Une Tante Tentée
Bérengère Martin a chaviré dans une rêverie érotique en regardant ladolescent tondre la pelouse devant sa maison. À quelques mètres delle, juste devant la fenêtre de sa cuisine, son neveu, vêtu dun slip de bain, restait indifférent aux émotions qui tourmentaient sa tante. Ses muscles roulaient sous sa peau bronzée et luisante de sueur. Cachée derrière ses rideaux vaporeux, Bérengère ne quittait pas des yeux le corps musclé du jeune homme, en surveillant tout particulièrement la bosse qui déformait le devant de son maillot.
Les seins de Bérengère séveillaient, ses tétons sérigeaient, inconsciemment elle a glissé une main sous sa légère robe dété pour tenter dapaiser les bouleversements causées par les papillons qui bruissaient dans son ventre. Même en jouant distraitement avec sa féminité, presque du bout des doigts, son trouble ne faisait quaccroître son attirance.
Même si elle ne pratiquait quexceptionnellement la masturbation, son émoi était si intense quelle a exulté très vite. Envahie par son fantasme, accaparée par le mâle objet de son désir, Bérengère ne sétait pas aperçue de la présence de son mari, debout dans l'embrasure de la porte.
Lorsque les spasmes de Bérengère se calmèrent, Jacques Martin sapprocha : "Fascinant ! Tu es merveilleuse."
Bérengère a sursauté et son visage sest empourpré en réalisant qu'elle avait été prise la main dans le pot à confiture, si jose mexprimer ainsi. Son trouble la faisait bégayer :
"Mon Dieu ! Jacques ! Tu m'as fait peur !"
"Est-ce la vision de mon neveu qui te mets dans des états pareils ?" demanda calmement son mari.
"Oh... eh bien, non... Kevin me rappelle toi, quand tu avais cet âge !" expliquait-elle d'un air penaud.
"Oh, vraiment ? Si je métais promené aussi dévêtu que lui, même à cet âge, tu maurais demandé de me rhabiller !"
"Chéri, je suis désolée" sexcusa Bérengère.
Le sexe n'était pas un sujet douloureux dans la famille Martin, mais ce n'était pas non plus un sujet glorieux
surtout pour Jacques. À cinquante-deux ans, son appétit sexuel avait fortement diminué, tout comme ses performances. D'un autre côté, sa femme subissait l'une de ces mystérieuses bizarreries de lâge, car son appétit sexuel sétait développé en atteignant la ménopause. Curieusement, tandis que lun déclinait, lautre se trouvait dotée dun appétit féroce.
Ce n'était pas la première fois que Jacques éprouvait des soupçons, au sujet de la fidélité de sa femme. Elle était toujours aussi séduisante, lâge navait pas de prise sur elle, et elle avait tellement de facilités pour se faire de nouveaux amis. Toujours souriante, agréable, bavarde, et parfois si naïve ...
Mais il ne lavait jamais imaginée en train de fantasmer sur un jeune homme qui pourrait être son fils. Même si ce n'était pas la première fois qu'il essayait de la confondre, de trouver un indice qui étayerait ses doutes, il navait jamais pu avoir un début de preuve.
Il aurait aimé pouvoir profiter de la situation, la contraindre à avouer ses turpitudes, lui raconter ses fantasmes, ses émois de femme mûre, mais
Mais il était beaucoup trop excité pour cela. Jacques a saisi Bérengère par le poignet et la entraînée, malgré ses protestations, droit dans la chambre à coucher.
Il la littéralement propulsée à plat ventre en travers du lit conjugal, la troussée, et sest jetée sur elle, comme sur une fille de mauvaise vie. Elle était suffisamment excitée pour laccepter sans douleur, il était suffisamment tendu pour la pénétrer sans attendre. Malheureusement, la précipitation est mauvaise conseillère, et la chevauchée fantastique quils imaginaient sest rapidement brisée, laissant Bérengère sur sa faim, la chatte en feu.
