Mes Élèves, Ces Petites Chaudasses !
Bon après avoir lu vos histoires pendant longtemps je pense que c'est à mon tour de vous raconter la mienne :)...Bonne lecture
Je mappelle Clément et jai presque la trentaine, ça va faire deux ans que je suis prof de sport dans un lycée en région parisienne. Il mest déjà arrivé de fantasmer sur certaines de mes élèves les plus vieilles, je sais que je pourrai sans doute en séduire certaines, je suis assez bel homme, brun avec une mâchoire carré et une barbe courte. Je mentretiens plus que bien et je suis assez musclé en plus dêtre grand de taille.
Mais je suis toujours resté professionnel, à la fois pour ne pas perdre mon job et dun autre côté à cause de la différence dâge.
Mais cette année je dois avouer que...jai du mal à me retenir. Dans une de mes classes jai deux élèves de 18 ans qui sont de véritables bombasses. Ce sont deux copines qui traînent souvent ensemble et malheureusement ce sont toutes les deux de bonnes élèves, cest à dire quelles sont sages et ont une réputation de saintes.
La première sappelle Elodie, sans doute la plus belle fille du lycée, elle possède une peau dalbâtre et des traits fins, un regard gris-vert encadré dune cascade de cheveux roux orangés. Elle est grande et mince, avec un fessier superbement rebondi et des gros seins parfaitement ronds, elle pourrait facilement être modèle photo. Jai souvent eu limpression quelle me chauffait, contrairement à la seconde qui est beaucoup plus innocente.
La seconde en question cest Claudia, une latina à la peau bronzée et aux cheveux châtains plus petite et plus pulpeuse, un ventre et des cuisses minces et musclées mais des seins très imposants pour son âge, bref un petit corps compact fait pour être soulevé et secoué dans tous les sens. Elle a surtout un très gros cul comparé à son gabarit et à la finesse de sa taille, il est rebondi, ferme et rond à souhait. Elle a les traits moins fins quElodie et ses joues rondes, ses lèvres pulpeuses et ses grand yeux clairs lui donnent un air innocent qui la rend vraiment mignonne.
Jentend souvent les élèves garçons parler de ces deux filles et je prête souvent une oreille attentive à ce quil disent, en espérant découvrir quelles sont en réalité des petites coquines.
Mais avant dentrer dans lhistoire elle même je vais vous parler dun épisode qui ma marqué : cest le jour où jai découvert quelles nétaient peut être pas si innocentes que ça.
Mon souvenir cétait pendant une séance dathlétisme, javais emmené ma classe au stade pas loin du lycée pour courir. Il faisait beau et les filles étaient légèrement habillées. A un moment Claudia est tombée par terre, apparemment victime dune crampe à la cuisse. Je me suis approché delle pour laider mais son ami Aristide était encore collé à elle. Aristide cest le meilleur ami de Claudia, un garçon maigrichon avec des lunettes. Je le soupçonne dêtre amoureux de Claudia vu comment il la suit partout comme un toutou. Mais il ne la mérite pas, elle mérite un homme, un vrai, qui sache rendre honneur à son corps de bombe sexuelle.
Jai dit à Aristide de continuer à courir, et il est reparti en faisant la gueule. Une fois concentré à nouveau sur Claudia jai eu du mal à me contrôler. Ses gros seins fermes et légèrement bronzés débordaient de sa brassière et surplombaient un ventre plat dont la peau semblait bien douce. Je lai emmené sur le banc un peu plus loin.
- Alors tu as mal où, avais-je demandé.
- Ici monsieur, ma-t-elle répondu en pointant du doigt sa longue cuisse fuselée.
Voyant quelle me tendait la cuisse, attendant sans doute une solution miracle de ma part, je me suis mit à la masser, sa peau était lisse et chaude, elle avait lair dapprécier car elle sest vite détendue en fermant à moitié les paupières.
Surtout que Claudia ne traîne pas trop avec le groupe des populaires de la classe, composé dElodie, Baptiste et de 2 ou 3 potes à lui.
Plus tard pendant le même cours mes élèves se sont amusés à sasperger deau les uns les autres sous limpulsion dElodie. Dhabitude jaurais laisser couler ce genre de comportement surtout quil faisait chaud et quils avaient bien travaillés. Mais un des jeunes a glissé sur le carrelage des vestiaires et sest fait mal. Pour le coup jai puni Elodie, en lui demandant de rester pour maider à ranger les plots, les chronomètres et les chasubles.
Dès que tous les élèves sont partis je me suis dirigé vers la réserve du stade pendant que la jolie rousse récupérait tous les plots. Lorsquelle est revenue vers moi jai marqué un temps darrêt, son chasuble était complètement mouillé et il collait à sa poitrine généreuse (elle ne portait quune brassière en dessous)
- Un problème monsieur ? Me demanda-t-elle en souriant, en voyant mon regard sattarder sur son corps.
- Hum, non rien, allez entres et ranges tout...et arrêtes de sourire cest une punition !
La diablesse gloussa puis commença à travailler. A un moment je lai vu se pencher exagérément en avant, tendant son cul magnifiquement bien formé vers moi.
- Alors comme ça Baptiste et Claudia sont en couple ? Ai-je demandé sans réfléchir avant de me mordre la langue.
