Collection Homme Femme. En Famille (2/5)
Je viens darriver chez mes beaux-parents et ma belle-mère maccueille très bien.
Cest après manger que fatigué, je me réfugie au fond de mon lit après avoir profité de la salle de bains aussi impressionnante de son appartement.
Elle a souhaité me le faire visiter me tenant par le bras.
Comme une bonne copine, la main très près dun de mes seins semblant par moments me donner limpression de le caresser.
Paul souhaite me faire sentir son amour et en bonne future épouse, jécarte les cuisses le laissant me pénétrer sans pour autant en mettre du mien.
Quoique nous soyons dans le péché, Paul souhaite avoir rapidement une descendance, aussi les spermatozoïdes quil minjecte peuvent dès ce soir me féconder, car jai arrêté la pilule.
Dans la nuit alors que Paul dort, je me réveille ayant soif.
Je me lève et ayant remis ma petite nuisette, je vais aux toilettes, après je me dirige vers la cuisine dans le noir et jarrive devant le réfrigérateur que jouvre pour prendre une bouteille deau.
Cest à ce moment que je sens un bras mentouré à hauteur de la poitrine et une main se poser sur un de mes seins pour me pincer le téton qui forme comme une petite tétine de biberon pour mon futur bébé et qui bande immédiatement de plaisir.
Je suis chez mes beaux-parents lorsquaprès mettre laisser baiser par mon fiancé dans la nuit cette envie de boire un verre deau me prend.
Je vais pour me retourner lorsque lon me lâche et que mon agresseur séchappe.
Je retourne me coucher sans savoir qui ma maltraité tout en me donnant un plaisir fugace et intense.
Si cest Paul qui ma suivi dans la cuisine et qui sest dépêché de revenir se coucher, il joue très bien à lhomme qui dort.
Sa respiration est dune grande régularité.
Mon beau-père, pourquoi pas mais à aucun moment il ma donné limpression de sintéresser à moi.
De plus la main qui ma saisi, il avait trop de douceur pour lui appartenir et pourquoi ce serait-il sauvé.
Reste ma belle-mère, cest bizarre, mais en évoquant cette possibilité ma main se retrouve sur mon sexe et trois doigts dans le vagin mapportent la paix pour dormir jusquau matin.
Au petit déjeuner, toute la famille est là et jai beau regarder aucun des trois ne me montre la moindre preuve que lun deux est un rôdeur de cuisine de nuit.
Paul et son père regardent chacun le même journal que la femme de service leur a apporté.
- Bonne journée ?
Cest Paul qui interpelle son père.
- Plats, les plus et les moins doivent séquilibrer et toi.
- Une petite plus-valus sur un titre acheté, il y a huit jours, javais un tuyau.
Il est plus faible que ce que lon men avait dit.
Ayant bu notre thé avec une biscotte légèrement beurrée Isabelle et moi retournons à nos toilettes.
- Julie, prépare-toi, on va passer la journée ensemble, nous allons aller faire un premier choix pour ta robe, je souhaite que nous allions au restaurant pour commencer à parler du repas.
Robert, tu as bien réservé comme je te lavais dit avant que jaille faire les choix des différents plats.
- Oui, et comme prévu jai signalé que nous serions environ, 300 au lunch et 150 personnes au repas.
- Tu aurais dû dire 180 car cette nuit dans ma chambre, jai regardé la liste et il mest apparu que nous avions oublié quelques relations que nous allons être obligés dinviter.
Il est impossible de ne les inviter que pour le lunch.
Ce que vient de dire Isabelle minterpelle, il semble quelle fasse chambre à part avec Robert et cette nuit elle travaillait sa liste dinvités.
Par compte pour le nombre de ses invités, sil le fallait encore une preuve que je vais faire le mariage parisien sinon du siècle au moins de lannée.
Qui peut se permettre dinviter 300 personnes à un apéritif et 180 au restaurant surtout du niveau de leur standing de vie.
Une heure après nous sommes prêtes à sortir, nous descendons, un taxi est là.
- Jai téléphoné pour que la compagnie qui me transporte régulièrement me fasse venir un véhicule.
Monte, chauffeur conduisez-nous à la boutique de robe de mariée rue Laugier, nous avons rendez-vous.
Cest dans le monde du luxe quelle me fait pénétrer.
La responsable du magasin sempresse de venir vers nous et nous confie à Adeline sa meilleure vendeuse.
Rapidement dans un salon dessayage, je passe plusieurs robes.
- Que nous conseillez-vous suivant les tendances du moment ?
- Jaurais tendance à dire toute vue la beauté de la jeune mariée, mais si je devais faire un choix, je choisirais entre la 2 la 4 la 8 et la 13.
- Vous voulez leur porter malheur.