Bérengère Martin na eu aucune difficulté à oublier cet épisode embarrassant, mais Jacques ne pouvait pas le chasser de son esprit.
Plusieurs fois, les jours suivants, Jacques sest inspiré du souvenir de cette scène coquine pour honorer sa femme. Bien qu'elle n'ait aucun regret avec lintérêt nouveau de son mari, Bérengère a remarqué le changement, et elle était curieuse au sujet de cette bonne fortune .
En temps normal, elle devait travailler longuement lobjet de son désir, de la bouche et de la main, avant dobtenir une érection suffisante. Et même alors, elle nétait jamais vraiment sûre davoir le temps den profiter. Il lui fallait sactiver afin de maintenir loutil en parfait état de marche.
C'était grâce à la situation financière confortable de Jacques, que Kevin passait du temps à lentretien du jardin. Kevin avait besoin d'argent pour luniversité et Jacques était heureux de laider. Mais son frère, Jean, nacceptait pas la généreuse philanthropie de son aîné. Il voulait que son fils apprenne la valeur de largent, et quil travaille pour lobtenir.
"Fais-le bosser. Sil veut plus dargent, quil le gagne" cétait le commentaire explicite de Jean, alors Kevin s'occupait de la piscine, du jardin, et de plein d'autres choses autour de la maison. Jacques était ravi de ne plus faire ces travaux.
Chaque samedi matin, Kevin venait pour faire les travaux de jardinage. Il commençait toujours par lentretien de la piscine, cest pourquoi il avait ce slip de bain minimaliste. Et entre deux travaux plus fatigants, il retournait piquer une tête dans la piscine.
Ce matin-là, Jacques attendait la réaction de sa femme et fut déçu qu'elle reste dans son bureau, à l'étage, semblant ne pas prêter dattention au jeune étalon. Il a décidé d'attirer son attention sur la présence de Kevin, juste au cas où elle ne l'aurait pas entendu arriver, mais Bérengère l'a rabroué.
"Et alors ? Je suis sûre qu'il fera son travail sans avoir besoin de ma supervision !" répliqua sa femme sèchement. Bérengère était importunée par cette allusion à son comportement précédent.
"Je suis sûr qu'il est capable" contra Jacques. "Comme tu étais tellement intéressée par mon neveu, la semaine dernière, je pensais que tu serais heureuse de le regarder travailler !"
"Jacques, j'aimerais beaucoup que tu cesses de me rappeler cet épisode malencontreux" le fustigea Bérengère.
"Désolé. Je ne pensais pas taccabler" dit Jacques en refermant la porte du bureau, et en redescendant dans la cuisine. Il ne savait pas quoi penser du comportement capricieux de sa femme.
Il y a un endroit dans le couloir, à l'étage de la maison des Martin, où le sol grince légèrement chaque fois que quelqu'un marche dessus. Jacques lisait son journal dans la cuisine, lorsquil entendit le son caractéristique de cet endroit. Sa femme marchait à pas feutrés dans le couloir. Où allait-elle ? Voulait-elle descendre pour le rejoindre ? Pour mater Kevin ? Elle ne venait pas, curieux il replia son journal et retira ses chaussures pour monter silencieusement les escaliers.
Jacques ne laissa dépasser que sa tête à langle du couloir. Bérengère regardait par la fenêtre dans le jardin. Elle devait observer Kevin. Sa robe troussée, elle sactivait entre ses cuisses. Même de dos, Jacques pouvait deviner sa main masser sa chatte entre ses cuisses légèrement écartées. Jacques a regardé et écouté les soupirs de sa femme.
Il s'est senti particulièrement excité et sa main est venue naturellement masser la bosse qui se formait dans son pantalon. Lorsque les soupirs de Bérengère sont devenus des gémissements, Jacques bouillait dimpatience. Comme la semaine précédente, il sest précipité sur elle pour lentraîner dans une chambre proche.
