Le Sauna De L'Hotel (Histoire Vécue)

Mon amour, Phanie, et moi avons pour habitude de passer la nuit dans un bel hôtel du XVIeme arrondissement de Paris pour notre anniversaire de rencontre.
Cet hôtel est particulier pour nous puisque c’est là que nous avons passé notre première nuit ensemble. C’est un bel établissement, comme nous les aimons, sobre et design, confortable et chaleureux. Il dispose d’un sauna au sous-sol.
L’été dernier nous avons donc comme à notre habitude réservé une chambre pour y passer une nuit romantique.
Après un restaurant gastronomique japonais, nous regagnons notre chambre. Il n’était pas loin de minuit et le spa fermant à 2h du matin nous décidâmes d’y descendre. Maillot de bain, peignoirs et chaussons enfilés, nous arpentons les couloirs feutrés de l’hôtel, puis l’ascenseur pour enfin gagner le spa.
Nous rentrons dans la partie vestiaire ou des portes manteaux nous invitent à nous débarrasser de nos peignoirs et de nos chaussons. Nous avançons, amoureux, à la redécouverte de l’endroit équipé d’un bassin à remous, un hammam et un sauna.
Nous décidons de profiter dans un premier temps du bassin à remous afin de nous détendre.
Nous sommes seuls dans le spa, ce qui est peu étonnant vu l’heure tardive et bien évidemment, la chaleur du lieu, l’eau toute aussi chaude et les bulles parcourant nos corps ne tardent pas à nous donner quelques envies.
Je laisse mes mains parcourir le corps de ma chérie, sa peau douce, ses petits seins fermes sont maintenant sous le coup de mes caresses et je ressens qu’elle y est plutôt réceptive. Je détache le haut de son maillot pour faciliter l’accès à sa poitrine puis quelques instants après dénoue le bas de son maillot pour la sentir totalement nue contre moi. Je retire également mon slip de bain et pose tous nos attributs textiles vers l’escalier à l’entrée du bain.
Certains de n’être dérangés à cette heure, nous nous laissons aller à des caresses de plus en plus érotiques et Phanie sort de l’eau pour prendre appui sur le rebord du bain à remous et ainsi me donner son sexe à déguster.

Cette caresse buccale que j’adore lui prodiguer est pour elle un délice et très vite j’entends malgré le bruit des bulles, sa respiration s’accélérer et ses premiers gémissements de plaisirs. Je continue cette caresse avec la ferme intention de l’emmener jusqu’à l’orgasme que je sens arriver sous ma langue.
Mais soudain une silhouette passe devant la vitre séparant le bain à remous des douches juste en face. Phanie concentrée, le yeux clos, sur son plaisir n’y prit guère attention, mais je la prévenais.
Elle revint en précipitation dans l’eau et nous éclatâmes de rire. Un homme descendit les escaliers du bassin pour rejoindre l’eau bouillonnante. L’homme d’une quarantaine d’année, blond, très bien conservé, en slip de bain vient s’installer dans l’eau face à nous.
Il nous salue et son bonsoir est accompagné d’un accent dont nous pensons qu’il est allemand ou d’Europe du nord. Phanie me remercie de l’avoir vu car sans quoi il aurait eu droit à un drôle de spectacle. Je lui réponds qu’il aurait surement apprécié mais qu’il a pu nous voir par la vitre sans doute, même si la buée pouvait l’empêcher de distinguer les détails de la scène.
A un instant je note que l’homme voit nos maillots de bain posés à l’entrée, il croise mon regard, nous sourit et me demande en anglais s’il est autorisé de se baigner nu. Je lui réponds que je ne le pense pas mais que vu le peu de monde nous nous l’étions permis et que c’est bien plus agréable ainsi.
Il me répond que dans son pays, la Suède, le maillot de bain dans les spas est proscrit car peu hygiénique et me rappelle au rapport des suédois à une nudité naturelle. Nous engageons ainsi une conversation sur son pays et les motifs de sa visite, professionnelle, à Paris. Pendant ce temps l’homme enlève son slip de bain qui vient bientôt rejoindre les nôtres.
