Joueuse ... Cette Liliane...

- Liliane, vous êtes en voiture.
- Oui pourquoi ?
Liliane était une grande femme souriante, rousse aux formes paysannes plus que généreuses. Un fessier large et haut. Une poitrine lourde et pleine. La soixantaine, mais elle en paraissait largement dix de moins. Ne semblait pas le moins du monde gênée par ses rondeurs, vraiment sans complexe.
- Cela vous ennuierez de me déposer chez mon garagiste pour récupérer ma voiture ?
- Bien sûr que non.
- Vous m’en direz tant ! Répliqua Françoise, moqueusement.
- Bon toi la vielle, ta bouche. Lui envoya Liliane. Tu es jalouse qu’il ne te le demande pas à toi ?
- Pas le moins du monde. D’ailleurs, je n’ai pas le permis.
Je les ai laissé délirer ensemble, pendant ce temps là j’ai été récupérer mon blouson dans mon placard. Quand Liliane fit son apparition j’étais en train de l’attendre devant la grille.
- Des vrais gamins, me fit-elle. Je vais en prendre pour mon grade la prochaine fois qu’en se verra.
- Comme je dis pour moi-même, parle à mon dos, parle à mon…
- Cul !
Elle m’a gratifié d’u clin d’œil complice.
- Voyant Liliane, en voilà des manières.
Cela la fit esclaffer. Elle était pétillante et enjouée. Au volant de sa Visa qui nous ramenait au garage je n’ai pus m’empêcher de détailler ses orteils sous le nylon fumé, qui dépassaient des sangles de ses sandales, dont les ongles étaient laqués en rouge vif. Et ça jusqu’à ce qu’elle me dépose devant le garage, qui était aussi le sien.
- Merci Liliane, fis-je en mettant pied à terre.
- Je vais vous attendre. Dès fois qu’elle ne soit pas prête.
- Ne me parlais pas de malheur. Je serais très embêté pour rentrer chez moi.
- J’ai une chambre d’amie dans mon appartement ! S’empressa-t-elle de me dire.
- Vous ne manquez pas de suite dans les idées ma chère Liliane. Cela n’est pas étonnant que vous vous fassiez autant chambrer par vos copines quand vous devez conduire un homme quelque part.


- De la jalousie. Tout bonnement.
- Pas plus ? Répliquais-je, en poussant la porte de l’accueil. À mon retour, elle attendait toujours sagement derrière son volant.
- Malheureusement pour vous Liliane, je n’aurais pas besoin de votre chambre d’amie. Ma voiture est prête.
- Vous ne pouvez pas savoir comment je suis déçue. Moi qui m’étais fait des plans sur la comète. Renchérit-elle.
- Ce sera pour une prochaine fois ! Fis-je.
- Vous ne serez tout de même pas contre de prendre un verre à la maison.
- C’est que…
- Vous ne pouvez pas me refuser cela.
- Cela va encore faire jaser, Liliane.
- Parce que vous croyez que je vais aller le chanter.
- Je ne sais pas, moi.
- Je ne suis pas ce genre de femme là. J’ai mon jardin secret.
- Et votre mari que va-t-il pensé en me voyant arrivé.
- Il est parti en vacance avec ses potes pour la semaine.
- Ah ! Je vois. Quand le chat n’est pas là les souris dansent.
- Vous avez tout compris.
- Bon ce verre en se le prends ? Lui lançais-je.
- Suivez-moi, en voiture.
- Avec plaisir.
Il n’a fallut qu’une dizaine de minutes pour rallier les deux adresses. Je suis à peu près sûre qu’en acceptant son invitation, elle avait inondé sa culotte.
Une fois dans son appartement, elle m’a invité à prendre place sur le divan. Elle revint les mains charger d’un plateau plein de bouteilles. Je lui ai demandé un Martini. Elle s’est servi un Porto. Et vint s’asseoir juste à côté de moi.
Sur le moment, je n’ai pas réalisé que la chaîne Hi fi diffusait en sourdine une musique assez romantique. Peu à peu, Liliane a aiguillé la discussion vers des sujets plus intimistes. De son couple, du sexe.
Je me rendais très vite compte qu’elle me confessait des tas de confidences très personnels et intimes. J’ai mis ça sur le compte de l’alcool. Et surtout cela n’allait pas s’arranger, puisqu’elle s’était penchée pour se servir un autre verre.