Bérengère n'a pas apprécié lintervention de son mari. Elle a crié, sest débattue, essayant déchapper au coït non désiré.
Elle a essayé de le raisonner, de le supplier, mais Jacques était comme fou. Il a ouvert sa braguette, a sorti sa bite, et la pénétrée sans cérémonie. Les protestations et les ruades de Bérengère ont immédiatement cessé.
"Ma femme sexcite comme une salope en matant le jeune et athlétique corps de mon neveu, tu timaginais déjà te pâmant entre ses bras musclés ? Tu vas lavoir ta baise sauvage, mais avec moi, pas avec un autre !" Jacques a grondé en pompant sa bite bien raide dans la chatte trempée de sa femme.
Bérengère n'a pas répondu aux insultes de son mari. Elle était embrasée par la sensation enivrante d'une baise vraiment énergique. Ce n'est que lorsque le calme est revenu, que les mots de son mari lont vraiment blessée.
"Jacques, comment peux-tu dire des choses pareilles ?" protesta-t-elle en reprenant son souffle.
"Dis quoi ?" Il avait déjà oublié.
"Que je suis une salope excitée par Kevin ! Ce sont des choses horribles ! Tu ne peux pas me dire çà !"
"Ah ouais ? Alors dis-moi à quoi tu pensais en te caressant. En faire ton partenaire de bridge, peut-être ?"
Bérengère, songeuse, ne répondit rien.
"Où est le problème? Ce n'est pas comme si jétais fâché après toi. Tu ne comprends pas que je suis ravi de te voir fantasmer devant un jeune homme, même si cest mon neveu. OK ?"
"Tu n'es pas fâché ?" demanda Bérengère, interloquée. "Non, je vois bien que tu ne l'es pas ! Mais pourquoi ne l'es-tu pas? Au contraire, cela texcite, cochon !"
Jacques n'avait pas la réponse. Il savait qu'il était reconnaissant pour toute cette énergie sexuelle retrouvée. De nouveau, il éprouvait du désir pour sa femme. Fini cette énorme pression quil ressentait lorsquil ne parvenait plus à satisfaire sa femme. Non seulement son désir pour elle retrouvé, mais sa performance s'était considérablement améliorée au cours de ces derniers jours. Plusieurs fois cette semaine, il avait réussi à la contenter.
Bérengère ramassa ses affaires et se dirigea vers la salle de bain pour prendre une douche. Elle se sentait soudain extrêmement sordide. Il lui était difficile dadmettre ces pensées lubriques qui la déroutaient. Elle s'était imaginée en train de sucer la bite de Kevin ... Une bite quelle imaginait charnue... Et Jacques l'avait interrompue juste au moment crucial, lorsquelle imaginait Kevin s'enfonçant dans sa chatte. Le simple souvenir de son fantasme l'a de nouveau excitée, ses tétons se sont dressés, sa chatte sest humidifiée. Bérengère a saisi le pommeau de la douche, et elle a dirigé le jet droit sur sa chatte pour se soulager.
"Jacques a raison, je me conduis comme la dernière des salopes" pensait Bérengère en s'essuyant avec une serviette. "Ce n'est pas une façon pour une femme de mon âge de se comporter."
Pendant que sa femme sinterrogeait sur sa conduite singulière, Jacques gambergeait. Il était très doué pour cela. Directeur commercial chez un importateur de matériel high-tech, il avait lhabitude de manipuler les gens. Il aimait lintrigue, lespionnage, et il avait beaucoup dintuition. La plupart des éléments étaient déjà en place.
L'appétit sexuel accru de sa femme, et ses exigences pour la satisfaire devenaient de plus en plus un fardeau pour lui. La découverte récente de lintérêt de Bérengère pour son neveu Kevin lui plaisait. Indéniablement, cette attirance larrangeait. Cela agissait sur lui comme un catalyseur. Un regain dénergie salace qui lui permettait dhonorer sa femme. Pour combien de temps ?
