56 - Si Ali Et Anissa La Femme De Mabrouk (2) :

56 - Si Ali et Anissa la femme de Mabrouk (2) :
Cette belle association dura, sans problème, pendant six mois et Si Ali eut le maximum de plaisirs sexuels dans la chatte et la terma d’Anissa dans le lit de son mari Mabrouk toujours absent grâce aux décisions de Si Ali. Mais un jour, Anissa fit une petite erreur. Elle était tellement heureuse qu’elle se prélassa au lit et se réveilla trop tard et quant elle alla faire ses emplettes au marché vers 11h, elle oublia d’enlever et changer les draps pollués du sperme de Si Ali et de la mouille abondante de sa chatte durant toute la nuit d’amour jusqu’à l’aube. En effet, Si Ali a voulu profiter à fond de la chatte d’Anissa et il l’a baisée jusqu’à l’aube, sachant que son mari Mokhtar et son employé devaient revenir d’Oran ce matin vers 10h au magasin. Mais Anissa ne le savait pas. Elle avait l’habitude, dès son réveil, de changer les draps toujours bien pollués de sperme, même au cas où Mokhtar était toujours absent. Et quant Mokhtar a fini son rapport à Si Ali au magasin, il a rejoint sa maison à 11h au moment où sa femme était au marché. Il s’est vite débarbouillé dans la salle de bain puis est entré dans la chambre pour se changer. Il a constaté le désordre du lit et a découvert les grandes tâches de sperme et de mouille sur les draps dispersés. Il a tout de suite compris que sa femme le trompait avec quelqu’un qui couchait avec elle dans son lit et qui lui remplissait la chatte de sperme alors que lui était justement incapable de le faire.
Sous le coup de la chose, il fut très étonné que sa femme le trompe et entra dans un grand courroux. Il a pensé immédiatement à la corriger physiquement et la divorcer, puis, sachant ses problèmes et faiblesses sexuels, il s’est un peu calmé et voulait seulement connaitre l’amant de sa femme. Le couple ne connaissait pas grand monde à part la famille de Si Ali et un de ses employés, d’ailleurs un peu parent et trop jeune. Il a donc facilement pensé à son grand ami et patron associé, Si Ali.

Mentalement, il s’est comparé à lui et a vite constaté que son ami était de loin plus capable que lui, aussi bien en affaires qu’en sexe. Il était marié et a beaucoup d’s et sa réputation de baiseur était connu de Mabrouk. Donc, il était facile de comprendre qu’Anissa s’est penchée vers lui pour satisfaire ses besoins sexuels. Et après quelques réflexions, il se rendit compte qu’il acceptait d’avance cette tromperie de sa femme et de son ami, à condition que ce soit vraiment Si Ali et non pas quelqu’un d’autre.
Pour désamorcer l’affaire, il a préféré ressortir de la maison et attendre, pas très loin, le retour de sa femme qu’il savait être, à son habitude au marché. En effet 10 mn plus tard, Anissa arriva avec ses paquets et entra chez elle. Il attendit encore un peu puis il arriva et ouvrit la porte avec beaucoup de bruits avec ses clefs. Anissa accourut et ils se rencontrèrent dans le couloir d’entrée. Mokhtar embrassa sa femme et entra dans la cuisine, faisant semblant d’être fatigué. Puis, il dit à sa femme qu’il a oublié un paquet au magasin et qu’il allait le chercher. Rapidement, il s’en alla. Anissa, qui, dès la qu’elle avait vu son mari dans le couloir, avait pali et s’était rappelé que son lit et les draps allaient l’accuser. Elle était affolée et s’était presque évanouie. Mais quant Mokhtar est reparti, elle courut à la chambre et fit le nécessaire en changeant les draps et cachant les autres dans le panier à linges sales. Puis elle se doucha rapidement pour supprimer toute odeur ou trace de sperme et de mouille sexuels. Puis elle retourna à la cuisine assez tranquillisée. Quant Mokhtar revint, elle respirait mieux et l’accueillit avec le sourire. Il comprit tout de suite qu’elle avait arrangé les choses et effacé les traces de son adultère et il lui rendit son sourire hypocrite.
