Journal D'Une Femme Adultère (2)

(Véronique, petite bourgeoise quadragénaire aux rondeurs épanouies mais bridée sexuellement, s'est entichée d'un homme très viril qui lui fait découvrir des zones interdites. Elle raconte dans son journal intime ses découvertes qui l'ont fait entrer, à son corps défendant puis enthousiaste, dans la catégorie des femmes adultères.)


Lundi

Damien est arrivé en short pour poursuivre les travaux de mon jardin et j'ai tout de suite fantasmé sur ses cuisses musclées et poilues. Il a fait celui qui venait juste faire son boulot et il s'est mis à la tâche. Cela m'a un peu agacée. Quoi ! Je trompe mon mari pour la première fois de ma vie et il considère ça comme un événement mineur ? Quel toupet. J'avais pourtant mis une petite robe ultra légère sans rien dessous. Mes nichons menaçaient de jaillir du décolleté à chaque mouvement un peu brusque. Pendant qu'il travaillait sur mes plantes, je me suis accroupie à côté de lui en écartant un peu les cuisses. Impossible pour lui de louper ma chatte. Mais non, il faisait l'indifférent.

Alors, prise d'un coup de sang, j'ai glissé ma main à l'intérieur de la cuisse de son short. Et je suis arrivée direct aux couilles. Il n'a pas moufté. J'ai poursuivi mon exploration, suis remontée jusqu'à sa bite et, hourra, il bandait. Dur. Je n'ai pas eu besoin de l'astiquer longtemps. Il a laissé tomber son outil, m'a couchée par terre, a sorti son engin et retroussé ma robe. Il m'a prise à la hussarde, sans préparation, sans rien, juste comme ça, crac ! Je me suis mordue les lèvres pour ne pas hurler de plaisir. Il a cogné pendant dix minutes sans débander et sans changer de position. La terre griffait mon dos mais rien ne comptait plus que cette bite qui me fouillait inlassablement. Il l'a sortie pour m'arroser de son jus, j'en avais plein la robe, elle est allée direct à la machine à laver. Je me sentais gavée, apaisée. Il m'a fait juste un petit bisou sur le bout du nez et s'est remis au boulot pendant que je prenais ma douche.

Hélas, trois fois hélas : son travail est terminé. Le faire revenir entrainerait de la suspicion, tant de mon mari que des voisins. Je suis pourtant e de sa bite. Et il ne m'a toujours pas enculée. J'ai son numéro de téléphone, il a le mien, mais cette histoire torride n'est-elle déjà pas terminée ?

Jeudi
Rendez-vous habituel avec Maud, ma copine de toujours. Elle m'a trouvée changée, c'est dire si elle me connait. "On dirait que tu as rajeuni d'un coup", me dit-elle. Maud, c'est la quadra dynamique, aussi mince que je suis ronde, aussi blonde que je suis châtain. C'est ce qu'on appelle une belle femme et elle n'en est plus à son premier coup de canif dans son contrat de mariage. Elle m'a souvent raconté ses aventures extra conjugales, sachant que je suis un tombeau. C'est une femme qui baise, comme disent les hommes, et son mari ne semble pas s'en formaliser plus que ça. Il faut dire que lui aussi est souvent absent. Mais à la différence du mien, il est au courant. Maud lui raconte ses aventures quand ils se retrouvent, lui raconte les siennes, et ça les stimule quand ils vont au lit. Ils participent même à des partouzes. C'est pourquoi j'ai fini par lui avouer que j'avais rencontré Damien. Et baisé avec lui. Cela l'a mise en joie : "enfin, tu te décoinces, tu as mis le temps". Evidemment, elle m'a demandé des détails. Sur son corps, sur sa façon de baiser. Je me suis un peu violentée pour lui raconter. Mais cela l'a excitée à mort : "tu es tombée sur une épée de plumard, profites-en bien et surtout, ne me le présente pas". Sacrée Maud !

Samedi
Coup de fil inattendu sur mon portable. C'est Damien et il me propose de le rencontrer la semaine prochaine. Il viendra me chercher en voiture mais il me donne rendez-vous sur un parking de grande surface, "ce sera plus discret". J'approuve pleinement. "Il va faire beau, on baisera en pleine nature", me dit-il. J'en suis tout excitée et bien entendu, mon mari ne comprend pas pourquoi. Je lui raconte un bobard, une virée prévue avec Maud le week-end suivant, faudra que je la mette au courant pour qu'il n'y ait pas de lézard.
Mais que le temps va me paraitre long jusqu'à notre prochaine rencontre. J'ai la chatte en feu et plus je me masturbe (dans les toilettes), moins je me calme. C'est l'enfer érotique. Ce type m'a ensorcelée avec sa queue. Incroyable que cet organe ait autant de pouvoir sur les femmes. Enfin, sur moi et sur Maud, au moins...

