Fille Et Mère Soumises Au Même Maître
Chapitre 1 : Les prémices
Bonjour,
Je mappelle Élodie et jai trente-neuf ans.
Je suis brune, dorigine italienne et on me dit très belle ; je sais que, lors des réunions que jorganise à mon travail, plus dun homme aimerait que je lattire dans mon lit, il y a des regards qui ne trompent pas.
Jai été mariée une première fois et jai divorcé.
Je me suis remariée avec un homme qui est VRP international pour sa société et se déplace dans le monde entier. Il nest avec moi que durant les weekends et pendant quelques courtes vacances.
Jai une fille de mon premier mariage, Emma, très brune comme moi. Encore vierge, elle a dix neuf ans et mon nouveau mari a tenu à ladopter.
Nous nous entendons très bien tous les trois.
Professionnellement, jai une très belle situation qui ma permis dacquérir un très bel appartement dans une résidence de luxe.
Emma vit encore avec moi et nous navons aucun secret lune pour lautre.
Récemment, un nouveau voisin est venu sinstaller sans l'appartement juste au-dessus du nôtre. Il a une soixantaine dannées et il est très bien conservé ; grand, il a conservé une « bien belle gueule » comme le dit Emma.
Je sais, pour avoir remarqué ses regards, que ma fille et moi devons lui plaire.
Nos relations, après des présentations mutuelles qui nous ont permis dapprendre son prénom, « Guy » se limitent à des échanges courtois entre voisins, du type « Bonjour ! Bonsoir ! Comment allez-vous ? » et autre fadaises.
Un beau jour, Emma ma dit quelle souhaitait perfectionner son anglais à Londres (après son Bac, elle était entrée dans une école de commerce international). Nous avons cherché et finalement trouvé quelque chose pour elle, non seulement une école supérieure mais aussi un appartement qui lui a permis de vivre sans souci autre que celui de ses études.
Je lai accompagnée jusquà laéroport et cest avec un petit pincement au cur que jai vu décoller son avion : cétait la première fois de notre vie que nous allions êtes loin lune de lautre.
Cest lorsque je suis revenue chez moi que tout a commencé.
Notre nouveau voisin mattendait visiblement lorsque je suis revenue seule de laéroport.
Il était au courant de ce qui venait de se passer et ma interrogée :
Alors, Élodie, un peu triste du départ de votre charmante fille ?
Jai reconnu le fait ; il a ajouté :
Pour essayer de vous faire oublier ce sentiment, je me propose de vous inviter au restaurant ce soir. Cela nous permettra de faire plus ample connaissance. Quen dites-vous ?
Jétais un peu interloquée, mais finalement jai accepté : ma fille était à Londres pour quinze jours, mon mari absent pour presque un mois, jallais me retrouver seule à la maison. Que risqué-je ?
Dès cet instant, les choses se sont déroulées très vite.
Nous avons pris un excellent repas en tête à tête, jai peut-être un peu plus bu que la décence my autorisait mais en revenant javais oublié ma solitude. Je me suis en outre aperçue que cet homme, veuf, avait une culture assez exceptionnelle et était curieux de tout.
Il ma raccompagné jusque dans mon appartement et ma appris :
Maintenant, Élodie, je vais te transformer complètement : tu vas passer du statut de petite bourge bien éduquée à celui de soumise à tout ce que je te demanderai !
Je devais avoir lair ahuri car il ma dit :
Oui, je vais minstaller chez toi pour les quinze jours dabsence de ta fille. Tu vas mappartenir et je vais te marquer avec mon sperme. Mets toi nue.
Jallais protester mais il ma donné une gifle dont jai deviné quelle aurait pu être beaucoup plus douloureuse.
Allez, dépêche toi !
Il ma fait peur et je lui ai obéi. Je me suis retrouvée nue devant lui et il a profité de mon déshabillage pour se mettre nu, lui aussi.
Cest vrai quil était bien conservé, très athlétique, mais ce qui ma le plus impressionnée ce fut sa bite : très longue, épaisse, elle surmontait deux grosses boules comme je nen avais jamais vues.
Il a ajouté :
Tu vois que cétait simple. Jespère que ton cul est aussi ouvert que ta chatte, parce que je vais commencer par là. En attendant, allonge-toi sur ton lit et montre moi comment tu te masturbes.
Son ton était aussi impératif que son regard. Je me suis allongée sur le lit et jai commencé à me masturber comme je le fais dhabitude. Il me fixait et avait lair de prendre plaisir à me voir faire.
Alors que jallais jouir sous son regard, il ma dit :
Parfait ! Reste comme ça et ouvre moi tes fesses.
Je lui ai obéi aussitôt. Il sest installé entre mes cuisses et a posé son gros gland sur mon petit trou.
Il a poussé doucement mais fermement, ce qui fait que jai bientôt senti des grosses couilles frapper mon entre-jambes, alors que sa bite était entièrement dans mon rectum.
Là, ce fut du délire.
Je navais jamais été sodomisée par un aussi gros morceau de chair, je navais jamais joui de ce côté là comme jétais en train de le faire, jamais un homme ne mavait fait partir comme lui, jamais encore on mavait pénétré aussi longtemps le rectum.
Notre première union a duré au moins une demi-heure, je navais plus conscience du temps pas plus que du nombre dorgasmes que jai connus. Je mentendais hurler de bonheur, je lui griffais le dos et les fesses pour quil senfonce encore plus loin en moi, jusquau moment où il a éjaculé pendant un temps que jai jugé infini, me redonnant un dernier orgasme.
Nous nous sommes assoupis un peu, inconscients lun près de lautre.
Je me suis levée parce que je voulais satisfaire un besoin naturel duriner et surtout parce que je voulais dire à ma petite Emma ce quil venait de marriver.
Après un détour par les toilettes, je me suis assise dans la cuisine et je lui ai téléphoné. Je lui ai tout décrit, elle ma simplement répondu :
Maman, jentends à ta voix que tu es heureuse.
Jallais lui répondre lorsque jai entendu Guy mordonner de venir le rejoindre dans le lit.
Jai raccroché et je suis revenue dans la chambre.
(à suivre)
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