Chacun Son Tour 1
Avec son épouse Caroline, Gilles navait plus de rapport sexuel depuis un mois.
Elle lavait découvert en train dembrasser une femme de son bureau. Et pas confraternellement.
Caroline, âgée de trente ans, est une jolie femme à la belle chevelure châtain clair, aux yeux marrons, nez droit, bouche aux lèvres pulpeuses mais sans excès, menton volontaire. Son port altier, elle est dune lignée dun prince et dune marquise, mais nest pas laînée. Donc aucun titre, hormis sa chevalière couronnée.
Gilles, même âge que son épouse, brun aux yeux verts, chevelure brune abondante, mesure un mètre quatre vingt cinq. Bien musclé, on devine le sportif.
Sétant ouvert de sa déconvenue maritale auprès de Martine, son amie intime, celle-ci lui a conseillé de prendre rendez-vous avec un couple, Jacques et Cindy, qui devrait pouvoir laider.
Caroline et Gilles garent leur voiture devant une belle bâtisse, toute de plein pied. Il suit son épouse dans le chemin qui mène à lédifice. La grande porte dentrée souvre peu avant leur arrivée et apparaît un jeune homme, semblant assez jeune (à peine vingt-deux, vingt-trois ans, estime Caroline), pas très grand, blond très clair, yeux bleus, inexpressifs, habillé dune simple chemise blanche à manches courtes et dun pantalon moulant de cuir noir :
-Bonjour, je mappelle Jacques
Il tend la main à Gilles. Ce dernier est surpris davoir limpression que ses os vont être broyés par des doigts aussi fins. Cela ne dure pas, car Jacques gratifie Caroline dun baise-main très civil qui plaît à la jeune femme.
-Entrez
Il ferme le battant dans leur dos, les précède dans un vaste salon, tout de blanc meublé où une jeune fille est en train de servir des boissons dans quatre verres.
A croire quelle a à peine vingt ans :
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-Cindy
Vêtu comme son compagnon, caraco et pantalon de cuir noir, encore plus moulant que lui, sous lesquels on devine quelle est nue, elle désigne deux profonds fauteuils :
-
Asseyez-vous
Chacun prend un verre, regarde les trois autres, puis Jacques rompt le silence :
-Caroline, expliquez-nous ce qui se passe
Elle obtempère, répond aux questions que leurs deux hôtes lui posent.
-Quattendez-vous de nous ?
-A la base je voulais divorcer. Mon amie intime, Martine, ma parlé de vous, expliqué que vous aviez une méthode pour laver laffront quil ma fait.
De sa voix chaude, douce, Jacques explique :
-En effet. Je ne vais pas vous en décrire tous les détails. Sachez simplement que
Gilles doit être daccord. Nous sommes vendredi, il est 18 heures. Vous viendrez le chercher lundi matin à 9 heures.
Caroline regarde Gilles, demande :
-Donnez-moi quand même quelques explications
Puisquil doit accepter.
Jacques regarde Cindy, elle expose :
-Nous allons le punir. Rassurez-vous, il ne sera pas blessé, du moins pas physiquement. Un seul refus, nous vous le renvoyons chez vous et vous vous débrouillerez. Gilles, à vous la parole.
Ce dernier se redresse, regarde sa femme, dit :
-Elle a choisi, donc jaccepte.
Jacques se lève, sadresse à Caroline :
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-Vous pouvez disposer, Madame, (A Cindy) Accompagne-le dans sa chambre, quil prenne une douche, tu le ramèneras dans la salle des punitions après.
Caroline accorde juste un signe de tête à son mari et suis Jacques. Sur le perron, il précise :
-Le traitement peut durer deux voire trois week-ends. Nous en parlerons lundi matin. Bon week-end
Il lui alloue un nouveau baise main et rentre dans la grande maison.
Gilles a suivi Cindy dans un escalier qui conduit au sous-sol où il découvre un grand couloir avec plusieurs portes de chaque côté, comprend que les lieux sont insonorisés et climatisés.
Elle introduit un passe-magnétique dans la serrure, pousse le battant, dit :
-A la moindre flamme, ou augmentation de deux degrés de la température, toutes les issues se débloquent, sinon vous ne pouvez pas sortir tout seul.
Gilles découvre un grand et large lit, deux placards, une porte sur la droite, ouverte, il se rend compte quelle donne accès à la salle de bain.
demande :
-Où mets-je mes affaires ?
-Vous me les donnez. Ici, vous nen aurez pas besoin.
Gilles se déshabille, gêné malgré tout par la présence de Cindy qui le regarde.
Parvenu au slip, il hésite
La jeune femme lâche :
-Dois-je vous aider pour votre slip ?
Mortifié, Gilles le baisse.
Cindy sempare de toutes les affaires, explique :
-Comme vous nen aurez plus besoin avant lundi matin, je les emporte. Une précision ou plutôt un conseil :
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-Enduisez votre
anus de gel après votre douche.
