Mon Ex
Cela fait déjà plusieurs semaines que tu mas quitté pour elle. La femme que tu aimais plus que moi.
Celle que tu voyais en cachette quand nous vivions ensemble. Celle avec qui tu vis maintenant.
Je suis toujours amoureuse de toi, je ne peux pas t'oublier, ni tirer un trait sur ce que nous avons vécu ensemble.
Je faisais des projets d'avenir, j'étais follement amoureuse de toi, et brusquement, tu es parti.
Parti pour la rejoindre, pour vivre avec elle, parce qu'avec moi tu étouffais.
J'ai pleuré, beaucoup, longtemps, puis je me suis résignée. Mais je t'aime toujours.
Je ne devrais pas me mettre dans cette situation, nous ne sommes pas faits l'un pour l'autre, mais tu me manques tellement.
Nous dînons dans notre restaurant préféré, puis nous nous promenons dans le parc où nous nous étions rencontrés.
Pourquoi m'attendre à la sortie du travail? Restons amis, m'as-tu dit. Amis? Comment pourrions-nous être amis?
Je t'aime et je souffre. Je ne peux pas être ton amie, je suis jalouse, je t'aime et je te veux pour moi, à moi seule!
Tu me suis jusque chez moi. Pourquoi? Pour discuter, c'est ce que tu m'as dit.
Bien, alors, discutons! J'allume la télé, une chaîne musicale, pour faire un fond sonore, et je te sers une bière.
Mon studio est tout petit, alors nous sommes allongés sur mon lit, sur le dos, l'un à côté de l'autre, et nous bavardons.
Brusquement, tu te tournes, tu m'atts, j'essaie de fuir, mais tu me bloques et tu me couvres en cuillère.
C'était un geste si familier, autrefois. J'ai une douleur dans la poitrine et le souffle coupé, tu me manques tellement que ça me fait mal. Mais c'est impossible, tu as une copine, maintenant.
Je bafouille, j'essaie de me dégager, mais je ne veux pas que tu me laisses et que tu partes.
J'essaie de t'expliquer, de te raisonner, mais ta main se déplace lentement, et je cède sous tes caresses.
Ta main se pose sur ma hanche, palpe doucement mon côté, glisse sur mon ventre et s'enroule autour de moi.
Elle s'empare de mon sein et le presse tendrement, le souffle me manque, la tentation me fait perdre la tête.
Je te laisse pincer mon mamelon qui s'érige immédiatement, mon corps se réveille sous tes caresses et me trahit.
J'essaie toujours de te parler, mais je panique, mon corps te désire, je te veux, je t'aime.
Mais je sais que c'est malsain, que je ne dois pas te céder, tu vis avec elle, maintenant, tu ne m'appartiens plus.
Je sens bien que tu me désires, je peux sentir ton érection grandir contre mes fesses, car tu presses ton corps contre moi.
Je sais que je ne devrais pas te laisser faire, mais je te veux et j'aime que tu me convoites toujours.
Je ne sais pas si c'est simplement parce que vous vous êtes disputés, mais je ne peux pas m'empêcher de répondre à tes attentions.
Ta bite est dure maintenant. Tu me tiens serrée contre toi et tu embrasses ma nuque, ta barbe me chatouille.
Tes doigts ont réussi à libérer mon sein, tu tords mon mamelon, ce qui envoie des ondes de choc à travers mon corps.
Ma respiration devient lourde. Ma chatte est trempée. Je malanguis entre tes bras puissants.
Tu lâches ma poitrine et tu m'obliges à me retourner pour te faire face.
Je m'en fiche de ta copine. On s'embrasse passionnément, c'est chaud, c'est intense.
Ta main dégrafe mon corsage et je me soulève pour l'ôter. J'en profite pour retirer mon soutien-gorge.
Tu tends la main pour guider mon sein vers ta bouche. Tu gobes mon téton et tu le mords. C'est douloureux et délicieux à la fois.
Je dégrafe mon jeans et je me soulève pour l'ôter rapidement.
Ta main descend entre mes jambes, à la recherche du piercing que tu m'avais fait poser sur mon clitoris.