- Excusez-moi, je me suis mariée un 13 et cela va faire 13 ans et je suis heureuse en mariage.
Remplaçons là par la 10, elle est très tendance, mais personnellement elle est loin de me plaire.
Superstitieuse la belle-mère moi le 13 comme la serveuse, je men fiche, la seule chose que je constate, cest quà aucun moment, elle a regardé ou demandé le prix des robes.
- Nous reviendrons demain la nuit nous portera conseil, ma chérie.
Les choses se resserrent, elle mappelle chérie, ai-je vue claire ?
- Jappelle un taxi, il faut que je te conduise chez mon coiffeur.
Il va te faire des propositions pour ta coiffure pour le plus beau jour de notre vie.
- Oui, Isabelle, jai un peu peur davoir du mal à arriver à mériter votre niveau de vie.
- Petite sotte, maman était lavandière, jai épousé le prince de mes rêves.
Je rigole, papa travaillait chez Renaud et maman restait à la maison.
Un jour une amie a voulu que je vienne à un vernissage où elle avait reçu des invitations et cest là que jai connu Robert qui était ami du peintre qui exposait.
Tu verras le luxe, tu ty feras très vite, ne crains rien, je vais te chaperonner pour apprendre leur monde comme jai su le faire.
En disant cela, elle se penche vers moi et membrasse au coin de mes lèvres.
À lextérieur un nouveau taxi est à notre disposition.
- Bonjour, conduisez-nous 14 rue Notre-Dame des Victoires !
- Dans le 2e ! Monté cest parti.
Je suis effaré à la vitesse où grâce aux voies réservées aux taxis, nous arrivons à ladresse demandée.
Tout le long du chemin Isabelle mayant attrapée la main afin de maider à monter me la retient sans donner limpression de sen apercevoir.
Nous sommes reçus par le patron qui soccupe de moi avec une voix efféminée tout en me démontrant ce quil me propose sur ses catalogues.
Après mavoir fait laver la tête par une petite shampouineuse me coupe, me brushing et me coiffe.
À la sortie après avoir choisi les accessoires quil me mettra dans les cheveux, Isabelle paye et cest à pied que nous nous dirigeons vers la place Vendôme.
En passant devant une vitrine qui me renvoie mon image une fraction de seconde jai du mal à me reconnaître.
Nous entrons chez une modiste et je me trouve en sortant avec plusieurs sacs remplis de vêtements tous plus chers les uns que les autres.
Un nouveau taxi est appelé.
- Bonjour, conduisez-nous devant le restaurant du Pré Catelant.
Retraversés de Paris, arrivé au restaurant où nous mangeons avant dêtre reçus par le responsable.
Le premier contact permet de confirmer la retenue de la salle le nombre de 300 pour le lunch passant à 400 et le repas de 180 à 200 personnes, Isabelle semble être assez à laise sur le nombre.
On nous donne des choix de menus, mais elle semble vouloir un buffet froid plus souple vue le nombre.
- Question primordiale, mais la plus importante pour la réussite de votre plus belle journée, Mademoiselle, de quel budget disposez-vous ?
Je regarde ma belle-mère en panique, si je dois donner une somme, vu mon compte en banque je lui dis 1 000 et encore.
- Avec mon mari, nous avons pensé engager, 100 à 150 pour le lunch et 300 par personne boissons et champagnes compris pour le repas.
- Bonne base de travail à ce prix, vous aurez du champagne à volonté pour tous vos invités.
Je fais un rapide calcul, mais les 180 personnes qui se retrouvent à être 200 et le 300 qui deviennent 400, je multiplie et je ne retiens rien.
Jai quitté lécole à 16 ans, mais il mest impossible de calculer combien ils engagent pour le mariage de leur fils.
La robe, la coiffure, les vêtements, la réservation pour le repas de mariage sans compter les taxis heureusement que la direction du Pré Catelant nous offre notre repas, car si javais à payer ce que nous avons dépensé en une journée, je devrais travailler à lambassade de France à Rome presque toute ma vie.
- Bonsoir, chérie tu as passé une bonne journée, je suis allée marcher sur les Champs-Élysées.
- Oui, ta maman a été une perle pour moi.
- Mon fils, tu pourrais lui dire quelle est bien coiffée.
- Tu sais la tête des femmes, cest bien, mais je suis sûr quavec ce que vous avez dépensé aujourdhui, nous avons intérêt à ce que la Bourse soit en hausse demain, voire toute la semaine.
Réaliste mon futur époux, il semble bien connaître sa mère et les femmes bien que de mon côté jaie été raisonnable.
Et dire que lon y retourne demain, en attendant même si jai quelques pistes sur celui ou celle qui ma caressé ma poitrine, je suis dans le flou le plus complet
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