Mardi
Je me rends sur le parking convenu et je retrouve Damien dans sa voiture. Il est encore en short et en débardeur. Les poils sortent de partout. Je reluque ses biceps, ses triceps et ses quadriceps. Quel homme ! Il sent le sexe à plein nez. Son short moulant met en évidence le gros paquet entre ses cuisses. Je dégouline déjà. On s'embrasse furtivement et on met le cap vers la campagne. Je lui mets la main sur la braguette et je sens déjà son gland qui grossit sous la toile. Prise d'une impulsion subite, je tire sur le zip et dégage son pénis, déjà bien tendu. Je me penche et je le gobe pendant qu'il conduit, tenant le volant d'une main et l'autre ma nuque. Dieu que cette bite est bonne à sucer ! Je suis déjà en transes alors que son self control est impressionnant (tant mieux pour notre sécurité, ce que je fais n'est vraiment pas prudent). Je m'active, j'en ai plein la bouche, plein les joues, plein la langue, plein la glotte. Puis il me tire en arrière par les cheveux. "Arrête, on est arrivé".

Je regarde autour de moi. Que des champs à perte de vue. Pas une âme à l'horizon. Une haie nous sépare de la route la plus proche. On sort. Il vire son débardeur et son short. Il bande comme un cheval. Quand il me déshabille, je sens sa bite contre ma peau. A quoi bon poursuivre les préliminaires : je suis en feu et lui aussi. Il me dépose sur le capot de sa bagnole qui me brûle un peu le dos et les fesses, m'écarte les jambes et m'enfile là, comme ça, recta. Je couine un grand coup, sans crainte d'être entendue à part par les corbeaux. Il me laboure consciencieusement, sans hâte mais dès qu'il accélère son rythme, je beugle.
On s'encourage mutuellement et je me surprends à prononcer quelques mots n'appartenant pas à mon vocabulaire habituel où il est globalement question de sa bite et du bien qu'elle me fait. Lui parle de ma chatte et de mes nichons qu'il aime voir remuer. Puis il m'entraine à l'arrière de la voiture, ouvre le hayon et me dépose dans le coffre, posant mes pieds sur les montants, si bien que je suis totalement ouverte. Nouvelle séance encore plus jouissive. La bagnole tangue sur ses amortisseurs. Je ne m'appartiens plus, je dois dire des choses insensées, ou plutôt je les crie. Et voilà qu'il me sort du coffre et me demande de poser mes mains dessus en étant debout. Il s'accroupit derrière moi, m'écarte les fesses et je sens un agréable chatouillis dans mon anus. Mon dieu, c'est sa langue ! Il me lèche le petit trou ! Quel cochon ! Jamais on ne m'a fait ça. Et je comprends : il me prépare. Il va m'enculer. Et il m'encule. Au début, ça me fait un mal de chien. Mais il insiste malgré mes cris de douleur et tout à coup, ça rentre. Lentement mais sûrement, il est en moi totalement. Je sens la peau de son ventre sur mes fesses, ses couilles contre ma chatte et insensiblement, je commence à remuer les hanches. La sensation est inédite mais devient bientôt agréable puis franchement jouissive. Bien installé dans mon rectum, son pénis m'encule avec résolution.
- Tu aimes ça, hein ? me dit-il.
- Oui oui oui ! je souffle en me retournant pour le regarder me baiser.
Je viens le chercher à grands coups de cul, ça doit lui faire de l'effet car soudain, il se recule, arrache sa capote, me tire par les cheveux et m'arrose de son sperme juste dans mes sourcils. Quelle douche ! Une vraie crème de beauté ! Les corbeaux croassent comme s'ils s'étaient régalés du spectacle. Je marche un peu en canard vers ma culotte et mes sandales, prenant conscience que j'étais complètement à poil dans cette nature. On reprend place dans la voiture, un peu groggy de plaisir. Je l'embrasse et lui dis :
- Tu m'as servie comme un chef !
Il sourit, content de lui.
Et on repart vers le parking sans se parler, tant il est vrai que son langage à lui, c'est celui qu'il exprime avec sa queue...

Lundi
Rencontre avec Maud. Bien entendu, elle me demande où j'en suis avec mon "lover". Je lui raconte tout, la campagne, l'enculade, mon extase. Elle me félicite et m'annonce :
- Il faut absolument que tu me présentes ce mec. T'inquiète pas, je ne vais pas te le piquer mais qu'est-ce que tu dirais d'une partie à quatre avec lui et Alexandre, mon cher et tendre ?
- Tu veux dire... une partouze ?
- Quel vilain mot ! Un quatuor, je préfère.
- Et je devrais donc baiser avec ton mari ?
- Pourquoi pas ? Tu ne vas quand même pas faire la fine bouche. C'est un très beau mec, non ?
- Je ne dis pas le contraire mais je constate que tu en profiterais pour baiser avec Damien.
- Je confirme. Mais il y a plein de figures possibles.
- Je n'ai jamais fait ça.
- Raison de plus. Puisque tu te décoinces, autant continuer, non ? Le quatuor, c'est génial, tu verras.
- Mais rien ne dit que Damien sera d'accord.
- Cela m'étonnerait. Présente-le moi et tu verras.
Cette conversation m'a complètement chamboulée. Cela va décidément trop vite pour moi. Hier épouse modèle, aujourd'hui adultère, demain échangiste ? Il faut que je digère tout ça. Mais en attendant, revoir Damien. Nous avons rendez-vous demain mais comme il va pleuvoir, à l'hôtel, ce qui me parait plutôt risqué. Je pourrais faire une mauvaise rencontre. Je vais sortir mon chapeau et mes lunettes noires...
(A suivre)

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