La Jeune Et Grande Brute - 2
Malgré son poids et le mien, elle se déplaçait avec un légèreté qui trahissait la puissance musculaire colossale de ses jambes. Mon petit corps oscillait à chacun de ses pas et nous arrivâmes bientôt à la porte de sa chambre. Elle louvrit, me porta à lintérieur et la referma. Sa main libre vint se positionner sous une de mes aisselles et soutint tout mon poids pendant un court instant, le temps que sa main qui mécrasait labdomen vienne sous mon autre aisselle. Elle me tenait maintenant à bout de bras et me souleva en lair comme un fétu de paille, de manière à ce que mes petites fesses soient à hauteur son visage. Elle les approcha de sa bouche et je sentis une langue puissante sinsinuer dans ma raie pour pénétrer sauvagement ma rondelle. Tout mon corps se mit à vibrer de plaisir sous cette sollicitation aussi jouissive qu inattendue. Elle retira sa langue de mon anus pour me sodomiser le cerveau un peu plus profondément encore.
ça te plait ma belle quand on te lèche la chatte ! Mais calme toi. Ton prochaine orgasme narrivera pas comme ça !
Toujours en soutenant le poids de mon corps chétif à bout de bras, elle se déplaça vers un commode sur laquelle elle massit. Le contact froid du marbre me fit frissonner et me sortit de la torpeur dans laquelle jétais. Sylvia me faisait face, les mains sur les hanches. Même assis en hauteur, mes yeux étaient encore en dessous des siens. Cest comme si elle nen finissait pas de grandir dans mon esprit. Les muscles de ses épaules et de ses bras avaient gonflé sous leffort et voyant que mes yeux se portaient sur eux, la belle fléchit ses biceps qui devinrent aussi gros que des ballons de basquette ! Ma bouche souvrit de surprise face à une telle démonstration.
Mes bras te plaisent ma mignonne ? Ne tinquiète pas tu vas vite découvrir avec quelle facilité ils peuvent jouer avec ton petit corps de fillette.
fillette, je nétait rien de plus pour elle quun petit corps léger avec une chatte.
Ta peau est si douce et tu nas pas un poil ! ça ne va pas être très compliqué de faire de toi une belle petite salope !
Pendant que sa main gauche continuait de glisser sur mon ventre pour atteindre mon pubis, sylvia plongea sa main dans le tiroir supérieur à demi ouvert de la commode et en sortit un tube de colle. Je me souvins alors brutalement de ce quelle avait fait juste avant darracher mon slip ! En effet, sa main gauche plissa la peau de mon pubis pour y emprisonner la base de mon petit sexe et former ainsi un semblant de lèvre et de clitoris. Elle déposa ensuite une ligne de colle sur la jointure et plissa un peu plus les bords pour les joindre. La colle prit instantanément et quand Sylvia enleva sa main, elle fut si satisfaite que ses pommettes en rougir. Elle se mit à titiller le bout de mon pénis de son gros index.
Voilà un beau petit pubis de pucelle ! Et regardez moi ce mignon petit clitoris !
Elle était de plus en plus excitée. Des perles de sueur coulaient sur ses joues et son débardeur collait à sa peau, révélant de plus en plus sa poitrine titanesque.
Elle sapprocha de la commode, ouvrit le tiroir du bas et en sortie de la lingerie en dentelle blanche. Je navais aucun doute sur ce qui allait advenir.
Cest du 36, mais je me demande même si ça ne va pas être trop grand ? Tu es si mince !
Elle tenait la culotte dans sa main qui était si large quelle arrivait à tendre le tissus juste entre ses doigts ! Elle finit par saisir chacun des côtés du petit slip entre le pouce et lindex des ses mains.
ça te va à la perfection ! Il ne te faut vraiment pas grand choses pour ressembler à une belle petite pute !
Je frissonai à lécoute de ces mots qui résonnaient en moi et semblait me faire trouver la place qui métait réellement destinée. La belle se saisit dune brassière de la même dentelle que celle du slip et la tendit devant elle pour la regarder. Cest à peine si un des bonnets auraient pu contenir une des ses larges aréoles que je distinguais de plus en plus sous son débardeur humide de sueur, et le fragile bout de tissus auraient surement céder sous le poids dun seul de ses majestueux melons.
Si je te posais habiller comme ça sur le trottoir, tu me rapporterais un paquet de pognon ! Même dans un boîte de lesbiennes, tu aurais un succès phénoménal.
Griser par ces mots qui se voulaient à la fois insultes et compliments, je me penchais légèrement pour mettre en avant un décolleté pas très fourni mais qui semblait terriblement excité lamazone. La belle se saisit alors de bas en dentelle quelle enfila sur mes jambes de gazelle. A chaque fois que le haut du bas arrivait au milieux de mes cuisses, elle les enserrait de ses larges mains comme pour mieux percevoir leur minceur et leur douceur. Elle sortit deux perruques, lune blonde et lautre brune et hésita quelques secondes avant de jeter la brune par terre pour choisir de me transformer en poupée barbie putain. De longs et lisses cheveux blonds platines ruisselaient maintenant sur mes frêles épaules.