- Oui mais ils préfèrent garder ça secret il ny a que moi et quelques potes de Baptiste qui sont au courant...mais pourquoi vous me demandez ça monsieur ? En général les profs ne s'intéressent pas à ça, a-t-elle répliqué en riant.
- Simple curiosité, jétais élève au lycée ya pas si longtemps après tout, ai-je répondu.
- Jimagine que vous aviez du succès avec les filles non ? Un peu comme votre frère ? A lancé Elodie en souriant.
Avant que je ne puisse répondre la jeune fille rousse ma demandé de venir laider pour poser quelque chose sur une étagère. Je me suis approché delle par derrière et elle ne sest pas déplacée. Du coup je me suis retrouvé collé à elle, et je lai senti bomber son joli cul contre moi. Javais des doutes jusquà ce moment mais cette petite salope était bien en train de me chauffer ! Jai dû mobiliser toute ma volonté pour ne pas lui arracher son leggings et la baiser sur place. Mais comme elle venait de lévoquer jai un petit frère qui est dans une autre classe du lycée. Il sappelle Ulysse et je sais quil est très intéressé par Elodie, et comme ce nest clairement pas mon genre de tacler mon petit frère je vais la lui laisser...qui sait on pourra peut être se la faire à deux.
Après cet épisode, jai laissé Elodie partir et je suis aller me branler dans mon bureau, avant de jouir dans le chasuble de cette chaudasse.
Mais revenons au présent, aujourdhui cest samedi alors je décide daller à la salle de sport, pas sur mon horaire habituelle, mais sur une autre. Je salue les habitués que je connais même si je vois de nouvelles têtes...et une chevelure minterpelle. Une jeune fille est postée à un appareil, dos à moi. Ces cheveux châtains...et ces fesses de rêves
Oui cest Claudia.
- Claudia ? Demandé-je en mapprochant.
- Oh ! Bonjour monsieur ! Quest ce que vous faites là ? Répond-t-elle en sursautant.
- Cest ma salle, cest plutôt à moi de te demander ce que tu fais là ?
Elle descend de lappareil pour me faire face, elle porte un legging gris bien moulant et un débardeur qui lui malheureusement ne moule pas sa prodigieuse poitrine comme ses brassières habituelles.
- Eh bien, je viens pour mentretenir quoi, vous voyez ? dit-elle en souriant.
- Oui je vois...très bien, tu as raison, cest important dentretenir une belle silhouette. Et tu peux me tutoyer, on est pas au lycée, appelles moi Clément pas monsieur. Répond-je tout en laissant mes yeux se promener sur son corps, ce quelle semble remarquer.
- Si vous...tu veux, me dit-elle.
- Aristide nest pas avec toi ?
- Non
.
- En même temps on est dans une salle de sport.
- Monsieur ! Euh...je veux dire Clément, sois pas méchant avec lui cest un mec en or !
Je lui souris puis lui propose de sentraîner avec moi. On enchaîne les appareils et exercices, en discutant de tout et de rien. Evidemment jen profite pour la mater pas mal...notamment lorsquelle fait des squats, il faut dire quelle a un cul phénoménal. Jen profite évidemment pour laider, en lui montrant les gestes à faire, quitte à laisser mes mains traîner un peu.
Je ne tarde pas à remarquer quelle me mate aussi, ses yeux ségarant sur mon corps bien dessiné.
Je la regarde en souriant alors quelle me reluque, se touchant la lèvre du bout de la langue et lorsquelle croise mon regard elle rougit en tournant la tête. On se dirige vers lappareil de leg curl allongé (un appareil où lon doit tirer des poids en pliant les jambes tout en ayant les fesses en lair.) et je remarque une peluche de poussière sur les fesses rebondies de mon élève.
- Attends, tas quelque chose, lui dis-je.
- Quoi ?
- Bouges pas je vais te lenlever.
- Quel gentleman ! Dit-elle en souriant.
Je la retourne en la tenant par lépaule, et lui donne une petit claque sur son fessier bien rond. Autant vous dire que je ne sais même pas si jai enlevé la poussière, cétait juste un prétexte pour pouvoir savourer un contact avec ce cul venu des cieux. Claudia lâche un petit cri et lair de rien je lance :
- Cest bon cest retiré.
- Ah bah allez-y ! Enfin vas-y touches moi les fesses je te dirai rien, répond-t-elle lair faussement vexée.
Je la pousse un peu pour la rapprocher de lappareil, toujours dans son dos. Je ne vois pas ses yeux mais jentrçois son sourire en coin.
- Cest pour rendre service, tu sais à quel point je suis serviable.
- Mouais, on pourrait aussi qualifier ça de harcèlement venant de mon prof.
Je souris, puis me penche pour dire tout bas dans le creux de son oreille :
- Non, le harcèlement, cest quand la fille ne veut pas.
Elle ne répond rien, et se penche en avant pour poser sa serviette sur lappareil. Ce faisant on se retrouve en position de levrette, ses fesses frôlant mon entrejambe. Elle continue à se pencher en avant et...mon dieu cette cambrure, cest moi ou elle fait exprès ? Elle finit par tourner légèrement la tête vers moi, ajustant une de ses mèches, et je vois son petit sourire. La garce.
