Eveil À La Soumission Chapitre 2
Chapitre 2 : La préparation
Ce lundi Je quittais donc le bar ou je venais de rencontrer cet homme , Pierre , et je me dirigeai vers mon cabinet .
Avocate daffaires jétais associée dans un cabinet parisien de belle réputation et en y songeant je minterrogeais sur ce qui pouvait me pousser ,assez irrésistiblement ,vers cette relation dont je pressentais quelle serait sans retour !
Je ne savais à ce moment précis répondre à cette question sinon à me dire que je portais en moi depuis longtemps ce désir sur lequel je navais pu jusquà présent mettre un nom !
La Fabienne rigoureuse et exigeante envers elle-même comme ses collaborateurs était une femme sur le point de basculer et la douleur sourde et douce que je conservais sur les lèvres de ma chatte venait me rappeler que javais sauté le premier pas
et quil y en aurait dautres .
Jépluchais mes mails nombreux comme les notes de mes collaborateurs ; ils ny avaient cet après-midi là aucunes affaires pressantes .
Lundi 15h30 , « bip » premier sms de Pierre .
« Portes tu une culotte de coton blanc ? »
Ouf cétait le cas ! je répondis oui ; il ny eu pas dautres messages .
Lundi 22h15 , « bip » , message : « Tu te coucheras à 23h30 et te caresseras comme convenu »
Je répondis « Oui Monsieur » et à lheure précise jétais avec cette culotte de coton blanc sous ma couette .
Déjà un peu humide je sentis mon clitoris se gonfler et durcir alors que défilait dans ma tête des scènes inavouables ; jentendais ce délicieux bruit de succion que provoquait mes doigts en caressant mon sexe signe de mon excitation . Avec mon autre main , je pinçais et étirait mes lèvres jusquà ce que jatteigne un orgasme puissant
et mouillé . Je me léchais les doigts ; bien quil ne men ait pas donné lordre je me doutait que Pierre aurait été heureux de ce geste . Je mendormis .
Mardi 7h15 , premier message : « Comment va tu te laver ? »
Jy avait réfléchi , jen étais déjà là , et je répondis : « je vais maccroupir dans la douche et laver ce que je dois laver avec un gant Monsieur » .
Il ny eut pas dautres messages et je pris ça comme un acquiescement .
Lorsque jallai uriner , je me rendis compte que ma chatte exhalait , déjà , un parfum puissant ; il était hors de question que je surprenne un regard surpris voire une grimace lorsque une de mes collaboratrices pénètrerait dans mon bureau et je décidais denfiler une deuxième culotte pour contenir mon odeur .
Matinée studieuse au bureau aux prises avec un contrat délicat pour un client exigeant .
Mardi 14h30 , message : « Tu vas aller te caresser dans les toilettes de ton bureau maintenant. »
Pierre entrait maintenant dans ma sphère professionnelle et sinon révoltée , je ne me sentais pas consentante ; cette lutte avec moi-même ne dura pas très longtemps et je me rendis aux toilettes ; personne !
Rapidement assise je mactivai avec succès .
Je lui envoyais un message : « Cest fait Monsieur » . Je ne reçu aucun autre message .
22h15 message : « As tu été déjà sodomisée ? » Etrangement cest un acte que mes amants ne mavait jamais demandé et si jen était curieuse je ne lavais bien sur jamais demandé non plus !
« Non Monsieur »
« Tu te coucheras à 23h30 et en plus de te caresser la chatte tu enfonceras un puis deux doigts dans ton anus . Tu le feras chaque soir »
Ce gout précis du rite me séduisait et me rassurait , cet homme savait bien comment mettre en scène notre situation .
Lorsque je me couchais , je dus ,pour obéir à ces instructions, enlever ma culotte et là, jambes repliées ,cuisses ouvertes je débutais par des caresses ; le dernier message que javais reçu comme mes pensées mavaient déjà mise « dans un état intéressant » comme on disait pudiquement !
Mon anus était très serré mais après avoir longuement enduit lindex de mon autre main de salive , je pénétrais dans cet orifice encore vierge ; cétait nouveau , étrange mais délicieux et rapidement jenfonçais un deuxième doigt et me branlais le cul vigoureusement
Au fur et à mesure que lexcitation montait mon clitoris durcissait et une abondante cyprine faisait son chemin vers mon sillon ;ainsi , mes doigts glissaient maintenant bien dans mon cul quand soudain une vague monta ; jaccélérai les mouvements de mes deux mains et je mentendis gémir pour finir dans un cri alors que je sentais les spasmes de mon anus se refermer sur mes doigts .
Mercredi 7h15 ; décidemment cet homme était précis !
Message : « Ce matin tu prendras une photo de ta culotte et de ta chatte que tu menverras .»
Lorsque je retirai ma culotte et mapprêtai à la photographier , mon humiliation fut telle que je pus my résoudre ; je décidais denvoyer un message à Pierre : « Monsieur , je ne suis pas capable de vous envoyer la première photo que vous me demandez »
Pierre : « Tu sais que tu devras me la montrer vendredi soir ! Cependant jaccepte ta demande ; ton refus sera sans conséquences »
Face à ma réticence il faisait preuve dune compréhension que je nattendais pas vraiment ; elle me rassura .
Je savais cependant que je devais envoyer une photo de ma chatte ; je maccroupis , cuisses écartées ; la précision des photos dun smartphone népargne rien !
Ma chatte était luisante et on pouvait clairement distinguer de nombreuses traces blanches , parfois épaisses dans les plis .
Je lenvoyais . Message : « Ta chatte est magnifique ». Je souris de plaisir et presque de bonheur ; là encore il tentait de me rassurer.
Le rite des caresses à 14h30 puis celui plus vigoureux et intime du soir se poursuivit . Les trois jours de « travail » de mon anus avaient fait leur uvre et ce soir là , sans quil me lait demandé je parvins à faire pénétrer trois doigts ! Le plaisir nest fut que meilleur.
Lorsque jécartais mes cuisses , montait une odeur de femelle que jaimais ; jespérais que Pierre lapprécierait .
Vendredi matin 7h15 message :« Comment Peux me décrirais tu ta chatte ? »
Que pouvais je écrire qui me préserve dune nouvelle humiliation ? Je me débattais avec les mots ! Faute de renoncer (je ny étais pas prête) il me fallait abdiquer et écrire .
Je le fis !
« Monsieur , jai suivi vos instructions et ma chatte est poisseuse et odorante ».
Réponse : « Et cest ainsi que tu vas te présenter ? »
Ce point dinterrogation était destiné ,je le sentais, à me déstabiliser ! Cétait réussi .
Je quittais mon bureau à 20h ; Pierre mattendais à 20h30 chez lui rive gauche .
Jarrivais avec un peu davance et jattendis dans la rue jusquà lheure dite ; je composais le code , appuyais sur linterphone « PA » ; la porte souvrit , lascenseur mattendait ; encore quelques secondes avant de le revoir et de mabandonner .
A suivre
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