Rémi

J’aime beaucoup Rémi. Je le trouve touchant, attendrissant.. C’est d’ailleurs ce qui m’avait attiré chez lui lors de notre première rencontre (voir « une infinie douceur » ). En plus, je le trouve très très mignon et il me fait divinement bien l’amour. Avec douceur, souvent ; avec rudesse, parfois. Je trouve que pour son jeune âge - 20 ans -, il a beaucoup de savoir être en amour. Paulo étant toujours par monts et par vaux, on avait pris l’habitude de se voir une ou deux fois par semaine, chez moi ou dans sa petite chambre d’étudiant. Bien entendu, ça finissait qu’à chaque fois on faisait l’amour, et pas qu’une fois.
L’autre semaine, Rémi vint passer deux jours et deux nuits à l’appart. La deuxième nuit, après m’avoir rempli de sa brûlante semence pour la deuxième fois de la nuit – on avait joui presqu’ensemble, lui en moi et moi sur son ventre-, alors qu’on était encore enchassés l’un dans l’autre, il me murmura à l’oreille :
« -J’ai quelque chose à te dire… » s’ensuivit un long silence. J’attendais.
« -Je crois que … je suis amoureux de toi… Je sais que tu es avec Paulo, que c’est Paulo que tu aimes…Mais, moi aussi je t’aime ! C’est la première fois de ma vie que je ressens ça aussi fort pour quelqu’un. »
A peine eut-il fini sa phrase qu’il se mit à pleurer silencieusement. Je sentais ses larmes couler sur ma joue. J’étais bouleversé. Je ne savais pas quoi lui dire…Je le serrais ainsi longtemps dans mes bras, caressant doucement ses cheveux. Il finit par s’endormir. Je ne pus fermer l’œil du reste de la nuit. Je réfléchissais à la situation. Au petit matin, je lui annonçais qu’il fallait que j’en parle avec Paulo et que ce serait bien qu’on se laisse quelques jours pour réfléchir. Il partit en larmes. Le soir même, j’appelais Paulo. Il n’avait jamais rencontré Rémi mais il savait qu’on se voyait et même plus car je lui ai toujours tout dit. Il me dit que c’était la vie et qu’il rentrerait bientôt.
Deux jours plus tard, il était là.

Les retrouvailles furent torrides, comme toujours. Je mesurais alors ce qui le distinguait de Rémi. Tout ce que disait Paulo, tout ce qu’il me faisait me chavirait littéralement. Faire l’amour avec lui, c’était plus que du sexe. Ca me comblait au-delà de tout. Après nous être épuisés mutuellement, il commença à me parler de Rémi. Il me demanda comment je voyais les choses, je lui avouais que j’étais un peu perdu. J’aimais sa présence, sa conversation, la façon qu’il avait de me faire l’amour mais ce n’était pas pareil qu’avec Paulo. Pour rien au monde, je n’aurais voulu faire de mal à Rémi. On s’endormit là-dessus.
Le lendemain matin, je reçus un coup de fil de l’hôpital de la ville. Rémi y avait été admis dans la nuit. Il avait fait une tentative de suicide. Un voisin l’avait récupéré in extremis. On dut attendre l’après midi pour aller le voir à l’hôpital. Quand il nous vit tous les deux, il s’écroula en pleurs. Il était très touché que Paulo soit venu aussi. On rencontra ses parents, sympas mais effondrés. Le médecin nous indiqua qu’il serait transféré dans un service psy, c’était la règle après une telle tentative. De retour à la maison, on discuta longuement avec Paulo. C’est lui qui proposa que Rémi vienne s’installer chez nous, ça me ferait une compagnie pendant ses longues absences. J’étais très touché. Je reconnaissais bien là mon Paulo, si généreux, ouvert sur la vie. Je courus le lendemain annoncer la bonne nouvelle à Rémi.
