Petite Baise Au Réveil Avec Ma Cousine Dorothée (5)

Comme je vous l’ai promis dans mes réponses à vos nombreux mails, j’en profite pour vous remercier, voici le retour de ma cousine Dorothée.
Depuis quelques temps, nous essayons de passer le plus de temps ensemble. Comme avec son travail c’est plus compliqué pour elle de se déplacer, c’est surtout moi qui voyage chez elle. Je commence à avoir de plus en plus de repères aussi bien dans la ville que dans son appartement qu’elle s’efforce de rendre de moins en moins féminin pour moi.

Nous sommes vraiment different sur énormément de points, aussi bien socialement que culinairement… et même sexuellement car je suis plus du matin et elle du soir, elle aime les coups rapide et j’adore prendre mon temps… Mais ça ne nous empêche pas de très bien nous entendre tout en faisant des pas l’un vers l’autre.

Cela fait maintenant 3 jours que je suis chez elle, comme j’ai surtout du travail à faire sur mon ordinateur, je me suis arrangé pour rester ici presque 2 semaines avec quand même un petit aller retour sur Londres. Ce dimanche matin, comme tous les matins, je me réveille avant elle. Un des trucs sur les quelles j’ai réussi à la convertir, c’est de ne plus dormir avec ses pyjamas qui la couvre presque des pieds à la tête. J’ai pas encore réussi à la faire dormir complètement à poil comme moi, elle porte au moins un string et un t-shirt (souvent un des miens).

Cela fait quelques minutes que je traine dans le lit avec mon érection matinale, quand elle se retourne pour me donner le dos. Dans son mouvement, elle emporte avec elle la couette et me dévoile son cul presque nu. Mais je dois vous avouer que de voir cette ficelle contre sa raie m’excite de plus en plus. Même si la veille nous nous sommes couchés bien tard, il est déjà 11 heures et j’ai très envie d’elle. Je suis tiraillé entre l’envie de la laisser se reposer et tripoter ses belles fesses qu’elle exhibe sous mon nez.

Le désir prend le dessus et je malaxe délicatement son globe gauche qui est au dessus.

Elle qui, au début de notre relation, pensait pas du tout aimé l’anal se met à murmurer de plaisir alors je n’hésite pas et descend ma main vers le bas pour ne pas qu’il y est de jaloux. Plus ma main passe d’un côté à l’autre de son cul, plus elle gémit. Ma main accentue ses caresses et ma queue sa raideur.

Quand je sens qu’elle n’est plus qu’en demi sommeil, je tire l’élastique de son string vers le bas. Entre ses jambes serrées et la ficelle bien coincée, j’ai du mal à le faire descendre. Je plonge mon index entre ses deux globes pour dégagé le petit trait de tissu. Dorothée écarte légèrement les cuisses ce qui me permet de complètement dégagé son fessier même si le tissu noir reste bloqué à mi cuisses.

Ma cousine passe sa main sur son cul et reprend la même position qu’avant. J’en profite pour reposer ma main sur sa fesse droite mais cette fois je l’empoigne entièrement, de la raie à l’extérieure. Bien que Dorothée reste immobile sa bouche sort des petits roucoulements. Une fois que le côté gauche a reçu le même traitement je la fesse gentiment comme elle aime.

Ses gambettes, qui étaient bien l’une au dessus de l’autre, se décalent pour me laisser un meilleur accès à son entrejambe. Avec une main j’ouvre son cul pour mieux admirer ses deux orifices et m’exciter encore plus. Alors que mon pouce parcourt sa raie de bas en haut, mes autres doigts titillent ses lèvres intimes qui s’ouvrent de plus en plus.

Je sens qu’elle commence à mouiller et quand ma cousine lance son bras gauche derrière pour se caresser elle même la fesse du dessus, ça dégouline encore plus. J’accentue, aussi bien, la pression de mon pouce que de mes autres doigts, ses gémissements sont de plus en plus puissants. Elle comme moi continuons à masser son postérieur un bon moment.

Je quitte ses trous pour me concentrer, de nouveau, sur ses fesses. Je les malaxe l’une après l’autre, ma deuxième main rentre dans le jeu pour les tripoter simultanément aussi.
Puis je pose ma main sur le bas de sa fesse droite et je la remonte comme si je passais un coup de balai assez fort. Nous avons vu cette technique en regardant un porno sur internet et Dorothée m’avait dit qu’elle voulait essayer, alors…

Je fais la même chose de l’autre côté mais un peu plus fort, ma cousine tourne la tête, me fait un grand sourire et me dit simplement, avec une voix toujours endormie:
« Encore…. »
Alors qu’elle retourne sa tête, je continue à balayer chacun de ses globes mais sans y aller trop fort.