La semaine passa sans problème et le dimanche suivant, c’est lui Mokhtar qui leur dit qu’il avait décidé d’aller faire une mission à Oran et convainquit Si Ali de laisser partir tout seul. Et dès son départ vers 8h du matin, il alla garer sa voiture chez un mécanicien pour contrôler ses freins, soi disant, et il retourna à pieds, pour épier à quelques mètres de sa maison, bien caché. Effectivement, dès 09h, Si Ali, impatient de gouter encore la chatte d’Anissa, se présenta chez elle et elle le laissa entrer immédiatement. Mokhtar les laissa s’installer un bon quart d’heure et sombrer dans les douceurs et la folie de la baise, puis il ouvrit doucement la porte de sa maison et entra à la pointe des pieds. Doucement, il se dirigea vers la chambre. Sur sa route, il trouva dans le salon, les vêtements des deux amants. Ils étaient tellement impatients qu’ils se sont déshabillés dès le salon. La porte de la chambre était largement ouverte et les deux amants étaient nus au lit. Si Ali lui tournait le dos et il vit ses reins nus qui dansaient et par-dessous, son gros zob qui entrait et sortait dans la chatte, bien visible et largement ouverte d’Anissa. Les deux amants gémissaient et criaient parfois leurs jouissances et ne firent pas attention à lui. Il resta un bon moment à les observer et cela l’excita un peu mais son pénis resta sans réaction. Puis, il se retira et sortit de la maison. Il reprit sa voiture et alla passer la journée et la nuit chez un ami prétextant un problème familial.
Et le lendemain à 09h, il retourna au magasin de Si Ali et l’attendit. Ce dernier arriva juste à 10h, directement de chez Anissa. Mokhtar lui expliqua qu’il a eu un problème mécanique et ainsi il a arrêté sa mission. Si Ali accepta l’excuse et les affaires reprirent. Mokhtar se rapprocha très près de Si Ali et huma discrètement ses habits et découvrit aisément les parfums et odeurs de sa femme Anissa. Donc si Ali n’a pas encore eu le temps de se doucher et changer d’habits après avoir passer toute une nuit d’amour, de baise et de sodomies avec Anissa. Cela excita encore Mokhtar, malgré sa déchéance maritale, mais que pouvait-il faire. Alors il décida d’en finir et d’avouer aux amants ce qu’il savait. Il prit Si Ali de coté et discrètement, il lui avoua, sans lui dire qu’il l’avait fait exprès, qu’il était retourné à la maison, hier soir, la nuit et les avait surpris lui Si Ali et Anissa, en train de baiser mais qu’il avait préféré ressortir. Si Ali était désolé et voulait s’excuser pour dire que c’etait Anissa qui l’avait dragué et obligé, mais Mokhtar lui coupa la parole et lui avoua son problème de faiblesse sexuelle depuis très longtemps. Et que sa femme en avait souffert, en silence, alors qu’elle avait des droits aux plaisirs de son corps. Maintenant, il était content qu’elle ait trouvé à satisfaire ses besoins sexuels auprès de son meilleur ami qui était comme un frère pour lui. C’était presque comme si c’était lui-même et il espérait qu’Anissa y trouve tout son plaisir, mais il lui recommande de faire les choses discrètement. Si Ali était enchanté et assura Mokhtar que cela restera entre eux, presque en famille, et qu’il fera son possible pour satisfaire les besoins d’Anissa pour la dissuader d’aller chercher son plaisir ailleurs.