Depuis maintenant 20 bonnes minutes dans le bain à remous, Phanie me dit avoir un peu chaud et besoin d’une douche fraiche. Elle se lève et sans gêne devant notre suédois, sort de l’eau, nue, pour se diriger vers les douches.
Phanie et moi ne sommes pas pudiques et en particulier dans ce genre d’endroit.
La bienséance aurait voulu que l’homme ne regarde pas Phanie remonter les escaliers mais a priori la culture suédoise ne prône pas cette attitude car tout en continuant de me parler, il ne loupa pas une miette du joli petit cul de ma chérie. A vrai dire je le comprends puisque j’ai moi-même du mal après 10 ans à ne pas désirer ses si jolies petites fesses.
Phanie revient après quelques instants et lorsqu’elle descend dans l’eau, c’est l’homme qui se lève pour aller prendre une douche. Lorsqu’il remonte les escaliers, je regarde son corps et constate que son sexe n’est non seulement pas vraiment au repos mais surtout de belle dimension.
Lorsque Phanie me rejoint, je lui fais part de l’insistance du regard de notre suédois sur son joli postérieur mais aussi de l’état dans lequel je l’ai vu se diriger vers les douches. Phanie, en riant, me dit qu’elle n’en a rien vu et ajoute que c’est fort dommage.
Surement aidés par l’alcool au restaurant et nos jeux préliminaires interrompus nous attendons donc son retour avec impatience. Il ne tarda pas à revenir à peu près dans le même état que 3mn auparavant. Peut-être même un peu plus tendu, ajoutais-je, ce qui fit rire Phanie. Le fait est que l’homme ne cachait pas son début d’érection, ce que j’aurai fait à sa place je pense. Décidément nos deux cultures étaient bien différentes.
Nous engagions de nouveau la conversation et, je l’avoue, quelque peu excité par la situation, je laissais mes mains sous l’eau reprendre le chemin du corps de mon amour et mes doigts celui de son clitoris. D’abord craintive, Phanie me laissa l’accès à son petit bouton et tandis qu’elle parlait à l’homme, écartait largement ses jambes pour me laisser la caresser tout à mon aise. Je sentais son bassin vibrer sous mes doigts et mes mouvements lents pour ne pas trop attirer l’attention sur cette activité sous-marine, eurent raison des dernières résistances de Phanie, qui eût bien du mal à cacher son orgasme.
Je ne sais si l’homme a compris ce qui venait de se passer mais son léger sourire n’était pas ment qu’une politesse suédoise finalement.
Phanie me dit souhaiter aller au hammam, ce qui vu mon état d’excitation n’était absolument pas possible. Comme elle m’embrassait avant de me quitter, je lui demandais à l’oreille de prendre son temps pour remonter les escaliers. Elle rit et me dit en saisissant mon sexe tendu que je risquais de rester longtemps dans cet état.
Phanie traversa le bassin, la poitrine en dehors de l’eau face à l’homme qui n’en perdit pas une miette puis remonta les escaliers et arrivée à la troisième marche se baissa pour ramasser nos maillots de bain, offrant ainsi une vue imprenable sur son petit cul et son sexe à l’homme qui la regardait 2 mètres plus bas !
Là j’étais bon pour rester dans l’eau 2 heures durant tellement cette situation m’avait excitée.
Certes la lumière de l’endroit était très tamisée, mais l’homme n’avait pas pu ne pas voir des détails de l’anatomie de ma chérie.
Je vis Phanie passer devant la vitre, aller ranger nos maillots dans les poches de nos peignoirs, puis repasser et entrer dans une douche pour se rafraîchir sans doute avant le hammam.
La conversation avec notre ami suédois avait maintenant cessé et tandis que nous entendions la porte du hammam se fermer derrière Phanie, l’homme se leva, me sourit, fit un geste de la tête, puis de leva en direction des escaliers. Lorsque on sexe émergea de l’eau, il était maintenant totalement bandé !!
