La Nuit Du Commencement
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je m'appelle Claire, j'ai 19 ans, et je vais vous raconter ce que je pense être le début de la débâcle sexuelle qui est aujourd'hui ma vie.
Je mesure 1m65, je suis blonde, plutôt sportive, les yeux vert clair, je fais un beau 85C, taille fine, et j'ai de jolies fesses bien rebondies ; comme disent les mecs, je suis bonne !
J'ai un copain, Nico, avec qui je suis depuis mes 15 ans. On s'entend super bien, malgré la distance : Il vit à 200km de chez moi actuellement, et ce, depuis 6 mois. Il fait 1m80, beau gosse typé méditerranéen, pas très musclé mais dessiné, et une bite tout à fait respectable de 17/4cm, surmontée d'un gros gland juteux. Malheureusement, c'est un précoce, et, bien que j'aime avaler son jus quand je le suce, me faire baiser pendant 30 secondes avant qu'il jouisse ne me permet pas de prendre du plaisir.
Mais je l'aime, et il m'aime. On a fait notre première fois ensemble, et je lui ai toujours été fidèle. Lui, en revanche, m'a trompé une fois. Il a baisé une petite salope un soir en boîte il y a un an et demi. Il me l'a dit dès le lendemain, je l'ai fait pleurer, et il m'a léché la chatte tous les jours pendant 1 mois.
Pour moi, c'était du solide à l'époque, et je pensais notre amour inébranlable. C'était avant que je me découvre, et que je découvre vraiment le sexe.
Là où mon histoire commence donc, nous sommes en été, fin Juillet.
J'ai reçu un message de mon copain ce matin m'avertissant qu'il va arriver en ville le soir même pour me faire une surprise. Je me lève joyeuse et impatiente que la journée se termine afin de pouvoir retrouver l'homme de ma vie.
Je vis chez ma mère, dans un petit appartement qu'elle partage avec Steve, son mec, un grand con d'1m85 pour 90 kilos de machisme et de testostérone. Il n'a pas l'air de m'apprécier, je le déteste.
Mais ma mère est folle de lui, elle dit qu'il lui fait du bien.
Il m'arrive d'imaginer que c'est moi qui reçoit les coups de reins de ce mec, que c'est ma chatte qui se fait défoncer sans tendresse. Je me doigte alors aux sons des cris de ma mère et des coups de bite de beau papa.
Pardonnez cette digression, il y a tant à raconter sur cette partie de ma vie également.
Revenons en à la surprise de mon copain. J'apprends dans la journée qu'il va dormir chez un pote qui lui prête son appartement, c'est super on va pouvoir profiter de ce moment d'intimité en amoureux !
Je passe une partie de l'après midi à me préparer, douche épilation soin tout y passe, rien n'est trop beau pour mon chéri.
A l'heure de le rejoindre, je pars de chez moi, il me dit qu'il est déjà à l'appartement et me donne l'adresse. Je ne fréquente pas le quartier où il séjourne, c'est un quartier qui craint un peu il paraît, surtout pour une fille seule. En passant devant une vitrine je m'arrête, surtout pour une fille seule et habillée sexy ! Je porte une jolie robe d'été rouge, qui met admirablement en valeur ma cambrure et ma poitrine. De petite talons ouverts laissant voir mes jolie petits orteils vernis de rouge parachèvent la tenue. Je suis bien entendu maquillée et coiffée.
Soudain le doute m'envahit ; est-ce raisonnable de se balader dans un quartier pareil vêtue de la sorte ? Je n'y connais personne d'autre que mon copain et lui même n'est pas de ce coin. Son pote est à l'étranger. Tant pis, j'y vais quand même.
Je prends le métro pour y aller, je descends au terminus, et déjà, je fais tâche dans le décor. C'est une cité, et je suis en tenue plus que voyante.
Dès que je pose un pied hors de la gare je sens des regards se poser sur moi, les femmes me scrutent de bas en haut avec dédain tandis que les hommes.
« _Salut ma belle, t'es pas du coin toi ! Tu as besoin quelque chose ?
_Non ça va merci je dois retrouver mon copain
_Ah tu es casée, faut dire normal t'es super bonne !
_Heu ok, merci, enfin je suppose...
_ T'inquiète, c'est pas souvent qu'on a une petite blanche qui vient dans le quartier, ça fait toujours plaisir à voir, mais ton mec devrait pas te laisser te promener seule, il s'occupe pas bien de toi. Allez salut !