Rapidement, elle relance sa main en arrière mais cette fois à la recherche de ma bitte qu’elle s’empresse d’empoigner et caresser. J’adore le mouvement de sa main retournée sur ma tige. avec cette position je peux plus m’occuper que de sa fesse gauche et pour pas longtemps car elle me fait me coller à son entrejambe.

Alors qu’elle continue de me branler délicatement, mais en serrant fermement sa main autour de ma queue, elle colle mon gland entre ses petites lèvres. Elle me les fait les caresser de bas en haut, bien qu’elle fasse exprès de pas me faire rentrer en elle, je sens mon champignon s’humidifier de plus en plus. J’ai très envie de donner un petit coup de rein pour me planter dans sa grotte si chaude et accueillante mais elle a l’air de vouloir mener la danse alors je la laisse faire.

Elle profite que son élixir dégouline le long de mon membre pour l’utiliser dans sa masturbation. Une fois que je suis, moi aussi, bien humide, Dorothée balade mon gland dans sa raie. A chaque passage, elle s’attarde un peu plus sur sa rondelle avant de retourner se branler la chatte avec mon champignon alors que sa main continue de glisser sur toute la longueur de mon sexe.

Au bout de quelques minutes de ce traitement, elle écarte les jambes alors que sa main s’agite toujours sur moi. Elle se donne elle même quelques biffles sur la chatte puis abandonne ma tige pour se caresser la vulve. Elle n’essaye pas de se donner du plaisir en solitaire mais ramasse le plus de mouille possible.
Dorothée empoigne, de nouveau, ma queue et fait quelques allers retours pour enfoncer, uniquement, mon gland en elle.

Ses doigts bien humides viennent pianoter sur ma bitte tout en descendant vers mes couilles. Elle les malaxe l’une après l’autre alors que je sens ses muscles du périnée qui masse mon champignon, bien au chaud en elle. ma cousine adore mes bourses toutes lisses et en profite un bon moment avant de remonter sa main sur mon sexe pour reprendre sa branlette.

Quand elle me fait ressortir de sa chatte un petit flot d’élixir s’en échappe. Elle en profite pour bien l’étaler sur toute la longueur de ma tige et reprend le massage de ses deux orifices du bas avec mon gland. A chaque passage, elle me fait faire une micro visite entre ses petites lèvres mais se contente de bien masser sa rondelle. Attention, je ne plains pas bien au contraire, même si j’adore son cul et la sodomiser, ce matin c’est de sa chatte chaude et trempée que j’ai envie.

Je sais pas si elle commence à avoir mal au bras ou si elle veut que je prenne les commandes mais au bout d’une dizaine de minutes, alors que mon gland est bien planté en elle, ma cousine lâche ma queue. Elle se donne une petite fessée et reprend sa position initiale mais avec ses jambes en ciseaux ouverts.

Je laisse mon champignon là où il est et lance ma main sur le devant de son corps. Ma paume se pose sur le ticket de métro de ma cousine alors que mon index et mon majeur parte à la recherche de son petit bouton. Je trouve rapidement son clito surtout qu’il est bien gonflé. Dès que je le pince entre mes doigts elle se met à pousser des petits cris, étouffés par l’oreiller, et à onduler du bassin. D’un faux mouvement, elle m’éjecte de sa grotte.

J’en profite pour activer ma deuxième main sur l’arrière de son corps, je la fais glisser le long de son magnifique cul. J’enfonce mon pouce dans sa chatte brulante et je le mets en crochet pour caresser la partie rugueuse de sa paroi interne.
Mon index écrase son clito et mes deux doigts se collent pour masser en même temps l’intérieur et l’extérieur. Ses gémissements augmentent d’un ton alors que rapidement je sens sa mouille dégouliner jusqu’à mon poignet.

Comme tout à l’heure, ma cousine tourne la tête et tout en se mordant les lèvres me demande:
« Prends moi! »
C’est si gentiment demandé que je ne peux refuser. J’empoigne ma tige, je pose mon gland sur son clito pour que mon méat joue avec lui quelques instants. Tout en mettant une forte pression, je fais descendre ma queue le long de sa vulve et une fois devant l’entrée de sa grotte, je plonge en elle d’un coup sec ce qu’il lui arrache un petit cri très aiguë.