Elle sinstalle sur lappareil et jai une superbe vue sur son boule bombé, son dos creux, ses courbes parfaites et ses seins qui dépassent sur les côtés de son débardeur, écrasés par son poids, tel deux globes prêts à éclater. Pendant quelle tire avec ses jambes sur les poids jen profite, sous prétexte de lui montrer quels muscles elle doit travailler, pour poser mes mains sur ses reins, en la massant légèrement. Puis je descend sur ses cuisses en frôlant ses fesses du bout des doigts. Je tire un peu sur son legging et le lui rentre un peu dans les fesses, jai maintenant une vision de rêve sous les yeux et je remarque que plusieurs mecs autour de nous se sont arrêtés pour mater son imposant postérieur superbement moulé. Je reviens vers le haut de son corps et lui pose une main sur lépaule. Elle tourne la tête vers moi et...pose les yeux directement sur la bosse qui déforme mon jogging. Elle rougit à nouveau mais ne détourne pas les yeux. Je me racle la gorge.
- Tas encore une tâche, dis-je.
- Hé bien...enlèves la, répond-t-elle en battant de ses longs cils.
Je lui tapote le cul à plusieurs reprises mais cette fois je mattarde, lagrippant presque les dernières fois, tout prêt de lentrejambe. Claudia ne dit rien mais je laperçois se mordre la lèvre. Elle se relève ensuite, lair perturbée. Je décide de tâter un peu le terrain.
- Bon il est temps dy aller, par contre au lycée lundi ça redevient monsieur pour toi compris ? Lui dis-je en souriant.
- Oh...déjà ?
Je sens une prise.
- Enfin je ne men vais pas tout de suite, je vais aller un peu profiter du sauna dabord.
- Ah je vois
- Tu veux venir ? Ça fait toujours du bien après une bonne séance de sport.
Elle semble hésiter quelques secondes puis accepte de me suivre. Bingo !
Quelques minutes plus tard je suis installé dans le sauna, nu, une serviette autour du bas du corps. Quelquun toque et jouvre la porte. Claudia me sourit timidement et je la fait entrer, elle a retiré son débardeur et porte une brassière bleue prête à éclater. Elle a également une serviette autour du bas du corps. Ayant déjà fait chauffer les pierres à sauna, je jette de leau dessus et on sassoit. Lun en face de lautre, séparé par deux mètres emplis de vapeur sèche qui me gâche quelque peu la vue.
- Alors ? Comment ça se passe au lycée ? Demandé-je.
- Dans lensemble ça va...après jai foiré ton évaluation, jai peur de pas avoir la moyenne, répond-t-elle avec une moue boudeuse qui me donne envie de la bifler.
- Oh je suis sur quon trouvera un moyen de faire remonter ta note pas vrai ? Dis-je en souriant.
Elle rougit et je comprend quelle a compris le sous entendu. Je minstalle plus confortablement en écartant les jambes et ferme à moitié les yeux. Je laperçois me reluquer de bas en haut maintenant que je suis à moitié nu. Ses yeux se perdent dans les ombres de ma serviette, entre mes jambes et je ne sais pas si elle peut voir ma demi-molle. La jeune latina tire un peu sur sa brassière en soufflant.
- Ça va ? Lintérrogé-je.
- Oui cest juste quil fait très chaud.
- Oui normalement on doit être nus, tu devrais retirer ta brassière, les fibres synthétiques vont tirriter, ça serait dommage davoir des marques sur ta belle peau
- Retirer ma...tes fou haha je vais pas te montrer mes...enfin cest gênant, glousse-t-elle en sagitant sur son siège.
Je commence à la cerner, elle ne fait pas semblant quand elle est gênée (enfin je crois ?) mais pourtant elle aime bien chauffer. Cest probablement une allumeuse qui ne sassume pas totalement. Elle joue linnocente alors quelle a un esprit un peu coquin. Une potentielle salope à en devenir donc
- Et pourquoi pas ? Je suis ton prof de sport après tout, jai lhabitude de voir des corps féminins...en plus cest dans le règlement de la salle, on nentre pas dans le sauna en portant des vêtements (je mens sur cette partie).
- ...tu es sur ?
- Oui t'inquiètes, la rassuré-je.
Elle hésite, rougit violemment puis retire sa brassière par le haut, dans un geste précipité comme pour abréger ce moment. Sa vitesse dexécution fait jaillir ses seins à lair libre avec force et ils rebondissent joyeusement devant mes yeux écarquillés. Sa poitrine exposée devant moi est ahurissante, étourdissante, une des plus belles que jai vu. Deux globes massifs pointant fièrement en avant comme deux obus. Parfaitement ronds comme deux pêches géantes couvertes de miel. Ils sont royalement couronnés par des tétons roses, légèrement dressés. Mais cette vision ne dure quun instant. Claudia jette la brassière sur le côté et serre ses bras autour de ses seins, ce qui les fait gonfler davantage.
- Inutile de faire la timide maintenant que je les ai vus, en plus dans cette position tu ne vas pas vraiment te détendre, dis-je lair décontracté, en regardant ailleurs innocemment.
- Cest pas faux, me répond-t-elle.
