Domination De Madame Et Monsieur 5
C'était un jour pluvieux. L'été déclinait et les premiers orages se manifestaient sous une forme violente, accompagnés de rafales de vent qui faisaient se courber les arbres de la longue allée menant à l'appartement des bourgeois.
Je trouve Océane dans sa pause habituelle. J'avais appelé pour annoncer mon arrivée. La vue de son fessier blanc opalin me fit de l'effet. La garce avait bien tendu son arrière, faisant apparaître sa vulve sous le trou divin. Contrairement à mes habitudes, je m'arrêtai devant ce spectacle sublime. Je mis ma main aux fesses, tantôt les malaxant fortement, tantôt leur donnant des claques. Elle tressaillait et haletait déjà.
Ensuite, je la fis trainer au salon, en tenant bien la laisse. Le cocu était à quatre pattes. Je pris le fouet et lui fit bien comprendra qui était le maître dans sa maison. Je sortis mon sexe et Océane l'avala aussitôt. Bien mouillé, il se dirigea bientôt vers le trou béant du cocu. J'adore le posséder. Je vous répète, pour la énième fois, qu'il a le plus beau fessier de la ville, voire du département. Je déchargeai au plus profond de son sphincter.
Océane me servit un bon café, avant de s'agenouiller pour me lécher les pieds. Moment de détente et de bonheur. Moment intime où l'on va sans faire exprès aux confidences les plus inavouables.
Océane est une bête sexuelle. Son plaisir se décuple quand elle s'abandonne au mâle, lui laissant l'initiative d'en jouir à sa guise. Ce sentiment d'abandon qui est un élément important de la soumission vous plonge dans une volupté inégalable. Vous ne savez pas ce que va faire votre dominant : vous embrasser les seins ? Vous tripoter l'entre-jambe ? Vous flageller ? Vous retourner pour vous baiser par derrière ? Ouvrir la porte pour vous livrer à un inconnu ? Vous habiller comme une pute pour vous emmener dans la forêt où vous attendent des mâles affamés de sexe ? Vous ne le savez pas ! Et vous n'avez aucune influence sur le cours des événements, votre unique rôle étant d'obeïr.
Le mâle dominateur est conscient du plaisir que vous tirez de cet abandon. Mais, lui aussi, trouve beaucoup de volupté à diriger les opérations. Il peut arrêter à tout moment la fellation que vous lui faites pour vous ouvrir les jambes et vous limer. Comme il peut subitement arrêter de vous baiser par devant pour prendre d'assaut votre cul. Et si l'envie le prend, il dirigera directement son sexe de votre cul à votre bouche. Vous n'avez qu'à vous soumettre à ses désirs.
Océane est une vraie soumise. Elle a longtemps caché ce côté sexuel perverti à son mari et son entourage. Elle avait besoin d'un vrai mâle dominant, quelqu'un qui ne la respecte pas mais la rabaisse ! Quelqu'un qui la dirige, la soumet, la traite comme une moins que rien et c'est dans cette situation d'infériorité qu'elle trouve son plaisir. Un mâle bien pourvu, avec un sexe d'âne, qui la baise et la rend folle en la limant et en lui faisant mal durant de longues heures. Elle n'a pas connu tout cela avec son mari qui n'avait qu'une petite bite à lui offrir. Autre handicap de taille : à peine son sexe difficilement introduit dans le vagin d'Océane, il éjaculait aussitôt, la laissant sur sa faim.
Aboutissement logique de cette situation : la tendance efféminée de son mari prit le dessus et cela se traduit par son passage à l'acte. Il cherchait des rencontres fortuites dans les toilettes publiques et les endroits gays de la ville. Bientôt, il mettra les habits de son épouse, se maquillera et ira faire la pute dans des hôtels mal famés. Il subissait les assauts des mâles noirs et africains qui lui donnaient un plaisir intense. Il rentrait juste avant madame, se débarbouillait, remettait les habits à leur place et s'installait au salon avec une bière pour suivre un match, comme les vrais hommes. Mais il ne put cacher plus longtemps sa perversion sexuelle. Mise au courant, sa femme s'occupa de lui sérieusement pour accen son côté pute. Elle l'encouragea et passa même à l'acte en s'achetant un godemiché qu'elle accrochait à sa taille pour limer le cul de son mari
Mais Océane rêvait d'autre chose.