Trois semaines plus tard, Rémi vint s’installer à la maison. Par chance, Paulo était là à ce moment là. Le premier repas fut chaleureux mais, comment allait se passer la première nuit à trois… ? J’étais au milieu du lit, nu. De chaque côté, Paulo et Rémi, en slips. Tous les trois, le sexe bandé à tout rompre. J’étai l’objet de leur désir, à tous deux. Paulo, grand seigneur, prit la main de Rémi et la posa sur ma bite. Puis il entreprit de faire glisser le slip de Rémi tout doucement. C’était on ne peut plus clair : il lui donnait son aval.
Avec beaucoup de douceur, Rémi entreprit de me caresser partout. Je pris la main de Paulo et la déposais sur les fesses de Rémi. Moi aussi, je lui donnais mon aval. Rémi me sourit de toutes ses dents. La suite fut un souvenir mémorable qui restera dans nos mémoires à tous. Après bien des préliminaires, Rémi me pénétra doucement, il se mit à me limer encore plus doucement, longuement. A un certain moment, il offrit sa place à Paulo qui nous caressait gentiment tous les deux. Ils se mirent ainsi à me pistonner en alternance. Ce fut alors une longue et délicieuse séance à deux. J’étais comblé. Rémi jouit en moi plus vite que d’habitude. Etait ce la présence de Paulo qui l’excitait encore plus que d’habitude ? Probablement. Dès qu’il eut joui, il se retira, se mit en levrette face à Paulo, s’offrant à lui. Sa bouche, près de ma bite, s’apprêtait à me pomper fougueusement. Paulo, ravi, apprécia le geste. Il se mit à le limer longuement tout en douceur car il avait compris que Rémi aimait ça, la douceur. Par-dessus l’épaule de Rémi, il me souriait. Tout allait donc pour le mieux. Rémi voulait me faire jouir ainsi. Pour ça, on pouvait dire qu’il savait y faire ! J’adorais la chaleur de sa bouche, ses gorges profondes, la façon qu’il avait de tourner sa langue sur mon gland, de me titiller le frein du bout de sa langue, de m’aspirer, de me relâcher, de me gober les couilles…Un expert. Je jouis dans sa bouche. Il avala tout. Bien après, Paulo se déversa dans le ventre de Rémi avec un cri rauque. La sueur luisait sur sa peau café au lait. On s’endormit- très peu – en chiens de fusil, Rémi lové entre nous deux. La nuit serait encore longue…
Plus tard dans la nuit, je fus réveillé par la main de Rémi qui caressait doucement ma bite, cherchant à la faire gonfler pour la présenter à sa rondelle. Je me laissais faire, dans un demi-sommeil. Je lui présentais deux doigts à sa bouche, il les suça goulûment. Ma main gauche avait croisé ses doigts avec les siens sur ma bite qui gonflait très vite.
Je le doigtais un peu, m’étant enduit de gel, toujours à portée de main. Du gel, dans la maison, il y en a absolument partout…On ne sait jamais ! De mon gland, j’essayais de le pénétrer doucement pour ne pas réveiller Paulo. Il tourna la tête, cherchant mes lèvres, ma langue. Je lui titillais la rondelle. Je le sentais onduler doucement. Facilement, mon gland le pénétra. Je m’arrêtais. C’est aussi un de mes moments préférés : la promesse de plaisirs infinis dans son ventre…Je le pénétrais très très lentement, en reculant de nombreuses fois. Je sentais son fourreau se resserrer sur ma queue vibrante. D’un tempérament doux par nature, il aimait aussi la douceur quand je lui faisais l’amour. Le plus dur pour lui étant de ne pas trop bouger pour ne pas réveiller Paulo. Trop tard ! Paulo avait du sentir qu’il se passait quelque chose sans son dos. Lui aussi avait empoigné la bite de Rémi et cherchait à se faire mettre. Assez vite, on fut enchassé tous les trois, l’un dans l’autre. La samba allait pouvoir commencer. C’était à moi d’imprimer le rythme pour les trois. Très vite, Paulo, toujours aussi joueur, se désolidarisa. Il se mit à coulisser de lui-même sur la tige de Rémi qui apprécia beaucoup. C’est qu’on le dorlotait notre petit protégé…Par tous les bouts, même ! On essaya toutes les positions, sur le côté, en levrette, à genoux, debout, à l’équerre. Celle qui nous plut le plus à tous les trois fut l’équerre. Tout ceci, toutes lampes allumées, toujours. Ce qui offrait un spectacle de qualité à nos vis-à-vis du troisième mais pas à ceux de la rue, les apparts du dernier, avec terrasses, étant en retrait par rapport à la façade de l’immeuble. Paul et Fabrice dormaient-ils ou nous scrutaient-ils dans le noir ? Ca excitait beaucoup Rémi et Paulo de s’exhiber ainsi et de se savoir peut être observés dans leurs ébats. Puis, on varia les plaisirs. Je disposais Paulo et Rémi côte à côte, en levrette et derrière, à genoux, je passais de l’un à l’autre rapidement. On intervertit les positions plusieurs fois afin que chacun puisse goûter à tout… A nouveau, Paulo demanda à me prendre de face et, en même temps, de se faire prendre par Rémi.