Dans le mouvement la jupe du tailleur est montée haut sur ses cuisses. Ah ! La possibilité d’en voir plus, sous son vêtement, me fit fantasmer. Avec un sourire mi-résigné mi-canaille, elle a pivoté. Me faisant face sur le divan. J’ai pu apercevoir la culotte qu’elle portait. En coton blanc. Qui moulait amoureusement sa chatte. Dont son excitation l’avait rendue liquide. Une auréole s’était étalée sur le devant. Des bas fumés remontaient haut sur ses cuisses dans un demi-cercle de sa gaine.
- Vous aussi vous portez une gaine.
- Mais vous êtes un voyeur !
- Et vous une exhibitionniste.
- Ordinairement non ! Mais ce soir, exceptionnellement oui. Je ne pense que votre présence en est pour quelque chose.
- Ah oui !
- Et vous savez quoi ?
- Non mais je ne vais pas tarder de le savoir.
- J’ai une furieuse envie de vous embrasser.
- Faites donc. !
Nos bouches se sont alors mêlées. Liliane embrassait très bien. Cette étreinte était délicieuse. Le baiser terminé, elle s’est écartée.
- Vous connaissez une autre femme qui porte une gaine.
- Ma maman. Elle portait comme vous des bas. Les siens étaient couleurs chair. Je me faisais un plaisir à chaque fois qu’elle les portait de les lui soutirer pour les humer au fond de mon lit. J’aimais l’odeur qui s‘en...
Sans me quitter des yeux, elle s’est levée. Elle a déboutonné sa jupe. Elle n’a même pas cherché à la retenir, la laissant choir à ses pieds. J’avais devant les yeux le triangle de coton blanc de sa culotte qui masquait son intimité. Comme lors de ma première vision, aucun poil ne dépassé. Son pubis était surmonté d’un bourrelet de son ventre, rond, lisse et pâle. J’avais les mâchoires serrées. La gorge sèche devant un tel spectacle offert.
Puis elle fit tomber la veste. Sa gaine à la hauteur de sa poitrine était pleine à craquer. De couleur blanche. Assorti à la culotte. Les mamelons bandés tendaient l’étoffe sur le devant comme deux perles prisonnières.

- Votre maman avait la même ?
J’étais resté un instant à la contempler. J’avais l’impression de me revoir effectivement à contempler ma mère. Quand elle se préparait dans la chambre alors que je l’espionnais par le trou de la serrure.
Elle s’est approchée de moi.
- J’ai une très envie de vous. Allons montrez-moi votre queue.
Joignant le geste à la parole, elle s’accroupit devant moi et défit la fermeture Eclair de ma braguette. Elle baissa mon slip. Mon sexe avait jaillit comme monté sur ressort. La cochonne s’était jetée sur elle. Puis s’empressa de me prendre en bouche. Je croyais mourir de bonheur. Sa langue était chaude et humide. D’un mouvement d‘avant et d’arrière, elle commença à me pomper. S’approchant et s’éloignant de mon pubis à un rythme régulier. Puis elle fit prisonnier mon gland entre ses lèvres, alors que je lui caressais doucement la tête. De son côté, elle avait placé une main sous les couilles et les malaxait.
À partir de ce moment tout s’est embrouillé dans ma tête, dans un vertige de sensation qui m’ont fait perdre toute capacité de raisonner. Pour n’être plus qu’un corps avide de jouissance.
Je l’ai alors poussé jusqu’au divan. Où elle s’est laissé tomber. Je me suis agenouillé au-dessus de son sexe.
- C’est que… je ne suis peut-être pas très propre, je ne m’attendais pas… bref, ma toilette date de ce matin.
Pour toute réponse, j’ai collé mon nez et j’ai aspiré les effluves. Elle sentait un peu, beaucoup la pisse. Comme la plupart des femmes. Il n‘y avait outre rien qui m’excitait davantage que l’odeur du pipi de femme. Mais la culotte dégageait d’autres parfums. Et tout particulièrement la senteur de femelle échauffée. Le cœur battant à rompre, je n’ai pas pus résister à la lui ôter. La posant délicatement sur le coussin. J’avais devant mes yeux son sexe. Mon cœur a bondit comme à chaque fois dans ces instants là. Spectacle dont je ne me lasserais jamais. Voir bâiller comme un gros mollusque la large blessure rose entre les lèvres.