Elle me fixe quelques secondes puis libère à nouveau timidement sa poitrine. Je concentre aussitôt mon attention dessus. Elle a les yeux baissés, tournés sur le côté, les joues légèrement roses, ses gros pares chocs couverts dune légère pellicule de sueur. Quel vision ! Je sens ma queue qui se réveille là en bas, et je mimagine déjà, la queue entre ces deux nichons, avec Claudia à genoux en train de baver abondamment sur mon gland, levant ses grands yeux de biche innocente vers moi...
- Je vais te démonter toi...Murmuré-je pour moi même.
- Quest ce que tu as dis ? Me demande-t-elle.
- Euh...jai dis Je vais te remonter ta note toi
Elle croise mon regard puis sourit, lair de reprendre contenance, sa timidité vite envolée.
- Ah parce que ça suffit à me valoir des points en plus ? Me dit-elle en souriant.
Dans le même temps, elle pose ses bras en arrière sur le banc, sétirant un peu en avant. Bombant son torse et projetant sa paire de meules vers moi. Ils sont aussi gros que ceux dElodie, mais ne donnent pas la même impression dêtre gonflés, non ils dégage plutôt une impression de lourdeur, de poids. Et pourtant ils restent tendus droits devant elle, comme insensibles à la gravité. J'ai l'impression qu'ils m'appellent, d'ailleurs dans cette position on dirait qu'elle me les offre sur un plateau, prêts à être caressés, sucés, pétris...Mes yeux ne veulent pas sen détacher mais je fais un effort pour la regarder dans les yeux à nouveau et je vois à son air goguenard quelle a remarqué mon regard fixe.
- Je sais apprécier les belles choses, rétorqué-je en souriant.
- Oh je les trouverai plus beaux si ils étaient un peu moins gros, je suis satisfaite de ma silhouette mais parfois cest chiant, dur de trouver un soutien-gorge à la bonne taille et ils font mal au dos parfois. Cest pas très pratique dans tes cours notamment. Et puis bon jaime pas les gros seins. Explique-t-elle avec une moue boudeuse.
Pendant quelle mexplique tout ça, ses mains se pose sur ses seins, quelle malaxe rapidement avant de les soulever dans la paume de ses mains comme pour me les montrer mieux. Je déglutis, ou est passé ma petite élève innocente et réservée ?
- Oh tu ne devrais pas, ils sont superbes comme ça...leur seul défaut cest quils déconcentrent tes camarades et que je dois les rappeler à lordre haha...enfin il ny a pas que tes camarades que tu déconcentres...Lui dis-je doucement.
Elle rougit puis se racle la gorge avant de changer de sujet, lair de se rétracter comme si elle avait compris où cette conversation la mènerait.
- En parlant de sport, cétait une sacré séance, jai mal partout haha, glousse-t-elle.
- Où en particulier ? Dis-je, décidé à ne pas laisser la biche sortir de mon piège.
- Bah ce quon a travaillé, mollets, cuisses, fessiers.
- Attend je vais taider, comme en cours la dernière fois où tu tes fait mal.
Elle paraît hésiter et sans lui laisser le temps de me répondre, je traverse la petite pièce, et me tiens debout devant elle en la regardant dans les yeux. Elle se cache les seins et fixe mon torse nu quelques secondes, puis ses yeux descendent sur la légère bosse de ma serviette. Elle inspire et me répond dun petit daccord. Je me met à genoux et jatt une de ses chevilles avant de commencer à lui masser le mollet. Au début je sens son regard sur moi mais je lui dit de se détendre et elle penche la tête en arrière tout en laissant retomber ses mains sur le banc et en fermant les yeux. Je peux alors relever la tête et admirer ses nichons massifs de très près. Mais je dois me concentrer sur mon massage sans me laisser distraire. Sa respiration s'accélère un peu alors que, innocemment, je lui écarte un peu les jambes pour soi-disant avoir un meilleur accès à son mollet.
- Comment ça se passe avec ton copain ?
- Quest ce qui vous...euh te fait dire que jai un copain, dit-elle en se raidissant légèrement.
- Une fille aussi magnifique et populaire que toi en a ment un
Je la masse avec plus dintensité et elle se détend à nouveau. Mais elle me regarde à nouveau et je ne peux plus la mater, je garde la tête baissé vers ses mollets. Puis je maperçois quen écartant les cuisses je peux voir dans le trou de sa serviette. Au bout de ce couloir sombre japerçois son joli entrejambe, parfaitement épilé.
- Et bien...ya un garçon avec qui...on va dire qu'on flirtent parce que c'est pas encore officiel. Mais il...enfin il préfère les filles avec moins de formes il veut que je maigrisse.
Je glousse doucement, quel idiot ! Claudia nest pas le genre de fille un peu enrobé ce qui lui donne des formes en trop. Elle est déjà mince, comme en témoigne son ventre plat et son longues jambes. Mais elle a naturellement une silhouette en huit. En pensant à cela je ne peux mempêcher de jeter un coup doeil sur son imposante poitrine, elle me regarde toujours mais elle doit avoir lhabitude dêtre matée, quel homme pourrait sen empêcher ? La nature la superbement bien dotée, ils sont bien formés, défiant les lois de la physique au dessus dune taille fine et de hanches délicieusement évasées. Elle a un corps naturellement sculpté pour plaire, impossible pour elle de le changer.