Puis, Mokhtar demanda à Si Ali de téléphoner ou même d’aller voir Anissa pour lui expliquer l’affaire car ce sera plus facile, et si ça marche, il téléphonera à Mokhtar le résultat. Si Ali prit aussitôt sa voiture et retourna immédiatement chez Anissa. Elle venait juste de retourner du marché et quant Si Ali lui expliqua, elle fut tellement heureuse qu’elle se jeta au cou de son amant. Puis, elle se tortilla tellement contre son bas ventre que le zob, très sensible de Si Ali, se réveilla et se gonfla. Anissa s’en rendit compte et fouilla dans la braguette pour sortir le pieu d’amour qu’elle empoigna et serra avec envie. Puis, elle se débarrassa de sa robe et poussa son slip sur le coté pour donner accès à sa chatte et releva sa jambe au maximum. Cette position amena sa chatte au niveau du zob de Si Ali qui l’aida en la soulevant un peu. Si Ali ôta aussi sa veste et laissa son pantalon tomber sur ses jarrets et poussa son bas ventre vers la femme qui le désirait. Son zob trouva l’entrée de la chatte et s’y engouffra jusqu’aux couilles. Ensuite les amants baisèrent avec forts cris et gémissements et mouvements d’entrées sorties vigoureux. Ensuite, Si Ali, se débarrassa totalement de son pantalon qui le gênait et poussa Anissa contre le mur. Elle aussi enleva son slip et le zob replongea dans la chatte, avec force et dans un « han » de folie sexuelle de Si Ali. La grosse bite s’enfonça profondément jusqu’aux couilles et Anissa poussa un hurlement de jouissances et de folie. Puis Si Ali la pilonna avec de violents coups de reins rythmés de cris de l’un et hurlements de l’autre. Anissa était tellement excitée qu’elle eut rapidement deux ou trois orgasmes bruyants à la suite et enfin, Si Ali arriva au top et cria son soulagement en éjaculant par trois ou quatre fois dans les entrailles de la femme. Ils restèrent soudés et collés contre le mur un long moment, nus du nombril aux pieds, essoufflés et heureux. Anissa lui avoua que ce fut l’une des plus belles baises de sa vie et lui aussi lui assura qu’elle l’avait allumé comme jamais. Puis Si Ali retira son Zob, toujours en partie monstrueusement gonflé et luisant de son sperme et Anissa resta collée, dos au mur et sa chatte suintait encore un peu de sperme blanchâtre. Si Ali se baissa, reprit sa veste et sortit son portable et appela Mokhtar pour le rassurer que Anissa était d’accord.
Il n’avait pas encore fini de parler qu’aussitôt la porte de la maison s’ouvrit et Mokhtar se pointa à l’entrée. C’était parce que, dès le départ de Si Ali du magasin, Mokhtar l’avait suivi et s’était installé devant la maison en attendant l’appel de son ami, et aussitôt reçu, il est entré. Les deux amants nus du nombril aux pieds ont été surpris de cette intrusion et restaient sans bouger. La scène était vraiment érotique et excitante, hélas pas pour la bite affaiblie de Mokhtar, mais celle de Si Ali pointait encore à la verticale. Heureusement que Si Ali avait de l’expérience et tout de suite, même nu à moitié, il prit la situation en mains. Il mit son bras droit autour des épaules de Mokhtar et son bras gauche autour des épaules d’Anissa et les entraina tout les deux vers la chambre à coucher. Ce fut une scène formidable, Si Ali et Anissa nus de la ceinture aux pieds et Mokhtar encore tout habillé. Si Ali continuait à parler seul, pour leur expliquer qu’ils étaient maintenant tous d’accord, donc comme une famille, autant aller régler cela immédiatement avec franchise et bonheur. Arrivés dans la chambre, il enleva sa chemise et son tricot et, entièrement nu, il invita les autres à se déshabiller complètement. Subjugué par son autorité et son geste qui montrait son beau corps d’adulte viril, puissant et poilu, Anissa obéit tout de suite et enleva le reste et Mokhtar, vaincu, se mit aussi à poil.