Avant que je n'ai eu le temps de répondre, ils sont partis.
Ce qu'il m'a dit me fait réfléchir, c'est vrai que Nico aurait pu venir me chercher, et me prévenir, à croire qu'il en a rien à foutre ! Et leurs regards, ils m'ont un peu excitée, je sens que je mouille dans mon petit string noir.
Je continue mon chemin pour finalement atteindre l'appartement, quand je sonne, j'entends juste le son de la porte qui se déverrouille, mon copain me dit que c'est au 5ème, sans ascenseur. Résignée, j'enlève mes talons et grimpe pieds nus les escaliers jusqu'au 5ème. Une fois sur le palier, je pousse la seule porte ouverte, pour tomber sur mon mec, affalé sur le canapé, torse nu et en short, un pied dans le plâtre, en train de jouer à la play.
Il tourne un la tête vers moi, retourne vers son jeu, retourne un instant la tête avant de replonger dans son jeu, et me dit, « salut toi, tu t'es faite belle ? »
Un peu déçue, je m'apprête à répondre quand je réalise qu'il est plâtré.
« _Tu es blessé ? Il s'est passé quoi ?
_Je me suis fait une entorse au boulot hier, j'ai oublié de te prévenir. »
Je m'assieds à côté de lui, passe une jambe sur la sienne et l'enlace.
« tu m'as manqué mon cur, j'étais triste toute seule... » Ce faisant, je glisse doucement ma main vers son entrejambe.
« Elle aussi elle m'a manqué »
Il ne réagit pas, continue sa partie, et ne me répond qu'à peine
« toi aussi bébé »
Je décide de ne pas m'énerver, mais je vais dans la salle de bain pour me démaquiller et me mettre en pyjama, vu qu'il ne daigne pas m'accorder de l'attention.
La soirée passe, il finit par lâcher sa play et on se met devant un film. Puis vient enfin le moment où il a envie de baiser.
Il matt par la taille et me fait monter sur lui. Sa queue est déjà dure, et je suis en string, je lui met une capote j'écarte la ficelle et le fais entrer en moi d'un coup, je suis trempée. Je commence mes vas et viens quand soudain il m'agrippe les seins, pousse un cri tandis que je sens sa bite remplir la capote dans ma chatte par saccades, puis s'effondre.
Je sors sa bite de moi et me dirige vers la salle de bain, de plus en plus frustrée. D'habitude, quand il jute vite, il a au moins la décence de s'excuser, cette fois ci même pas.
Quand je reviens il est dans la même position, sa bite molle étant seulement libérée de sa protection de latex.
Je lui dis que j'ai faim. Il me répond qu'il n'y a rien à manger ici mais qu'en bas dans la rue il y a une petite épicerie.
Je regarde l'heure, il est déjà près de minuit. Il me dit de me dépêcher, j'enfile un short, un haut, et je descends. Au moment de fermer la porte il me crie « et pense à prendre des capotes ! » Sale con.
Une fois dans la rue, je me rappelle où je suis. Et encore une fois, je suis à moitié à poil, sauf que là, c'est chaud.
Devant l'immeuble il y a 6 mecs la quarantaine, des rebeux, qui discutent assis sur des chaises. De l'autre côté de la rue, la fameuse épicerie, le rideau aux trois quarts baissés. J'y fonce et me faufile sous le rideau en me mettant à 4 pattes (j'entends siffler derrière moi).
Une fois redressée, je me retrouve face à un rebeu, environ 45 ans, assez grand et gras, le regard mauvais. Il me demande ce que je fais ici. Il sent la sueur, et le musc, ça commence à m'exciter.
Je lui dis que je n'ai que quelques articles à acheter, de la nourriture, que ça ne prendra pas longtemps. Et je lui dis bêtement qu'il me faut des capotes.
Son regard change. Il ne dit rien, mais me contourne, passe derrière moi, et finit de fermer le rideau métallique.
Je me retourne brusquement « c'est quoi ton problème t'as quoi à fermer le rideau t'es fou ? »
Il me décoche une grosse gifle dans la gueule. Choquée, je vacille, quand il me saisit par le cou, me redresse, et me plaque brutalement contre le comptoir.