- Ce garçon est un idiot alors, tu es...parfaite (lorsque je dis ces mots, je dévore son corps des yeux de manière assumée, alors quelle me regarde lair de plus en plus troublée.) et puis les garçons adorent les formes tu sais ?
Mon élève se lève soudainement et séloigne un peu du banc. Elle se cache à nouveau les seins avec les mains.
- Je pense que le massage a suffit ça va mieux, explique-t-elle nerveusement.
Je contiens ma déception et mon agacement puis décide de tenter une dernière fois.
- Mais je navais pas fini Claudia, tu ne vas pas être totalement détendue, dis-je en me rapprochement tout près delle.
Elle recule et se retrouve dos au mur.
- Oui mais on ne devrait pas...commence-t-elle en baissant les yeux.
Je pose une main sur sa hanche.
- On ne devrait pas quoi ? On a rien de fait de mal, je rétorque en souriant.
Je glisse mon autre main vers son épaule et commence à la masser là aussi.
- Tu es mon prof...et en plus mon copain napprécierait pas que je me fasse masser comme ça
Sa bouche tient un langage, son corps en tient un autre. Au même temps quelle me parle elle sest elle aussi collée à moi, posant une de ses petites main sur un de mes pectoraux. Elle cache toujours ses seins avec son autre bras, sinon ils seraient plaqués contre moi. Je lentoure de mes bras, massant ses omoplates, puis son bas du dos et elle se cambre comme pour mieux apprécier. Je la tiens par la taille des deux mains et une de mes mains remonte jusquà ce que le dessous rebondi de son sein vienne remplir le creux entre mon pouce et mon index.
- Ton copain nen saura rien, et puis même si il lapprend quest ce que tu veux quil dise ? Tu nas commis aucun écart. Je crois que tu exagères, la situation est tout à fait normale, laisses moi donc finir de moccuper de toi...ça fait partie de mon rôle de professeur.
Elle reste impassible puis retire son bras, libérant ses deux torpilles dalbâtre qui viennent délicatement rebondir contre le haut de mon ventre, y laissant un contact chaud, doux et onctueux.
- Ok alors on finit juste le massage et on rentre...murmure-t-elle.
- Bien sur ! Dis-je dun ton enjoué.
Je me rassois et elle se tient debout devant moi, les bras autour de ses seins, je prend une de ses jambes et je la fais poser son pied sur le banc entre mes cuisses pour pouvoir lui masser le mollet.
- Je disais donc...les garçons adorent les formes, tu ne devrais pas lécouter
- Oh ça je le sais bien quils les adorent, répond-elle.
- Ah ? Et comment le sais-tu ? Demandé-je sur un ton innocent.
- Je vois bien leurs regards...et jentends leurs commentaires
- Du style ?
- Bah que je suis bonne, quils veulent me déglinguer ou que jattend que de me faire baiser
- Et tu fais rien pour quils disent tout ça ? Ou tu les chauffes un peu volontairement ?...
- Bah parfois...un peu, cest marrant, explique-t-elle en rougissant.
- Tiens, assieds toi sur mes genoux tu seras mieux que debout.
Elle obéit et pose son superbe cul enroulé dans sa serviette sur moi. Je recule un peu et masse son dos.
- Et tu ne cèdes jamais à leurs avances ?
- Huuumm...ils ont que de la gueule, cest des gamins
Et alors, comme si cétait naturel et que cela faisait parti du massage, je passe mes mains à lavant et jatt ses seins dun coup. Elle sursaute, pose ses mains sur les miennes mais ne les retirent pas. Je la sens qui respire fort alors que je commence à malaxer ses gros seins. Ils sont parfaits, lourds et ronds en main, doux et fermes
- Ouais, faut dire que tes très mature pour ton âge, ils sont pas au même niveau.
- Ahh...euh...oui...gémit-t-elle​.
Elle remue un peu, les yeux fermés, je la serre contre moi et embrasse son cou. Mais soudain elle se retourne vers moi et me fixe. Je mapprête à lentendre me dire darrêter mais...elle membrasse. Un peu surpris au début, je lui rend son baiser avec plaisir. Je la retourne vers moi et je continue à lui dévorer les lèvres en jouant avec ses tétons durs. On a largement dépassé la situation du massage ou la relation prof-élève. Jai une petite pointe de culpabilité mais...putain elle est vraiment bonne quoi.
Très vite la situation bascule et ma main se glisse sous sa serviette. Elle pousse des petits gémissements qui mexcite alors que je lui caresse le clito en lui léchant les seins. Deux minutes plus tard je me retrouve à genoux devant elle.
- Quest ce...quest ce que tu fais, dit-elle en resserrant les cuisses.
- On tas jamais fait de cunni ?
- Bah...non.
- Alors accroches toi tu vas adorer ça
Sous mes caresses elle obéit et me laisse lui retirer sa serviette. Elle a un bassin bien large, des cuisses dodues et au milieu une petite chatte rose bien rasée. Un délice.
Elle frémit alors que je dépose des baisers sur ses cuisses, approchant mon souffle chaud de son entre-jambe. Après quelques coups de langues qui la font sagiter dans tous les sens je me met à lui bouffer la chatte avec envie. Jouant avec ma langue et mes doigts, je lui masse le clito et profite de ses petits gémissements. Elle mouille vraiment abondamment et le banc sous ses fesses est aussi trempé que mon visage.
