Le Mâle Pas Encore Dominant. Initiation Entre Cousin Et Cousines.
Le Mâle pas encore dominant.
Initiation entre cousin et cousines.
CLAUDE ! Cest mon prénom mais ma sur Léna vous a déjà parlé de moi.
Cest quelle ignore, cest que je lui ai menti, (enfin à ma façon). Et oui, quand elle ma demandé si cétait la première fois quune fille soccupait de mon corps, je lui ai répondu que oui mais le sort mavait quelques mois plus tôt réservé quelque chose de beaucoup mieux. Mais je vais vous conter le piège que mavait tendu tante Martine et quelle ma narré beaucoup plus tard
Tante Martine a 45 ans, mère de deux jumelles, Julie et Apolline qui commencent à sintéresser de plus en plus aux garçons. Elle soccupe dune association où elle reçoit les jeunes filles imprudentes se retrouvant mères bien trop tôt. Elle ne veut pas que ses filles se trouvent un jour dans une telle galère et a décidé de prendre le taureau par les cornes. Elle veut donc organiser elle même leur dépucelage en prenant toutes les précautions possibles.
Mais il faut pour cela trouver un jeune homme assez discret pour ne pas ébruiter la chose. Et vous avez deviné que cest tombé sur moi.
Tante Martine cest arrangée avec mes parents pris par leur boulot pour minviter le temps des vacances chez elle dans la belle ville de Menton.
Je me retrouve donc dans la cité des citrons avec les jumelles et en parlant de citrons, ceux qui gonflaient leur soutif se sont transformés en énormes pamplemousses.
La première semaine a été assez calme, tante Martine nous a même décidé à nous dévouer pour la communauté en allant donner notre sang.
Ma première grosse surprise et aussi mes premiers émois, je les ai ressentis autour de leur piscine la semaine suivante.
Martine est une femme assez libérée et a élevé ses filles dans la même optique. Elle ma invité à plonger une tête. Je passe donc un maillot, me dirige vers la piscine et métend sur une serviette pour une séance de bronzage.
Je naime pas mon physique, je suis dune taille plus que moyenne, pas musclé pour un sou et couvert dacné ce qui fait que jessuie pas mal de moquerie des autres, filles comme garçons. Et mes cousines font partie du lot en se moquant ouvertement de moi.
Je me suis endormi et un bruit me réveille, une des jumelles vient de plonger dans la piscine
Sa sur me tourne le dos et je découvre juste avant son plongeon deux fesses bronzées sans rien pour les cacher. Ces deux garces sont complètement nues pour me narguer.
Jentends le souffle apaisé de ma tante à ma droite, je tourne la tête pour lui dire mon indignation mais reste la bouche ouverte
Elle dort à coté de moi en tenue dEve elle aussi !!!
Il me faut un moment avant de me remettre du choc. Les jumelles qui se sont aperçues de mon réveil sortent de leau et sapprochent de moi. Leau dégouline de leur peau, accrochant le soleil sur leurs seins orgueilleux. Une toison fournie encadre une fente bien dessinée.
Julie est arrivée à coté de moi et sest penchée pour étendre une serviette, exposant sous mon nez ses superbes fesses bronzées puis sest couché dessus, les jambes largement écartées. Je peux distinguer son intimité, son sexe bien fendu aux grandes lèvres charnues.
Jai beau être puceau, je nen suis pas moins un homme et mon sexe se réveille dans mon slip de bain.
Sa sur est venue se planter juste devant moi, les jambes écartées et les mains sur les hanches me lançant :
- La vue te plaît, petit vicieux ?
Sous leurs regards moqueurs, je rougis, essayant de cacher tant bien que mal, mon début dérection. Apolline continue dexhiber fièrement son corps bronzé sans aucune gêne sous les rires de sa jumelle, les seins tendus aux tétons érigés et le triangle sombre bien taillé de son pubis.
Je sens une violente érection poindre et la seule solution que je trouve, sest de me précipiter dans la piscine pour calmer mon excitation grâce à leau fraîche.
Quand je sors du bassin un peu calmé, je me dirige vers la salle de bain pour prendre une douche avant de me rhabiller. Quelle na pas été ma stupéfaction quand ma tante me rejoint et mordonne denlever mon slip de bain pour pouvoir me savonner de la tête aux pieds.
Jobéis sans trop savoir pourquoi et me retrouve nu devant elle, lui tournant le dos. Ma tante prend du gel douche et menduit tout le corps en me tenant un drôle de discours.
