Madame Geoffroy...
Je vivais encore chez mes parents quand cette péripétie mest arrivée. Une journée banale, sans court, enfin
pour moi. Avec quelques pièces de monnaie en poche, jai abandonné ma garçonnière dans le sous-sol du bâtiment pour me rendre chez mon buraliste. Alors que je sortais du hall, je fus tout de suite interpellé par un attroupement. Ma curiosité ma poussé de mapprocher.
Hormis les curieux, il y avait déjà sur place la police, essayant de faire régner un cordon de sécurité, mais aussi les pompiers, aux côtés dun homme étendu à même le sol, que je reconnu étant un voisin de quartier.
- Mais cest monsieur Geoffroy, lançais-je à qui voulait lentendre.
Un des deux policiers a tourné sa tête dans ma direction et ma demandé :
- Vous le connaissez, jeune homme ?
- Oui monsieur que je le connais, répondis-je en forçant le passage pour mavancer au plus près de lui. Cest le voisin du 18. Que lui est-il arrivé ?
- Daprès les témoins il sest effondré tout seul, et par la suite il a perdu connaissance.
- Il vit seul ? Me questionna lautre agent de police, carnet en main.
- Non, il est marié.
- Sa femme travail ? Fit-il.
- Il me semble que non.
- Vous pouvez aller lavertir ?
- Oui, cest possible !
- Merci ! Fit lagent. Dîtes lui bien quelle vienne aux urgences.
Les pompiers ont commencé à le charger sur la civière. Et alors quils le sanglaient, un pompier ma lancé en me tendant un cabas.
- Cela appartient au monsieur, si vous pouvez le porter à sa dame.
Jai joué des coudes pour mextraire du cercle. Alors quils ont emmené le pauvre malheureux jusquau fourgon. Panier en main jai poussé la porte du hall du 18, et quatre à quatre jai gravi les étages jusquà arrivé devant la porte du monsieur. Jai toqué à la porte, et jai patienté, attendant gentiment quon vienne mouvrir. Pas un bruit filtré de lintérieur.
- Madame Geoffroy
madame Geoffroy
ouvrait vite
cest très important
Et là jai entendu une voix à lintérieur, dans le lointain me demandant de patienter un instant que son mari nallait pas tarder à venir.
- Ce nest pas possible Madame Geoffroy
on vient de le transporter durgence à lhôpital
- Non ! Non ! Lentendais-je hurler. Il faut quil entre. Jai besoin de lui
- Je vous dis quil vient dêtre transporter la lhôpital
venez mouvrir la porte que je vous explique
- JE NE PEUX PAS
JE NE PEUX PAS
MERDE ! Maboya-t-elle.
- Et pourquoi Madame Geoffroy
?
- Qui êtes-vous ?
- Le fils de
me présentais-je.
- Cest toi Alain
- Oui
cest moi.
- Rentre
la porte doit être ouverte. Si ce con ne la pas fermer.
Jai pesé sur la poignet et la porte a pivoté sur ses gonds.
- Madame Geoffroy
je suis dans le couloir. Je fais quoi maintenant ?
- Oui
viens je suis dans la chambre.
Connaissant les lieux pour vivre dans le même type dappartement, je me suis dirigé jusquà la chambre doù métait parvenue la voix. Et là ce fut le choc. La dame était étendue sur le lit, abandonnée sur le ventre. Mexposant son imposant fessier. Ses poignets étaient liés aux barreaux avec des cordelettes. Ses pieds étaient aussi ligotés avec le même précepte. Il ne men fallu pas plus pour influencer ma libido. Qui sest avérée dun coup, extraordinaire ! Insatiable et affamée, je me suis approché au plus près du postérieur. Alors que jétais en plein admiration, elle a tourné la tête vers moi. Jy discernais des yeux injectés de honte. Alors que ses lèvres tremblèrent. Mon cur tabassait ma cage thoracique. Mes pulsations résonnaient sous mon crâne.
Germaine était une femme que je désignerai comme étant élégante. Au visage arrogant.
- Mais Madame ! Qui vous a attaché ?
- À ton avis ? Détache-moi !
Je devais vite prendre une décision. La détacher ou alors ? Elle était à ma merci, livré, prisonnière impuissante. Jai cru que ma braguette allait céder sous les assauts de mon afflux sanguin.
- Tu vas me détacher oui ou merde
- Je ne sais pas madame
enfin je ne crois pas.
- Comment ça tu ne crois pas ?
- Jai comme une envie dr de vous.
- Mais tu es fou ! En voilà une drôle didée
- Ça fait longtemps que jattends cet instant
- De me violer ?
- Non ! De vous faire jouir
- Toi le morveux tu vas me faire jouir ! Je demande à voir ça !
Sans prendre la peine de répondre à sa moquerie, je me suis penché au-dessus de sa bouche. Que jai embrassé amoureusement, puis goulûment. Jai mâchouillé ses lèvres pulpeuses. Puis jai glissé le long de son cou. Jai coulé jusquà son sein, écrasé contre le matelas, pour titiller tant bien que mal de ma langue son téton.
- Alors ? Quen pensez-vous ?
- Tu mas fait quelque chose là ?
- Oui !