- Oooohhh...AAHH...monsieur vous...tu
.HHHUUUUMMMM
, gémit-elle en saccrochant à mes cheveux.
Au bout de cinq minutes je la sens jouir contre moi, elle resserre les cuisses autour de ma tête et elle se contracte en poussant un long râle de plaisir. Je souris, me relève et lui embrasse les seins en les malaxant. Ma bouche remonte vers la sienne et on sunit à nouveau. Elle membrasse fougueusement cette fois, toute son inhibition mise de côté, je comprend que cest vraiment une coquine malgré son absence dexpérience. Je fais glisser ma main entre ses cuisses pour la caresser encore mais plus doucement cette fois et elle ne me repousse pas.
- Bon maintenant à toi.
- Hein ? Me demande-t-elle en rougissant.
- Tas très bien compris tes une fille intelligente.
Je massois sur le banc et lui indique du doigt le sol devant moi. Elle récupère sa serviette pour se cacher dans un geste de pudeur un peu inutile puis se met timidement à genoux devant moi. Ça mexcite quelle tente encore de se cacher alors que je lai vu entièrement nue. Et son regard...ses grands yeux bleus innocents ou brille quand même une lueur de perversion.
Jenlève la serviette autour de ma taille, putain je bande comme un fou. Ma bite apparaît dans toute sa gloire et Claudia pousse un petit oh ! de surprise. Elle fait les gros yeux en se mordant la lèvre quand je linvite à venir mattr.
- Elle est
commence-t-elle.
- Appétissante jespère ?
- ...euh...jallais dire grosse surtout.
- Plus grosse que celle de Baptiste ?
- J'ai jamais vu celle de...attends comment tu sais que ?...
- Chuutt pas d'importance, concentres toi, touches la !
Elle la fixe, mi inquiète mi intriguée puis la prend en main. Elle lobserve, la touchant des deux mains, comme si cétait sa première. Ah oui, cest sa première.
Je pousse des petits grognements au moindre de ses gestes tellement je suis excité. Et ses petites mains douces qui soupèsent ma queue, la malaxe un peu, meffleurent de tous les côtés...jai envie de la démonter.
Comme un robot, sans même sen apercevoir, elle passe de réticente à hypnotisée et commence à me branler automatiquement. Quel vision de rêve, Claudia, mon élève qui lâche sa serviette tellement elle est concentrée dans son travail et me dévoile son petit corps pulpeux à genoux entre mes cuisses, ses mains glissants le long de ma hampe. Sous ses caresses, je gonfle et grandit encore et ma bite se dresse fièrement.
- Allez maintenant ouvres la bouche, ordonné-je.
- Mais...je sais pas si...huumm...hésite-t-elle.
- Claudia. Regardes comme je bande, cest toi qui me fait ça.
Elle me regarde dans les yeux, se penche en avant et embrasse ma queue. Puis elle la prend en bouche. Je la vois remuer un peu, gênée, puis elle se met à baver un peu et au bout dune vingtaine de seconde, guidée par mes conseils elle se met à sucer doucement ma bite. Je bascule la tête en arrière en gémissant, profitant de sa bouche chaude. Je tiens ses cheveux en queue de cheval et je prend mon pied.
- Ouais cest bien petite cochonne, suce bien comme ça
Elle ne répond, ne soffusque pas. La situation a lair de lexciter parce que de son autre main elle a recommencer à se toucher.
Cest alors que jentend un sonnerie. Je tourne la tête, cest le téléphone de Claudia, rangé dans une petite pochette transparente imperméable avec mon propre téléphone. Malheureusement elle lentend et sarrête aussitôt pour tendre le bras et saisir son téléphone.
Putain de merde ! Pourquoi maintenant ? Javais gagné, elle était en train de mastiquer doucement le chibre, la bouche autour de mon sexe et il a fallut que son foutu téléphone sonne ! Elle regarde lécran, paraît hésiter. Son regard va de sa main droite qui tient son téléphone, à sa gauche qui tient encore ma bite. Puis à mon grand étonnement elle décroche en continuant à me branler.
- Oui allô papa ?
Oh putain la salope
- Oui je suis encore à la salle mais
-
- Oui cest plus tard que dhabitude mais jai croisé mon prof de sport.
-
- Oui il me fait un...cours particulier.
En disant ça elle me regarde dans les yeux, sourit, puis dépose un baiser sur mon gland. Je suis sur le point dexploser, je me mord la lèvre pour ne pas faire de bruit.
Tout le lycée se trompe, cest pas une sainte cette fille, mais une nana à foutre sur le trottoir !
La suite me fait encore plus halluciner. Elle vient mordiller mon gland tout en écoutant son père.
- Hum...hum ? Ah...ok bisou papa à ce soir !
-
- Oui tinquiètes il va rien marriver je suis ta petite fille à toi...tu veux lui parler ? Ok.
Et elle me tend le téléphone en me faisant les gros yeux. Elle arrête de me sucer pour écouter la conversation, inquiète mais dès que le téléphone est contre mon oreille je lui att les cheveux et jenfonce de force ma queue dans sa bouche.
- Oui allô ? Demandé-je.
