Mère Et Fille Soumises Au Même Maître Chapitre 2 : Dans Le Vif Du Sujet
Lors de mon retour, il ma encore étonné.
Il tenait son gros morceau de chair tout raide à la verticale. Il ma dit :
Tu téléphonais à ta fille ?
Je nai pu quacquiescer.
Il a repris :
Cest très bien, tu mas donné une bonne idée.
Après un silence, il a ajouté :
Puisque cest ainsi, je tordonne de consigner sur un cahier que je vais te donner tout ce que nous allons faire ensemble. Tu vas écrire par le détail absolument tout et je relirai pour être certain que tu noublies rien. Si tu as oublié quelque chose, tu seras punie. En plus, je vais chercher un site web pour publier tout ça.
Jétais tellement troublée que je lui ai répondu par un timide :
Oui !
Il a ajouté :
Désormais, tu sais que tu mappartiens corps et âme, mais je ne veux pas tentendre mappeler Maître ou autre chose de ce genre. Je trouve que ça fait trop rétro et même plutôt nul. De plus, cest inutile : tu sais que tu es ma soumise, je sais que je suis ton maître, cela suffit. Pour signer ton contrat dobéissance, suce moi et nettoie ma bite à la perfection.
Comme il trouvait sans doute que je ne lui obéissais pas suffisamment vite, il a ajouté :
Allez, dépêche toi ! Quand je te le dirai, tu la feras disparaître dans ta chatte.
Javais bien trop envie de sentir son gros outil dans mon ventre, tellement jétais certaine quil allait me faire jouir encore plus quil lavait fait en sintroduisant sans mon rectum. Je nai pas hésité un instant : mêmes si je nétais pas très sûre de la propreté de mon petit trou, je lai pris dans ma bouche, disons que jai pris ce que je pouvais de son énormité puis jai fait aller et venir ma tête en le gardant dans ma bouche le plus loin possible, puis en le faisait ressortir lentement tout en le couvrant de salive.
Ses grognements mindiquaient quil appréciait mes manuvres, jusquau moment où il ma violemment tiré par les cheveux en me disant :
Prends moi dans tes mains et viens tempaler dessus.
Jattendais impatiemment ce moment. Il ne ma pas fallu longtemps pour le faire sortir, raide et trempé, de ma bouche puis de planter ma chatte dessus. Je crois que jai commencé à jouir une première fois à linstant où son gros gland a commencé à écarter mes chairs intimes. De toute manière, lorsquil a frappé le col de mon utérus, jétais dans un état incroyable : ouverte comme je ne lavais jamais été, gluante de ma mouille qui sécoulait en flot continu de mon intérieur le plus intime jusque sur ses grosses boules, heureuse. Sans quil me le demande, jai pris ses testicules dans mes mains et je les ai flattés doucement. Il a apprécié, je crois, puisquil ma pris les seins et quil ma attirée à lui. Il ma retournée en restant dans moi, de telle manière que, de cavalière que jétais, je me suis retrouvée couchée sous lui.
Cest alors quil a mis ses reins en route, faisant pratiquement sortir sa grosse bite de moi avant de la renfoncer le plus loin possible. Ses mouvements, lents puis rapides puis de nouveau lents et encore rapides, me propulsaient dans un état de jouissance que je navais jamais connu, ni avec mon premier mari ni avec le second ni même avec le jeune amant que javais pris après mon divorce.
Sous moi, il devait y avoir une belle flaque de mouille, je sentais mes fesses tremper dedans. Une odeur de sexe bestial avait envahi ma chambre et des bruits de « cramouille bien remplie », comme il disait, se faisaient entendre. Jaurais dû avoir honte de ces bruits et de ces odeurs, mais ce que je ressentais, cétait la plénitude dune femelle comblée par son mâle. Jétais heureuse quil soit mon Maître, je sentais que cétait lui que javais attendu si longtemps.
Alors que je me cambrais contre lui, pour profiter au maximum dun énième orgasme, il a commencé à éjaculer.
Jai eu une sensation incroyable ; en fermant les yeux pour profiter au maximum de mes impressions, je me suis imaginé que chacun de ses spermatozoïdes venait caresser mes ovaires, tellement il était loin dans moi.
En même temps, la partie rationnelle en moi sétonnait : comment un homme de son âge pouvait-il fournir autant de sperme à lintérieur de ma chatte affamée de lui ?
Lorsque je suis revenue à moi, je me suis rendu compte que mes ongles étaient plantés dans ses épaules, que mes jambes serraient ses hanches pour le retenir le plus possible en moi, que mes seins étaient écrasés par son torse puissant, que les pointes de mes seins étaient deux petits bouts raides qui disparaissaient dans les poils de sa poitrine, que mes reins cambrés au maximum nous soulevaient tous les deux.
En me reposant sur le lit, dans une flaque de mouille maintenant un peu refroidie, jai été envahie par un sentiment de plénitude que je navais jamais ressenti. Avant de mendormir, pleine de lui, jai senti quun peu de son sperme quittait mon ventre et je lai entendu qui grommelait :
Ben ma salope, ça promet !
À peine avait-il prononcé ces paroles que je me suis endormie.
(à suivre)
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