Cindy séclipse.
Gilles reste immobile une ou deux minutes. Situation étrange voire surprenante.
Puis il décide se doucher.
Gilles est surpris dans un demi-sommeil par la voix de Jacques quil découvre au pied de son lit :
-Lève-toi !...
Contrairement à la voix du salon, cette fois le ton est sec, froid, tranchant, et finis les politesses, Jacques a tutoyé Gilles pour bien montrer quil commande et que Gilles doit obéir
sans discuter. Être nu devant un homme, même habillé, gêne Gilles quand même un peu. La moquette qui recouvre tous les sols de la villa permet au garçon de rester pieds nus.
-
Suis moi !
Gilles constate que la porte reste ouverte après sa sortie. Le trajet est très court car les deux hommes pénètrent dans une vaste pièce au moins quarante mètres carrés où il ny a aucun siège hormis deux chaises, lune delles déjà occupée par Cindy. Jacques prend place à ses côtés.
Gilles ne peut que rester debout face au couple qui le regarde sans ciller. Le silence dure facilement trois voire quatre minutes. Puis Jacques déclare :
-Le dîner, que tu serviras, nous le prendrons après ta première fessée. Comme cest ta femme qui ta amené chez nous, Cindy va te la donner
« Ouf ! » se retient de soupirer le garçon.
-Des questions ?
-Non.
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-Non qui ?
Silence de Gilles qui ne sait quoi répondre. Dans son entreprise, cest lui qui commande.
Jacques insiste :
-Non qui ? Mon chien ?
Gilles hésite à répondre « Oui ! » mais préfère sabstenir, choisit :
-Excusez-moi
Oui, Monsieur !
-Cest déjà mieux. Cindy ajoutera cela à ta fessée. A partir de maintenant, tu diras : Maître, Maîtresse pour Cindy. Est-ce bien compris ?
-Oui, Maître !
Dun battement de cils, Jacques passe la parole à sa compagne ; aussitôt dune main tendue, index replié, Cindy invite :
-Viens te mettre à plat ventre sur mes cuisses !
Gilles ne soffusque pas du tutoiement, sapproche de la jeune femme, sallonge sur les cuisses recouvertes du pantalon de cuir noir. Dune main ferme, elle positionne le sexe du garçon entre ses cuisses avant de ly enserrer.
Contracté malgré tout dêtre dans cette honteuse, voire humiliante, position comme un adolescent, il est surpris de sentir cette main fine caresser son cul nu, alors que Cindy dit :
-Décontracte-toi ! Je ne commencerai pas ta punition tant que tu seras autant crispé.
Gilles a une forte envie de se redresser, de décamper illico, mais à quoi cela servirait-il sinon de perdre définitivement son épouse. Si cest le seul moyen de la garder, autant subir.
Sans même sen rendre compte, il se relâche.
-Claaaaac !
La première claque vient de percuter sa chair détendue. Outre que Gilles ne sy
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Attendait pas ; cest surtout à cette claque si puissante, claquante, douloureuse quil na pas prévu.
Pas le temps de réfléchir, les claques suivantes, données alternativement fesse gauche puis droite, sont tout aussi fortes et percutantes.
Gilles a beau serrer les dents pour ne pas céder, capituler sous cette terrible fessée féminine, très vite un petit cri franchit ses lèvres closes.
Cindy, qui maîtrise parfaitement son sujet, tient le garçon ceinturé contre elle, ne varie en rien le rythme des claques quelle alloue au derrière musclé bien offert dans toute sa nudité.
Gilles, cette fois, ne peut plus résister, extériorise la douleur infligée par les claques qui pleuvent sur son cul :
-Aaaaaaah !... Nooooooon !... Pluuuuuuus
Cette fessée !... Sil vous plaît
Maîtresse !... Je vous
En priiiiiiie !... Aaaaaaaye !...
Cindy, prosaïque, le tance :
-Tu es puni, Gilles, supporte cette fessée
Ne compte surtout pas sur ma fatigue, pense que cest ta femme qui te corrige.
Jacques quitte son siège, sort de la pièce.
Gilles sous la terrible douleur qui brûle ses fesses qui rougissent de plus en plus, bande malgré la honte dêtre fessé en présence dun tiers.
Cindy sen aperçoit, ricane :
-Menteur, tu aimes ma fessée, la preuve, tu bandes.
Au même moment Jacques revient dans la grande pièce, porteur dun grand bol de faïence qui fait entendre un bruit bizarre. Il dit :
-Accorde lui un répit, Cindy. Jai apporté des glaçons, ça va rafraîchir son cul.
La jeune femme cesse aussitôt la correction. Jacques pose le bol à terre, prend un glaçon dans chaque main, les fait circuler sur la peau rouge et très chaude.
Les cubes fondent rapidement.
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La fraîcheur dispensée à ses lombes fait du bien à Gilles qui oublie que la correction peut reprendre sans préavis à tout instant.
