Collection Zone Rouge. Le Squat, Saison Iii (3/4)
Cest sous une bretelle dautoroute près du quai de la Rapée que jai atterri quand avec le chien Brutus, je cherchais dArtagnan, le frère de Muller mon homme qui sest fait serrer à la gare de Laroche - Migennes.
Pendant tout ce trajet, en plus de Brutus, je porte le sac de mon amant dans lequel jignorais quil contenait un sac de cocaïne.
Cest dans la tente dOlga, pas la pute de mon début et surtout de mon mari quil minstalle.
Elle prend des produits dits illicites et me rend accro à ces substances quelle me présente comme des fortifiants.
Ancienne infirmière quand nous avons ce quil nous faut, cest elle au début qui minjecte notre dose.
Quand elle est incapable de le faire, étant trop planante, japprends rapidement à faire fondre et à me trouver une veine ou je peux encore me piquer.
Aujourdhui je nai pas eu ma dose, pourtant jai réussi à sucer trois bites et à me faire enculer.
Brutus est de plus en plus indépendant, un matin où je viens retrouver mon vieux libidineux, je le vois sortir dun immeuble cossu près de la Bastille.
Jattends et deux minutes après, je vois son amant canin sortir au bout de sa laisse tenue par la femme au manteau de fourrure.
Je les suis discrètement, jai trouvé une veste moins voyante que la rose quOlga mavait donnée quand je suis arrivée.
Même pour un morceau de tissu, il faut payer de son cul surtout quand il sagit dimmigrer qui nont pas eu de femme depuis des lustres.
Je suis donc cette femme qui se dirige vers limpasse ou Brutus a sodomisé son loulou la première fois.
Cette femme aisée nen reste pas moins une grande salope, quand jarrive au fond de limpasse dans lombre, elle a son manteau au sol et est nue.
Elle me regarde, ses yeux me font voir en se révulsant quelle apprécie le traitement que la verge de notre amant devenu commun lui inflige.
Je vois là le moyen de trouver du fric vite gagné.
Le lendemain, je suis Brutus qui attend à côté de la porte qui finit par souvrir.
Il pénètre comme sil était chez lui, je mapproche de cette femme âgée.
- Bonjour madame, je cherche une grande dame avec un manteau de fourrure et un loulou blanc.
- Madame Adèle, la femme de lex-sénateur, deuxième étage.
Cette femme me regarde avec un air de se demander ce quune clodo comme moi peut bien avoir à faire avec une telle femme.
Cest vrai que lorsque je vais dans les cafés entrants discrètement pour aller satisfaire les peu de besoins que jai, mangeant plus de la poudre dans mes veines que le dernier gigot du moment.
Il y en a un, près de la Bastille non loin dici qui me laisse descendre au sous-sol.
Le patron est veuf et ma chatte lui sert de vide couille presque deux fois par semaine.
Jévite lascenseur, deuxième une porte, jécoute discrètement.
- Dick va doucement, mon Loulou est plus petit que toi, je sais que vous vous aimez bien que vous soyez des mâles.
Attends inutile dessayer de vous décoller, après je te donnerais ta tranche de rumsteck.
Malgré ma situation bien précaire, je manque déclater de rire.
Jen suis arrivée à force de descendre léchelle sociale moi qui était une bonne bourgeoise de province à faire la pute pour ma dose de fortifiant.
Brutus est la pute de Loulou pour un simple bifteck.
- Voilà vous êtes décollées, prend ton temps pour manger.
Brutus semble avoir dans ses mâchoires puissantes la viande, je lentends grogner.
Chaque jour, il doit être pressé de manger son steak et doit sodomiser la petite tantouze non loin de la porte qui finit par souvrir avant que je naie le temps de me retirer.
- Madame, que faite vous là ?
Cette grande femme en peignoir entrebâillé ignorant que je suis là me montre ses seins assez plat et tombant.
De près quel âge doit-elle avoir, 70 à 75 ans.
Brutus vient se coucher à mes pieds.
- Vous connaissez Dick !
- Cest Brutus le chien de mon compagnon dont jattends la libération.
Je me demandais où il allait depuis que je lai vu et que je vous ai vu dans limpasse sautant votre chien.
Puis vous, vous faisant prendre comme une vraie chienne le long du mur.
- Parlez moins fort, les voisins pourraient vous entendre et ma réputation serait entachée.
Entrez, je vais vous expliquer.
- Brutus reste couché devant cette porte, si tu viens de baiser Loulou, tu risquerais de le défoncer à recommencer.
Jentre, elle me conduit dans un salon comme je nen aie vu que dans des films.
Style, ancien, inutile de chercher, jignore le style des meubles.
- Un thé.