- Eh bien je nai rien senti
blague à part, il est temps que tu me libères. Laisse ça aux hommes
Agacer par ses propos jai décidé de passer à des caresses que je nommerais « dadulte ». Pour ça je me suis accroupi devant son pied droit, que jai porté à ma bouche. Je l ai sucé, mordillé, léché, aimé, avant de me redresser, et me placer de nouveau, devant son cul incendiaire aux formes affriolant.
- Pourquoi as-tu arrêté tes caresses sur mon pied ? Je trouvais cela très agréable, tu sais !
Lexcitation mêlée à la vue de son anus, me fit tourner la tête. Me donnant des envies de jouer des jeux interdits avec cette femme. Jai dabord explorer de ma langue les replis de son il sombre et large. Suçant son anneau de peau froncée. Puis jai enfoncé la langue au-delà du raisonnable. Dans son boyau chaud et soyeux. Elle a remué du cul.
- Oh mon Alain ! Tu me gâtes là
tu deviens intéressant
Quel cochon ! Tu fais
Jai poussé la langue aussi loin que je le pouvais. En même temps, jai caressé sa fente avec une main. Elle coulait sur mes doigts comme si elle pissait. Je ne vous cache pas que jétais à cet instant, dans mon élément. Au point de frotter ma queue bandée contre le matelas. Ma jouissance a coïncidé avec la sienne.
Jai abandonné lanus, pour poser ma bouche sur louverture plus bas, béante, au goût plus acidulé. Que jai léché, aspiré, embrassé pendant quelques instants. Il en est sorti delle, un liquide tellement épais et glaireux quil en était presque solide. Je lai dévoré
comme un goret. Insérant un doigt dans son cul, un autre dans son vagin. Et pas sans mal, je me suis faufilé le long du matelas pour atteindre son bouton ampoulé, que jai sucé, que jai léchais.
- Tu es vraiment diabolique
et jaime bien ça
.
Malgré ses liens elle a put soulever son cul pour bien appuyer son clito sur ma bouche.
- Putain ! Continu
cest bon !
Elle sest crispée en gémissant. Se frottant contre mon visage. Elle se déhanchait davant en arrière, se dandinant de plus en plus vite au-dessus de moi, mécrasant presque sous son bassin tandis que je continuais à la téter avec passion. Son plaisir coulait dans ma bouche. Sur mes joues. Sur mon menton. Comme tout à une fin, je me suis retiré. Un besoin dautre chose.
- Oh non ! Pourquoi tarrêtes-tu. Fit-elle dune voix sourde.
- Jai la mâchoire douloureuse.
- Alors mets la moi ! Mais montre-moi la avant !
- Pourquoi pas ! Mais jaimerai que vous me le suppliez !
- Oui ! Oui ! je ten supplie ! Mets la moi !
- Non, vous navez nas pas compris ! Je veux que vous me suppliez de vous enculer
Hmmm ! Jai très envie de votre beau cul ! Allez, suppliez-moi !
- Mais en voilà une drôle didée !
- Vous voulez que je vous la mette oui ou non ?
- Oui bien sûr ! Mais jaurais penser que vous préférerez la voie normal, non pas
- Je men fou ! Je veux vous lentendre dire ! Allez ! Dites-le-moi ! Vous voulez que je vous encule ?
Elle était dans un tel état dexcitation, quelle ne pouvait rien me refuser. Même limpensable pour elle.
- Oui garçon
je veux que tu mencules
Pour se faire je me suis défait. Javais ma queue toute souillée de ma précédente éjaculation. Jai écarté une fesse de ma main droite, lautre jai guidé ma verge contre le sphincter. À linstant précis où mon sexe a prit contact avec son anus, jeus la sensation de recevoir la lame dun poignard dans la colonne vertébrale.
- Je compte sur toi mon garçon pour aller doucement. La route nest pas encore faite de ce côté là
Après avoir tâtonné quelques secondes, jai commencé à enfoncer mon gland dans son anus. Puis dun coup de reins je me suis enfui dans mon entier. Je suis resté immobile comme pour mieux profiter de ce moment.
- Bouge cochon ! Ordonna-t-elle. Bouge mon Alain
je veux que tu inaugures cet intrusion avec ta jouissance
Je me suis mis à me balancer davant en arrière. Avec de temps à autre des sursauts qui ont failli me faire glisser hors delle. La femme haletait, alors que je lenculais comme jamais jaurais pensé le faire, même dans mes fantasmes les plus fous.
Proche de conclure, je me suis immobilisé au fond delle. Profitant au maximum de linstant qui métais offert. Son anus fut alors parcouru de contractions. Je fus soudain traversé par une onde électrique qui ma tétanisé. Un torrent de lave a parcourut ma queue toujours campée au plus profond delle. Je nai pu mempêché de pousser un rugissement qui tenait plus de lanimal que de lhumain tandis que je me vidais dans son cul.
Alors que je la libérais, elle me demanda pour son mari.
- Il était mal en point. Les pompiers lont transporté aux urgences.
- Et cest seulement maintenant que tu me dis ça ?
- Mais
Mais
- Il na pas de mais qui tiennent. Sort tout de suite de chez moi. Et je ne veux plus te revoir
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