- Oui bonjour cest le père de Claudia vous allez bien ? Me répond une voix bourrue.
Pendant ce temps j'agrippe toujours la tête de la jeune fille pour lempaler sur ma bite. Je la vois, surprise, essayer de résister un peu puis céder et engloutir ma bite bien plus loin que depuis tout à lheure. Elle devient rouge, ferme les yeux et elle savançe delle même pour me prendre au fond de sa gorge.
- hhhuumpp ggloorrppp ggooglloo...
- Je...oui ça..hum...va très bien et vous monsieur ?
- Oui merci, ça se passe bien la muscu avec Claudia ?
- GGLOOGGLOOO...HHUUMMFF
Je relâche Claudia qui crache ma bite en toussant. Ma queue, encore reliée à ses lèvres pulpeuses par un filet de bave vient rebondir entre ses deux gros seins.
- Oui ça se passe bien, elle est appliquée et obéissante.
- Euh...je vois, écoutez il est un peu tard et je voulais savoir si vous pouviez la raccompagner en voiture.
De lautre côté Claudia a repris son souffle, je latt donc par la nuque pour la faire sucer à nouveau. Elle écarquille les yeux, choquée mais se remet au travail sans rechigner.
- Oui bien sur, vous avez raison cest plus prudent !
- Vous me la passez ?
- Oui tenez...
Claudia reprend le téléphone en recrachant ma bite et prend une grande inspiration avant de répondre.
- Aaahh...oui papa ?
- ...
- Non je suis juste essoufflée parce que je fais un nouvelle exercice...avec une nouvelle machine..
Tout en parlant à son père elle me branle vigoureusement. Elle finit par me repasser son père et j'en profite pour reprendre possession de sa bouche.
- Bon du coup elle est d'accord, je vous laisse à votre séance monsieur ! Dit le père de Claudia sans se douter quel est la nature de la séance qui attend sa fille...
- Pas de problème, bonne soirée à vous !
Heureusement que son père raccroche parce quen face Claudia est en train de devenir vraiment bruyante, elle produit des bruits de gorges et de succions et de mon côté jai du mal à retenir mes grognements. Je fini par la lâcher à nouveau et elle reprend son souffle, ses jolies joues toutes rouges. Elle est surprise de découvrir le vrai moi, de voir que tous les hommes réagissent de la même manière face à une chienne pareille.
- Tes vraiment une coquine toi...allez sois une bonne fille bien élevée et pompes moi, ton père ma dit dêtre dur avec toi, pas de favoritisme.
- Hein ? Il a vraiment dit...GGHH GGLLOOOGLLOOO HHUMMPPFF
Oh bordel cest magique, je lui baise la tête, profitant de sa petite bouche dans de rapides va et vient. Toujours en la tenant par les cheveux, je lui impose un rythme un peu moins soutenu mais à sa manière de sempaler seule sur ma queue je sens quelle adore être utilisée comme il me plaît. Elle lève ses grands yeux de biches, qui sont maintenant plutôt des yeux de chienne vers moi et je regarde avec satisfaction sa petite bouche déformée par ma grosse bite, ses lèvres pulpeuses écartés pour en faire le tour.
- Ah putain Claudia, tes sure que cest ta première fellation...putain cest trop bon !
- Cest vrai ? Je fais ça bi...ggglluurrrppp hhuunnggfff gglurp
- Ta gueule et continues de me sucer.
Je ne me gêne pas pour envahir sa bouche, je lance quelques insultes et loin de sen offusquer, ça semble lexciter.
- Oh tu suces comme une reine...tes faites pour avoir une queue en bouche !
Mais je nai plus beaucoup de temps je dois la ramener chez elle. Mais avant ça je dois entièrement la corrompre et faire delle ma petite soumise. Il faut quelle revienne vers moi delle même, je ne me contenterais pas dun one shot avec une bombasse pareille, et une énorme coquine à en devenir. Je retire ma queue de sa bouche.
- Excuses moi pour ma brutalité...ton coup de téléphone ma vraiment trop excité.
- Hhhaaaa...hhaaaa...bah cétait un peu le but, me dit-elle en souriant timidement.
Je me penche en avant et je la soulève dun geste. Elle ne résiste pas et s'agrippe à mes épaules et membrassant. Je la pose allongée sur le banc, moi entre ses cuisses relevés. Gênée, elle cache son sexe dune main et ses seins de lautre. Je glousse en attrapant ma pochette imperméable, et mon portefeuille dedans.
- Tututut, pas besoin de te cacher avec moi ma belle. Je te trouve parfaite.
- Oui mais là...tu veux faire quoi ?
- A ton avis ? Souris-je en sortant une capote de mon portefeuille.
Il ya un blanc alors que jenfile la capote mais elle reste allongée. Puis je lentend dire tout bas.
- Je sais pas trop...javais pas prévu de faire ça comme ça...avec mon prof en plus cest mal et
- Chhuuttt...on le fait pas si tu veux pas. Mais je sais que ten a envie, regardes comme tu mas sucé !
- Je
- Nessaie pas de le cacher, jai jamais vu quelquun mouiller autant. Si tas aimé ce quil se passe depuis tout à lheure alors tu vas kiffer que je te la mette bien au fond
Elle hésite encore et pour la narguer, je dépose ma queue sur son ventre, la faisant rebondir doucement pour quelle ait une idée de ce qui va entrer en elle. Elle semble impressionnée. Je me penche vers elle, et suce ses tétons en la caressant. Elle se remet à gémir et sa peau se couvre de chair de poule alors que jembrasse son cou.