Si Ali s’allongea sur le lit, bien au milieu et demanda aux autres de se placer à ses cotés, Anissa à droite et Mokhtar à gauche. Puis, Si Ali expliqua à Anissa qu’elle a maintenant deux maris, qui ont des droits sur elle comme ils ont des devoirs envers elle et son corps. Pour commencer, il exigea qu’elle leur branle et suce, alternativement, les bites, tout de suite. Elle s’agenouilla sur le lit et empoigna les bites. Ce fut facile pour celle de Si Ali, déjà assez solide mais plus difficile pour celle de Mokhtar, encore trop molle. Rapidement, le zob de Si Ali reprit sa forme presque naturelle, gros, long épais, gonflé à fond et dur comme du fer, au point pour la bataille. Mais celui de Mokhtar avait très peu bandé. Alors, Si Ali demanda à Anissa de ne s’occuper que de son mari. Aussitôt, elle se positionna pour mieux sucer et branler plus fort le zob de Mokhtar. Le belle terma d’Anissa, bien ronde et bien gonflée devant lui, excita aussitôt Si Ali, alors, il se mit à genoux derrière elle, lui écarta les cuisses pour mieux accéder à sa chatte et à son cul. Il caressa avec plaisir les larges hanches d’Anissa et ses belles fesses blanches et douces, puis il se courba pour lui lécher son anus et son profond sillon mystérieux et attirant. Il enfonça sa langue dans l’anus et lui fouilla l’intérieur puis il remplaça sa langue par doigt plus profond. Anissa accueillit ces attouchements avec plaisirs et gonfla encore plus son derrière pour mieux exposer et offrir sa terma à Si Ali. Alors, il se positionna entre les cuises largement ouvertes de la femme et enfonça son gros zob qui écarta doucement l’anus et s’enfonça dans les entrailles d’Anissa. Elle feula et faillit mordre le zob de son mari puis leva la tête et gémit de jouissances à cet enfoncement. Puis elle reprit la bite de Mokhtar, pendant que Si Ali commença à lui pilonner le cul avec puissance. L’excitation d’Anissa était telle qu’elle augmenta ses mouvements de branles et de sussions sur le zob de son mari, presque avec violence. L’excitation de sa terma se traduisait dans les mouvements de sa bouche et ses mains, et Mokhtar en ressentait les résultats. Il avait fermé les yeux et criait son excitation, peut-être son plaisir arrivant. Il n’avait jamais été aussi branlé et autant sucé par la bouche chaude de sa femme et cela ébranlait son corps et son fantasme.
Au bout d’une quinzaine de vas et viens coulissant dans le cul de Anissa, Si Ali sortit son zob et l’enfonça dans la chatte mouillée et repartit de plus belle ses vas et viens vigoureux. Anissa reçut ce nouvel enfoncement brutal comme un choc sexuel et sa chatte explosa d’un violent orgasme qui mouilla les restes de sperme. D’excitation, elle releva encore une fois la tête et libéra le zob de son mari et hurla sa jouissance. Mais elle constata aussi une chose extraordinaire. La bite de Mokhtar, habituellement molle et recroquevillée, s’était allongée et avait même durci en bonne partie, chose incroyable et oubliée depuis beaucoup trop longtemps. Même Mokhtar, qui avait les yeux fermés, haletait de façon inédite. Elle ne l’avait jamais vu ainsi. Alors, elle replongea sa bouche sur le zob de son mari et accentua son branle. Ali, lui aussi a du remarquer l’attitude d’Anissa et jeta un coup d’œil par-dessus son épaule. Il a ainsi vu le zob de Mokhtar assez allongé et bandé normalement. D’après ce qu’Anissa et même Mokhtar lui avaient raconté, c’était donc un phénomène spécial, un évènement inédit. Alors il s’arrêta et sortit son zob de la chatte et le replongea dans l’anus de Anissa, puis reprit ses vas et viens de coups de reins vigoureux pour encourager la femme dans ses mouvements avec Mokhtar. A ce rythme des trois partenaires, le zob de Mokhtar arriva à un bon niveau et Anissa le montra à Si Ali. Aussitôt ce dernier lui libéra la terma et se mit sur le coté du lit. Anissa ainsi toute à son aise, s’assit sur le bas ventre de Mokhtar et enfonça le zob, maintenant bien dur, de son mari dans sa chatte. Le zob coulissa facilement jusqu’au fond et Anissa commença ses vas et viens, en variant parfois ses mouvements à droite et à gauche. Mokhtar, rouvrit les yeux et constatant la situation, il empoigna les hanches de sa femme et commença à l’aider dans ses mouvements. Le couple haletait de plaisir et de jouissances, ils se regardaient, les yeux dans les yeux, tout heureux de la situation, et baisaient avec leurs souffles rauques qui traduisaient le niveau de leurs excitations sexuelles. Si Ali, accoudé sur le lit, les observait avec complicité tout en se branlant doucement le zob pour le garder en forme. Il avait toujours l’intention de sodomiser Anissa, sans faute.
