Mère Et Fille Soumises Au Même Maître Chapitre 3 : Mon Premier Petit Déjeuner De Salope
Lorsque jai enfin émergé dun long sommeil particulièrement reposant, je lai cherché : en tâtonnant sur le matelas, je me suis rendu compte quil nétait plus là.
Jai eu un moment de panique mais juste à cet instant il est revenu dans ma chambre.
Il ma dit :
Bonjour, ma salope dÉlodie.
Je nai pas eu le temps de lui répondre, car il a poursuivi :
Comme cest dimanche, je suis allé chercher un croissant pour que tu puisses prendre ton premier petit déjeuner de salope. J'ai fait aussi un détour par chez moi pour prendre le grand cahier dont je t'ai parlé hier. Tu noteras tout de notre relation, le plus précisément possible, avec ton ressenti.
Je devais faire une tête très étonnée, puisquil a souri en me disant :
Pour le croissant, je vais texpliquer tout en me déshabillant.
Une fois nu, il ma ordonné :
Prends ma bite dans ta belle bouche de splendide putain et suce, jusquà ce que je te la remplisse complètement de sperme
et tu as intérêt à tout avaler. En même temps, caresse mes couilles. Après, je te dirai.
Jai fait comme il a dit. Il devait avoir une envie urgente, car il ma suffi de quelques mouvements de mes lèvres autour de son monument pour quil menvoie une quantité incroyable de sperme, à tel point que je me suis dit une nouvelle fois que cétait impossible, pour un homme de son âge, de fournir une telle quantité de son jus damour.
Jai tout avalé avec plaisir puis il ma appris :
Maintenant, on va passer aux choses sérieuses.
Il a posé le paquet de la boulangerie sur mon lit puis il ma demandé :
Lève toi et va me chercher un grand bol.
Sa requête ma étonnée mais je lui ai obéi. Lorsque je suis revenu dans la chambre, il ma dit :
Assieds-toi sur cette chaise. prends ma bite dans ta main et guide mon jet de pisse dans ton bol. Surtout, ne fais rien tomber en dehors du bol. Quand jaurai fini, tu me nettoieras le gland avec ta bouche et tu prendras ton premier petit déjeuner de salope.
Je lui ai obéi, sans me rendre compte tout à fait de ce que cela signifiait. Jai nettoyé son gros gland comme il me lavait demandé, avec une petite grimace parce quil sentait fort.
Comme il sest rendu compte que je ne savais pas quoi faire du bol plein durine, il ma indiqué :
Viens, on va dans ta cuisine. Surtout, ne renverse pas le bol.
Je lai suivi avec une certaine perplexité. Une fois arrivés, il ma ordonné, en ouvrant le sachet de la boulangerie :
Pose le bol sur la table et assieds-toi devant.
Bien entendu, je lui ai obéi.
Il a sorti le croisant et me la tendu en me disant :
Tiens ! Je tai dit quaujourdhui tu prenais ton premier petit déjeuner de salope. Voilà en quoi cela consiste : tu vas tremper ce croissant dans le bol et tu vas le manger entièrement. Comme cest dimanche, tu as droit à un croissant, mais le reste de la semaine, tu te feras deux biscottes beurrées que tu mangeras aussi après les voir trempées dans le bol.
Il sest interrompu en me fixant dun regard narquois :
Alors Élodie, quest-ce que tu attends ? Dépêche, jai encore envie de tenculer. Regarde !
Jai jeté un coup dil à sa bite, elle était déjà toute raide. Mon dieu, il bandait donc presque sans arrêt ? Il devait avoir « la santé » comme le disait mon premier mari !
À ma grande honte, jai trempé le croissant dans son urine. Jai essayé de faire abstraction de lodeur puis jai mordu dedans. Jai mâchouillé ce que javais dans la bouche et finalement je lai avalé.
Tu vois que ce nest pas si difficile, Élodie. Maintenant, dépêche toi de finir ton croissant. Après, tu vas boire le bol et nous irons tous les deux dans ta salle de bains.
Je me suis dépêché de terminer comme il mavait expliqué, métonnant un peu de ne pas rejeter ce que je venais dingurgiter. Jai rangé le bol dans le lave-vaisselle puis je lai suivi. Je minterrogeais : que voulait-il que je fasse ?
Une fois dans la salle de bains, il ma expliqué :
Je ne veux pas tremper ma bite dans ta merde.
Il reprit :
Et maintenant, exécution ! Assieds-toi sur la cuvette de tes WC, je surveille les opérations.
Javais honte, une honte que je navais jamais ressentie mais je savais que je pouvais pas me soustraire à son ordre impératif. Au début, jétais complètement bloquée puis, peu à peu, je me suis détendue et jai réussi à évacuer le contenu de mes intestins sous ses yeux.
Lorsque jai eu terminé, il ma conduit à la douche et ma demandé :
Tu vois, ce nest pas si sorcier ! Maintenant, nettoie-toi.
Il ma ouvert la porte de la cabine de douche et, pendant tout le temps de mon nettoyage, il est resté à mobserver.
Finalement, je navais plus honte, jai même uriné dans la douche, ce qui la fait sourire.
Je me suis essuyée avec ma serviette puis, comme il me lavait demandé, je me suis mise en position de levrette sur mon lit.
Il navait pas débandé. Il ma tapoté les fesses en me disant :
Cest bien, tu es une excellente soumise.
Il est monté sur le lit derrière moi et sest agenouillé en me prenant les hanches. Puis il a posé son gros gland contre mon petit trou et il a poussé doucement mais fermement. Sans quil ait utilisé un lubrifiant quelconque, il sest vite retrouvé enfoui en entier dans mon rectum. Jai tout juste ressenti une petite douleur au début mais jai surtout remarqué que mon anus souvrait comme sil avait été doué dune autonomie quelconque.
Il a reculé et pris le chemin inverse. Je sentais ses mains sur mes hanches, sa grosse bite en moi, jai surtout senti quil recommençait ses aller-retours à vitesse variable. Jai dû hurler mon bonheur dêtre sodomisée, car javais la bouche grande ouverte et jentendais mes propres cris qui le faisaient rire. Il entrait et sortait comme si mon rectum avait été un tuyau juste à sa taille dans lequel il se mouvait aisément.
Au bout dun certains temps, il a crié :
Bon dieu, tu es trop bonne, je vais tarroser le cul de l'intérieur.
En même temps, jai senti son éjaculation qui arrivait en moi sous la forme de jets brûlants qui, curieusement, me rafraîchissaient le cul. Il me tenait fermement par les hanches et je sentais les contractions de son gros tuyau qui lançait son sperme dans mes intestins. Jai joui une fois de plus, jen pleurais de bonheur.
Sans que je sache comment, nous nous sommes retrouvés, lui toujours dans moi, sur le côté. Il a mis un doigt sur mon clitoris qui était tout raide et gluant dune mouille épaisse, puis il ma masturbée sans que sa grosse bite quitte mon rectum. Pendant que je jouissais du cul une nouvelle fois, il ma dit à loreille :
Je ne me suis pas trompé, tu es vraiment ma salope. Caresse moi les couilles.
(à suivre)
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