Domination De Madame Et Monsieur 2

Après ce prélude, je traîne les deux esclaves à quatre pattes vers le salon. Je demande au cocu de me servir un jus (je ne prends pas d'alcool). Ensuite, je tiens le discours suivant au couple agenouillé devant moi :
" Vous avez demandé à ce que je viens chez vous pour vous dominer et vous baiser. Vous m'avez autorisé à vous mener vers des plaisirs intenses qui ne peuvent vous convenir que si vous êtes dans la position d'esclaves. Je suis votre maître. Je dispose de vos corps à ma guise. J'appelle et vous vous tenez prêts. Vous devez m'accueillir en tenue d'Eve et d'Adam, l'épouse dans le hall et le mari au salon. A quatre pattes. Le cul de mari tourné vers la porte d'entrée. Vous ne parlerez pas et vous ne me regarderez pas dans les yeux. Toujours têtes baissés, vous attendrez mes ordres.
Je viendrai quand j'en aurai envie. Je viens vous baiser et vous dominer puis je partirai. Il m'arrivera d'amener des amis pour vous faire la même chose. Vous n'aurez qu'à les subir. Vous n'avez aucun droit à la parole. Qu'ils soient deux ou quinze, jeunes ou vieux, noirs, arabes ou blancs, vous n'aurez qu'à ouvrir vos trois pour accueillir leurs verges. Vous serez à leur service.
Il m'arrivera d'amener madame dans des soirées spéciales et monsieur attendra calmement à la maison. Je l'emmènerai dans des bars arabes où elle fera la pute, dans des foyers d'immigrés, dans des parkings, des aires d'autoroutes, des forêts où elle sera offerte à des inconnus. Quand elle sera rodée, je l'enverrais au Maroc et dans le Golfe arabe où elle fera la pute. Quant à Monsieur, habillé en femme, il sera offert à des amateurs de lopes. Il sera traité comme la pire qu'il est et devra accepter tout de ses amants. Voilà ce que j'avais à vous dire pour ce premier rendez-vous. "
Ensuite je demande aux deux esclaves de de mettre à quatre pattes, côte à côte, les culs biens rendus à l'arrière. Je prends une cravache que le couple a préparé puis je commence à les fouetter.

La dame semble prendre du plaisir à subir la flagellation. Quant au monsieur, il supporte mal les coups.
Excité, j'arrête et demande à l'épouse de s'occuper de mon sexe tendu à l'extrême. J'approche sa tête des fesses de son mari car mon objectif c'est encore le beau cul pâle et lisse de la lopette. Après avoir bien préparé, je lui donne l'ordre de mouiller le trou du cocu. Elle passe sa langue sur la raie plusieurs fois. Soudain, je m'arrête, car je n'en peux plus. Je plante ma verge dans le trou béant et soulevé l'épouse pour l'embrasser goulûment et lui malaxer les seins. Le cocu hurle de plaisir. Je le travaille énergiquement. Il est au paroxysme du plaisir. Je sens ma bite taper au fond de son sphincter et cela dédouble son ardeur à vouloir tout prendre. A un moment, je tire mon pénis et pousse l'épouse vers le bas. Elle comprend la manœuvre et avale le cobra. Elle suce bien la salope. Puis je le replanté dans le cul du cocu tout en m'occupant des seins de la salope. Quelques minutes plus tard, j'éclate et un torrent de sperme pénétre au plus profond du cul de la lopette. Quelques gouttes s'échappent à l'extérieur et je demande à la salope de s'en occuper. Elle lèche le cul de son époux qui s'est envoyé en l'air bien avant moi.
Je me repose un peu avant la suite. Les deux esclaves sont à quatre pattes devant moi, le visage collé au sol. Je leur donne chacun un pied à lécher :
- Lécher les pieds de votre maître. Vous êtes des moins que rien. De la chaire fraîche pour mon zob. Il vous dominera car c'est son rôle de mâle alpha. Toi le cocu, tu es né pour donner ton cul. Tu es une femme dans la peau d'un homme. Tu devras prendre des hormones pour gonfler tes seins et te donner des formes féminines. Tu devrais te raser de près et utiliser des pommades pour rendre encore ta peau plus belle qu'elle ne l'est. Allez leves-toi et mets-toi derrières la salope. Lèches-lui le cul, j'ai envie de la sodomiser.
Il se met aussitôt au boulot. Je fourre mon sexe dans la bouche de la pute qui l'avale presque entièrement.
Ses lèvres sont pulpeuses. Elles enveloppent le pénis tendu dont les veines sont maintenant bien visibles. J'écarte le cocu tout en le maintenant à côté car il aura à tout nettoyer aprés. Je me mets derrière le beau fessier de la bourgeoise et lui passe plusieurs fois le sexe sur la vulve. Mais mon chemin n'est pas celui-là. C'est le cul que je vise. J'ai fait exprès de ne la baiser que de ce côté-là, manière de la rabaisser pour ce bon en ce premier rendez-vous
Je la chevauche longuement en n'oubliant pas le cocu qui reçoit la verge de temps à autre pour la nettoyer. La dame hurle. Elle tangue des fesses qu'elle poussé vers moi. J'éclate enfin. Je me retire à temps pour inonder son derrière de mon jus. Le cocu comprend ce qu'il a à faire. Il nettoie les fesses de son épouse avant de s'occuper de ma verge.
Avant de me retirer, je les fouette encore une fois et leur pose cette question : "maintenant que vous savez ce que j'attends de vous, acceptez-vous de me servir d'esclaves prêts à tout ? Vous pouvez refuser !
- Non maître, dit la dame, on ne refusera pas. Nous sommes vos esclaves. Nous ne sommes bons qu'à être baisés et maltraités par vous. Nous avons éprouvé un plaisir immense et la plus grande et impitoyable punition serait de nous priver de votre adorable pénis. Nous sommes à votre disposition et à celle de vos amis. Nous serons toujours prêts à satisfaire vos moindres désirs. Je parle en mon nom et à la place de la lopette qui n'a pas droit à la parole. Maître, puis-je vous demander un service ?
- Ne me regarde pas en parlant. Baisse les yeux. Je la gifle et lui demande ce qu'elle veut.
- Avant de partir, donnez-moi votre sexe à embrasser. Je rêverai de lui jusqu'à la prochaine rencontre.
Comme je m'étais habillé, j'ouvre ma braguette et sors le monstre. Elle l'embrasse avant de le serrer tendrement contre son visage. Le cocu s'approche et lèche la tête. Et c'est reparti. Je bande et la dame me fait une masturbation en règle.
Je leur demande d'ouvrir leurs bouches car je sens le moment de l'éjaculation approcher. J'inonde leurs visages. Ils boivent mon jus. Je les doigte en leur donnant des claques aux fesses, me lave les mains et quitte les lieux en laissant à quatre pattes, les têtes collées au sol.

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