Jacques cesse ses caresses glacées, commande :
-Essuie-lui les fesses, elles sont assez rafraîchies.
Gilles na pas le temps de penser quil na vu aucune serviette. La fessée reprend, plus claquante avec sa peau très humide. La douleur est plus forte, plus intense ; il le crie :
-Nooooooon !... Pas comme ça
Cest horrible !... Pitiiiiiiié
Maîtresse !... Ça brûûûûûûûle
Aaaaaaaye !... Asssssssez !... Sil vous
Plaît
Maîtresse !
Linterpellée, qui samuse de voir Gilles battre le sol de ses jambes quil agite en tous sens, rétorque :
-Jarrêterai ta fessée dès que ton derrière sera sec.
Peu de temps après, la douloureuse avalanche de claques cesse enfin.
Gilles reste inerte sur les cuisses en cuir de sa Maîtresse. Il na même pas la force de quitter son humiliante position.
Cindy pose sa main sur la croupe masculine, demande :
-Te faut-il quelques claques pour taider à te lever ?
Cela agit sur Gilles comme un aiguillon. Il quitte la position de garçon fessé, manque de choir tant ses membres inférieurs sont engourdis.
Jacques, toujours spectateur attentif, commande :
-Tiens-le, Cindy, je veux examiner son trou du cul dont je moccuperai après dîner.
Gilles, malgré sa volonté de protester, ne dit rien, ne résiste pas à Cindy, debout, qui létreint en immobilisant ses avants bras repliés dans le dos.
Jacques, qui a ganté une main de latex, sapproche du couple, ordonne :
-Ecarte tes cuisses et sois décontracté, sinon cest moi qui vais te fesser
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Gilles ouvre ses cuisses sans protester : il na aucune envie de goûter aux claques de Jacques.
Ce dernier pose une de ses mains sur lentrefesse quil écarte à deux doigts, glisse son majeur ganté dans louverture, sent lanneau rectal, sy introduit sans
forcer. Il comprend que Cindy a dit à Gilles de mettre du gel.
Tout en enfonçant doucement son majeur jusquà ce que sa paume empêche une introduction plus profonde.
Le doigt ressort, Jacques fixe Cindy :
-Tu es trop gentille, ma chérie. On en parlera quand il sera couché. Pas besoin de le plugger avant, il est vierge du cul, mais cest une punition, ne loublions pas.
Lâche-le, allons dîner.
Le couple reste statique, se contente dordonner à Gilles de faire telle ou telle action. Il est un peu gêné dêtre entièrement nu avec ses fesses rouges alors queux sont habillés. Il sent le poids de leurs regards sur son cul ou sa bite selon
sa position.
Au début, Gilles avait eu peur que le couple lui impose de manger à terre dans une écuelle ou autre, quil a lu dans des ouvrages érotiques ; comme sil avait deviné ses pensées, Jacques lui a dit :
-Nous ne pratiquons pas lavilissement. Tu es ici pour être puni, entre autres, mais il ne faut point exagérer. A la fin de ce week-end tu devrais avoir déjà changé. Nous verrons avec Caroline.
A un moment, alors que Gilles passe près de lui, Jacques pose sa grande main aux longs doigts fins sur son cul, dun regard lui fait comprendre de ne pas bouger. Le majeur caresse doucement lanneau ridé de lanus. Sans prévenir le doigt force lanneau rectal comme un trait de feu, sy enfonce jusquà la garde, demeure fiché dans le lieu.
Un cri échappe au garçon :
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-Aaaaaaaye !
Puis il proteste :
-Non !... Pas ça !
Jacques rétorque :
-Sage !
Son doigt sest mis à bouger dans le sphincter quil distend affreusement. Cest très douloureux. Chaque frottement provoque à Gilles une sensation décorchure. Linstinct le pousse à serrer ses fesses, mais son cul possédé et maintenu offert ne lui appartient plus. Il a honte dêtre enculé par ce doigt devant ce couple habillé ; des larmes autant de honte que de douleur perlent à ses yeux. Néanmoins il subit héroïquement son supplice jusquà ce le doigt
quitte ses fesses.
-Tu peux débarrasser la table.
Gilles, reprenant pied, garde dans son derrière limpression de distension, jointe à celle de receler un corps étranger.
Quand Gilles a débarrassé et essuyé la table, Jacques consulte son chronomètre, regarde Cindy, décide :
-Avant que je prenne son pucelage, je crois quArte Concert diffuse en direct sur internet lOrchestre National de France sous la direction de Emmanuel Krivine.
Le concerto piano n°2 de Rachmaninov avec Lugansky en soliste et la huitième symphonie de Dvorak.
Cindy approuve.
Le trio se rend dans la salle réservée à la vidéo. Un grand écran au mur, quatre fauteuils. Alors que Jacques va régler la diffusion, Gilles va pour sasseoir, mais il larrête :
-Non ! Tu viendras près de moi toccuper de ma bite.
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