Quelques jours après, Océane fit un tour en bagnole dans le quartier décrit par son mari. Elle rencontra quelques putes mal fagotées qui traînaient sur le trottoir. Elle repèra même des travestis et pensa à son mari. En s'imaginant jouant le même rôle ici, elle sut qu'elle était trop belle, trop classe pour passer inaperçue.
Mais le désir était trop fort.
Quelques jours après, habillée comme une pute, avec un décolleté laissant voir le haut de ses seins laiteux et une mini-jupe tellement courte qu'on voyait son string, juchée sur des talons très hauts, Océane se retrouva sur le même trottoir. Elle fut abordée par un vieux maghrébin, un chibani qui la dirigea aussitôt vers un hôtel tout proche. Elle tremblait d'excitation. Le vieux ouvrit sa braguette et dirigea la tête d'Océane vers son sexe tendu. Malgré les fortes odeurs de pisse qui s'en dégageaient, elle happa la verge et entreprit une fellation en règle. Très vite, le chibre retrouva une taille impressionnante. Le gars fit retourner Océane, la débarrassa de sa jupe, retira le fil du string de son vagin et lui plaça son sexe entre les lèvres. Il n'entra pas tout de suite. Il fit plusieurs va-et-vient avec sa verge bien mouillée par le liquide qui descendait des parties intimes d'Océane. Cette dernière jouissait déjà. Pas seulement à cause de l'acte sexuel en lui-même mais en réalisant qu'elle se donnait comme une vulgaire vide-couilles dans un hôtel minable, elle, la bourgeoise habituée aux cinq étoiles et aux chambres luxueuses.
Le chibani la labourait maintenant avec rage, lui donnant des claques de plus en plus fortes sur les fesses. Après une longue cavalcade, il tira subitement sa verge du trou tout chaud, retourna le visage d'Océane et l'arrosa d'une belle giclée de sperme épais et bien chaud. Océane avalait le précieux liquide en se masturbant pour jouir pour encore et encore.
Le vieux s'assit sur le lit et lui demanda de se mettre à quatre pattes devant lui. Elle obtempéra. Il se mit à lui donner une fessée en hurlant dans un mauvais français : " petite garce, tu a eu ce que tu cherchais. Je vais t'apprendre maintenant comment on traite les Fatma chez nous..." Elle voulait être cette Fatma, le cul nu et tendu vers le plaisir du mâle. Elle voulait qu'il la soumette, qu'il en fasse une vraie pute.
Comme s'il l'avait entendu, le chibani tira son téléphone portable de sa vieille veste et appela un cousin qui se trouvait à côté. Ce dernier arriva en courant. C'est un jeune homme d'une trentaine d'années qui n'en revenait pas en voyant cette belle prise aux pieds du chibani :
" Ça alors ! D'où tu as ramené cette beauté ?
- c'est ma nouvelle femme !
- toi alors, je te croyais pas capable de draguer une Roumi aussi classe !
- j'ai rien dragué. Elle faisait la pute près de l'hôtel...
- incroyable ! Elle peut aller dans n'importe quel palace !
- elle aime nos queues ! Allez, je te la laisse. Ne l'abîme pas !"
Le vieux referma la porte et laissa le jeune Samir seul avec la belle prise de la journée. Il fit le tour d'Océane, toujours à quatre pattes au milieu de la chambre. Il retira sa ceinture et la fit claquer sur les fesses de la pute. Il continua avec de plus en plus de violence : " salope ! Je sais ce que tu veux ! Je vais t'en donner.