Il lui fallait bousculer un peu lordre des choses. Bérengère avait du désir pour Kevin. Kevin avait besoin dargent. Le seul obstacle cétait d'amener Kevin à penser à Bérengère d'une manière charnelle. La différence d'âge ne pouvait être un obstacle. Bérengère était suffisamment aguichante pour faire tomber dans ses filets nimporte qui. Et depuis plus dun an, elle samusait à tourmenter Jacques en soulignant son intérêt pour les autres mâles, comme pour le punir de ses carences sexuelles.
Donc, pour arriver à ses fins, il devait faire oublier à Kevin la notion de péché et de tabou quil pouvait ressentir envers sa tante. Cela pouvait nécessiter un travail préparatoire minutieux, et pouvait prendre un certain temps. Il fallait les confronter dans une situation équivoque, afin que Bérengère passe du fantasme à la réalité. Elle sera tout à fait capable de dévergonder son neveu.
Enfin, pour en retirer un bénéfice, il fallait quil puisse obtenir une visualisation du spectacle. La maison était équipée dun système de vidéo surveillance au top. Normal pour un type qui travaille là-dedans. Bérengère ignorait le fonctionnement du système. Innocemment, elle pensait les caméras ne fonctionnaient pas lorsque le procédé était à larrêt. De plus, elle ne connaissait pas lemplacement de toutes les caméras. Certaines étaient soigneusement cachées.
Son idée était toute simple. Les vacances dété débutaient, pour permettre à Kevin de gagner plus dargent, et pour lui laisser son week-ends libre, il lui a proposé de venir travailler en semaine, quand il aurait le temps. Sans en informer Bérengère.
"Peu importe si je suis absent, et inutile de prévenir ta tante, elle te verra bien arriver ! Tu viens quand tu peux, tu fais ce que tu veux, tu comptes tes heures, et je te paierai en fin de semaine !"
Et laisser le destin lui donner un coup de pouce, si jose mexprimer ainsi. Le lundi soir, en rentrant du travail, Jacques sest enfermé dans son bureau pour "travailler". En fait, il a passé du temps à visionner les enregistrements vidéo. Kevin nest pas venu. Bérengère a passé du temps au bord de la piscine. Bronzage recto-verso avec un maillot deux pièces. À plusieurs reprises, elle a enlevé le haut, ou elle a rentré sa culotte dans la raie des fesses, quand elle était à plat ventre.
Spectacle révélateur dune femme seule, et qui sait quelle ne peut pas être vue, la cour arrière étant cernée de hauts murs, et darbres centenaires. Spectacle charmant, mais bon, Jacques avait espéré mieux.
Le mardi soir, en rentrant du travail, Jacques sest enfermé dans son bureau. Kevin est passé dans laprès-midi. Il a fait le tour de la maison, sans doute pour aller récupérer les outils dans la cabane au fond du jardin. Arrivé à langle de la maison, il sest arrêté, stupéfié, par le spectacle qui soffrait à ses yeux ébahis. Bérengère était allongée, à plat ventre sur son transat, elle avait ôté son haut et rentré sa culotte dans la raie des fesses.
Voluptueuse, jambes écartées, elle profitait du chaud soleil pour bronzer un maximum de peau. Elle avait mis ses écouteurs dans ses oreilles, et elle somnolait, inconsciente de la présence de son neveu. Elle sexposait dans une attitude érotique et immorale au regard innocent du jeune homme.
Kevin était fasciné par la vue de cette femme si sensuelle. Lentement, Kevin sest approché de quelques pas, sans doute pour mieux profiter du panorama. Il sest même baissé pour avoir une meilleure vision de son entrejambe. Jacques était ravi de voir que son neveu nétait pas indifférent au spectacle dénudé de sa tante. Son plan n'allait pas être aussi compliqué à mettre en uvre qu'il ne l'avait imaginé.