J’avais ainsi l’impression que mes deux amants me pénétraient en même temps. Cela me donna l’idée de la double pénétration mais je me promis de la garder pour une autre séance. Paulo voulait conclure ainsi. Sauf que, l’extrême résistance de Paulo fit que Rémi jouit dans son ventre bien avant qu’il ne jouisse dans le mien. Ensuite, quand ce fut fait, ils se mirent à deux sur ma bite pour en tirer tout son jus. Je résistais du mieux que je pus à ces charmantes manipulations que je voulais faire durer un max. Au final, je leur ai bien aspergé le visage à tous les deux. Comblés, on se rendormit jusqu’au matin dans une odeur de foutre plus qu’envahissante.
Cette première nuit augurait bien des suivantes. La première chose qu’on fit au réveil fut de se précipiter à la douche. On se savonna en se caressant. Très vite cela dérapa. Rémi déclara vouloir nettoyer nos organes au mieux. Pour cela il se mit à genoux et commença à nous gober les couilles à tous les deux. Puis il entreprit de nous sucer- il suce divinement bien, je l’ai déjà dit -. Paulo m’embrassait à pleine bouche. L’eau ruisselait sur nos corps. A un moment, Rémi essaya même de nous prendre en bouche tous les deux en même temps. C’était trop bon de sentir la bite de Paulo contre la mienne et, en même temps, la chaleur de la bouche de Rémi. Mais, vu la taille de la queue de Paulo, ce fut un peu compliqué pour Rémi de continuer longtemps. Paulo me demanda s’il pouvait prendre Rémi. Je savais qu’il en mourait d’envie. Si Rémi est OK… Rémi ? OK ? C’est pas poli de refuser ! Bien sûr qu’il est OK ! Lui aussi, sûrement qu’il en rêve. Du gel, il y en a toujours dans la cabine de douche. Aussi indispensable que le savon. Je me mets à doigter doucement Rémi pour le préparer aux assauts de Paulo. Il a écarté les jambes et s’est mis à l’oblique. Un puis deux doigts passent très vite. Paulo s’enduit et vient se glisser dans sa raie. Je veux arrêter le jet d’eau mais ils demandent à le laisser couler ; ils adorent la caresse de l’eau. Paulo a visiblement décidé de le prendre à la hussarde. Très vite il se retrouve complètement planté en lui et il commence à le limer puissamment. Je décide de m’asseoir contre le mur de douche, entre les jambes écartées de Rémi et de m’occuper de sa queue. Caresses, branle, fellations. J’alterne. Il ronronne. C’est moi ou c’est Paulo qui lui fait cet effet là ? Je lui gobe aussi les couilles comme il nous le fait si bien. De temps en temps je glisse ma main sous son périnée pour caresser la bite de Paulo qui entre et sort des fesses de Rémi. Il me crie :
« -Um ! é bom demais ! »
Il se passe ainsi de longues et délicieuses minutes pour tous. Paulo monte en puissance de plus en plus. Ses coups de bite deviennent de plus en plus forts. Je sens qu’il veut le défoncer dans une autre position, ma position favorite. Je leur propose, il ne dit pas non, bien au contraire. Rémi s’appuie le dos au mur de la douche et enserre ses jambes autour de la taille de Paulo qui le perce d’un coup par en dessous. Il se met à le secouer de plus en plus fort. Paulo dévore la bouche de Rémi, noyé dans son plaisir qui monte, qui monte. A certains signes, je sens que Paulo va venir. Je le connais bien mon Paulo à force. Je me mets à le doigter violemment. Ca ne rate pas. Il se met à décharger sauvagement dans le ventre de Rémi qui a l’air extatique.