Je l’entendis aller sous la douche lui aussi, puis de nouveau la porte du hammam s’ouvrir et se fermer. Il venait de rentrer en pleine érection à l’endroit même où Phanie se relaxait.
Immédiatement je sentis un trouble en moi, une confusion. Devais-je y aller au risque de passer pour l’amoureux jaloux que je ne suis pas ou ne pas y aller sachant que l’homme était dans cet état au risque de passer pour l’amoureux qui s’en fout ?
Je décidais d’aller dans le hammam en cachant le plus possible mon érection.
Lorsque j’entrais, Phanie et l’homme sans se voir, tant la buée était épaisse. Je cherchais Phanie dont j’aperçu la silhouette allongée et vint m’agenouiller auprès d’elle. Je passais mes mains sur ses seins et lui demandai si elle se sentait bien. Elle me répondit merveilleusement bien. Je m’approchais de son oreille pour lui raconter l’état dans lequel était notre suédois, quand il quitta le bassin. Elle rit et me dit qu’elle l’avait remarqué en voyant sa silhouette rentrer dans le hammam. Je lui dis que ça aurait pu être moi. Elle me dit que pour le corps oui, nous avions effectivement à peu près la même allure mais qu’elle avait noté une différence et elle éclata de rire. Un peu vexé mais amusé je lui demandai si la différence était si importante, ce à quoi elle répondit « ben quand même oui » et rit de nouveau.
La chaleur était vraiment intenable pour moi et je dis à Phanie que je rejoignais le bassin. Elle me répondit qu’elle restait un peu et m’y retrouvait ensuite. Je lui conseillais de prendre son temps en riant.
Je ressortais du hammam et regagnai le bassin, mon sexe tendu à son paroxysme. Les minutes me parurent des heures et sans montre, dans un endroit dédié à la paresse, je ne pus dire combien de temps s’était écoulé lorsque j’entendis la porte du hammam s’ouvrir. Je vis passer la silhouette de l’homme à travers la vitre et l’entendis allumer le robinet de la douche. Le suivant de près, je vis ma chérie, si belle, rentrer dans l’eau et venir à ma rencontre.
Elle se lova contre moi et me dis que j’aurais dû rester. Pourquoi lui demandais-je ? Elle me raconta qu’elle se leva pour aller se passer de l’eau fraiche sur le corps avec le tuyau servant à nettoyer les parties assises du hammam. Comme elle ne trouvait pas immédiatement le robinet, l’homme se leva, vint vers elle et l’aida à chercher. Tandis qu’il passait devant elle pour chercher, elle vit, dans la lumière qui venait de la porte vitrée, son sexe bandé. Cette situation aurait pu être gênante mais finalement le risque était limité, me dit-elle en riant.
L’homme, qui faisait maintenant face à elle, lui prit le tuyau des mains et lui proposa de l’arroser pour la rafraichir. Phanie accepta en le remerciant. Là encore rien de très outrageant. Elle lui tourna le dos et elle senti le jet d’eau froide parcourir ses épaules, ses reins, ses fesses, ses jambes. Il prenait vraisemblablement son temps pour admirer dans une lumière faible les formes de mon amour. Puis soudain plutôt que de lui demander de se tourner il s’approcha d’elle pour arroser le devant de son corps. Phanie me dit qu’elle a très distinctement senti le bout de son sexe appuyer sur son dos. Elle fit celle qui ne le remarquai pas, par gêne sans doute, me dit-elle. Elle sentait que l’homme n’osait pas appuyer franchement mais qu’il profitait des déplacements de son bras pour arroser toutes les parties de son corps, pour caresser le dos de ma chérie avec sa queue.
