Mère Et Fille Soumises Au Même Maître Chapitre 7 : Ma Progression De Soumise (4)

Il m'a allongée dans mon lit, puis il est venu se coucher près de moi.Il m'a étonnée une fois de plus : il m'a tendrement caressé la joue droite, puis il m'a encouragé une nouvelle dois à me reposer, car il fallait que je sois en forme pour écrire.
J'était bien, il caressait mon clitoris tout doucement et, peu à peu, je me suis assoupie.
Ce qui m'a réveillée, ça a été une curieuse sensation: j'étais tournée sur le côté, en face de lui. Son gland chatouillait ma fente d'amour, qui commençait à s'ouvrir et à émaner à la fois des odeurs que j'aimais et une mouille de plus en plus abondante.
J'ai ouvert les yeux ; il m'a souri et m'a dit :
— Tu mériterais une fessée, pour te réveiller et te rappeler ton obligation d'écriture, mais tu es trop belle quand tu dors. On dirait une petite fille qui fait la moue après avoir sucé son pouce.
Il s'arrêta de perler puis reprit :
— D'ailleurs, puisque je t'en parle, suce moi pour te mettre en forme pour écrire.
Sans réfléchir une seule seconde, je me suis emparée de son énormité toute raide avec mes deux mains. Je me suis baissée vers son ventre et j'en ai pris le plus possible dans ma bouche, en salivant beaucoup.
Il a eu l'air d'apprécier.
D'un seul coup, il m' tiré par les cheveux. Il m'a dit :
— Tu dois écrire, n'oublie pas. Viens !
Nous sommes allés dans la cuisine. Il s'est assis sur une chaise et m'a dit, en indiquant sa bite :
— Mets toi la dessus, le trou que tu veux !
J'ai hésité un peu et finalement j'ai ouvert mon sexe. Je l'ai fait glisser en moi, jusqu'à ce qu'il soit à fond dans mon sexe trempé. Il a pris le cahier qui était resté sur la table et j'ai commencé à écrire.
Je n'était pas dans une position confortable et pourtant j'étais bien : plantée sur sa bite, mes cuisses reposant sur les siennes, j'avais mon stylo dans une main, couchant sur le papier tout ce que je voulais dire à ma petit Emma - c'est lui qui me l'avait suggéré en me disant :
— Sois le plus précise possible, pour que ta fille se rende bien compte, elle lira ton histoire et elle écrira peut-être la suite.


De temps à autre, il me pinçait les seins puis il me soulevait par les hanches jusqu'à presque sortir de moi et enfin il me laissait retomber sur son soc d'une dureté incroyable. À chaque fois qu'il me faisait faire ces mouvements, je sentais que je m'ouvrais et une nouvelle injection d'une mouille grasse et très gluante m'empêchait de continuer à écrire. Je devais m'arrêter, ce qui le faisait rire et, à deux reprises, pendant que j'étais dans cet états, il m'a arrosé de son sperme sans me quitter. Je jouissais comme une folle et, peu à peu, une fois calmée, je recommençais mon travail d'écriture.

À sa demande, lorsque j'ai eu terminé la première partie de mon récit, ce qui m'a pris tout de même pas mal de temps, plusieurs heures certainement avec les interruptions de ses éjaculations, il m'a porté, toujours dans moi, jusqu'au lit, dans ma chambre.
Là, il m'a déposée sur le lit où il m'a mise en position de levrette. Il m'a précisé :
— Je t'ai arrosé la chatte, là tu vas prendre dans le cul, mais tu aimes ça ! Après, je t'invite au restaurant où je t'ai déjà emmenée, et en revenant, au lit et je te baise jusqu'à ce que je n'aie plus rien dans le couilles.

En me couchant près de lui, après notre sortie au restaurant, je me suis remémorée ces paroles. Il a suivi son plan à la perfection
Il m'a sodomisée pour mon grand bonheur, pendant très longtemps. Là, j'ai pu perfectionner le mécanisme de serrement-desserrement de mon anus, ce qui lui a plu de plus en plus. Finalement, j'ai joui plus que jamais.
Quand il en éjaculé en moi, il m'a pincé fortement le clitoris, ce qui m'a fait repartir.
Je me suis effondrée sur le lit et nous nous sommes reposés un instant.
Nous nous sommes levés, nous nous sommes douchés, il a choisi mes vêtements sans aucun dessous, évidemment puis nous sommes partis manger.
Dès notre retour, il m'a arraché ma robe, et a commencé à me besogner la chatte.
Il a tenu parole : il m'a fait jouir, il a éjaculé en moi tout ce qui devait lui rester de sperme et, finalement, tout bêtement, nous nous sommes endormis.

Avant de nous endormir, alors que j'étais dans un état qui ressemblait à la béatitude sexuelle, il m'a adit :
— N'oublie pas, demain matin ton petit déjeuner de salope, puis passage par tes WC sous ma surveillance pour vider ton rectum, nettoyage approfondi et nouvelle baise, puisque tu ne travailles pas le lundi. Mais surtout, tu vas écrire la suite.

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