Mais un geste de Bérengère pour chasser un insecte qui limportunait a effrayé Kevin. Il a battu rapidement en retraite pour se dissimuler derrière langle du mur. Il est resté invisible un moment, sans doute pour cacher son trouble, puis il est revenu, probablement en claquant violemment le portillon du jardin, ou en faisant un bruit quelconque pour alerter sa tante. Bérengère a sursauté vivement et sest enroulée dans son drap de bain.
Jacques regrettait de ne pas avoir le son, juste limage. Il sest noté mentalement de résoudre ce problème au plus vite. Kevin est réapparut à langle de la maison et sest trouvé nez-à-nez avec sa tante. Lequel était le plus gêné des deux ?
Ils ont discuté un moment. De quoi ? Bérengère se faisait chatte, Kevin semblait troublé. Elle sest approchée pour lembrasser sur les deux joues. Elle tenait le jeune homme par la taille, lui parlait en restant serrée contre lui, ne semblait pas vouloir le lâcher. Elle semblait samuser de son embarras.
Le drap de bain ne tenait pas bien, il dévoilait une partie de sa lourde poitrine. Bientôt, une jambe est apparue entièrement dans louverture. Kevin nen perdait pas une miette. La caméra ne permettait pas de voir si le neveu avait un début dérection, le corps de sa tante le cachait à la vue. Jacques a noté mentalement "plus de caméras".
Cette visite inattendue ne prenait pas de court Bérengère, et sa première réaction était de profiter de cette occasion pour draguer ouvertement son neveu. Elle savait bien que Kevin regardait son corps, et elle nétait pas gênée par sa tenue légère. Elle a fait mine de remonter le drap de bain glissant, et elle en a profité pour glisser son index entre ses seins. Kevin avait maintenant du mal à avaler sa salive.
Depuis toujours, Kevin adorait venir chez son oncle et sa tante. Oncles Jacques était toujours très généreux avec Kevin, et dans cette maison, il flottait comme un air de liberté. Bonbons et sodas à profusion, jeux à volonté, par rapport à latmosphère stricte qui régnait chez ses parents, cétait le paradis. Et puis, il y avait les câlins de sa tante. Lorsquelle le pressait sur sa voluptueuse poitrine. , il aimait être cajolé par Bérengère. Mais à ladolescence, les gros nichons de sa tante le faisaient chavirer de bonheur.
Bérengère, fine mouche, connaissait tout des émois quelle provoquait à son neveu. Le zizi tout dur, les soupirs daise, elle jouait avec lui depuis si longtemps. Elle le connaissait par cur. Désormais, cétait leffet retour ! Cest le jeune homme, à peine adulte, qui faisait fantasmer sa tante !
Mais bientôt, les tourtereaux ont rompu leur étreinte. Kevin sest dirigé vers la cabane à outils, et Bérengère a opté pour une tenue plus sage pour continuer sa bronzette. Jacques était un peu déçu, mais pas trop. La réaction de Kevin en voyant sa tante presque nue, celle de Bérengère qui sétait jetée dans les bras de son neveu, tout cela contenait du positif, même si Jacques avait espéré une évolution plus rapide de la situation.
Jacques a dû faire défiler deux bonnes heures de vidéo, avant que Bérengère et Kevin ne reprennent contact. Elle avait préparé une orangeade et elle invitait son neveu à venir se rafraîchir à lintérieur. Abandonnant ses outils, le garçon la suivie à lintérieur.
Jacques a basculé sur la caméra du séjour. Elle la invité à prendre place dans le canapé, et sest assise tout près de lui. Elle passait sa main sur la peau nue du jeune homme, couverte de sueur. Elle sest levé et la invité à le suivre. Où ? Jacques zappait comme un fou sur toutes les caméras disponibles pour les suivre dans la maison. La salle de bain. Elle voulait quil prenne une douche rafraîchissante.
Bien. Bonne idée, et bon début. Jacques était ravi, et tout excité. Elle voulait quil se déshabille devant elle ? Il hésitait. Elle la aidé, avant de se déshabiller elle-même, la poussé dans la douche. Ils étaient nus, tous les deux, dans la douche, et elle a ouvert leau. Très vite, la caméra sest couverte de buée. Vacherie ! Jacques fulminait après ce matériel de m
!
