La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1291)
Camélia au Château - (suite de l'épisode précédent N°1290) -
- Tu ne mérites pas cet honneur pour le moment. Mais ne tinquiète pas, je te ferais savoir quand je te jugerais digne et que tes progrès seront suffisants pour que tu deviennes une experte de la fellation et ainsi que ta cavité buccale de salope mérite le suprême honneur de recevoir Ma semence à avaler. Bien, assez parlé
Il te faut obéir à la lettre à toutes Mes exigences
Va te mettre en position au milieu de la pièce, face à la télévision en levrette jambes et cuisses écartées comme la chienne que tu es ma salope et attends Mon bon vouloir. Et je veux que tu ty déplaces à quatre pattes dans une des démarches les plus félines. Aucun bruit, ni mouvement, ne sont autorisés. Je te conseille de ne pas Me désobéir si tu ne veux pas subir Mon courroux ou pire encore pour toi, Ma déception, me dit-il de da voix si charismatique et suave qui m'excitait autant que me faisait frémir
Dès que tu entendras Mon claquement de doigts, tu vas te mettre en position, conclut Monsieur le Marquis dune voix calme mais paradoxalement très autoritaire n'admettant aucune réplique
Jattendis silencieuse et concentrée suite aux exigences de Monsieur le Marquis dans le seul but de le satisfaire et de ne surtout pas le décevoir. Alors que jétais immobile depuis un bon moment, je restais là heureuse de ma condition et de ma soumission et je patientais ainsi dans cette immobilité et ce silence le plus total me doutant bien quil scrutait mon corps nu dans les moindres détails. Monsieur le Marquis décida de me faire patienter encore décidant de m'apprendre la patience qui faisait partie intégrante de la vie dune soumise dévouée au Maître à qui elle appartient corps et âme. Les minutes défilaient et mes muscles sengourdissaient de plus en plus
Après de longues minutes, jouïs Monsieur le Marquis se lever et se mettre en mouvement. A ce moment-là, je l'entendis qui claquait enfin Ses doigts de manière très distincte rompant ainsi le silence de plomb qui sétait installé depuis au moins une bonne demi-heure environ.
Je patientais ainsi en levrette tête sur le côté et regard baissée regardant le sol attendant le bon vouloir de Monsieur le Marquis. En effet, le Châtelain avait décidé de me faire attendre encore quelques minutes profitant de la vue qui s'offrait devant Lui, observant attentivement mon corps, allant de mon cul relevé, mon sexe bien exhibé, mes courbes aux belles formes, ma chute de reins sensuelle, mes cuisses écartées, et la largeur de mes hanches, mes seins qui pendaient dans le vide. Le Noble appréciait ce joli spectacle de Sa femelle ainsi exposée à Son regard inquisiteur. Le Châtelain en était très excité au vu de la bosse visible sous Son pantalon. Alors de manière lente et tout en douceur, contrôlant parfaitement Son excitation physique il sapprochait de moi, sans aucun geste brusque.
Monsieur le Marquis prit le temps encore de mobserver sous toutes les coutures. Après un bref instant, je sentis tout d'un coup Ses mains se poser sur mon dos et il commença à jouer comme une partition avec Ses doigts sur mon corps tel un virtuose. On aurait dit qu'il jouait une partition dont lui seul avait le secret. Plus il jouait avec ses doigts sur tout mon corps, plus cela excitait la salope et chienne que je suis et plus irrémédiablement la cyprine coulait le long de mes cuisses et tout le long de mes jambes. Tout en jouant avec ses doigts il en profita pour vérifier lhumidité de mes trous. Après quil fut satisfait de celle-ci, le Châtelain défit Son pantalon et sortit Sa grosse et volumineuse verge déjà fortement dressée et la prit dans Sa main pour me pénétrer la chatte sans aucun préambule. Il entra dabord doucement puis accéléra progressivement les va-et-vient.
- Maî
Maître
s'il
Vous
Vous plaît
j'ai besoin de
jou
jouir
, implorais-je
- Décidément, non retiens-toi encore un peu, cest trop tôt, répondit Monsieur le Marquis dun air sévère mais ravi d'avoir une chienne autant en chaleur à Ses pieds.
