Pour Se Détendre Au Chalet...

Je suis en route pour le party de Marco. Je n’avais pas vraiment envie d’y aller mais il a vraiment insisté pour que j’y sois. Son chalet est à 2 heures de route. Il semblait que nous y serions en grand nombre. Après la mauvaise semaine que je venais de passer, je me disais qu’à tout le moins, je pourrais m’y reposer.

Une fois sur place, je constate que l’endroit est merveilleux, une belle maison sur le bord de l’eau, un très grand terrain et de la végétation à souhait. Le party semble déjà bien pris. Tout le monde est en maillot. De bien belles personnes y sont, l’alcool coule à flot. Je ne connais pas beaucoup de monde, ce sera l’occasion de faire de belles rencontres.

En arrivant, je salue tout le monde. Marco me présente à tour de rôle à ses amis et collègues de son bureau. Je fais la magnifique connaissance de Martine. J’ai du mal à garder mon regard sur ses yeux. Elle est d’une beauté incroyable. Elle a un sourire coquin vers moi en me voyant que j’admire sa beauté. Elle porte un maillot deux pièces qui met en valeur autant sa magnifique poitrine et son joli petit cul. Toutefois, la personne à ses côtés semble être son chum. Il semble ne pas vouloir être là du tout. Un air bête.

Ne portant pas de vêtement de circonstance, je demande à Marco où je peux me mettre à l’aise. Je lui demande si je peux aller me doucher car j’ai eu très chaud en chemin. Il m’indique de faire comme chez moi, que je n’ai qu’à aller au 2e, la salle de bain complète s’y trouve.

Je me dirige donc à l’intérieur. La maison est vide. La porte de la salle de bain est entrouverte. J’entends la douche qui coule. C’est à ce moment que je vois que la belle Catherine est sous la douche. Hummm, Cathou… Comment oublier la sœur de mon meilleur ami. Je constate que les années l’ont rendu encore plus belle. Tel un bon vin, son corps prend de la maturité et ne cesse de s’embellir. La dernière fois que je l’avais vu, on avait eu une histoire d’un soir, où nous étions tous les deux un peu pompette.

Nous nous connaissions depuis de nombreuses années sans que rien ne se passe. Mais ce soir-là, sans aucun avertissement, on finissait dans le même lit pour un torride moment. Depuis, nous avions repris chacun nos vies en ayant aucune attente par la suite. On ne s’était pas revu depuis ce temps, depuis trop longtemps...

Là, je l’avais sous les yeux. Je remarquai assez rapidement que sa vigueur sexuelle n’avait pas diminué. Sous la douche, elle ne faisait pas que se laver, elle se donnait du plaisir. Elle caressait sa chatte avec le jet d’eau chaude et se frôlait l’anus avec son autre doigt. J’étais stupéfait car elle n’était pas adepte du plaisir anal. Elle n’entrait pas son doigt mais plutôt effleurait sa rondelle. Je bandai instantanément en voyant ce spectacle.

Elle se retourna soudainement et remarqua ma présence. Son sourire ne laissait aucune place au doute. Elle souhaitait que je la rejoigne. Je ne me fis pas désirer. En un temps record, j’étais nu sous l’eau chaude avec elle. Je l’embrassai avec douceur. Nos langues se retrouvaient comme si elles ne s’étaient jamais quittées. Sa langue contre la mienne faisait monter le plaisir en moi, ce qui avait pour effet que je bandais encore plus dur. Sans arrêter ce baiser, ma main caressait son dos, descendit jusqu’à ses magnifiques fesses. Je glissai un doigt entre ses fesses pour aller agacer son anus. Par son baiser qui prit de la vigueur, je senti que je lui faisais plaisir.

Elle glissa sa main entre mes cuisses et pris ma queue. Elle la serra entre ses mains pour constater que j’étais extrêmement dur. Mon gland était gonflé à bloc et saillant. Elle se pencha et pris ma queue tout au fond de sa bouche. J’adorais ce mouvement de langue si langoureux contre la mienne. Mais c’était le summum de sentir cette même langue contre ma queue. Elle me suçait avec tellement de délicatesse qu’une goutte de sperme, que je n’avais pu retenir, jaillit sur sa langue. Elle se releva et m’embrassa pour que je déguste avec elle cette goutte de bonheur.
Huummm, ce baiser était tellement bon. Elle aimait me faire déguster mon nectar.