Jacques a dû attendre longtemps avant de retrouver une image claire des deux tourtereaux. Kevin était dans le jardin, rhabillé, il rangeait les outils dans la cabane. Un dernier chaste câlin avec sa tante, et il est parti. Pas de baiser langoureux, pas de geste équivoque. "Ils nont même pas consommé !" se lamentait Jacques.
Jacques était impatient de voir Bérengère conclure ses travaux de dévergondage, mais ce nétait pas aussi facile pour elle quil le croyait. Longtemps, Bérengère était restée fidèle à son mari. Récemment, depuis quelques mois, peut-être deux ans, elle avait commencé à regarder ailleurs. Devant le désintérêt de son mari, travaillée par une libido de plus en plus exigeante, elle avait été emportée par le regard sombre et pénétrant dun bellâtre.
Elle avait suivi les yeux noirs dans un hôtel proche, et sétait offerte comme une fille à la cuisse légère, heureuse de découvrir le plaisir à plusieurs reprises. Pendant quelle reprenait des forces dans la baignoire, il avait disparut sans un adieu. Peut-être avait-il peur davoir eu affaire à une semi-professionnelle, et davoir à mettre la main au portefeuille.
Depuis, chaque fois quun bel homme laccostait, elle lécoutait débiter ses fadaises, et pour peu quil soit habile, elle le suivait. Mais jamais elle navait pris linitiative. Et cétait ça qui la retenait avec Kevin. Comment ne pas aller trop loin, sans leffrayer, lamener doucement dans son lit, pour jouir de sa jeunesse, et de sa vaillance quelle devinait virile.
Elle ignorait tout de lattirance de Kevin pour ses nichons tout ronds, et quil fantasmait sur elle depuis si longtemps. Rentré chez lui, furieux contre lui-même, de ne pas avoir osé saisir sa chance, de sêtre laissé faire, sans prendre linitiative. Avoir laissé passer une telle occasion, non mais quel crétin ! Elle sétait trouvée nue, sous la douche, juste à côté de lui. Elle lui savonnait le dos, et il était resté plaqué contre le mur pour lui cacher son érection honteuse.
Demain, il retournera chez elle, sous nimporte quel prétexte, et il franchira le pas. Il ne doutait pas de son courage, demain
oui, demain, il osera ! Mais le lendemain, sa mère avait besoin de lui. Pour laccompagner en courses, au centre commercial, pour pousser le chariot, porter les packs deau
"Donner un coup de main à ta mère, tu es en vacances, tu peux bien faire ça !"
Il attendait sa mère devant le salon de coiffure, elle avait demandé un coup de peigne, juste cinq minutes
Il lattendait patiemment, en la regardant à travers la vitrine lorsque, dans le reflet de la vitre, il a vu passer sa tante au bras dun monsieur quil ne connaissait pas. Interloqué, il les a suivi du regard, songeur.
Cétait bien tante Bérengère, pas derreur possible. Quest-ce quelle fabriquait avec ce type ? Il est rentré en coup de vent dans la boutique, expliquer à sa mère quil avait vu ses potes, et quil allait les rejoindre. Elle a accepté, finalement ça larrangeait, elle pourrait prendre son temps, et avoir mieux quun coup de peigne.
Il sest précipité à leur suite, au mépris de toute prudence, sans aucune discrétion, et les a vu de loin disparaître dans lentrée dun hôtel. Il est passé devant à plusieurs reprises, scrutant lentrée éclairée de lhôtel, comme sil pouvait deviner la réponse à la question qui le turlupinait. Quest-ce quelle foutait là-dedans ?