Phanie se tourna alors pour le remercier et vit que l’homme s’était approché d’elle si bien que lorsqu’elle lui fit face, son sexe appuya contre son ventre. Elle ne put réprimer un regard vers l’objet tendu et en constata furtivement la mesure et l’épaisseur. L’homme vit son regard et s’excusa de son état. Phanie lui répondit, gênée, que ce n’était pas grave et le remercia une nouvelle fois pour l’avoir rafraichi. Elle se dirigea vers la porte et senti que notre nouvel ami lui emboitait le pas, tandis qu’elle poussait la porte, l’homme passa son bras devant elle pour l’aider et vint de nouveau appuyer son sexe sur ses fesses cette fois-ci. Elle avait été gênée certes, mais aussi très excitée et que surement la moiteur du lieu, la nudité des corps et nos préliminaires y avaient surement contribué.
Nous entendîmes l’homme quitter la douche pour retourner dans le hammam. Peut être gêné lui aussi de revenir avec nous après ce qui s’était passé. Très excité par la situation, je demandais à Phanie de prendre mon sexe dans sa main, elle me senti dur également et imprima un va et vient. Je sentais que je pouvais jouir à tout moment et lui demandai d’arrêter.
Je n’osais lui demander si elle voulait y retourner mais je voulais savoir son niveau de curiosité ou d’excitation. Je lui posais la question. Phanie me répondit qu’elle craignait qu’il prenne cela pour un assentiment et se croit autorisé à aller plus loin, ce que nous ne souhaitions pas. Dans le même temps, j’étais très excité parce qu’elle m’avait raconté et la sentait également chamboulée. Elle me répondit que oui et qu’après tout, il avait l’air tout à fait correct et qu’elle ne craignait pas de débordement. Elle me demanda : « ça t’exciterait que j’y retourne ? » Cette question me fit l’effet d’une décharge électrique. Sa question était directe et connivente. Je lui répondis « Oui, à la condition que tu en aies envie et que tu me racontes ».
Elle m’embrasse en me faisant son plus beau sourire et je la vis sortir de l’eau.
La porte du hammam se ferma derrière elle. Je me retrouvais pris au piège entre mon fantasme et une réalité brutale. Elle était dans ce hammam, nue, avec un homme qui la désirait. Toutefois j’avais confiance en elle et j’étais tellement excité de savoir qu’elle y allait aussi pour pimenter sa curiosité.
Là encore, les minutes parurent des heures. Mon érection n’avait pas diminué et était à force presque douloureuse. Je me décidais un peu tard à me lever pour tenter d’entrevoir quoi que ce soit, mais j’avais à peine atteint les escaliers que la porte s’ouvrit. Je regagnais promptement ma place et vit la silhouette suédoise longer la vitre du bain à remous, enfiler son peignoir puis quitter le spa. Phanie ne sortait pas. Inquiet, je me levais, ouvris la porte du hammam, l’appelais. Phanie me répondit immédiatement et je fus rassuré.
Je lui dis que j’avais vu l’homme partir. Phanie ne répondit que par un « Fais-moi l’amour ». Je la levai, la penchais devant moi et le pénétra avec force. Je sentais mon sexe gonfler encore dans le sien et les vibrations de son corps annonciatrices d’un orgasme. Je sentais mon amour plus excitée que jamais. Elle ne se gênait plus pour laisser aller la voix de son plaisir et ses cris raisonnaient sur les murs du hammam. Je la pénétrais plus vite encore et au moment où je la sentais perdre tout contrôle, les spasmes de son orgasme appelèrent le mien. Nous restâmes enlacés ainsi quelques instants puis sans un mot, nous allâmes prendre une douche pour nous rafraichir.
Je proposais à ma chérie de remonter dans la chambre. Une fois revenu dans notre cocon, nous nous allongeâmes sur le lit et le premier je brisais le silence : « J’ai adoré comme nous avons fait l’amour, je t’ai sentie si excitée ». Elle me répondit qu’elle l’était et qu’elle avait envie que je la prenne.
« C’est ton suédois qui t’a mise dans cet état ? » demandais-je en souriant. « C’est un peu toute cette aventure » répondit-elle « mais c’est vrai que ça m’a beaucoup excitée ».
Je lui demandais fébrile ce qui c’était passé quand elle y était retournée.