Après ce refus, je me concentrais et pris sur moi pour contrôler et résister à ma forte envie de jouir qui devenait de plus en plus insistante et pressante. Jétais tellement excitée que me cyprine coulait pendant Ses assauts virils de Sa grosse queue qui me défonçait dans ma chatte dégoulinante et trempée. Plus le temps passait et plus j'avais du mal à retenir mon orgasme tellement l'excitation était intense. Je me mettais alors dans un état de très grande concentration pour ne pas fauter. Je me contrôlais absolument pour tenir et donc par tous les moyens pour surtout ne pas jouir. Après quelques minutes de patience et d'attente qui me paraissaient interminables, jentendis enfin la voix libératrice du Maître qui me dit, alors quil était Lui aussi au bord de son orgasme, sans aucun équivoque ni nuance possible :
- Je
Je
ne vais pas tarder à lâcher ma semence, Ma chienne, alors
tu
tu pourras jouir, salope mais dès que j'aurais fini de parler, me dit-il. Nous jouirons donc au moment, ensemble en osmose, conclut Monsieur le Marquis d'un ton Dominant
. Attention
. Maintenant jouis, Ma chienne
Haaaaaaaaa !, dit-il en éjaculant Sa semence dans mon sexe trempé
A ce moment-là, nous jouissions tous les deux en osmose. Je sentis donc Monsieur le Marquis éjaculer dans ma chatte, son sperme coulant en moi alors quil lâchait des râles de plaisirs tel un mâle en rut.
A peine ai-je eu le temps de me remettre de mes émotions et de ma puissante jouissance si explosive, que je sentis la verge du Seigneur et Maître Vénéré sortir de ma chatte et se diriger vers mon anus avec beaucoup de délicatesse. Verge qui était déjà assez fortement ramollie après la jouissance qu'il venait d'avoir dans ma chatte qui était encore dégoulinante de Son sperme et de ma cyprine maintenant mélangés. Monsieur le Marquis entra dabord tout doucement Sa verge puis quand il sentit que mon anus souvrit suffisamment pour absorber entièrement et complètement Sa grande et imposante verge à demi molle. Il accéléra Ses mouvements dans mon anus ce qui semblait Lui redonner de la vigueur. Et ainsi il ne tarda pas à rebander de nouveau fortement au bout de quelques minutes de va-et-vient lents et de plus en plus profonds dans mes entrailles. Le Châtelain prenait possession de ce qui lui appartenait donc aussi, mon anus, allant doucement puis alternant les mouvements de va-et-vient ainsi que la cadence dans mon anus comme il le voulait augmentant ainsi mon excitation. Comme dit tantôt, je sentis ainsi que Sa bite recommençait à durcir dans mon cul, la sentant par la suite beaucoup plus raide et plus volumineuse dans ma croupe de chienne soumise que je suis. Plus le temps passait et plus les mouvements de Sa noble verge dans mon anus mexcitaient. Alors quil menculait profondément, je sentis une de Ses larges mains venir me masturber mon clitoris, ce qui provoqua en moi, un surplus dexcitation, déjà fort élevée
Jétais très excitée telle une chienne en chaleur. Plus le temps passait et plus j'avais du mal à contrôler cet état extrême dexcitation et mon envie de jouissance se faisait plus grand plus ressentir, les minutes passant.
- Maî
Maître
s'il
Vous
Vous plaît
Maître, jai besoin de jouir, dis-je dune voix implorante
- Tu pourras jouir seulement quand jaurais fini de parler comme il y a peu quand jai éjaculé dans ta chatte de salope de chienne
Nous jouirons donc de nouveau ensemble comme cela, en parfaite complémentarité et complicité entre un Maître et Sa soumise conclut le Noble dune voix à la fois complice et autoritaire.
Après ces belles paroles qui me touchèrent, nous jouissions tous les deux dans cette complicité saine et réciproque mêlant le plaisir dêtre chacun à sa place mêlant la jouissance, le bonheur et nos cris ou râles puissants et jouissifs. C'est alors quaprès nos jouissances respectives, Monsieur le Marquis resta quelques minutes planté sa verge de mon anus immobile dans un coït anal délicieux et profond en mon cul, sans bouger, puis il décida de se retirer. Jattendis un instant puis me prosterna devant Lui attendant davoir la permission de parler pour pouvoir m'adresser à lui. Permission qu'il me donna par la suite par un signe de la tête. Je me permis donc ainsi de lui dire :
- O Seigneur et Maître Vénéré, je tenais et voulais Vous exprimer ma plus sincère gratitude et reconnaissance pour m'avoir permise et autorisée la jouissance en ce jour. Je suis tout à fait consciente de l'honneur que Vous me faites et soyez assuré de ma plus sincère dévotion et de ma très grande motivation pour tout faire pour Vous satisfaire, dis-je dun ton rempli d'émotion et de reconnaissance infini envers Monsieur le Marquis tout en embrassant avec dévotion Ses doigts quil me présentait de Sa main tendue vers mon visage
(A suivre
)
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