- Jai trop envie de toi...et toi aussi...tas quune envie cest que je te démonte comme une petite chienne
- Ça...ça va me faire mal ?
- Juste un peu au début.
Elle me fixe, puis enlève sa main de son sexe. Je souris en comprenant que victoire est mienne et je place mon gland à lentrée de sa chatte lisse. Je pousse mon gland contre elle et jentre doucement alors quelle lâche un long gémissement. Elle saccroche à moi et je mallonge sur elle, ses gros seins parfaits collés contre mon torse. Elle me mord lépaule alors que je la fend en deux. Je glisse lentement dans son sexe qui est serré et brûlant. A chaque centimètre de plus ses gémissements saccentue et elle me griffe le dos au moment ou je perce une résistance.
Ça y est, elle nest plus vierge.
Claudia est une femme.
Elle a le souffle coupé mais un sourire extatique flotte sur ses lèvres.
- Ça va ? Pas trop mal ? Demandé-je inquiet en voyant ses yeux révulsés.
- Non...aaaannhhh...cest trop bon...je te sens tout au fond
Je me met à rire et elle relève la tête intrigué.
- Jai même pas mit la moitié ! Cest à peine plus quun doigt là !
- Oh mon dieu...Murmure-t-elle en relevant la tête et en constatant que je ne suis pas encore au fond delle.
- Bon...dis-je sans toutefois bouger.
- Tu attends quoi ? Demande-t-elle entre deux gémissements.
- Que tu dises clairement ce que tu veux Claudia.
- ...tes sérieux...euh...allez vas-y sil te plaît
- Pas assez motivant.
- Allez baises moi Clément ! Sexclame-t-elle impatiente.
Je ressors un peu pour prendre mon élan et commencer à sauter cette petite pute. Je vais lui faire vivre la meilleure baise de sa vie.
TOC TOC TOC !
Merde ! Quelquun toque à la porte du sauna.
- On va fermer le sauna ! Sortez !
Bordel.
De.
Merde.
Cest une blague ?
Claudia me repousse aussitôt en arrière et se relève en gémissant. On échange un regard et je peux voir quelle est aussi frustrée que moi. Mais on a rien le temps de faire là.
Jai limpression de bouillir de lintérieur, cest dans un silence de mort quon prend nos affaires et quon sort du sauna. Le gars à lextérieur me lance un regard méfiant mais lapparition de Claudia qui a remit sa petite brassière détourne aussitôt son attention. On part se rhabiller et furieux, je galère à remettre mes vêtements avec lénorme trique que jai...jétais à deux doigts de...sa cyprine couvre encore mon sexe.
Je sors de la salle et trouve Claudia habillée et coiffée en train de mattendre. On monte dans ma voiture sans vraiment parler. Au cours du trajet elle essaye danimer la conversation en parlant du lycée. Ça me frustre quelle parle comme ça comme si il ne sétait rien passé. Je fini par me garer devant chez elle, une petite maison dans un quartier résidentiel plongé dans lombre dune cité HLM. Elle sapprête à me dire au revoir mais je larrête.
- Tu veux faire comme si de rien nétait ?
- Je pense que cétait une mauvaise idée...explique-t-elle en esquivant mon regard.
Je pose mon bras sur son appuie tête et une main sur son genou. Elle ne me repousse.
- Et donc ? Quest ce quon fait ?
- On ne recommencera plus et on revient à une relation prof élève normale, mexplique-t-elle lair déterminée.
Elle est mignonne avec ses jolis sourcils froncés. Je me penche vers elle et lembrasse.
Deux minutes après, jai la tête entre ses seins et une main dans sa culotte.
Jagite furieusement les doigts dans sa chatte et elle gémit comme une folle en s'agrippant à mes cheveux et à mes épaules. Pendant que je la doigte elle gémit des propos sans queues ni tête cest...hhuumm....la dernière fois...AAANNHH. Finalement elle jouit violemment contre le tableau de bord et après avoir un peu soufflé elle sort de la voiture. Elle fait le tour en boitant un peu, lair exténué. Et je baisse ma vitre quand elle passe devant.
- Alors cette séance de sport ? Tu en diras quoi à ton père ?
- Que cétait exténuant, jai mal partout, réplique-t-elle sur un ton boudeur.
Elle se penche en avant, les coudes sur le rebord de ma vitre et je me demande si elle fait exprès de me montrer son décolleté comme ça.
- Et du coup...ma note est remonté ? Minaude-t-elle en souriant.
- Bonne question, on va dire que oui mais juste la moitié des points, tu auras lautre moitié quand on ira au fond des choses.
Elle rougit et fronce les sourcils mais avant quelle ne puisse protester je dépose un baiser sur ses lèvres et je démarre. Dans le rétroviseur je la vois faire volte face pour rentrer chez elle et je la quitte sur une vision de son corps en sablier de dos, et son gros cul bombé que jai hâte de me faire.
Laissez un commentaire si vous avez aimé ! Je ferai peut être une suite si j'ai assez de retour !
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