels tableaux.
Trois nus plus pornographiques qu’érotiques, Annie entièrement offerte, ouverte au grand compas pour le premier tableau, le deuxième, Annie est assise sur le tabouret et une jambe
posée dessus ce qui laisse voir son sexe nu, mais c’est surtout son regard qui ressort, elle fixe le spectateur droit dans les yeux comme pour lui dire : « regarde ma chatte !!!! ».
Quand au troisième, guère de doute, Annie est accroupie devant Ousmane mon modèle africain et Annie lui tient le sexe en main et on peut la voir prête à le prendre en bouche.

Ces trois tableaux dont je suis fier sont comme pratiquement trois photos et donc aucun doute quand je prends Annie par la taille et que je l’approche des tableaux, je la sens gênée mais les
applaudissements des personnes présentes suffisent à estomper cette gêne.

Edouard s’approche de nous et dit : « Venez
tous les deux nous avons une autre surprise pour vous ».

Nous passons derrière les cimaises pour découvrir un canapé et
Edouard invite Annie à y prendre place, Moi je me place derrière le dossier, je
sens Annie tendue comme un arc, elle se demande bien ce qui va se passer.
Les autres personnes se placent face à nous et je me penche pour
murmurer à l’oreille d’Annie
- Tu es le point d’orgue de l’expo, tout le monde
t’admire !
- Tu es un beau salaud de me faire ça.
- Je suis certain que tu mouilles, et tu ne dois pas être
la seule.
- N’empêche que tu aurais pu me demander.
- Je t’avais dit que c’était une surprise. Et dis moi que
ça ne te plait pas ?
- Tu as raison mon chéri
Mais tu aurais pu mettre des tableaux moins……
- Moins quoi ?
- Moins suggestifs !
- Mais tu es magnifique
et tu fais l’envie de toutes les femmes ici, et tu dois sûrement faire bander leurs hommes.
Annie était les jambes croisées, les bras croisés aussi juste sous sa belle poitrine, et elle me laisse voir un air réprobateur de l’avoir ainsi emmenée et surtout de l’avoir dévoilée ainsi aux yeux de tous, elle qui pensait que ces tableaux étaient dans le domaine du privé.

Mais Edouard mon agent vient nous dire :
- Vous êtes prêts, nous avons une autre surprise pour vous.
-
Le galeriste ouvre une porte et entre Ousmane mon modèle, entièrement nu, un soupir d’étonnement se fait entendre dans l'assistance.
Surtout les femmes qui découvrent soudainement ce qui pend entre les jambes d’Ousmane.

Annie tourne la tête et aperçoit Ousmane, je pose ma main sur son épaule et elle tremble mais je sens qu’enfin elle se détend.
Annie reste clouée sur le canapé, troublée par l’arrivée d’Ousmane et en plus nu, je vois son ventre palpiter et à sa respiration j’entends qu’elle est excitée je sais qu’elle m’en veut de l’avoir surprise de cette façon mais je pense que si je lui avais dévoilé cela elle ne serait peut
être pas venue.

Ousmane s’approche d’Annie et il lui tend la main qu’elle prend.
Alors Ousmane jette vers moi un regard interrogateur, j’y réponds par un signe de tête discret.
Ousmane fait se lever Annie et la prend par la taille.

Ousmane passe sa main dans son dos à la recherche de la fermeture-éclair de la robe, Annie tente de l’en empêcher mais le sexe d’Ousmane à demi bandé maintenant, frotte sur le ventre d’Annie et je vois à son regard que maintenant elle en a envie, mais devant tout de monde
elle a encore un peu de pudeur.
J’entends Ousmane murmurer à l’oreille d’Annie.
- Fermez les yeux Annie
Nous sommes dans l’atelier du maître et il n’y a que vous et moi sous le regard du maître.
Détendez-vous et donnez-vous à moi.
Oubliez ce qui est autour de nous, il n’y a que nous et votre François.

Alors je vois Annie qui s’abandonne dans les bras d’Ousmane elle ne me quitte pas des yeux comme si elle voulait avoir mon approbation à défaut d’autorisation.
Je cligne des yeux pour lui faire comprendre qu’elle peut se livrer.
Alors on entend le crissement du zip de la robe qui tombe aux pieds de ma belle Annie, et l’on
entend un Oh ! D’étonnement quand les spectateurs découvrent Annie en tenue d’Eve.

Ousmane se couche, le dos sur une banquette que l’on vient d’apporter afin de ne pas être gêné par le dossier et Annie enfourche le beau noir en lui tournant le dos afin que chacun et
surtout chacune profite bien du spectacle.
Le petit groupe d’une quinzaine de personnes s’approche pour bien voir Annie s’empaler sur cette grosse tige d’ébène.
Pour ma part je ramasse la robe de mon amante et j’apprécie le spectacle qu’elle m’offre. Durant tout ce temps Annie ne me quitte pas des yeux comme pour me dire
"Regarde je fais ce que tu désire je suis prête à tout pour toi".

Ousmane ne fait aucun mouvement, il tient Annie par les hanches et il lui imprime la cadence.
Annie s’empale le plus possible sur cette grosse tige noire qui lui dilate les chairs au maximum et tout en haut de la fente on peut voir le bouton d’amour qui pointe, signe du grand plaisir que prend ma belle Annie.