Pendant que tu m'embrasses les seins, tes doigts jouent avec le petit anneau. L'effet est immédiat.
Tu tires dessus, envoyant des ondes de plaisir dans tout mon corps.
"Sois doux", je plaide et tu te calmes un peu.
Ton majeur me pénètre et ton pouce continue de frotter mon piercing, tu me s jusqu'à ce que je perde la tête.
Je me déplace pour te chevaucher et j'embrasse ton front, ton nez, tes lèvres, ton cou, tes épaules, ta poitrine, ton ventre.
En descendant le long de ton corps, mes seins nus touchent ta peau chaque fois que je me penche pour poser un baiser.
Je veux adorer ton corps, même si je n'ai plus aucune prétention sur lui. Je dégrafe ton jeans.
Tu soulèves tes hanches et je fait glisser ton jeans et ton caleçon le long de tes jambes. Je suis agenouillée entre tes jambes écartées.
J'embrasse tes cuisses, ton ventre, tes couilles et le gland au bout de ta grosse et belle queue.
Je le lèche, je le suce, je dépose ma salive. Les mains posées sur tes cuisses, je te prends dans ma bouche.
Alors que ta bite coulisse entre mes lèvres, je les serre fermement et je te caresse avec ma langue en-dessous.
Je te prends de plus en plus profond dans ma bouche, dans ma gorge.
Tes mains enveloppent mes cheveux, les tenant hors de mon visage, je lève les yeux et je vois que tu me regardes.
Je travaille sur ta grosse bite de plus en plus vite, de plus en plus profond.
Je ne peux te servir de cette façon que pendant quelques minutes avant que tu ne lâches mes cheveux et que tu tires sur mes bras, me soulevant et me plaçant au dessus de toi.
Je suis prête pour toi. Je me penche pour t'embrasser tout en guidant ta bite vers ma chatte désireuse.
Je me positionne et je m'assieds pour la sentir glisser en moi. "Oh, mon dieu!" J'ai le souffle coupé.
J'ai besoin d'une seconde, je me dilate autour de toi, ta bite écarte mes chairs, mais surtout, la sensation de te sentir en moi provoque un sentiment étrange, une allégresse, tu m'as cruellement manqué, personne d'autre ne peut me faire sentir ainsi, nos corps s'emboîtent si harmonieusement.
Mes mains posés sur ta poitrine, je commence à onduler des hanches.
Tes mains sur mes hanches, ton corps bouge avec le mien, en cadence. C'est tellement bon!
Je rejette la tête en arrière et je noue mes cheveux sur la nuque pour ne pas les avoir sur le visage. Mes seins rebondissent en rythme.
Tes yeux sont attirés par mes seins qui dansent la gigue, je m'en délecte, ta nouvelle copine n'a pas de poitrine, ou si peu...
Je me penche pour t'embrasser. "Tu es une dévergondée" dis-tu contre mes lèvres.
Je soulève mes fesses de telle sorte que seul le bout de ta bite reste en moi, puis je m'enfonce sur toute ta longueur, mes yeux dans tes yeux et en te murmurant: "Tu es un cochon libidineux."
Je peux te sentir grandir en moi, tes yeux se ferment, tu t'agrippes à mes hanches, et tu augmentes la force et la vitesse des coups.
Je t'embrasse à pleine bouche, mes seins pressés contre ta poitrine pendant qu'on baise comme des bêtes.
Je m'accroche de la tête de lit, utilisant la prise pour renforcer mes coups sur ta bite, mes seins sont maintenant sur ton visage.
Tu gobes mon mamelon dans ta bouche et tu le mords, tu le mords de plus en plus fort jusqu'à ce que je ne puisse plus le supporter et que je te demande: "Un peu de douceur?"
Tu lâches prise et tu fais subir à l'autre mamelon le même sort en mordant encore plus fort. Je gémis.
"Dis-le moi" je te demande. Tu me regardes avec ton sourire narquois qui m'énerve tant.
"Dis-le moi" je réclame, je mendie, les yeux dans les yeux.
"Tu n'es qu'une sale petite pute... tu es ma petite salope..."
Puis tu mords mon mamelon très fort: "Tu n'es qu'une putain de salope et ta chatte m'appartient!"