Les coups pleuvaient mais Océane garda son calme. Elle était en train de jouir de ce moment de soumission intense, d'abandon total au désir du maître, le vrai mâle dont elle avait besoin pour vivre sa vraie sexualité. Samir se débarrasse de la ceinture et offrit sa verge de près de trente centimètres à la vue d'Océane qui fut impressionnèe par la taille de l'engin. C'est de ça qu'elle avait besoin, pas du petit bout de chair pendant de son mari. C'est ce genre de bites qui peut la rendre heureuse, et tant pis si, pour en jouir, elle doit descendre au plus bas de la déchéance, prendre des coups de cravache ou de centure, se faire insulter...
Le chibre ne tarda pas à lui déchirer la bouche. Elle le suçait avec un plaisir immense. Elle le ressortait parfois pour faire courir sa langue sur sa surface rugueuse et parcourue de nerfs gonflés à bloc. Enfin, les vrais mâles ! Les bites des hommes avec un grand H. Samir quitta enfin la bouche pour tenter une entrée par derrière. Mais le chemin est très étroit et pas assez mouillé :
" Écoute pute, tu vas t'acheter un gode que tu garderas dans ton cul et la prochaine fois tu ramèneras une pommade. C'est pour conquérir ton cul. Mais pas aujourd'hui ! Compris ?"
Il la gifla et lui intima l'ordre de se coucher sur le dos et de bien ouvrir ses jambes. Elle s'exécuta. Ses cuisses, véritables colonnes de marbre, pâles et lisses, couraient vers le mont du plaisir où les lèvres roses palpitaient déjà dans l'attente du chibre conquérant.
Il se coucha sur la dame, lui embrassa les seins et colla sa bouche à la sienne. Il introduisit la langue entre les dents de la belle et cette dernière commença à la sucer comme un vrai sexe. Plus bas, la verge de Samir commençait à se frayer son chemin vers les profondeurs humides, faisant couiner Océane. Cette dernière s'accrochait à la langue de Samir tout en enfilant la verge impressionnante.
Prévenant, le mâle fit quelques poussées, n'introduisant que la tête du serpent dans le trou accueillant. Par de petites poussées, il faisait gagner du terrain à son sexe, ce qui rendait folle Océane dont les cris attirèrent un client d'une chambre voisine. C'était Mamadou, le copain de Samir qui fut aussitôt invité à profiter de la bouche de la pute.
Quant au sexe de Samir, il parvint à son objectif après de longues minutes d'avancées. Océane ne savait plus où elle se trouvait, ni ce qu'elle faisait. Elle hurlait de plaisir. Elle n'avait jamais connu cela. S'oubliant, elle mordit la bite du black. Ce dernier retira son sexe et gifla violemment Océane : " écoute la pute, applique-toi et ne refais jamais ça!"
Elle fut également corrigée par Samir qui utilisa à nouveau sa ceinture pour la fouetter.
Après s'être bien amusés, les deux lascars se masturbèrent devant le visage tendu de la pute. Sa bouche, grand ouverte, accueillit une quantité incroyable de sperme. Elle était heureuse, la plus heureuse des femmes.
" Écoute, la pute ! Tu es ma femme. Tu vas me donner ton numéro de téléphone. Tu répondras à mes convocations. Je ne remercierai jamais le chibani pour ce cadeau : une vide-couilles parfaite ! Tu vas rentrer directement chez toi ! Tu ne viendras ici que lorsque je t'appelle. Allez, file !"
A son retour à la maison, son époux remarqua sa belle humeur. Elle lui raconta tout. Surtout des détails marquants sur la taille des chibres. Consciente qu'elles sont maintenant deux vide-couilles affamés de belles bites, elle lui fit part de ses projets : " la prochaine fois, on fera les putes à deux. Un duo à utiliser en même temps, ça doit plaire à maître Samir!"
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!