J’ai porté le pied gainée jusqu’à mes narines. Respirant profondément les effluves qui s’en dégager. Je l’ai massé, l’ai embrassé. Cela me faisait un effet incroyable.
Je suis remonté le long de sa jambe, le bisoutant délicatement.
Arrivé au niveau des cuisses. Je me suis attardé à les effleurer du bout des lèvres, avant de passer à son entrejambe. L’endroit était soyeux, chaud et odorant. Je m’étais enivré de son parfum capiteux. Je passais la pointe de ma langue autour de sa vulve. Avant d’allais titiller son clitoris. Que je sentais gonfler, durcir. Je le butinais, je le tétais.
Liliane posa ses mains de chaque côté de ma tête, cherchant de préciser l’action de mes lèvres contre son sexe. Puis soudain un tremblement. Une pression encore plus forte des mains sur mon crâne. Puis un cri.
J’avais rempli ma fonction. J’avais fait jouir Liliane. Je fus pris d’une soudaine baisse de tension qui eut pour effet de faire bourdonner les oreilles. Puis le téléphone s’était mis à sonner, coupant cour à mon envie de passer à la suite.
- Il faut que je réponde. C’est sans aucun doute mon mari.
Toujours allongée sur le divan elle a tendu son bras pour décrocher. Tout en faisant la discussion avec son époux, elle me provoqua en me tendant son postérieur. Sa peau n’était pas lisse, mais marquée de peau d’orange au-delà des fesses à la jointure entre la croupe et le haut de ses cuisses. J’avais le sentiment qu’un cul impeccable n’aurait pas déclenché chez moi une envie aussi forte. Laissant voir son rectum, tel un tunnel rouge sombre parfaitement accessible. Je n’ai pas pu m’empêcher d’y mettre un doigt. Je sentais que le conduit rigide à l’origine, devenait élastique. Et celui-ci était si large que je n’ai pas eu besoin d’enduire ma phalange de salive pour aider à la pénétration.
C’était tiède, soyeux, jamais, je n’avais éprouvé de sensation pareille. J’étais comme ivre, oubliant toute notion de danger. L’idée scandaleuse de remplacer mon doigt par ma verge, me traversa l’esprit. De l’avoir bien au chaud dans ce trou si accueillant. Tout en tremblant d’excitation, j’ai enfoncé mon doigt plus en avant. Les chairs de son rectum s’écartèrent, comme pour m’inviter à une pénétration plus complète. Sa respiration, profonde comme celle d’une personne qui dormait à poings fermés, s’accéléra en sifflant, alors qu’elle était toujours en communication avec sa moitié.
Effrayé, j’ai voulu retirer mon doigt. Mais son anus se rétracta, moulant étroitement mon index le prenant au piège. Je constatais qu’il était devenu tout mouillé. Que mon doigt y patinait. Alors qu’elle racontait sa journée à son mari, j’entamais de lents allers et retours. D’imperceptibles tremblements agitaient son corps, et de discrets gémissements de gorge, de temps à autre, qui lui faisait interrompre sa discussion quelques instants. Quand elle reprit la discussion ce fut pour dire :
- … Qu’est-ce que je fais ? Je suis en train de me caresser devant la télé… Et pourquoi ? Je ne sais pas ! Oui, sans doute je suis en manque… bien sûr que c’est ta faute. Tu ne t’occupes pas de moi… prendre un amant ? Que tu peux être con… je n’ai plus l’âge…
voyant !
Je retirais mon doigt de son orifice. J’étais dans un te était d’excitation que je l’ai porté, souillé, dans ma bouche. C’était amer.
- Que je m’enfonce une banane ! Fit-elle à son mari. Mais j’ai besoin de beaucoup mieux que ça ! … je n’irais pas jusqu’à là. D’ailleurs le voisin a autre chose de ce mettre sur la queue qu’une veille femme comme moi… Pourquoi pas ! Je n’y avais pas pensé…
J’approchais ma verge de ses chairs intimes. D‘un rose particulièrement foncé. Je l’ai pénétré d'un grand coup de reins, qui lui arracha un gémissement. Ma queue, gonflée à bloc, était maintenant intégralement rentrée. Elle venait d'avoir un bref orgasme. D’ailleurs elle en fit part à son mari.
- … Oui qu’est-ce tu crois, oui j’ai joui avec un concombre ! Oui monsieur… Si tu veux. À ton retour, avec plaisir…
Je l’ai alors besogné sans trop finasser. Plongeant ma verge au plus profond de sa chatte. Cela produisait un gargouillis bizarre. Tout en communiquant avec son époux, elle jouait savamment des reins. Faisant buter mon gland à chaque fois tout au fond de son écrin.
- Oui mon amour ! Je me défonce. Plus fort, encore plus fort. Je sens que je vais encore jouir. Je sens que ça vient. Plus vite….
J’empoignais tant bien que mal, ses hanches. Que la sueur avait rendu sa peau glissante. Je la baisais vicieusement. Explorant les moindres recoins du con mouillé et chaud. Mes coups étaient de plus en plus forts. Mes couilles venaient taper ses fesses à chaque coup de boutoir. Elle respirait vite. Une sorte de grande flamme me traversa le corps. De son côté Liliane lançait une longue plainte hululée, alors que j’éjaculais dans une jouissance d’une stupéfiante intensité.

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