Elle, bouche grande ouverte, tentante de retrouver son souffle tant le plaisir d’être fouillée est
grand.
Mon amour arrive enfin à avaler la totalité du sexe d’Ousmane dans sa caverne et à chaque fois que son sexe semble devoir sortir du ventre d’Annie, une ou deux giclées de cyprine viennent détremper les couilles d’Ousmane.
Ce sont des petits jets qui jaillissent.
Et à chaque pénétration de la fente, le membre semble entraîner les nymphes à l’intérieur
avec lui et au retrait, la vulve s’épanouit comme une fleur exotique au parfum
envoûtant et au nectar suave.
Ce parfum de l’accouplement semble enivrer les spectateurs, certains ont sorti leur sexe, certaines femmes sont les seins à l’air et d’autres semblent apprécier les mains qui passent sous leur jupe.
Annie arrive à l’acmé de son plaisir mais par retenue ma belle jouis en silence, seules ses grimaces dans le visage, seule sa respiration trahit le plaisir intense de son orgasme.
Les femmes présentes ne sont pas dupes elles savent reconnaître le vrai plaisir et pas la simulation.
Les spectateurs sont aux anges et ils applaudissent.
Et tandis qu’Annie s’immobilise, deux femmes se déshabillent et se ruent sur Ousmane. Annie leur laisse la place, l’une s’empale sur la queue luisante de plaisir et l’autre se positionne sur la figure de beau modèle pour bien se faire lécher l’abricot.

Je profite du changement de situation pour aider Annie à remettre sa robe et nous quittons discrètement la galerie pour rejoindre notre hôtel.
Je mets ma veste de smoking sur les épaules de ma chérie qui tremble après ce sublime spectacle qu’elle m’a donné de voir.
Nous regagnons notre hôtel, Annie pose sa tête sur mon épaule je la tiens tendrement contre
moi.
- Je t’aime François.
- Moi aussi ma belle.
Et dans le hall nous échangeons un langoureux baiser sous le regard du gardien de nuit, qui
ensuite me donne la clé de la chambre et nous souhaite une très bonne nuit.

Arrivés dans la chambre, je propose à Annie de prendre un bain pour se relaxer, mais elle retire sa robe et s’installe sur la banquette basse en forme de U.
Elle se retrouve le sexe bien écarté.
- Viens me manger la chatte.
Viens goûter au plaisir que tu m’a donné d’avoir ce soir
et j’ai encore envie, envie de toi toute la nuit s’il le faut.
Je veux pouvoir crier mon plaisir.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire je suis à poil couché entre les branches du U et
Annie appuyée sur ses bras descend pour que son sexe soit au contact de ma bouche.
Mon dieu quel parfum d’amour, et de la langue je fouille toute la fente rouge du plaisir
précèdent.
- Bouffe moi le cul !
Alors je la lèche de l’anus au clito ; j’avale toute la liqueur qui s’échappe et coule
abondamment de la caverne d’Annie.
Et de nouveau Annie m'offre un magnifique orgasme gueulant son plaisir.
Oh ouiiiiii, je jouis !!!! Bouffe ma chatte !!!!!!!! Mon dieu c’est trop bon !!!!!!!Mets ta langue dans ma fente !!!!!!!!!

Je profite qu’elle soit bien trempée pour tenter de lui mettre un doigt dans l’anus, et surprise ma belle femelle ne se dérobe pas, bien au contraire.
Mets en deux mon amour je vais jouir encore une fois.
J’agite rapidement mes deux doigts dans ce petit trou que je visite pour la première fois.
Et Annie repart dans un orgasme de folie.

Oh oui mon amourrrrrrrr je jouis encore oh encule moi François !!!! Vite encule moiiiiii !

Contrairement à la galerie où elle jouissait discrètement, là elle hurle son bonheur, son plaisir.
Je me relève comme un ressort je prends Annie dans mes bras et je la pose en levrette sur le lit. Et tandis qu’elle est encore toute à son plaisir je reprends possession de sa rosette en faisant aller mes deux doigts dans son cul mais Annie me gueule.
- Encule moi, prends mon cul, donne moi ta grosse bite.
Encule moi vite !!!!!
Alors sans hésiter je passe ma queue dans la fente d’Annie pour bien enduire mon gland de son liquide et sans hésitation je positionne mon gland sur l’œillet, j’appuie légèrement mais c’est Annie qui recule et qui enfonce ma queue dans son cul, alors l’un comme l’autre on se déchaîne.
Je regarde ma verge qui dilate sérieusement le petit cul d’Annie, et je sens déjà la sève qui
monte, je ne vais pas tenir longtemps.
Annie passe une main sous elle et avec ses doigts dans le vagin elle vient branler ma queue de
l’autre côté de la paroi et nous explosons tous les deux en même temps et nous nous écroulons sur le lit, trempés de transpiration.
Annie vient se blottir dans mes bras, elle caresse ma poitrine, m’embrasse et me dit
- Merci mon amour c’était super pour une première fois !
- Comment ça une première fois ma chérie
- C’est la première fois que je me fais prendre par derrière
- En levrette ?
- Non dans mon……….
- Dans ton cul ?
- Oui, je suis heureuse, tu m’ais pris ma deuxième virginité.
J’embrasse Annie
sur le front mais à sa respiration calme je sais qu’elle dort déjà, je tire le drap et une couverture sur nous.
J’écoute un moment dormir mon amour et je vais aussi m’endormir moi aussi, mais juste avant d’éteindre la lumière, un sms sur mon téléphone
C’est Edouard.
"Belle prestation de Madame Annie, grâce à
elle, les tableaux sont vendus !

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