Enfin, Anissa eu un premier orgasme avec le zob de son mari et hurla, ce qui fit un plaisir fou à Mokhtar et décupla son excitation. Ils continuèrent à baiser encore plus de dix minutes et Anissa réussit à se donner un second orgasme qui la fit hurler en phase avec Mokhtar qui était aux anges. Et enfin, quelques minutes plus tard, les couilles de Mokhtar explosèrent et de son zob jaillirent trois jets de sperme chauds dans les entrailles de sa femme Anissa. Elle se coucha sur le ventre de son mari et ils restèrent ainsi un long moment. Et quant ils se séparèrent enfin, Mokhtar donna un grand baiser à sa femme qui lui souriait de bonheur. Ils ont retrouvé les joies de leurs premières années de mariage avant le problème de Mokhtar. Puis, Ce dernier, tout à sa joie et son bonheur, se leva se nettoyer dans la salle de bain. Anissa resta couchée sur le ventre, toujours secouée de plaisir, et la chatte remplie des spermes de ses deux amants. Alors, Si Ali en profita pour aller cueillir son désir. Il poussa la femme à se positionner à genoux et relevant son derrière bien haut, pour lui offrir ses fesses et sa terma, il pointa son zob et le poussa dans l’anus rose et palpitant d’Anissa pour l’enfoncer ensuite jusqu’aux couilles. Puis il la sodomisa avec vigueur pendant dix bonnes minutes pour enfin éjaculer et lui remplir la terma encore de son jus très prolifique. Mokhtar était revenu de la salle de bain et restait nu debout ne sachant pas ce qu’il devait faire. Mais Si Ali lui, savait ce qu’il fallait. Il se releva rapidement, alla à la salle de bain et en revint deux minutes plus tard. Ensuite il s’habilla et laissa le couple ensemble en leur souhaitant de vive voix, tout le plaisir et le bonheur de leurs retrouvailles sexuelles. Jouant au savant pédagogue expérimenté, il les rassura sur ce qui est arrivé, et que cela arrive souvent, qu’un sexe masculin ou féminin, se débloque soudainement, suite à un choc physique ou psychologique. C’était peut-être leurs cas. Puis il s’en alla.
Mais, Anissa le rejoignit avant de sortir de la maison. Se collant à lui, sur la porte de la maison, elle exigea de Si Ali de ne pas couper leur relation sexuelle car elle ne pouvait pas se priver de son zob, même si celui de son mari s’était débloqué. Et Si Ali la rassura pour lui dire que son zob aussi ne pouvait pas se priver, ni de sa belle chatte profonde et chaude, ni de sa terma douce et serrée. Il ajouta qu’il la connaissait, sexuellement, mieux qu’elle-même, et qu’il savait que c’était une femme qui pouvait facilement contenter deux zobs à la fois et même plus si nécessaire. Elle rigola à ces mots encourageants de son amant, et, clignant de l’œil avec complicité, elle lui caressa le zob à travers la braguette et le laissa, enfin, partir à son travail. Puis, elle courut vers son mari pour essayer de rattr, ensemble, les temps sexuels perdus depuis trop longtemps. De toutes façons, elle pensait que, dès demain soir, elle va exiger de ses deux maris, toute la nuit de plaisirs, ensemble à trois. Elle devra d’abord contenter le renouveau du zob de son mari, puis elle plongera sur celui spécial de Si Ali. Celui là, elle devra se rassasier avec, car, plus puissant, plus gros et épais et surtout abondant en sperme et par devant et par derrière. Elle avait aussi quelques pensées bizarres, cochonnes. En effet, elle commençait à réfléchir pour inventer des choses pour corser leurs relations à trois. Elle s’est rappelé que Si Ali lui avait dit qu’elle était capable de contenter non seulement deux amants mais plus, donc trois ou quatre, et peut-être à la fois, ensemble dans le même lit. Ces pensées lui donnaient des frissons à sa chattes qui recommençait à mouillait, alors elle reprit le zob de son mari dans la bouche pour lui redonner de la vigueur, elle avait encore des projets pour lui aujourd’hui.