« T'as l'air d'une bonne petite salope, je t'ai vu tout à l'heure dans ta robe de pute, et là tu viens à poil me demander des capotes ? »
Il m'envoie une autre gifle et me retourne. Il baisse mon short d'un coup sec.
Je me retrouve, le cul et la chatte à l'air dans une épicerie de cité à minuit, avec mon mec à quelques dizaines de mètres qui ne se doute de rien. Je suis dans un état second, largement dominé par l'excitation de la situation, et je mouille comme une folle, je sens les gouttes me couler entre les cuisses.
Il commence à me claquer le cul d'une main, tandis que de l'autre il insère deux doigts dans ma fente. Je suis encore un peu ouverte, et largement lubrifiée donc il fait de vigoureux vas et viens qui me font couiner de plaisir.
« Grosse pute de chienne à rebeu ta chatte est trempée on dirait que tu pisses, goutte ça ! »
Il m'enfonce trois doigts dans la bouche, trempés. J'ai déjà goutté ma mouille, sur mes doigts ou sur la bite de mon mec. Cette fois le goût est différent. Je me rend compte que mes pieds sont trempés, et mon short aussi, en baissant les yeux je vois une flaque sur le sol, alimentée par les éclaboussures qui me sortent de la chatte à cause de ses doigts. Je cris et je jouis comme je n'ai jamais joui.
Soudain j'entends un bruit de zip, mais avant d'avoir pu réagir je me sens ouverte brutalement. Il vient de rentrer sa bite, qui à l'air énorme, dans ma petite chatte jamais très utilisée. Je hurle, il me bâillonne avec son caleçon, et se met à me défoncer sauvagement, en me claquant toujours le cul.
« Putain ta chatte est trop bonne, du velours, t'as jamais du prendre une vraie queue d'homme, prends la bien je vais te démonter ».
Et il accélère, j'en suis déjà à 3, non 4 orgasmes, je ne tiens debout que par ses mains qui m'agrippent les hanches et sa grosse tige plantée au fond de moi.
Cela ne dure pas toutefois, il finit par grogner, je le sens palpiter
« Non je prends pas la pillule ! »
Il me cogne brutalement la tête en me l'écrasant sur le comptoir tout en accélérant le rythme. J'ai mal durant les dernières secondes, jusqu'à ce qu'il gicle.
Le sentir me remplir le fond de la chatte de son jus chaud et épais me déclenche un dernier orgasme, plus fort que les précédents.
Il se retire, me retourne en me faisant mettre à genou, pour que je le suce. Je rencontre enfin son membre. Il fait bien 20cm de long, circoncis, bien large, avec un gros gland tuméfié couvert de sperme et de mouille, et d'où s'écoule encore un filet de jus. J'approche doucement ma langue, mais il agrippe sa bite, mes cheveu, et me viole d'un coup la bouche et la gorge. Je sens son goût salé et celui amère de ma mouille. Je ne peux m'empêcher de me toucher durant ce traitement qu'il m'inflige.
Il s'arrête enfin « ça y est, ma queue est vide et propre, maintenant casse toi sale pute ».
Il va directement ouvrir le rideau. Je me rhabille rapidement en protestant.
Il me dit
« ta gueule, t'as aimé être traitée comme une salope, alors maintenant assume. Si tu en veux encore tu sais où me trouver. »
En traversant la rue, tous les hommes me regardent, sans parler. Une fois dans l'immeuble, je me vois face au miroir. Mon short est trempé et taché, mon tee shirt est à l'envers, et j'ai oublié mes sandales ! Ma tête fait peur à voir, j'ai du sperme séché tout autour de la bouche, la joue gauche rouge, avec encore la marque de ses doigts. Je regarde mon cul, il est violacé des coups qu'il y a porté.
Et j'ai la chatte pleine de sperme, ce qui est la première fois.
Je suis devant la porte de l'appartement, j'entre silencieusement, pour découvrir mon mec, endormis, exactement dans la position où je l'ai laissé.
Je viens de servir de trou à jus à un vieux porc brutal pendant une demi heure et il n'en saura rien. Je fils sous la douche, utilise le pommeau pour me faire jouir une dernière fois, puis je vais me coucher dans le lit, nue, et j'essaye de récupérer le jus qui se trouve au fond de moi afin d'en savourer une dernière fois le goût.
Voici la première partie de mon histoire , j'espère qu'elle vous aura plu, à bientôt pour la suite.
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