Weekend À La Montagne - Épisode 4 - Le Réveil
Weekend à la montagne - Épisode 4 - Le réveil
Je me réveillais aussi reposé que frustré. Jétais allongé sur le côté, délicieusement coincé entre Pauline devant moi et Léa derrière. Ma main gauche compressait le sein de mon amoureuse, Léa avait la sienne collé sur ma cuisse, son bassin menaçant collé contre mes fesses et ma cage de chasteté entre celles de Pauline.
Merde, ma cage de chasteté.
Cest vrai que la douleur sourde qui mavait réveillée était typique de cet engin de malheur.
Lorsque Pauline et moi étions, rentré, jétais dans un état de stress et de fatigue sans précédent. Je tenais à peine debout, jétais sur le point de pleuré, vulnérable au possible. Les filles mont toutes les deux amenés à la douche. Pendant que Pauline faisait couler leau pour la faire chauffer, Léa ma enfermé dans ma cage sans même que je men rende compte. Elles sont ensuite rentrées toutes les deux dans la grande douche à litalienne en me tirant avec elles. A partir de là a commencé une grande session de caresses, de friction, dembrassade, avec pour objectif de me réchauffer. Les deux filles sactivaient sur moi, leurs doigts parcourant chaque mètre carré de mon corps, leurs lèvres et leurs langues embrassant et léchant chaque parcelle de ma peau.
Moi debout avec lune collé dans mon dos et lautre contre mon torse, moi assis sur le banc de pierre avec les deux à genoux devant moi. Leurs mains me savonnant délicatement, puis me massant doucement du plat de la paume, guidant une serviette éponge sur ma peau.
Elles ne soccupaient que de moi, était à la fois excessivement sensuelles et en même temps plus douces que sexuelles
Ma cage ne ma pas contracté, la caresse de leurs corps et de leurs lèvres na pas été altérée par la douleur de la privation sexuelle. Jétais trop épuisé pour ça, jai donc pu profiter de cet acte comme elles lavaient conçu : un moment de plaisir, de proximité, de chaleur.
Lorsque nous nous sommes allongés dans le grand lit, cest naturellement que je me suis retrouvé encadré par ces deux déesses pour sombrer dans le sommeil.
Ce matin, par contre, cétait une autre paire de manche. Là, le coté sexuel de la situation, je le sentais bien bien. La privation, je la sentais mais alors bien bien bien. Jessayais de mastreindre à ne pas bouger, me doutant que la situation risquait de fortement se dégrader pour moi si je réveillais mes douces psychopathes.
Comme lunivers est un sacré farceur, cest le moment que choisis Léa pour se réveiller. Elle resta cependant collée contre moi, bougea à peine, ne fit aucun son.
Comment ? jentends une question dans le fond de la salle, oui ? Comment je sais quelle était réveillée dans ce cas ? Excellente question !
Mes tétons. Voilà comment je savais, mes tétons.
Cette sadique avait à peine bougé pour sassurer de ne pas réveiller Pauline elle-même, mais elle sétait mise à me tordre les tétons sans aucune pitié.
Jouvris la bouche dans une longue complainte parfaitement silencieuse. Jenvoyais des signaux nerveux dans tous mon corps avec une consigne unique : NE. PAS. BOUGER.
Peine perdue : après que mes tétons aient effectués un quasi-tour complet dans le sens horaire, je me mis à gigoter sur place dans lespoir idiot de la faire lâcher. Jai bien évidemment seulement réussi à réveiller Pauline qui se tourna en grognant. Léa, cette
oui disons-le : cette salope, avait immédiatement lâché mes embouts rougis par la friction et fait semblant dêtre réveillée par mon agitation soudaine. Cest donc naturellement que, les yeux à moitié ouvert et la mine renfrognée, Pauline sadressa à moi comme seul coupable :
- « On est généreuse en tautorisant à dormir avec nous et pour nous remercier tu nous réveille comme ça ? Ce soir tu vas passer ta nuit au chenil tu feras moins le malin. En attendant tes punitions qui se multiplient, va téquiper avec les affaires quon ta préparé hier et prépare le petit-déjeuner pour nous lamener au lit »
Cest donc la mort dans lâme que je morientais vers la chaise dans le coin de la pièce.
Javais presque fini de faire cuire les ufs brouillés quand jentendis du chahut dans la chambre au bout du couloir. On aurait dit quelles se battaient
Ou probablement quelles ne mattendaient pas pour se donner du plaisir. Jaccélérais donc les préparatifs pour les rejoindre à grande vitesse. Je bâclais même la présentation du plateau ce qui me vaudrais sans aucun doute une punition, mais au moins elles soccuperaient de moi.
Je rentrais dans la chambre pour trouver un tableau qui me mit immédiatement à létroit dans ma cage : Pauline était au milieu de la pièce, sur la pointe des pieds et les mains attachées au-dessus de sa tête par une corde pendant dune poutre apparente. Elle était complètement nue au détail près du collier qui portait la clé de ma chasteté qui ornait sa poitrine. Elle portait un bâillon-boule intégral avec des sangles tout autour de son visage, ses cheveux étaient en pagaille suite à la dispute, ses yeux lançaient des éclairs menaçants dans toutes les directions. Lorsquelle me vit, elle se mit à grogner dans un jargon incompréhensible qui, au vu de la situation, ressemblait à un ordre de libération immédiate qui métait destiné.
Je mavançais vers elle, ensorcelé par son air autoritaire de domina même dans cette situation. Javais encore le plateau dans les mains, je devais avoir lair ridicule.
- « Pose-ça et vient maider à me préparer. Faut quon cause. »
Lordre avait claqué dans mon dos et, avant de men rendre compte, javais posé le plateau sur le lit et métais retourné. Dont les grognements derrière moi redoublèrent.