Elle s’approcha de mon oreille et me chuchota que son cul était toujours vierge mais que là, elle était prête à passer à une autre étape. Elle me demanda si je pouvais me porter volontaire pour lui faire perdre ce dernier morceau de virginité. Je lui ai dit que c’était un privilège pour moi de lui faire honneur. Que je le ferais de la bonne façon.

Je me mis à ses genoux. Elle s’appuya, penchée vers l’avant contre la vitre de la douche. Son cul bien positionné pour se faire prendre. Mais avant tout, il fallait bien le lubrifier. J’engouffrai ma tête dans cette zone chaude et humide. Dans un premier temps, ma langue s’attarda sur sa chatte bien chaude et juteuse. Par l’arrière, je léchais tendrement ses lèvres saillantes en effleurant de temps à autre son clito. À chaque passage, elle cambra ses hanches pour sentir ma langue plus fort en elle. Après avoir bien savouré son jus, du vrai champagne, ma langue remonta entre ses fesses. Quand je touchai la cible, son anus, elle lâcha un cri de plaisir. Huuuummm, ouiii, mange mon cul mon cochon. J’y rêvais depuis tellement longtemps. Encore Ben, encore…ouiiii…

Ma langue se promenait autour de son anus pour l’exciter et ensuite touchait son anus pour la faire gémir davantage. C’est là que je me relevai. Pour bien lubrifier ma queue, j’entrai en premier dans sa chatte. C’était chaud et si doux. J’y allais de va-et-vient très lent pour que son jus enrobe mon sexe. Elle savourait la cochonne, tout autant que moi. Mais il ne fallait pas perdre l’objectif de vu. Dévierger ce beau petit cul.

Je sortis de sa chatte, pris ma queue en main et positionna mon gland tout près de cette entrée jusque-là interdite. Avec ma main, je caressais cette zone avec le bout de ma queue. J’exerçai une petite pression pour que le bout de ma queue s’insère en elle. Cathou s’impatientait. Enfonce mon cul mon salaud, prends-moi maintenant, me dit-elle.


J’ai donc poussé ma queue délicatement dans son cul. L’entrée était serrée mais invitante. Ma queue s’enfonça en elle doucement. Je ne voulais rien brusqué. Une fois bien au fond, elle lâcha un gémissement de plaisir. C’est bon Ben, c’est bon…. Elle bougea de façon à ce que je sois appuyé contre la paroi vitrée. Elle voulait contrôler le mouvement de ma queue en elle. Elle avait pris le contrôle. Elle voulait savourer le moment à sa façon. Son bassin bougeait pour presque me sortir d’elle pour aussitôt m’enfoncer au plus profond de son cul très serré.

Avec sa main, elle entreprit de savourer ce moment en caressant son clito. Sa main suivait le mouvement de son bassin. Tantôt lentement, tantôt rapidement. Son corps se cambrait tellement le plaisir était intense. Elle en tremblait. Elle aimait la combinaison de se faire enculer et de se branler le clito. Au point de non-retour, elle me supplia de la prendre vigoureusement. Je positionnai mes mains de chaque côté de ses hanches et la baisa avec vigueur. Elle hurla son plaisir. Son gémissement m’excita au plus haut point. Quand je fus sur le point de jouir avec elle, je sorti ma queue et pressa le bout de ma queue sur son anus, sans y entrer. C’est à ce moment que je poussai un cri, dès que le premier jet de sperme jaillit sur son cul. Elle sentait mon sperme chaud couler sur son cul et glisser entre ses cuisses, jusqu’à sa chatte. Elle continuait de se branler le clito et jouissait avec moi. Faut dire que ma queue était généreuse, la coulée de sperme était abondante, n’ayant pas baisé depuis un certain temps. Avec sa main, elle prit de mon sperme et se caressa la vulve avec, pour ensuite en prendre dans sa bouche, une bonne quantité.

On s’embrassa longuement, délectant ce mélange de sperme avec son jus. Quel délicieux mélange. On termina notre douche en se savonnant mutuellement nos corps, en continuant de se donner du plaisir. Pas besoin de vous dire que ma langue continua d’explorer son corps, de lécher ses mamelons bien durs et ses seins dans leur globalité.


On s’est embrassé longuement. N’ayant plus d’eau chaude, nous nous sommes rhabillés pour aller rejoindre les autres. Ce que nous n’avions pas remarqué, c’est que Martine, la coquine, avait tout vu, dans l’embrasure de la porte. Elle s’était caressée discrètement en regardant le spectacle qui s’était généreusement offert à elle…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!