-Jai vu que les jumelles te font de leffet, ces petites garces savent sy prendre. Elles ont besoin dêtre dressées. Je ne vais pas y aller par quatre chemins, si tu lacceptes, je voudrais quelles ne soient plus pucelles à la fin des vacances.
Il me faut bien quelques minutes avant de réaliser quelle vient de me demander de baiser ses filles.
Jai les jambes qui flageolent, surtout quand je lentends chuchoter dans mon oreille.
- Laisse-toi faire. Je vais avant contrôler le matériel !
Ses mains caressent mon torse, pincent mes tétons. Une main ségare entre mes fesses à la recherche de mes couilles quelle saisit par-derrière.
-Putain la belle paire, bien lourde et pleine ! Retourne-toi que je voie le reste !
Elle ne doit pas comprendre pourquoi je nentreprends rien. Je suis complètement tétanisé et je lui avoue que je nai aucune expérience avec les femmes
et, quen fait, je suis aussi puceau.
- Ne tinquiète pas, il y a un début à tout. Bon ! Retourne-toi maintenant.
Rouge comme une écrevisse plongée dans leau bouillante, je ne sais plus où me mettre une fois que je me trouve face à elle.
- En plus, tu es doté dune sacrée queue, je nai jamais vu ça ! Je vais tappendre à te servir dun si beau matériel.
Je suis proche dune crise dapoplexie avec un sourire béat, mais fier de sa remarque car comme tous les garçons, je me demandais si javais ce quil fallait.
Avec un grand sourire, elle me décalotte doucement, faisant apparaître mon gland devenu violet dexcitation mais malgré lénorme veine gonflée de sang qui irrigue les corps caverneux, je narrive pas à bander sous ses caresses.
-Ce nest pas grave, je tai un peu pris de court. Prends ta douche et laisse-moi tessuyer et après viens me rejoindre dans ma chambre.
Il ma fallu bien du courage pour franchir la porte de sa chambre.
-Viens tétendre à coté de moi sur le lit !
Avec délicatesse, elle fait voler la serviette qui ceint mes hanches et saisit ma verge, je ne bouge pas, comme pétrifié.
-Tu sais que tu es bien monté ? Jespère ne pas être déçue quand tu vas bander, souvent les grosses queues nont pas un grand pouvoir érectile.
La vraie douche froide
Je nai pas de point de comparaison et me demande si je ne vais pas la décevoir.
Elle membrasse à pleine bouche, je me détends peu à peu. Elle écarte les jambes pour me chevaucher, nos corps s entrent en contact, elle me fait face, la chaleur de son ventre éveille enfin mes ardeurs.
Elle sent mon début dérection et glisse une main pour me caresser la verge avec un grand sourire.
-Ah enfin ! Je commençais à me poser des questions ! Je vois que je te fais bander.
Susurre-telle avant de me donner un petit baiser sur la bouche.
Martine pousse un petit sifflement dadmiration en enveloppant mon membre de sa main, décalotte le gland du pouce, le cajolant du bout des ongles. Elle continue à me masturber avant de prendre entièrement dans sa bouche ma tige toute chaude au gland bien luisant qui continue à se raidir et croître.
-Mon Dieu ! Tu es fichtrement bien monté ! Tu es le vilain crapaud de la fable qui se transforme en un merveilleux amant au premier baiser! Je nai jamais vu une bite devenir aussi monstrueuse, ton gland est énorme ! Il faut que je fasse mieux connaissance avec ce pieu de chair, cet épi si épais dur comme du bois.
Elle me branle tout en aspirant mon gland entre ses lèvres. Mon excitation est à son comble, je lui demande de ralentir le rythme mais elle continue à me sucer de plus belle.
Soudain je sens monter en moi le plaisir. Submergé par un violent orgasme, jéjacule dans sa bouche par grandes saccades. Je nai jamais connu un tel sentiment de jouissance. Elle essaie de poursuivre son merveilleux travail jusquà la dernière goutte de ma semence mais doit se dégager sous labondance et les autres jets terminent leur course sur son visage et ses cheveux.
-Tu es vraiment un cas toi
Oh et puis zut ! Le vin est tiré, il faut le boire ! Sexclame-t-elle en léchant ses doigts qui ont recueilli mon sperme sur son visage.
Je nai pas encore réalisé que je viens pour la première fois de ma vie de remplir la bouche dune femme de ma semence dhomme quelle se redresse pour sempaler sur ma queue toujours aussi raide. Une main fébrile glisse sur mon corps et se saisit de mon sexe pour le pointer au bord de sa vulve. Jai peine à croire quelle souhaite désormais recevoir en elle mon sexe, mais elle ne peut résister à son désir.
A suivre
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