Très vieille France, la dame fait tinter une sonnette, une jeune femme apparaît venant du couloir.
- Agnès veuillez nous servir le thé.
Elle lui parle en Anglais, la jeune fille, je devrais dire plutôt que la jeune femme nous quitte.
- Cest ma nouvelle bonne, elle est anglaise, cest le seul pays qui sait former son personnel et qui plus ait, sait faire le thé.
Toutes les jeunes Françaises que jai employée faisaient un thé imbuvable et me volaient pour donner de largent à leur petit ami.
Pas un mot de plus en attendant Agnès, qui revient avec la théière et deux tasses ainsi que quelques petits gâteaux.
En anglais que je parle dans mes vieux souvenirs d'école et grâce à mon fils que je faisais réviser, langlais étant à son programme.
- Agnès, lorsque vous aurez servi, inutile dattendre, vous débarrasserez demain matin, montez chez vous.
La jeune fille sexécute lorsquelle a quitté la pièce, Adèle me dit.
- Je vous dois une explication, je vous reconnais cest vous qui mavez surprise dans limpasse à me faire prendre par ce grand noir.
- Ce grand noir si vous lignorez sappelle Mamadou et est aussi mon amant.
- Vous êtes jalouse et vous allez magresser.
- Pas le moindre du monde, je vais avec lui simplement pour quil nous donne nos vitamines.
- Je préfère ça, je suis une pacifiste.
- Comment une femme de votre classe en est réduite à se faire prendre par de grands noirs au fond de limpasse où je vous aie vues !
- Pour commencer, comment vous appelez-vous ?
- Mira madame.
Je vais vous donner une explication, le sénateur mon mari dont vous me permettrez de taire le nom, est décédé il y a deux ans.
Enterrement presque national, il avait été ministre il y a de nombreuses années.
Nous avions un groupe damis avec lesquels nous avions fini par être très proche.
Nous étions des libertins, le sénateur était un libertin, alors que javais été élevée dans un couvent de province pour jeunes filles de bonne famille.
Il ma entraîné dans sa débauche.
Je dois dire quau fil du temps, les parties carrées, les partouzes sont devenues si courantes que jai beaucoup aimer me faire faire lamour par des hommes des femmes et la plupart du temps tous en même temps.
Quand il ma quitté, jai gardé de nombre de ses amis, mais tous ont respecté la veuve que je suis devenue.
Il y a un an, un jour en promenant Loulou, un homme mal rasé ma proposé de refaire ce que javais perdu de faire.
Cest dans cette impasse quune première fois, jai cédé à un Indien cherchant à vivre en France.
Jai pris goût à ce sexe sauvage quils me procuraient et jai continué.
Jai rencontré celui que vous avez appelé Mamadou, cest la plus grosse verge que jai eue en moi et linsolite de lendroit moi qui navait à ce jour baiser que dans des salons luxueux a ajouté à ma jouissance.
- Vous connaissez donc la puissance de Mamadou, si vous aviez connu celui que jattends et qui me manque, vous auriez su ce quun homme peut apporter à une femme.
Il sappelle Muller, le frère de dArtagnan.
- Voulez-vous prendre une douche, vous pourriez venir dans ma cuisine laver vos vêtements.
Savez-vous démarrer une machine à laver ou jappelle ma bonne Anglaise pour quelle le fasse.
Refaire une tâche ménagère, moi qui trouvais que jétais trop dépendante de Sylvain, je retrouve lenvie de le faire.
Elle me conduit dans la cuisine.
La machine est là, là ou dans le temps, ma pudeur aurait fait que de me déshabiller devant une inconnue men empêche, le nombre détapes franchi dans ma déchéance volontaire pour le plaisir davoir le sexe de Muller en moi ma ôté toutes barrières.
Tourner les boutons afin de démarrer, mettre sur séchage, la machine étant mixte, en quelques secondes elle tourne.
Madame Adèle mentraîne dans sa salle de bain.
- Quavez-vous sur les bras, vous droguez-vous ?
- Pas du tout, ce sont des vitamines pour avoir chaud quOlga linfirmière me met dans les veines.
- Malheureuses, vous risquez votre vie, dans mon milieu dans nos partouzes, nous snifions de la coque, mais jamais nous ne touchions à ce genre de produits.
Je monte dans la baignoire, elle fait tomber son peignoir mapparaissant dans toute sa nudité.
Elle démarre leau quelle règle à bonne température et sans me donner limpression quelle fait ça pour la première fois, elle commence à me savonner.
Leau commence à monter, je massieds et sa main glisse jusquà mon sexe quelle pénètre de ses doigts.
Comprenant quelle retrouve des habitudes pratiquées avec ses amis, jécarte les cuisses, la douceur du savon et ses doigts effilés commencent à me donner du plaisir
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