Cela me rend folle et je frotte ma chatte contre toi, essayant de faire pénétrer chaque millimètre de ta bite en moi.
Après une minute, je me redresse, plaçant mes pieds de part et d'autre de tes hanches, les mains sur mes genoux écartés.
Je commence à sauter sur ton sexe, me soulevant de façon à ce que juste le bout reste à lintérieur, puis retombe dessus.
C'est un sentiment incroyable, ta bite me fouille, je suis tellement remplie par toi, ma chatte s'écartèle sous ta poussée.
Je ne peux pas continuer longtemps et je me calme pour t'embrasser à nouveau. "Tu es si monstrueux."
Je joue avec mon clitoris. Tu maintiens mon cul en l'air et tu prends appui sur tes pieds pour me marteler avec ta bite.
Tu tambourines rapidement ma chatte, ton ventre gifle le mien, les chairs claquent, tu me brutalises comme tu aimes le faire.
Tu m'as manqué, ton corps, tes mains, ta barbe, tes tatouages... et, oh mon dieu, ta brutalité m'a manqué.
J'embrasse ton visage et je blottis mon visage dans ton cou.
Tu ne baises encore et encore, je suis remplie de toi, dans cette position je suis écartelée et offerte, sans défense sous la brutalité de ta pénétration, mon clitoris frotte fort contre ton pubis.
Je gémis bruyamment en respirant fort. Je t'accompagnes en balançant mes hanches aussi vite que je le peux.
Tes mains s'agrippent à mes hanches, tes doigts s'enfoncent dans mes chairs, je vais avoir des marques, des bleus.
Tu continues d'accélérer, de pousser plus fort, de frapper plus vite. Tu vas m'ouvrir en deux à ce rythme.
J'att à nouveau la tête de lit, me tenant à elle pour répondre à tes ardeurs.
Je perds la tête et je te supplie de me baiser plus fort, de jouir en moi, je t'appartiens, je suis ta chose, fais de moi ce qu'il te plaira.
Tu t'assois en me serrant contre toi, dans la position du lotus, tes bras enroulés autour de moi, écrasant ma poitrine entre nous.
Dans cette position, mon clitoris frotte contre ton pubis, tes poils sont durs et après quelques instants, je commence à jouir, remplie de ton sexe, je me cramponne à toi, mes bras autour de ton cou, ma bouche soudée à la tienne.
Je perds le sens du rythme mais tu bouges tes mains sur mes hanches pour me guider, je gémis dans ta bouche, chevauchant cet orgasme libérateur et je t'inonde de ma jouissance.
Tu me bascules en arrière et ta bite tressaute dans ma chatte, la remplissant de ton sperme.
Après un moment, tu te détends et tu t'allonges sur le dos. Je me blottis contre ton torse puissant.
J'aime ce moment de calme et de douceur après ce déchaînement de violence sexuelle, on reprend notre souffle.
"Merci, mon chéri, j'avais besoin de toi, de ta virilité!"
Je hume ton odeur masculine et j'embrasse ta poitrine avant de descendre, déposant de petits baisers tout le long du chemin.
Je prends ta bite en détumescence dans ma bouche pour la nettoyer religieusement, comme tu me l'as appris.
Quand j'ai fini, je m'allonge à côté de toi, repose ma tête sur ta poitrine avec ton bras autour de moi, tu embrasses mon front:
"Merci, ma chérie." J'embrasse ta poitrine en réponse.
Je peux sentir ton sperme en moi, j'aime çà, d'une certaine manière tu as marqué ton territoire et je sais que je suis à toi.
Nous revenons lentement à la réalité, j'aimerais que tu restes ici cette nuit, mais tu dois rentrer chez elle.
Je te raccompagne en voiture et nous restons très silencieux tout le long du trajet.
Je comprends à cet instant que tu ne vas pas rompre avec elle, que tu voulais juste tirer ton coup, et que je suis ton vide-couille.
Je te dépose dans la rue près de chez elle, pas trop près, je te regarde traverser devant ma voiture.
Une idée saugrenue me vient: je me demande si tu vas te laver avant de la baiser ce soir.
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