Tu es parfaite ! Tes traits sont si fins...
Une limite venait dêtre franchie. Elle me considérait définitivement comme une femme, délicate et fragile qui plus est ! Elle sortit du tiroir un nécessaire à maquillage, louvrit, et commença à façonner mon visage au gré de ses pulsions peu communes. Je voyais les pinceaux et brosses sagiter devant mes yeux. Ils paraissaient minuscules dans ses paluches titanesques, mais elle les manipulait cependant avec beaucoup de dextérité. Elle me posa ensuite de faux cils puis redessina les contours de mes yeux. Elle finit par le rouge à lèvre le plus rouge que jai jamais vu. Sylvia recula pour admirer son travail et ses yeux se mirent à briller.
Tu es superbe ! Je nai jamais vu de femme aussi belle ! Avec ta silhouette de danseuse et ton ossature de fillette, personne ne pourra soupçonner que tu es une petite tapette.
Elle sortit ensuite du tiroir qui contenait manifestement tout le nécessaire pour ses jeux pervers, une paire de talons aiguille. Elle prit mon pied droit dans sa grosse main pour menfiler la chaussure. Je nen revenais pas ! Ses mains étaient plus grosses que mes pieds et javais réellement limpression quelle habillait une poupée.
Tes petits petons sont vraiment trop craquants ! Quelle finesse !
Elle ne sétait pas trompée de pointure. Ils mallaient parfaitement.
Satisfaite de ma transformation, Sylvia me saisit à nouveau sous les aisselles pour me soulever et madmirer sous toutes les coutures. Elle me déposa ensuite face à un miroir où mon image me brûla les yeux. A la fois, je me reconnaisais et je ne me reconnaissais pas. Je voyais cette superbe blonde qui paraissait si fine et délicate à coté de la géante plantureuse. Son visage était si féminin, avec ses longs cils et ses fines lèvres rouges écarlates. Les bas en dentelle et les talons aiguilles magnifiaient ses jambes de gazelle et la brassière faisait ressortir ses frêles épaules et sa taille de guêpe. La petit culotte moulait son pubis, laissant apparaître la fente caractéristique des attributs féminins.
Je me tournais vers Sylvia et malgré mes talons, je dûs lever les yeux pour regarder son visage. Jaurais voulu dire quelque chose mais rien ne sortait de ma bouche. En réponse, elle posa un de ses énormes bras derrière mon dos pendant que lautre venait faucher mes jambes, pour me porter comme une jeune mariée. Elle me souleva dans un mouvement lent et délicat que seule une force colossale autorisait, pour me caler contre sa lourde poitrine et me bercer. Son visage nesquissa aucun signe deffort. Mes 55 kg ne faisaient définitivement pas le poids face à ses muscles dathlète. Mes longs cheveux platines sétalaient sur son majestueux sein droit, et ma tête reposait contre son épaule musclée. Je me laissai emporter dans un douce léthargie quand la géante minterpela.
A toi un peu de bosser maintenant !
Elle me posa délicatement sur le sol pour que je ne perde pas léquilibre sur mes talons. Ses mains vinrent saisir le tissu de son débardeur à hauteur de sa poitrine et dans un mouvement rapide et puissant, elle le déchira et jeta le pauvre bout de tissus au sol. Sa poitrine titanesque libérée oscillait face à moi. Jamais je navais vu de seins aussi colossaux et fermes, comme si la gravité navait aucun effet sur eux. Toute la beauté de son buste puissant métait maintenant révélée. Cétait une symphonie de muscles épais et de courbes gracieuses, dont se dégageaient un sentiment de force bestiale. Sylvia était magnifique.
Elle posa ensuite ses mains sur les cotés de son short qui subit le même sort que le débardeur, sans offrir plus de résistance. Mes yeux se portèrent dabord sur son pubis à la toison brune et fournie, puis sur ses larges hanches entourées dune...sangle ? Avant même que je me pose la question, la réponse surgit dentre les jambes de lamazone, sous la forme dun titanesque pénis en plastique noir, qu elle gardait dans son short, comprimé contre les lèvres de son sexe. Il était énorme et luisant de lhumidité de la chatte contre laquelle il se cachait. Sylvia rayonnait de puissance, les poings sur les hanches, le sexe en latex oscillant au rythme de ses respirations. Je frémis de peur,sachant très bien où allait finir le phallus géant, mais je compris que ce nétait pas pour tout de suite quand logresse alla sassoir sur le lit, les jambes écartées face à moi, masturbant son pénis artificiel que même sa large main avait du mal à entourer totalement. Dun appui sur la télécommande, elle lança une musique douce et langoureuse, empreinte de tonalité sexuelle et torride.
Danse pour moi petite salope ! Fais bouger ton petit cul de pucelle ! Fais moi bander !
Je regardais médusé la géante musclée, à moitié nu dans ma panoplie de strip-teaseuse.
A suivre.
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