Léa était dans le coin de la pièce, cachée par la porte. Elle me tournait le dos et était penchée en avant sur la chaise.
- « Occupe-toi du lacet veux-tu ? »
Jétais hypnotisé, je mapprochais donc et commença à croiser le lacet dans son dos pendant quelle me parlait. Dans cette position, javais une vue plongeante sur son décolleté et remarquait que la clé de la cage de chasteté qui aurait dû y pendre ny était pas.
- « Comme tu le sais, la cage que tu portes est fermée par un cadenas spécial. Un cadenas qui ne peut souvrir que si les deux clés tournent au même moment, donc deux dominas qui doivent décider en même temps de ta libération
Plus serré sil te plait, applique-toi. »
Je me concentrais à nouveau sur le lacet pour ne pas me faire reprendre une seconde fois.
- « Jai caché ma clé hier soir pendant que vous étiez occupé sur la terrasse. Il ny a donc que moi qui sait où elle est, impossible de te libérer sans mon accord. »
Elle fit une pause dans son discours pendant quelle ajustait ses gants puis reprit :
- « Tu as donc un choix à faire. Sois tu libères Pauline comme elle semble le réclamer et tu en assumes les conséquences, à savoir pas de libération pour toi avant la fin du jeu. Sois tu mobéis et tu viens jouer avec ma prisonnière avec moi. Si tu es sage et que je suis assez divertie, je te laisserais emprunter la clé de Pauline et te libèrerais pour 15 minutes. Tu pourras jouer avec elle autant que tu le souhaites. »
Jétais plus que tout ouïe, il semblait que ma situation était en train de tourner !
- « Par contre noublie pas : cest toi la victime du jeu. Pas Pauline, pas moi. Lorsque je déciderais de libérer Pauline, elle aura autant dautorité que moi pour te punir. Voire plus si elle arrive à me prendre de revers comme je viens de le faire, mais jen doute.
Je me retournais pour regarder Pauline. Elle fulminait et se débattait dans ses liens. Cela dit, lélément de surprise dans nos jeux sexuels était un des éléments quelle préférait. Le liquide trouble qui descendait le long de sa cuisse semblait en témoigner
Je décidais rapidement que dans limmédiat, ma meilleure option était de suivre les ordres de Léa mais dêtre le plus soft possible avec Pauline pour limiter sa vengeance.
Léa, qui semblait comme à son habitude lire dans mes pensées, me tendis un martinet dont je me saisis après une seconde seulement dhésitation.
- « Parfait, ça promet dêtre une matinée sympa ! »
Léa me libéra de mes chaînes mais me laissa mes entraves aux poignets et chevilles. Je me tournais vers Pauline qui me jetait un défi du regard
quoi quil arrive jétais perdant, clairement !
Léa minvita à me positionner face à notre victime alors quelle sinstallait dans son dos. Elle fit claquer un petit fouet à mèches tressées sur le cul tendu vers elle : elle venait de déclencher les hostilités. Elle me lança un regard qui minvitait grandement à me mettre au travail si je voulais ne pas être perdant sur tous les tableaux. Je commençais à mon tour à flageller ma compagne sans y mettre de zèle.
Pour contraster avec mes coups un peu pathétiques, Léa, se mit à augmenter considérablement la puissance de son coté, provoquant les cris étouffés de sa victime et des marques rouges autour de son bassin. Celle-ci me jeta un regard suppliant qui visait surement à mattendrir et me pousser à me rebeller contre notre domina à tous les deux. Je choisis de linterpréter plutôt comme une requête déquilibrer sa souffrance et insistait un peu plus sur sa poitrine.
Après cinq à dix minutes de ce jeu, Léa sembla enfin sen lasser. Le corps de pauline était rosi par endroit, carrément rouge sur ses seins et marqué sur ses fesses. Elle sétait affaissée, nessayait plus de se tenir sur ses jambes et laissait son poids porté par ses poignets.
Léa vint se coller contre sa victime et lui caressa doucement les seins hyper sensibles. Sa captive gémissait, probablement à la fois de douleur, de plaisir, de peur de la suite, denvie de la suite
- « Amène la table sous elle pour quelle sassoit »
Je mexécutais donc et tirait la table du coin de la pièce sous notre torturée. Je laissais mes mains courir sur ses cuisses, son cul, les caressant un peu avant de les prendre à pleine main pour la soulever et la poser sur la table. Lorsque ses fesses se posèrent sur le bois, elle poussa un long gémissement de douleur.
- « Ta soumise souffre Fab, tu ne voudrais pas compléter son bondage pour y remédier ? je te laisse être créatif »
Le regard de Pauline était suppliant, mais pas la même supplication quavant : on aurait dit quelle avait accepté sa condition temporaire et me suppliait plutôt comme un supplie un dominant de faire preuve de merci.
Je fis plusieurs tours de corde sous ses genoux que je vins tendre pour attacher avec ses poignets. Se faisant, ses cuisses se levèrent et son poids fut basculé vers larrière. Elle était donc simplement « posée » sur le bout de la table, le cul et la chatte exposés vers lavant, bras levés, genoux repliés contre elle, cuisses écartées
aussi sexy quaccessible quoi. Je décidais de parfaire le tout en enlevant son bâillon (principalement pour compléter le tableau du fin filet de bave qui coula de ses lèvres restées entrouvertes sur ses seins) et en ajoutant un masque.
- « Très bon choix ça
Allé elle a bien mérité un peu de plaisir »
Et sans aucune autre forme de procès, Léa menfonça le visage entre les cuisses de Pauline.
Le message était explicite.
A suivre...
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