Il sest assis sur banc, partiellement dissimulé par un buisson. Il cogitait sans comprendre. Il a attendu, longtemps. Deux longues heures. Le type est ressorti, seul. Kevin a encore attendu. Tante Bérengère ne réapparaissait pas. Inquiet, il sest approché de lentrée, pour jeter un coup dil, et sest trouvé nez-à-nez avec sa tante.
Elle navait pas lair ravie de le trouver là. Elle la attrapé par le bras et la entraîné derrière elle, jusquà sa voiture, garée au parking souterrain. Elle la fait monter à larrière, et sest glissée à côté de lui, sur la banquette arrière.
"Quest-ce que tu fais ? Tu mespionnes ? Tu me surveilles, pour aller me cafarder à ton oncle ?"
Kevin ne comprenait pas sa colère, il navait rien fait de mal. Juste de létonnement, et de la curiosité. Il restait muet, son attitude la rendue folle :
"Promets-moi de ne rien dire à Jacques, et tu auras tout ce que tu veux de moi !"
Joignant le geste à la parole, elle a dégrafé son chemisier, sorti un sein de son bonnet, et la présenté à Kevin :
"Tiens, je sais que tu en meurs denvie !"
Il sest jeté sur lobjet de sa convoitise, tétant, suçant, et massant le lourd globe comme un bébé se jette sur le sein maternel. Ravie, Bérengère a caressé de sa main légère la nuque de Kevin pour lencourager. Le jeune homme penché sur elle sactivait sur la lourde mamelle, tandis quelle surveillait les alentours dun coup dil circulaire.
Labsence de danger la rendait audacieuse. Elle a pris le visage de Kevin à deux mains pour lembrasser longuement à pleine bouche. Sa main est descendue, coquine et frivole, jusquà la bosse qui gonflait lavant de son short. Elle la repoussé, le dos contre la portière. Elle a fait glisser le short sous ses genoux, avant de se pencher sur lobjet de ses fantasmes.
Son regard sexy et diabolique examinait la bite dressée du garçon pendant quelle caressait lentement, pensive, la tige raidie. Avant de plonger, bouche ouverte, pour lui administrer une délicieuse fellation, elle la prévenu :
"Surveille en jetant un coup dil aux environs, que lon ne se fasse pas surprendre par la sécurité !"
La bite de Kevin, agitée par les spasmes de limpatience, pointait droit vers le visage de Bérengère. Elle a écarté les cuisses du garçon avec ses mains pour contempler sa bite avec un regard fasciné. Puis, les yeux dans les yeux, souriante, elle a posé ses lèvres autour de la bite, aspirant pour créer le vide dans sa bouche, creusant ses joues roses.
Elle l'a regardé avec insistance en descendant lentement le long de sa bite, léchant et suçant voluptueusement lobjet de ses fantasmes. Kevin a serré les dents, fermé les yeux, et rejeté la tête en arrière en poussant un cri sexuel et animal. Elle a commencé à faire courir sa bouche tout le long de la bite tendue, tandis que sa main palpait les bourses.
Bérengère était éreintée par sa séance précédente avec son amant, mais la présence de Kevin lui a donné un regain dénergie. Elle la gardé en bouche jusquau bout, savourant le délicieux nectar. Repue, elle la laissé jouer un moment avec sa lourde poitrine,
Elle la raccompagné près de chez lui, avant de lui donner rendez-vous à lhôtel pour le lendemain. Elle se méfiait un peu de Jacques, de cette étrange excitation qui lavait saisi en découvrant son attrait pour le corps tonique de son neveu. Et cette manie quil avait déquiper toutes les pièces de la maison de caméras discrètes. Il lui avait expliqué brièvement le fonctionnement, mais la fine mouche avait parfaitement repéré ses nouveaux jouets,
Donc, lorsque Jacques est rentré du travail, il sest précipité dans son bureau, convaincu que ce jour était un grand jour. Il a examiné les enregistrements les uns après les autres, longuement, soigneusement, avant de comprendre tristement que son neveu nétait pas venu, et que sa femme sétait absentée la majeure partie de laprès-midi.
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