Rémi, trop excité pour en rester là aurait aimé me faire l’amour dans la foulée et dans la cuisine tant qu’à faire ! Paulo n’y voit pas d’objection, il demande simplement à pouvoir photographier et filmer à outrance. Accordé ! On se sécha vite fait et on fila dans la cuisine. Rémi me fit mettre à l’équerre, en appui sur le bord de la table, les jambes bien écartées. Paulo, plein de sollicitude, lui enduit la bite de gel ainsi que mon trou. Très vite Rémi se retrouva en moi. Il commença ses va et vient. Paulo filmait et photographiait en gros plans. Puis il me fit baisser la tête presque jusqu’aux chevilles. La sensation était différente pour Rémi et pour moi. A présent, il me fit allonger sur la table, les fesses juste au bord, les pieds sur ses épaules. Là, son pilonnage s’intensifia car il était tout à fait à la bonne hauteur pour me fourrer. Allait-il, une fois encore, réussir à me faire jouir du cul ? On verra…En tous cas ce fut trop bon, très long, très doux, parfois violent. Je l’ai déjà dit, malgré son jeune âge Rémi « sent » bien son partenaire et s’adapte à lui ou le mène là où il veut. Est-ce le signe d’une longue pratique ? Sûrement ! A la dernière seconde, il se retira et m’aspergea le ventre, le torse, le menton de quatre jets brûlants. J’en étais quitte pour retourner à la douche. Ensuite, il était temps de prendre le p’tit dej.
Ca a tout de suite été un enchantement de vivre à trois avec Rémi. Facile à vivre, rigolo, disponible, toujours prêt à aider et surtout très très porté sur le sexe. Minimum trois par jour. Deux fois la nuit et une ou deux fois le jour. Après – ou avant – le p’tit dej, le soir en rentrant des cours. Comme il se balade toujours en slip, ça se voit tout de suite quand il a envie et y’a pas grand-chose à enlever ! Moi qui trouvait que Paulo était une bête de sexe, là, je crois qu’il a trouvé son maître. Et avec ça beaucoup de savoir vivre. Quand il a envie de Paulo, il me demande toujours avant si ça ne me gêne pas. Je ne lui ai jamais dit non, non plus. Beaucoup d’imagination avec ça et, comme il dit : »Je ne demande qu’à apprendre, je ne veux pas mourir idiot… ». D’ailleurs, à la maison, c’est la fête du slip permanente. Tout le monde se balade en slips, à la rigueur avec un débardeur ultra court en plus. Et on change plusieurs fois par jour : slip ou slip de bain. La collec’ de Paulo le permet largement. J’adore les voir ainsi déambuler tous les deux, leurs fesses rebondies moulées dans de beaux slips, leurs paquet avantageux…Paulo, c’est bien simple, a toujours la bite à la verticale, pas ment bandée mais jamais au repos complet. Evidemment, la tension sexuelle est permanente pour tous. C’est pas pour nous déplaire. Paulo a très vite été conquis par Rémi. Il dit que c’est « une perle rare ».
L’autre jour, je croise Fabrice chez le boulanger
« -Dis donc, chaud comme la braise votre nouveau petit coloc !
-Hé ! On va pas s’en plaindre, hein ?
-Quand est ce qu’on se voit tous ensemble?
-En fait, il est amoureux de moi…
-Ah ouais… ?
-Ouais et c’est Paulo qui lui a proposé de venir s’installer chez nous
-Wouuah ! Gentleman ! Je reconnais bien là, Paulo ! »

Voilà comment Rémi est entré dans notre vie. On verra…

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