Je reste un moment bien planté en elle, immobile, puis je ressors aussi sèchement que je suis rentré. Je recommence l’opération quelques fois avant de ne plus la quitter. La coquine referme ses jambes pour m’enserrer encore plus. Je me recule pour ne laisser que mon gland entre ses petites lèvres et je commence des petits allers retours en me plantant à chaque fois un plus.

Une fois que même dans cette position, je me sens à l’aise en elle, je m’agite de plus en plus dans sa moule. Je la pénètre, dans des mouvements encore assez gentils, sur toute la longueur de ma tige. Quand je m’enfonce en elle, je me plante jusqu’à ce que mes couilles soient contre l’arrière de ses cuisses. Ma cousine glisse une de ses mains entre ses jambes et appuie tellement sur son clito que je sens la pression contre mon sexe.

Malgré le coussin qui enferme son beau visage, ses cris de jouissance étouffés, m’excitent encore plus. Vu les contractions de ses parois internes, je sens qu’elle est proche de l’orgasme, comme j’aimerai qu’on vienne ensemble, je ralentis le rythme. Mais Dorothée ne le vois pas comme ça, elle me demande le nirvana tout de suite. Je reprends mes allers retours vigoureux en elle alors que ma cousine se met, elle aussi, à s’agiter d’avant en arrière.

Pour essayer de venir avec elle, j’écarte à deux mains, ses fesses pour bien admirer ma tige rentrer et sortir de sa chatte. Elle aussi y met du sien car elle lance sa main en arrière et se met à me griffer les cuisses, elle sait que j’adore ça. A certains moments sa main glisse vers mon entrejambe et elle profite que je sois en mouvement de sortie pour m’empoigner. Elle branle la partie de ma queue qui ne s’agite pas en elle, en insistant sur mes veines avec ses ongles. Elle s’est, vraiment, y faire avec moi!

En quelques minutes je sens mes couilles se remplir encore plus et se crisper alors que ma cousine hurle son plaisir dans l’oreiller et que sa moule enserre de plus en plus mon sexe. Alors que ses contractions et ses gémissements se calment, je m’agite toujours autant en elle. Sa main revient entre elle et moi pour me masturber alors que je continue de la baiser.

En quelques secondes mes veines se mettent à palpiter et je déverse en elle plusieurs giclées qui m’ont l’air bien fournies même si on a fait l’amour la veille au soir. Sa main ralenti le rythme mais ses doigts ne suivent pas sur la pression, bien au contraire. Elle s’appliquent tellement à faire sortir les dernières gouttes que j’ai l’impression qu’elle est en train de me traire.

Elle continue ainsi jusqu’à ce que je sois redevenu quasiment flasque puis me fait quitter son sexe qui me donne tant de plaisir. Une fois que j’ai bien reculé, ma cousine lance sa main derrière son corps. Elle plante ses doigts dans le bas sa raie, la zone est trempée, même si je viens de jouir je sens ma bitte sursauter. Elle soulève sa fesse du dessus pour me donner une superbe vue sur son petit trou mais surtout sur sa moule encore bien ouverte.

Je descends sur le matelas pour mieux voir. L’intérieur de sa grotte se met à palpiter et donne l’impression de vouloir sortir. Une grosse flaque blanche se dirige vers la sortie avec les mouvements de son vagin, elle glisse sur ses petites puis ses grandes lèvres et descend le long de sa cuisse comme un paquet qu’on jette. Un deuxième moins important suit le même chemin puis quelques gouttes, plus claires, de mélange de nos deux sécrétions suivent.

Une fois qu’il y a plus rien à sortir elle retire sa main, j’en profite pour embrasser ses deux fesses et alors que j’allais venir me coller derrière elle, Dorothée se retourne. Nous nous embrassons tendrement puis, comme elle connait déjà mon côte pervers, je me permets de lui demander:
« La prochaine fois que tu veux m’offrir un si magnifique spectacle, préviens moi que je prenne mon téléphone pour le filmer. »
Elle me sourit puis m’embrasse de nouveau avant de me répondre:
« En attendant tu peux toujours en faire une histoire! »

Voilà j’ai tenu ma part du marché alors j’espère qu’elle aussi. Comme elle s’est rendormie je vais aller préparer le café pour la réveiller en espérant que l’on remette rapidement ça….

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