Elle me dit que lorsqu’elle entra, l’homme était prêt de l’entrée debout. Il attendit qu’elle referme la porte et lui dit dans un anglais parfait, qu’il pensait qu’elle ne reviendrait pas au hammam. « Pourquoi ? » lui demanda-t-elle. « J’ai pensé que je vous avais dérangée tout à l’heure ». Phanie répondit qu’elle avait été un peu gênée mais pas dérangée non.
« Vous avez été gênée de me sentir si près de vous ? » « Non pas vraiment » lui répondit mon amour. L’homme renchérit « J’aurai pu venir plus près de vous alors ». Phanie répondit « Je ne sais pas, qu’entendez-vous par plus près ? » Le suédois passa derrière elle, tandis qu’elle était toujours debout et vint se coller contre son dos. Phanie me dit qu’à ce moment elle avait senti toute la grosseur de son sexe contre son dos. « Comme ceci par exemple » dit-il « vous auriez été plus gênée ? » « Oui un peu plus » répondit Phanie. L’homme passa ses mains devant elle, en plaça une sur son ventre et l’autre sur un sein. « Et comme cela ? demanda-t-il.
Phanie me dit qu’elle se sentait troublée et fébrile à la fois mais aussi rassurée par ses gestes extrêmement doux. Elle lui répondit « Un peu plus gênée oui mais ça va »
L’homme glissa la main qui était su son ventre jusqu’au-dessus de son sexe rasé, son index prenant appui sur le début de son clitoris. Phanie me dit qu’elle se sentie électrisée par ce contact. Elle le laissa faire. Elle sentait la grosseur de sa verge dans son dos et cette situation extrêmement excitante pour elle.
L’homme s’assit sur la banquette du hammam et invita Phanie à s’asseoir sur lui. Elle comprit qu’il voulait la pénétrer, ce qu’elle refusa et elle lui dit. Il lui répondit de ne pas s’inquiéter. Il la prise par les hanches et la fit s’assoir sur la base de son sexe. Sans doute s’était-il dit que sous l’effet de l’excitation elle voudrait le sentir en elle. Phanie m’avoua qu’elle en avait très envie mais ne voulait pas de pénétration par respect pour moi. Néanmoins le sexe de ma chérie était maintenant en contact du sexe bandé de l’homme et chaque mouvement qu’il imprimait était d’un érotisme insoutenable pour elle.
Il garda les mains sur ses hanches et entreprit de la faire aller d’avant en arrière, de littéralement glisser sur son sexe. Phanie me dit qu’il ne pouvait pas ne pas sentir son excitation. Elle se laissait aller à cette caresse et chaque fois qu’elle avançait elle sentait le gland de l’homme frotter son clitoris.
Son orgasme était proche et sans doute le sentait-il aussi puisque lorsque son gland arrivait, en bout de course, sur les petites lèvres de mon amour, il tentait de la pénétrer. Phanie s’y opposait mais ce contact exacerbait son désir.
Puis il la refaisait glisser en arrière toujours en la tenant par les hanches en exerçant une pression de plus en plus forte si bien que Phanie sentait ses lèvres épouser la forme de la tige de l’homme. Ce mouvement dura quelques instants et à chaque fin de course elle sentait un peu plus le gland forcer son entrée. Elle se déplaçait systématiquement pour ne pas le laisser faire et revenait en arrière pour sentir le contact sur son clitoris.
Il accéléra le mouvement et Phanie se laissa déborder par un nouvel orgasme d’une violence inouïe. Le suédois le senti et profita de l’instant pour faire coulisser son sexe bandé dans celui de Phanie. Cette pénétration surprise eut pour effet de déclencher un nouvel orgasme, m’expliqua-t-elle et sur le coup elle le garda planté en elle.
Dès qu’elle eut repris ses esprits, elle se leva pour se dégager de l’étreinte et se retournant vit l’homme la regarder implorant. Elle m’avoua avoir eu envie de le chevaucher encore mais trouvait qu’elle était allée beaucoup trop loin déjà.
Après ce récit nous nous sommes endormis très vite. Enlacés. Amoureux.

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